Lecture du Haïku Calligramme: gauche, droite, centre, droite
A perdre haleine
vertiges des profondeurs
la lumière au bout
◊ Atmosphères des châteaux d’Azay-le-Rideau et de Villandry
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: gauche, droite, centre, droite
A perdre haleine
vertiges des profondeurs
la lumière au bout
◊ Atmosphères des châteaux d’Azay-le-Rideau et de Villandry
bloquée, cramponnée,
je tremble,
je sais que ceci est beau
qui m’entoure,
mais j’ai peur,
je ferme les yeux,
je tombe en moi à m’en écoeurer,
mais j’avance un pieds tâtonnant
double spirale
descente époustouflante
échappée sortie lumineuse
Le saviez-vous ?
Les inventeurs de l’escalier dit « en colimaçon », messieurs Calier et Licoïdale étaient amoureux d’un escargot.
Dans un vertige de la spirale , la lumière au bout est-elle celle de l’absolu ?
En apesanteur
en montée comme en descente
ludion taquin
Escalier à vis
un tremplin vers le jardin
courbe conchoïde
ASSIETTE
Echelle en spirale ou colimaçon
Qui file l’haleine du temps
Et ses espaces mentholés
A fonds perdus
D’un bord à l’autre du spectre
Les frissons du voyage funambule
Assis sur un tapis de glace
Au parfum de framboise
Profondeurs des bouts de chandelle
De lumière en lumière
Vertige de l’absence de danger
Insouciance
Quand se jeter à l’eau
Dans la spirale du temps
Fait voir un trou de lumière
L’émotion est belle vive
Un ruban de miel
Des lumières en mouvement
Rayons de la vie
***
La fin de la vie
Une spirale se défait
Âme enluminée
***
Très belles photos Ossiane… belle journée et bise
___
Un piano amoureux
Toutes touches enroulées
Vers le coeur de sa belle.
En suspens
Sur les notes du temps :
La marche nuptiale.
___
Réveil à la pluie de troisième veille
Goutte après goutte elle tombe
Feuille sur feuille elle tombe
Rongeant le coeur de la délaissée
cruelle musique pour nulle oreille !
L’ âme comme un rayon de vie ,mais l’ âme enluminnée cela laisse rêveur ,sans doute en pensant a l’ apres moi -même.La vie apres moi je n’ y pense que tres rarement=
Si j’ ai la foi c’ est tout de suite réglé je rejoins l’ ensemble de bcp de mes sembable.
Si je n’ ai pas la foi c’ est tout aussi vite réglé.Ce qui est dure alors c’ est le fait de penser je suis libére mais je ne les verrais plus et eux pensent pareils?Alors chaque chose en son tempsNous sommes sur terre il faut en profiter un M A X comme on le fait pour les congés.Ensuite les disparus sont en nous ceux que nous avons aimés les autres s’ effacent avec le temps.Personnelement je crois a la vie Eternelle mais je sais que nous ne sommes comme les étoiles filantes un instant de clarté.
Une pensé pour Aspe,Ossiane ,Annick ,Corinne et Vero sans oublier Bourrache et une bise en particulier pour Maria ,sans oublier Thierry,Michelc etGerard.A tous je souhaite de profiter de ce beau soleil qui est le même pour nous tous.Noisette
La roue du destin
Spirale infernale
Tu perds ou tu gagnes
Escargot tout chaud
Tu sors de ta coquille
Qu’elle est belle la vie!
Belles tes photos..ton escalier en colimaçon me donne… le « torticolis »! Je plaisante, bien sûr!
Bises « tortueuses »!!!
La roue du destin
Spirale inferale
Tu perds ou tu gagnes
Escargot tout chaud
Tu sors de ta coquille
Qu’elle est belle la vie!
Je crois que mon 1er com n’est pas sorti!!
>Bourrache
Jolie ta marche nuptiale!
spirale infernale,
spirale interminable,
descente vers l’enfer?
ou bien
descente vers le paradis?
je descends, je descends,
je ne m’arrete plus de descendre
en à predre haleine,
je descends, je descends……
Abysses profonds
Tourbillons et vertige
Le vide m’étreint!
Aujourd’hui, ce n’est pas le grand optimisme!!!
La mort aux trousses
Echappées tortueuses
Eden retrouvé
Petite pensée pour mes enfants
Tourbillon de la mort
Escalier des sorts
Nous t’avons vaincu
Tel un château fort
Ennemis aux abords
Nous les avons eus
Et le soir venu
Quand les jeux dehors
Les ont bien rompus
On voit dans leurs yeux
Un monde merveilleux
Que nous n’voyons plus
On voit dans leurs yeux
Un monde merveilleux
A jamais perdu
ants
« je descends, je descends,
je ne m’arrête plus de descendre
en à perdre haleine,
je descends, je descends…… »
Sabine
…de marches en marches
vers la lumière du soleil
de ce février printanier
glissades
sur la rampe
dérapages des tourbillons
illusions à couper le souffle…
…paradis c’est certain…
POUR « NOISETTE »
…dans l’envol
vers l’escalier
j’ai oublié ma volonté
au dernière étage
…et dire qu’il me faut remonter pour la chercher…
petit colimaçon
escargot lentement
prend ton temps
le temps te prend bien le tien…
Un cliché d’escalier bloqué entre l’immensité de la spirale cosmique et le microcosme d’une mollusque à la carapace tourbillonante !
droits ou sinueux
les chemins de traverses
nous mènent vers nos rêves.
Ils nous attirent et nous inquiètent.
Guidée par une éternelle quête
indispensables comme la sève
pour que l’arbre s’élève.
Quand nous les empruntons
Nous ne savons jamais ou ils nous mènent
parfois ils sont lumineux
eden sous un ciel si bleu
ils peuvent être souvent dangereux
semés de passages scabreux.
pourtant ne pas s’y aventurer
est parfois se perdre sois même,
A l’intérieur de ses propres peurs.
immobile et frigide à la vie.
belle journée a vous
Pour ASPE ,ne t’ inquiete quand la vie est au plaisir faut pas s’ encombrer le proncipal est de ne pas perdre son temps .Maintenant doucement je m’ en vais faire une petite sieste en pensant aux amis ,la joyeuse bande des bons vivants d’ Ossiane.
Bises des Hautes Falaises .Noisette.
merci Noisette, je me sors dans le soleil, cet aprem,
c’est rigolo, avant de te lire, Claudie, je pensais écrire..
« cela me donne le tournicoti! »
bel aprem à chacun!
» l’ivresse d’un parfum, il spirale ses gouttes sur le poignet d’une main qui s’envole silence en ciel si haut de bleu, si douce mélancolie…. »
Savez-vous prendre l’escalier
A la mode, à la mode,
Savez vous prendre l’escalier
A la mode de chez nous ?
Mode traditionnelle,
Marche après marche
Délicatement,
Un pied en avant
Sûre descente
D’une lente efficacité !
Mode moins classique
Des jeunes d’antan
A cheval sur la rampe
Glissades haletantes
Et arrivées assurées
Pour les plus pressés !
Mode excentrique,
Pour D’jeunes skateurs
Casquette en arrière
Sur fond de hip hop, rap ou punck
En slide sur la rampe
Pour sensations délirantes !
De toutes ces « modes »
Ci-dessus énumérées,
Seule la première
Présente l’énorme avantage
De permettre une remontée assurée,
Les autres méthodes n’ayant rien donné
Pour atteindre efficacement
Le sommet de l’escalier !
Biseeeeeeees glissanteeeeeees
je m’enfuis en courant du tribunal
En cavale au coeur de l’oural
dans le froid hivernal
infernale Spirale
sous les rafales
Je dévale
je m’étale
m’affale
j’ai mal
je râle
final.
ha
…
Mais non,
Marc,
justement voilà
le bon St Bernard,
avec son petit tonneau
qui est là
justement pour secourir
les pauvres perdus
dans le froid hivernal !
Il était moins une !
Une bonne rasade
et hop, ça repart !
Après ce sauvetage
de justesse,
je te souhaite
un prompt rétablissement !
Christineeeee
on monte,
Ou on descend,
Peu importe.
On a aucun choix.
De toutes façons.
Ou l’on monte,
Ou l’on descend.
Mais,
Que l’on monte,
Que l’on descende,
C’est l’espoir,
Toujours l’espoir,
De trouver la lumière,
la notre,
Qui nous fait,
Ou monter,
Ou descendre,
Chercher,
Jusqu’au bout,
Du haut,
Du bas,
De ton : .. » ho..!!! »
Jusqu’a tes bas…..
Notre lumière
ReSpire
___
Descente :
… comme une invitation à aller nettoyer les caves.
Bonbonze, si le coeur t’en dit, je veux bien un coup de main.
Signé :
Bourrache-au-Plumeau.
___
Dans la spirale du temps
happé par la gravité
entraîné par l’hélicoïde
je crois descendre
envers et contre tout
enrouler les paliers
me saouler de vertige
me forger une conviction
à la grille d’éviction
et toujours cette attraction
dès que dans l’oeil
je cyclone impudique
pas gymnopédique
juste fantastique
efin fantassin qui astique
la rampe et la rambarde
gare à la poignée finale
le plongeon pas assuré
et la vision fugace
de l’issue révêlée
balustre illustre et pleine de lustre
à ton bras je me sens trop frustre
Entré aveugle on respire aussitôt l’ombre
et ce parfum de cierges er de fleurs
où brille suspendue la fameuse présence
sous la forme de lumignons
derrière et devant les grilles vert bronze
qui séparent le choeur pour rire
de la nef en réduction
>Bourache
Une parentèle avec des escaliers ?
S’ils se nettoient, c’est donc ton frère…
Un évènement lourd
Et puis la tête se vertige
Spirale dans le fond
Et puis remonte
Trouve la lumière
A n’importe quel étage
C’est si bon de respecter
Et se faire respecter
Mais le despotisme
Pour se faire valoir
Son droit d’Exister
En collectivité
Existe aussi
Et pourtant Aimer
C’est d’abord
Souhaiter le meilleur
Pour l’autre
L’ai-je ou non bien descendu l’escalier en colimaçon….qui mène aux tréfonds de mon inconscient? J’y ai vu des paliers, des palais, des balais (pour Bourrache)des pas laids, des pas perdus, des passereaux, des puceaux, des passants..sans souci, des souris, ….j’en passe et des meilleures…Et, après une course effrénée, l’escalier s’est dérobé sous mes pieds, mon esprit a culbuté et j’ai enfin atteint les entrailles de la terre, l’infini m’attendait, il caracolait dans un rayon de lumière !
La descente aux enfers vaut le déplacement. Lucifer est un homme charmant!
A recommander aux hésitants!!!
Petit escalier
en colimaçon
mènes tu au cellier
Ou bien au donjon
Que le temps est long
Tout seul dans le noir
Car le plus mignon
Comble de l’histoire
C’est que mes lorgnons
Divins accessoires
Sont tombés le long
De la rampe noir
Je me sens perdue
A moitié hagard
Pourvu qu’on m’ait vu
Bien avant ce soir
Si vous m’entendez
crier au secours
Venez me sauver
ne soyez pas sourds
je vous saurai gré
A jamais à vous
toujours à vos pieds
Vous offrirait tout
Tiens j’entends du bruit
on vient me chercher…
La fin se dénoue
___
Bonbonze :
et si ça marche, l’ascens(o)eur (parentèle oblige) offre le remontant.
_
Claudie a enfin trouvé une solution : « Comment se chauffer à peu de frais (!) » et je ne vous dis pas … « Le barbecue chez Lucifer, c’est pas cher » ou « Avec ma brochette à trois dents, tous les clients sont contents ».
_
Oui, heu …
___
c’est noir mais dit avec humour, rachel…
BISES Bourrache.
Bourrache et Bonbonze : vous faites fort aujourd’hui !
Je me demande si vous n’allez pas avoir un collègue en la personne de notre cher Thierry qui, semble-t-il s’est emparé d’un superbe chiffon pour astiquer « rampe,rambarde et poignée finale » !
L’équipe s’agrandit !
et comme l’a suggéré Ossiane,
je reste aux fourneaux pour vous confectionner de bons gâteaux
D’ailleurs, ne sentez vous pas la bonne odeur qui remonte le long du colimaçon ?
Suivez la piste au flair….
(du chocolat…. ça vous dit ?)
Biseeeeees chocolatéeeees
Arrêtez de passer
Je viens de nettoyer
Ça va m’énerver
Toutes ces traces de pieds
Si vous continuez
A pas me respecter
Je vais te le cirer
Pour vous faire glisser
Vous pourrez crier
Vous époumonner
Je viendrai vous chercher
Quand ça sera séché
Tiens bon Rachel !
Je t’envoie une corde
pour remonter le long du puits !
On ressortira par la cheminée principale,
ça sera plus prudent !
N’oublie pas tes lorgnons
pour en porter aussi je connais
ton malheur !
Bon
Y a-t-il quelqu’un d’autre à sauver ?
Remonter l’escalier ? Mais quelle idée saugrenue que de l’avoir démonté !!
Voilà que Rachel
a rejoint l’équipe de nettoyage,
et lavé les escaliers…
Je la croyais perdue tout en bas !
C’est qu’à force d’écrire des bêtises on arrive à s’emmêler les pinceaux. Merci quand même pour la corde Christineeeeeee
quelqu’un sait où est le plan de calepinage ? sans ça vaut mieux renoncer à le remonter, cet escalier
l’énigme :
» Dames et messieurs, j’en connais un « escalier » précieux où enfant et jeune adolescent, j’aimais aller escalader »…Quelqu’un sait-il où il se blottit? A l’ombre de ses voisines tours médiévales, il a caché et protégé en des temps obscures et barbares les trésors du musée du Louvres… »
« Inspiré par les réalisations des architectes italiens, l’escalier droit, rampe sur rampe, possède un mur d’échiffre largement ajouré par des arcs en anse de panier et un décor sculpté au revers des marches. L’ornementation suit la progression du visiteur vers l’étage noble: aux motifs géométriques et héraldiques, succède un répertoire »à l’antique » au milieu duquel Jeanne de Balsac, par la présence de son portrait sculpté, des armoiries familiales et de ses initiales, s’y affirme comme l’unique dame des lieux. «
vertiges des profondeurs
au fond tous les peurs
la lumière au bout
C’est l’espoir partout.
Ossiane,
demain c’est le Jour …
Le plan est caché sous la 18e marche
mais savoir si c’est en partant du haut
ou en partant du bas ???
A moins qu’il ne se dissimule
au plus profond
des circonvolutions
du colimaçon ?
Allez savoir ?
pour christine,
la bonne odeur,
je sens,
le long colimaçon j’affronte,
la piste au flalr,
me guide,
en haut, ou en bas du colimaçon,
peu importe,
j »arrive,
car un reconfort,
tout chocolat,
je trouve……
bises, et bonne nuit…
>Brigetoun :
Tu es terriblement hésitante 😉 L’effet du vertige ou la peur de l’inconnu 😉 Merci à toi.
Moi pas connaître le plan de calepinage ???
>aspe :
Tu passes comme une lettre à la poste 😉 Quelle descente ! Tu es dans ton élément 😉 Reste à savoir ce qu’il y a à l’autre bout 😉 Merci beaucoup.
Je cherche pour l’escalier…
>bonbonze :
;-)) Tu es déchaîné aujourd’hui 😉 Tu as affaire à forte partie avec Bourrache 😉
>bruno :
Oui, je l’affirme ;-))
>pierre :
Une belle aire de jeu pour toi, Pierre 😉
>gmc :
Beau poème plein de légèreté ! Merci.
>annick :
C’est bien Annick, tu l’as vue la lumière avec ta générosité;-) Bises.
>maria :
La vie aussi chez toi-même tout au bout avec la lumière. Merci pour la beauté de tes haïkus.
>bourrache :
Super joyeux tes poèmes et tes réparties;-) Merci pour ton approche originale.
>MioModus :
Une belle rêverie unique à la MioModus ;-))
>Noisette :
Pensées profondes, Noisette. Profite un MAX. Vivre le temps présent avec intensité si possible et aller au bout le mieux possible et après… une belle étoile filante et pourquoi pas. Pensées chaleureuses vers toi.
>Claudie :
Si si, optimisme à tout crin 😉 La vie aussi pour toi 😉 Quelle est joyeuse cette spirale dans tes mots ! L’espoir au bout du tunnel. Merci pour ces belles approches !
>sabine :
C’est parti, ça descend, jusqu’où t’arrêteras-tu 😉
>rachel :
Jolie approche du monde de l’enfance ! Ton deuxième poème est adorable. Merci pour ta belle inspiration féconde.
>Seb :
Bonsoir Seb, merci pour la dualité bouillonnante de ta vision. C’est vrai, c’est un peu cela. Bonne soirée à toi et merci.
>marc :
J’aime ces chemins de traverse qui peuvent se présenter à nous et qu’il faut savoir prendre au bon moment. Une belle déambulation poétique en aventure lumineuse.
Quelle spirale infernale et pourquoi pas à cheval 😉 Merci pour ton humour.
Trois poèmes dans la journée 😉 Quelle inspiration dévorante !
Bonne fin de soirée.
>Christineeeeee :
Et le voilà le cheval 😉 Ca ne m’étonne pas que tu sois partie en poésie en mode sport dangereux ;-)) C’est terriblement branché ces sprirales d’escalier 😉 Je te vois bien donner le la du slide 😉 Quelle forme tu tiens ! Bises amuséeeeeeeeeees
>fauki :
Questionnements sur fond de vérité 😉 L’essentiel est de ne pas rester statique à attendre que ça vienne tout seul. C’est une belle quête de trouver sa lumière. Ca suffit à remplir une vie. Je te suis dans ton raisonnement, fauki. Bises vers toi.
>Salade :
Sans doute, Salade 😉
>Thierry :
Bel exercice de style spiralé 😉 Merci à toi.
>Haddon :
Impressionnée à te lire et à découvrir ta vision fort originale. Belle plume, Haddon !
>rachel :
Ton poème me fait rire 😉 C’est Bourrache qui va être contente 😉
>Neyde :
Bonsoir Neyde, je suis très émue de te voir sur le blog en ce soir si particulier. Ton poème me parle beaucoup comme à toi. Je ne peux rien dire sans ton accord. Mais si tu as envie de dire des choses aux Amis du blog, tu peux le faire. Je sais qu’ils seront à tes côtés tous ces jours à venir. En tout cas, sache que je serai en pensée profonde avec toi dès demain. Je suis sûre que tout va bien se passer. Garde confiance en l’avenir et en la vie. Donne-moi de tes nouvelles au plus vite. Je t’embrasse très très fort ma douce amie.
>sabine :
On ne résiste pas au chocolat 😉 Bonne nuit sabine. Si tu peux répondre à ma question en privé, j’attends de tes nouvelles.
pour aspe,
glisser sur la rampe,
comme des enfants,
intrépides, et insouciants,
crier, rire, tomber, chuter,
sans fin,
remonter,
et redescendre,
simplement,
simplement pour le plaisir…..
merveilleuse spirale
descendre ou remonter le temps
sur un air de guimbarde
souffle de vie transporte
au cœur de la création
vertigineux voyage
l’équilibre prend corps
dans la beauté des formes
éclat de lumière en mouvement
rachel,
cirer l’escalier,
bonne idée,
ont n’arriveras que plus vite en bas…..
mais dans quel état?
la spirale n’efface pas
l’au-delà des fenêtres
et la lumière du jour
la spirale est le mouvement
qui en sa dimension verticale
convoque le nagual
à provoquer l’indéfinissable
la spirale
en la recherche de l’émotion humaine
est fuite éperdue
de désirs en plaisirs
où le tourniquet désopilant
des meurtrissures de l’âme
promeut et cingle
les chercheurs de vérité
la spirale n’efface pas
la lumière du jour
et l’au-delà des fenêtres
elle est l’hélice
de Sisyphe
plan de calpinage :demander à un maçon ou un tailleur de pierre. J’étais nulle
ossiane,
pas besoin dêtre en privé, je peut repondre à ta question,
il est trés dur de resister au chocolat, le tout pour moi et de ne pas commencer à y mettre le nez dedans, sinon c’est la cata…. pt fille déja les caprices alimentaire sont vite arrivé, alors aujourd’hui le nutrionniste surveille,veille aux écarts, limite les pulsions sucrés…..tant bien que mal….. mais avec la volonté on peut. et puis le soleil , le sud, les plages aident, ont veut jouer encore les pin-up même si on à plus 20 ans…..
bises.
Lenine au sujet de Marx (article d’encyclopédie):
« A notre époque, l’idée du développement, de l’évolution, a pénétré presque entièrement la conscience sociale, mais par d’autres voies que la philosophie de Hegel. Cependant, cette idée, telle que l’ont formulée Marx et Engels en s’appuyant sur Hegel, est beaucoup plus vaste et plus riche de contenu que l’idée courante de l’évolution. Un développement qui semble reproduire des stades déjà connus, mais sous une autre forme, à un degré plus élevé (« négation de la négations »); un développement pour ainsi dire en SPIRALE et non en ligne droite; un développement par bonds, par catastrophes, par révolutions, « par solutions de continuités »; la transformation de la quantité en qualité; les impulsions internes du développement, provoquées par la contradiction, le choc des forces et tendances diverses agissant sur un corps donné, dans le cadre d’un phénomène donné ou au sein d’une société donnée; l’interdépendance et la liaison étroite, indissoluble, de tous les aspects de chaque phénomène (et ces aspects, l’histoire en fait apparaître sans cesse de nouveaux), liaison qui détermine le processus universel du mouvement, processus unique, régi par des lois, tels sont certains des traits de la dialectique, en tarit que doctrine de l’évolution plus riche de contenu (que la doctrine usuelle »
spirale
tourbillon
oeil du cyclone
tempêtes
nous y sommes
avoir la crampe de l’escalier
descendre c’est mourir
tenir la rampe
monter c’est être libre
du big bang
aux étoiles
et pour rêver
l’échelle de jacob
.
Bonjour à tous,
Neyde m’a envoyé un petit mot cette nuit en me donnant son accord pour que je vous explique pourquoi dans un de ses commentaires précédents, elle évoquait « Demain » de façon si particulière.
Aujourd’hui sera important. Neyde rentre à l’hôpital pour se faire enlever un rein qui a une tumeur. Elle connait cette nouvelle depuis plus d’un mois. Voilà pourquoi elle se fait si rare. Elle est bouleversée d’inquiétude. Je pense qu’elle sera touchée de savoir que tous les Amis du blogs ont une pensée chaleureuse et quelques mots d’amitié pour elle aujourd’hui et les jours à venir.
Neyde aime et croit en la vie; elle va surmonter cette épreuve entourée de ses proches, de nous et des médecins compétents qui l’accompagent.
Voilà, Neyde, ton message est transmis. C’est une bonne chose d’en avoir parlé puisque tout le monde te connait et t’aime. Tu peux partir en confiance. Je t’envoie mes meilleures pensées. Tous mes meilleurs voeux de rétablissement à la petite hirondelle du Brésil qui s’envolera de nouveau bientôt. Je t’embrasse très très fort.
Ossiane
.
Tout mon soutien, Neyde, et maintenant que je sais, donne des nouvelles dès que tu peux, je t’embrasse. A fort bientôt. Tendresse.
Pensées les plus chaleureuses vers Neyde…
Pour Neyde,
…, miracles blonds des instants,
parcourir le jardin
la ville
et ses ruelles
dans la moiteur du soir
quand l’ombre joue avec l’espoir
l’espoir si doux
qui caresse ta poitrine
et ta joue
danser
boire à la terrasse des cafés cette liqueur citronnée
j’attends demain
comme un soleil de bonheur
garde dans ton coeur
l’idée de cet espoir…
A Neyde
La vie est un bateau qui tangue
Ses remous nous livrent son sel
Et son écume qui balance
Aujourd’hui, tu prendras l’océan
Un frêle esquif pour livrer une bataille
Sois assurée de notre soutien
Tu ne rameras pas toute seule
Tes amis(e), douce hirondelle
Seront à tes côtés,
Mille pensées pour toi
Souveraines…
Et tu voleras à nouveau
A tire-d’ailes…
Avec ma plus vive affection, Neyde, je me joins à tous tes amis(e) de l’Oeil Ouvert…et, ils sont nombreux… mes pensées te suivront vers la lumière!
–
Amicales pensées vers vous Neyde.. A bientôt 🙂
–
Bonne journée à tous.
Tous mes voeux, Chère Neyde.
Courage et à bientôt.
Bises.
Le temps coure après nous
en spirale
et nous emprisonne.
Biseeeeeeeees
Encourageanteeeeeees
Pour toi Neydeeeeeeeeeeeeeee
Qui je suis sûreeeeeeeeeeeeeee
Trouvera le courageeeeeeeeeeeeeeeee
De surmonteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeer
Cette épreuveeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
En touteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
Sérénitéééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééé
Christineeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
___
Neyde :
Lorsqu’un des êtres qu’elle chérissait devait affronter une épreuve, ma Maman allumait une bougie.
Voilà, c’est fait. Ma bougie pour toi est allumée et le restera toute la journée, là, au centre de ma table, de mon coeur, de mes pensées.
Moi, je suis pleine d’espoir. Toute l’amitié qui s’envole de l’Oeil Ouvert va t’aider à étouffer ta « mauvaise bête » et à la réduire au néant.
Biz, bon courage et n’oublie pas : tu peux compter sur nous durant ta convalescence.
___
Neyde pensées vers toi dans ces moments difficiles
bises
___
Bonbonze : il y a plagiat avec Raymond qui montait et démontait … la mer. En manque d’inspiration ( ^_^ ) ?
___
Claire,ma fille,est arrivée hier à Porto Alegre ,ou elle va s’occuper pendant quelques mois à un projet de soutien « aux enfants des rues »
une petite goutte d’eau assurément
je suis de tout coeur au Brésil
Des spirales du temps
S’accrochent en passant
des bribes de lumière.
L’ombre s’esquive,
glisse
s’échappe
des couloirs du temps
et se faufile
par la porte sont
de l’instant.
Le temps glisse bien vite. Sans doute ai-je glissé avec délice par une de ces spirales portée par la douceur du soleil…
Je me retrouve étonnée de voir combien des touches de présent sont venus se poser pendant ce temps.
Le temps du dedans a filé pendant que j’habitais celui du dehors!
Merci Noisette de ces pensées vers moi!
Les pensés qui viennent jusqu’à nous ensoleillent la vie encore bien plus
que les rayons du soleil !!
…L’âme comme un rayon de vie…
C’est vraiment très beau tout ce que tu dis.
Je t’envoie également pleins de pensées lumineuse et je te fais confiance pour savoir profiter de ce beau soleil qui nous est donné!
A tous, j’ai grand plaisir à lire toute ces parcelles de beauté que vous déposez ici…
A Regard, un clin d’oeil en passant, je n’ai pas pris le temps de répondre.
Les mots ne me viennent pas toujours.
Merci pour les tiens.
Et puis aussi merci à toi Ossiane pour toute cette beauté et cet espace d’échange que nous offre.
Merci pour ta générosité hors du commun.
Cette chance de pouvoir encourager l’ amie avec cette facilitée.Je ne connais Neyde que par l’ intermédiaire des amis de L’ Oeil et me joins a eux pour luidire combien je vais penser a elle.Et quand elle revient sûre nous ferons connaissance.
Voila pourquoi je désire si cela est possible ,de vivre et aller jusqu’ a CENTANS que de choses il y a et aura a voir d’ ici la………………;et boire une petite biére avec Aspe et les autres au soleilIl y aura du café et puis du thé et ce petit vin si doux ce sera la Fete avec Annick ,Bourrache ,Neyde ,Michel ,Ossiane ,Corinne ,Thierry,et pour nous faire danser Maria sera responsable de la musique ,sans aucun doute Brigetoun nous guidera pour changer de pas et tous ceux que je n’ ai plus le prenom en tête seront d’ eux même venus .Bonne journé a tous et vive le partage .Noisette.
JE PARTAGE avec toi et chacun Noisette, devant un verre de bière et des bonnes frites, ou un bon vin et du fromage mmmmhhh, et puis un petit thé ou un café avec une praline, et les rires de chacun, le silence plein de l un comme jolies sucreries qui gâtent une petite vie, sans aucune carrie. Bises.
je vous aime, chacun! bises!
___
Hasard ??? Je viens de recevoir un mail. Je ne peux pas vous en faire partager les alléchantes photos … mais bien le texte.
_
C’est bon pour le moral.
Le chocolat est extrait de la fève de cacao qui vient d’une plante.
– Les fèves sont des légumes –
Le sucre est tiré de la betterave à sucre.
– La betterave à sucre est un légume –
Par conséquent, le chocolat est un légume.
Et les légumes sont bons pour la santé.
Poussons la théorie un peu plus loin.
Les barres de chocolat contiennent du lait.
Or, le lait est bon pour la santé.
Donc, les barres de chocolat sont bonnes pour la santé.
On peut trouver dans le chocolat : des raisins, des cerises, des zestes d’orange ou de citron, des fraises…
Or, les fruits sont bons pour la santé.
Donc, le chocolat est bon pour la santé.
Le chocolat est bon contre le stress.
« STRESSED », lu à l’envers, donne « DESSERTS » …
_
Bon, je me sens un peu coupable vis-à-vis de Sabine qui cherche à s’en détacher …
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Si je vous disais que mes pensées ont été très souvent vers le Brésil ce matin vous me diriez sans doute qu’il en a été de même pour beaucoup d’entre vous.
Car même si l’on ne se connait pas physiquement j’ai la sensation d’un fil qui nous relie les uns aux autres. Beaucoup de courage Neyde et de tout coeur avec toi. Ce ne sont pas que des mots, ce sont de véritables pensées qui viennent du fond du coeur. Et pour tous les autres et bien…..une très bonne journée.
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Tant que j’y suis : la citation du jour d’Evene.fr
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Les mots sont comme les glands… Chacun d’eux ne donne pas un chêne, mais si vous en plantez un nombre suffisant, vous obtiendrez sûrement un chêne tôt ou tard.
[ William Faulkner ]
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J’arrête, là …
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tu me fais sourire, Bourrache,
cela me fait penser que je n’ ai pas mangé de chocolat depuis un moment, déjà plusieurs jours, mon défi est, non pas de ne plus jamais en manger, sourire, mais de moins en manger, mon little foie supporte plus mal cette ‘graisse de légume fruité’, car j’en mange depuis un demi siècle avec tant de plaisir…et trop de trop en excès gourmandise..miammmmmmmmmm!
Et cette citation a du vrai….
» on ne sait jamais l’effet magique d’un mot avant de le sortir de dedans son petit ventre soufflé expiré en air de sons vers dehors…. « …bises!
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Ma bougie pour Neyde scintille, là, sur la table, carressée par un brin de soleil. Juste à côté du bouquet de fleurs qui s’épanouit en toute beauté depuis que je l’ai reçu, le jour de mon anniversaire …
Neyde, puissent toutes nos pensées t’être bénéfiques, là-bas, en ton Brésil lointain.
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courage Neyde
nous pensons à toi
Pour Neyde
Il était une fois
Une très jolie marche
Au beau milieu d’un escalier
Mais elle avait un très petit défaut
Chaque fois que quelqu’un y mettait le pied
Elle grinçait un petit peu, se courbant, se creusant
Sous le poids des personnages, priant de résister au mieux
Aux assauts répétés de ces souliers, de ces talons, de ces semelles
Le maître de Maison eut pitié d’elle, fit venir le spécialiste qui s’attela illico
A soulager la pauvrette et corriger d’un geste très professionnel la latte détériorée
Il en est des marches d’escalier comme des hommes ou des femmes : un bon réparateur redonne le
bonheur
Grosseeees biseeeees
Escalier du temps
Tu parais bien grand
Quand on est enfant
Escalier tournant
Aux contours glissants
Me cogne dedans
Escalier des jours
Ou le monde autour
Vous remplit d’amour
Escalier de vie
Qui paraît petit
Dès que l’on vieillit
Pensées tendres pour Neyde qui entre à cette heure au blog opératoire ; 15h heure brésilienne…
En écho à Maria, je croise les doigts pour les heures à venir.
Sabine
Quand on tombera, on criera aïe, ouille
Arrivées en bas on s’ra pas fraichouille
Voilà c’qui arrive quand on fait l’andouille
On s’ra l’une et l’autre comme un plat de nouilles
FIN
après on remonte avec la corde de Christine et on va se coucher
Des sentes qui embaument,
pas uniquement l’encaustique
combien j’en ai suivi,
qui résonnent en écho
comme un mur acoustique
Des sentes qui inspirent et aspirent
fleurent bon la spirée / filipendule
ce n’est pas la course à la montre
mais pourtant s’active la pendule
démarche naturelle pour plus
de trente neuf marches
je courre à perdre haleine
entraîné par la perspective fuyante
je crois me rapprocher
et sans me reprocher
aucune hâte je me tate
Je vire, je vole, je virevolte
joyeux et inquiet
nerveux et peureux
où donc m’attire ainsi
dans l’aire du tant
ce temps qui passe
et toujours ressasse
>Pour neyde mille baisers de tendresse comme autant de papillons
et mille pensées comme des gouttes de rosée
texte inspiré par celui de Rachel
La vie, ce grand escalier
Enfant, impossible de l’escalader
Puis, une à une, à la force du poignet
On arrive difficilement se hisser
Les années passent, tout étonné !
On montre quatre à quatre sans s’essouffler
On regarde vers le sommet
On voudrait déjà s’y installer
Puis viens les jours enamourés
On voudrait sur la marche rester
Et s’y installer pour l’éternité
Mais il faut reprendre et marcher.
Marcher jusqu’à être épuisé,
Par moment même désespéré.
On voudrait maintenant reculer
Le vertige se met à nous ébranler.
Pas de choix, il faut continuer
Aller de l’avant et monter
Les marches paraissent élevées
Mais derrière on est épaulé.
On arrive bientôt au sommet
Et on contemple étonné les années
sourire et tristesse mélangés
la vie ce grand escalier
vient à peine de commencer.
___
Est-ce qu’à lier
Fous
Nous rendra
Ce temps
En marche ?
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–
Sous le ciel bleu de Méthylène
si grave était le chant des grives
Et quand tous deux nous gravissions
de l’escalier de la maison
tous les degrés
sur les murs avec ton gravoir
tu gravais ma gravelure
mais qu’importe!
Sur le carré de la distance
de ta porte à ma porte
ton corps et mon corps s’attiraient
Mais aujourd’hui
tout est gravelle gravats gravois
Tu étais mon gravitateur
et j’étais ta gravitative
Hélas! gravats gravelle graviers
ma gravidité t’inquiétait
je me jetterai de la gravière
j’en gravirai tous les degrés
comme autrefois notre escalier.
–
Jacques Prévert/ Histoires..
–
Douces pensées vers toi Ossiane ( et Neyde….)
Est-ce qu’alliés
Nous étions tous en marches
Escale liée
Faites attention aux marches
Désolé Bourrache
Mais je ne peux faire mieux
Monter un escalier
Est un ART
Descendre un escalier
Est un ART
Même sans escalier
Sous les pieds !
Et
Il monte,
Il descend,
Lentement,
Sûrement,
Sans jamais s’élever
Ni jamais retomber
Jouer avec l’apesanteur
Pour nous faire rêver
Qu’on peut vraiment tout faire
Même sans escalier !
http://video.google.fr/videoplay?docid=-6234777072126724450&q=escalier&total=4166&start=30&num=10&so=0&type=search&plindex=5
Il était le meilleur !
Christineeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
Mon coeur s’emballe
dans l’tourbillon
Il me dit
n’est pas peur
nous montons
Ici ailleurs
peu importe
Le bonheur
est là
derrière la porte
En attendant qu’Ossiane sorte mon lien de prison….
(et oui, même en faisant par envoi interposé, ça
MARCHE PAS !)
Monter un escalier
Est un ART
Descendre un escalier
Est un ART
Même sans escalier
Sous les pieds !
Et
Il monte,
Il descend,
Lentement,
Sûrement,
Sans jamais s’élever
Ni jamais retomber
Jouer avec l’apesanteur
Pour nous faire rêver
Qu’on peut vraiment tout faire
Même sans escalier !
Il était le meilleur !
Marcel MARCEAU
Christineeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
Absente depuis deux jours, j’arrive tout juste sur le blog et apprends que Neyde vient de subir l’opération d’un rein, merci Ossiane de nous en avertir. Neyde fait corps avec nous tous et je suis aujourd’hui de tout coeur en pensée avec elle. Ce qu’elle écrit est si beau, qu’il me semble un peu la connaître. Je l’embrasse très fort dès son réveil et lui souhaite de passer cette épreuve le mieux possible, qu’elle se remette au plus vite pour revenir parmi nous et trouver à travers nos échanges poétiques ou non, le soutien dont elle aura besoin.
dévisser,
ça doit être ça
j’ai dévissé
tête en l’air
pattes de travers
ouragans de la dégringolade
vertiges
infinis
tourbillons
vers les nuages…
et les étoiles…
c’est peut-être l’âge
… ou bien pas sage
l’abus de chocolat
jamais je n’aurais dû déplier ma tablette
gourmand
dans ces escaliers trop cirés
je me suis ramassé,… distrait,…
Pour emprunter avec vous tous ce splendide escalier descendre du pigeonnier vers cette nature en éveil
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La spirale d’or
Recherche de la beauté
Descente aux jardins
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Bonne fin de soirée à tous.
Je ne suis pas très présente sur les blogs en ce moment, mais je tiens à témoigner toute ma sympathie à Neyde.
Courage Neyde !
dans le vertige, les nuages, les etoiles, dans l’infini rêve, gourmandise tout chocolat, , dans le tourbillon, je me laisse entrainer, peut importe si je dévisse, si je dégringole, une main se tends, m’attrape, me reléve, et me conduis sur le chemin des rêves, là ou le rêve, à l’infini et permis….. pour aspe.
bises à amichel, bourrache, pour vos jolis mots chocolatés….
et une bise à neyde.
Aspe, Sabine : z’avez pas pensé à la location d’un parachute ???
Pas très présente et disponible, je me tiens loin de mon ordinateur en ce moment. Travail oblige plus un mauvais coup de froid qui me met sur les genoux 😉
Un grand merci à vous pour tous les mots de réconfort que vous avez adressé à Neyde. Je pense qu’elle a eu le temps de les lire pour la plupart avant d’aller se faire opérer. Elle avait besoin de se sentir portée par la chaleur de vos pensées même à 6000 kilomètres de distance. Cet espace de partage lui est très cher. Ne reste plus qu’à attendre des nouvelles maintenant…
>Véronique :
C’est Véronique, comme ta plume est précise, fluide et légère !
>regard :
Tu aimes les symboles et tu sais bien les décrypter 😉 Une belle évocation de la spirale. J’aime tout particulièrement la troisième strophe.
>brigetoun :
OK mais je ne connais ni de maçon ni de tailleur de pierre 😉
>sabine :
Je parlais d’autre chose mais ce n’est pas grave 😉 Ca m’aura permis de découvrir ton amour intense pour le chocolat 😉
>amichel :
Merci pour ce texte de Lénine. Ton poème résume tout ! Merci beaucoup.
>Corinne :
Merci Corinne pour ta poésie légère qui coule en douceur. Je suis contente que tu te sentes bien parmi nous. Tu as su trouver ta place avec ta voix très personnelle;-)
>rachel :
Même chose pour toi rachel, ta belle voix compte 😉 Il y a effectivement des liens très forts tissés entre nous au bout de presque trois d’existence. Merci pour ton beau poème en escalier.
>Thierry :
Merci pour ton beau poème odorant, j’aime bien les deux dernières strophes.
>marc :
Joli rebond poétique sur Rache, marc ! Belle inspiration.
>Bourrache :
😉 je ne peux pas faire plus non plus 😉
>Maria :
Merci pour tes jolis mots tourbillonnés. Bises d’en haut 😉
>Christineeeee :
Merci pour ce poème à marches 😉 Je suis tout en bas, il va falloir venir me chercher 😉
Pour la prison, je ne sais plus quoi faire pour t’aider. J’ai écrit au Monde mais tu n’es pas blacklistée.
>Monique :
Oui, je trouve bien que Neyde ait voulu vous tenir au courant. Je pense que ça va l’aider. Je le savais depuis une dizaine de jours. Merci pour ton bel haïku doré
>aspe :
Tu t’es mis au chocolat toi aussi 😉 Sacrée sabine 😉 En attendant ton poème est très réussi.
>Alix:
Dans la foulée, j’avais oublié ton message;-) Belle découverte ce poème de Prévert!Je ne savais pas qu’il jouait autant avec les sonorités et images de mots. Pensées douces vers toi aussi.
>Chère Neyde
Le soleil couchant embrase le ciel telle une orange sanguine, dans le midi et je t’envoie, pour te remettre, mille caresses de sa chaleur, elles sauront adoucir ta douleur car elles sont portées par mon coeur.
Bises et courage…tendresse..
Velours…les marches..le temps…tes lèvres..nos rêves…l’amour…Mouvement…tu montes..j’attends..étreinte…tes rêves…intensément…Rencontre….ensemble…toujours..en toi….la vie….je t’aime………..
>Pierre b:
Merci pour ta belle rêverie amoureuse spiralée;-) La vie est belle;-) Bonne soirée à toi.
C’est très très beau Pierre b,
prends bien soin de toi, Ossiane, repose toi dès que tu peux.BISES.
Je n’ai plus de temps pour me laisser couler (vers lui) mais je sais que de loin en loin il me parle. Comme pour me dire un conte, un vieux conte, c’est lui, le temps, sans sablier. C’est vrai que tout ça pour lui, cette histoire mondaine de politique, d’argent, de science fiction, ça lui est bien égal. Il attend Clémentine à São Paulo. Il sait qu’elle sera là bientôt. Il s’appellera Chen. Oui, c’est bien, ça lui rappellera une blague de quand elle était à l’école primaire cet instituteur qui prétendait connaître un maître de ce nom. L’œil est au bout de la spirale de l’esprit. Et ce que lui dira Chen peut-être rien mais il dira quelque chose à Jack, ça c’est sûr. Pourquoi ne pas se contenter de la terre, ça c’est sûr, ou pourquoi s’en contenter?
L’amour donne le vertige, mais son vertige, si intolérable qu’il soit, est un délice infini.
>Val Peintre:
Bonsoir et bienvenue sur le blog à l’artiste que vous êtes 😉 Vous avez de belles créations dans votre galerie. Très juste remarque sur l’amour; cette spirale en est un beau symbole qui embrase tout être humain. Au plaisir de vous lire à nouveau.
Osiane et ses emails, ses voeux, ses mots d’encouragement.
La tendresse, le soutien d’Annick;
Les pensées chaleureux de Johal
L’idée d’espoir d’Aspe;
Le bateau de Claudie, les mille caresses du chaleur de son midi:
Les pensées amicales de Alix;
Les voeux precieux de Jeandler;
Le bon réparateur de la marche au milieu de l’escalier et
L’encouragement de Christineeeeeee;
La bougie au centre de la table avec les fleurs de son anniversaire, sous un Brin de soleil,
de Bourrache;
Les pensées vers moi de Marc;
La fète à laquelle Noisette m’a invité;
Le fil que nous relie, de Rachel;
Amichel qui pense à moi;
Les pensées tendres pour moi, venues de Maria-D, avec l’écho de Bourrache, à l’heure de la chyrurgie au blog opératoire;
Les Mille baiseurs de tendresse et mille goutes de rosée de Thierry;
Les mots de Monique, elle m’embrasse fort et reste en pensées avec moi;
La sympathie de Catherine;
Les bises de Sabine;
Les emails d’Ossiane,
Les emails de Maria-D,
Les emails de Claudie
L’émail de AndréeWizen
Et tous les autres amis et amies du Blog
J’ai reçu et senti vos pensées en mon Brésil lontain…
Dans le vertige de la spirale, je n’ai rien vu : ni la lumière au bout, ni le trou de lumière, ni la lumière en mouvements , ni la fin de la vie.
Je n’ai vu si la spirale était descent vers l’enfers,, ou vers le paradis.
Je descends, je descends aux abysses profoinds de mon âme.
Mais, grâce à mes amies et amis du Blog, de leurs pensées chaleureuses, ses énergies positives, ses prières, ses bougies, j’ai, ou meilleur, nous avons vaincu le tourbillon de la Mort, L’escalier des sorts, tel un chateau fort.
Et j’ai vu dans les yeux, dans les mots si doux, un monde merveilleux à mon atteinte, le paradis c’est certain.
Que l’on monte, que l’on descende, c’est l’espoir, toujours l’espoir, l’espoir partout.
Un évenement lourd, la tetê se vertige, spirale dans le fond.
Le bon St.Bernard, avec son petit tonneau, a donné à boire à mon âme et … un prompt rétablissement.
Aimer c’est d’abord souhaiter le meilleur pour l’autre,n’est ce pas Annick?
Vous m’avez entendu de crier au sécours et vous m’avez sauvé!
oui, Neyde,
je te souhaite le meilleur, c’est si bon d’aimer en voyant l autre dans son si bon…je t embrasse fort, heureuse de te revoir.
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Hé … ho … faut faire la fête aujourd’hui !
Annick nous est revenue
Et bientôt la chaleur de ses bougies.
Neyde, aussi.
(Neyde, notre petite hirondelle, faut que je te dise …
je savoure et sirote ton français,
tes « tournures » – dis, tu m’en enverras quelques graines ?
j’ai préparé un coin dans mon jardin secret …
Et là, je vais signer au nom de tous :
« Les Mille baiseurs de tendresse … de l’Oeil Ouvert »
Je crois que personne ne m’en voudra…).
A vous deux, bon retour parmi nous.
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Bourrache, je m’éclate de rires à te lire…
Je t’envoie mes miles feux de tite lumière..
signé: une baiseuse de l oeil ouvert, et je ris de plus belle. Bises très chères Bourrache.
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Hé, psssssttt !
La fête sera totale ce soir.
R.V. au bistro.
On laisse tomber le p’tit noir et on fait péter les bouchons de champagne.
L’Oeil Ouvert a trois ans !!!
Mille bisous, Ossiane, et merci à toi (tu peux pas savoir à quel point !) d’être là.
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>Bourrache:
Désolée, j’ai loupé le rendez-vous du café noir et j’ai failli oublier, my god;-( Emue de vous sentir si contents de fêter ces trois ans à mes côtés. Mille bisous vers toi aussi. A demain.
>Neyde:
Quel long texte ému et enflammé, quel retour en fanfare, quelle énergie dévorante!!! J’en suis baba, tu n’oublies personne;-))
Un lien en lien …
http://richardg.blogs.com/.a/6a00d8341bfd4853ef0115708a96cd970b-pi
Tourbillon de vertige
Quand tu me prends
Quand tu me figes
A toi, je me rend
La descente
Sitôt franchit le col commence la descente
La vie débute ainsi sans qu’on en voit la fin
En quelques tours de roue on dévale une pente
Sur des routes tortueuses entourées de ravins
la vie vite défile et à chacun son style
on descend en roue libre mais les mains sur les freins
un peu comme un danseur qui marche sur un fil
pour tenir l’équilibre marche d’un pied marin
quand on est en descente à faire l’acrobate
la vitesse nous grise on devient vite ivre
Si l’on veut du plaisir et continuer de vivre
il est bon d’avoir peur de sentir son cœur battre
En bas de la descente quand la course s’achève
On est abasourdi et tout émerveillé
De même que certains jours comme sortant d’un rêve
On demeure étourdi la tête sur l’oreiller
Alain
J’ai relu cet escalier, avec plaisir!
La vie
Ses descentes
Ses grimpettes
Etages de labeurs
Paliers de plaisirs d’être
Tout y est
A se vivre
Dans mille sens
Quand on aime
AIMER
Par dessus tout
Au delà de soi
Dans ses extrémités
A bout de force parfois
Mais tant heureux encore
D’aimer d’aimer sans fin
Eternel instant
Que l’amour bel
Qui reste Là à vie
lien vers du alnd art : http://www.micheldavo.com/land-art-04/land-art-04.html