Réflexion

Flaque d'eau

Flaque d'eau

Ondée de pensées, les reflets de mon âme, la flaque irisée

Lecture du Haïku Calligramme: bleu, vert.

Ondée de pensées
Les reflets de mon âme
La flaque irisée

Et pour ce week-end, une belle brochette de haïkus et poèmes féériques écrits par quatre femmes; ceux de Fugitive, Cristina-M, Catherine et Maria-D.

Au puits enchanté
D’un arbre les racines au ciel
M’ont serré le coeur

Fugitive (son blog)

Curieux mouvements
Mais la lumiére y pénétre
On y voit plus clair
Les pensées de l’amour.

Cristina M

Forêt secrète
Au creux d’une flaque.
Perception de l’illusoire
Dans le reflet du réel.

Catherine

Un trou dans l’herbe
Mon regard le traverse
Les arbres rêvent

Maria-D

55 réflexions sur « Réflexion »

  1. Dans la matrice de l’ onde, en aspir de devenir dort l’ avenir promis …
    La matrice du monde se contente d’ une flaque improvisée pour se dévoiler à nos yeux ébahis…
    J’ y plonge et me réconcilie avec le genèse …
    Il est de ces photos qu’ on aimerait avoir prises, de ces instants magiques qu’ on aimerait rencontrer … Celles-là en font partie … Merci pour le partage, dévoileuse d’ émeraudes liquides …

  2. Refuge doré
    Chapelle de verdure
    Nuit de réflexion

    La lune approche
    La forêt nous protège
    Nuit de communion.

    Bon courage pour tes travaux, Ossiane. Amitiés.

  3. suffit parfois de quelque rien
    d’un pauvre là sur le chemin
    pour que soudain tout s’illumine
    ta vie qui te semblait banale
    prends des allures de grand bal
    et voilà que tu chavires

  4. Petite pépite d’or

    Dans le creux de main
    Dans le monde destin
    Tu suis ton chemin
    Tu brilles de ta vie

    Petite vie d’humain

  5. Vert de l’érable
    Vers où plonge mon regard
    Surface miroir

    —-

    Mon tout premier essai dans ce style, spécialement pour te remercier « d’exister » et de nous offrir ce site.
    Etant en pleine recherche sur la calligraphie (ma nouvelle frontière), j’ai eu l’incroyable surprise de tomber ici et de découvrir, à travers toi, que bien d’autres que moi tentaient d’associer leurs mots avec leurs images… et que certains, dont toi, le faisaient avec tellement plus de talents.

    Serge

  6. j ‘ouvre un oeil , je ne t ‘oublie pas mais la vie est trop belle pour tout assumer parfois àlors je lui confie mon attenetion à toi Alain

  7. Bonjour Ossiane
    Journée très chargée aujourd’hui, mais je ne résiste pas à une petite escapade pour te faire une petite visite avant la nuit.
    Quel bel écrin émeraude tu nous offres aujourd’hui, dans lequel de beaux textes se sont nichés.
    C’est toujours si beau chez toi.
    ___

    Dans une flaque
    Les arbres se contemplent
    J’entends leur âme

    A plus tard
    Bisous

  8. Curieux mouvements
    Mais la lumiére y pénétre
    On y voit plus ckair
    Les pensées de l’amour.

    Il fait si bon ici…
    Toutes ces belles plumes,
    On y respire plus calmement.

  9. Forêt secrète
    Au creux d’une flaque.
    Perception de l’illusoire
    Dans le reflet du réel.

  10. te voici arrivé au bord de tes rêves
    un pas de plus et tu bascules dans un autre monde
    un pas de plus et tu passes de l’autre côté du miroir
    un pas de plus
    un pas ….

    ces deux photos sont bouleversantes
    merci Ossiane

  11. La peau du gazon
    Comme une brûlure
    S’est écartelée
    ___

    Un trou dans l’herbe
    Mon regard le traverse
    Les arbres rêvent
    ___

    Parfums d’essence
    Dans un miroir mordoré
    Offrande du vent
    ___

    Accroc de lumière
    Dans un lit de verdure
    Un ange feuillu

  12. Tes deux photos me ramènent à ce poème d’un vieil ami très cher et poète que j’aime, je t’en fais cadeau cette nuit

    « Feuillus

    Les feuillus mangeurs de lumière
    émiettent le jour
    distillent la clarté
    pour laver les regards
    lourds de poussière et de boue

    pour baigner dans des coupes d’ombre
    les éclats trop vifs
    d’un monde trop frais émoulu
    de la matrice du soleil »

    Pierre Etienne / Mémoire du Silence / Les Presses de Taizé

  13. >Kaïkan :
    Toujours ta belle écriture qui semble jaillir de ta souris si facilement. Un moment un peu magique à prendre ces photos dans le silence de la nuit. Merci petite fée de la nuit et bon week-end.

    >Annie-Claude :
    Ils sont beaux tes haïkus et semblent sortir naturellement de ton imagination. Merci pour tes encouragements, une bise vers Tahiti.

    >amichel :
    Rêve de Chine, jolie idée de l’associer avec la laque d’eau. Je t’embrasse.

    >fred :
    J’aime bien cette idée de porte et de rêve collectif. N’est-ce pas ce que nous faisons chaque jour sur cet espace. Bon week-end avec des œufs, oeuf course.

    >Fugitive, Cristina, Catherine, Maria-D :
    Quatre femmes à l’écriture sensible pour cette note un peu fantastique. Merci à vous toutes et bonnes fêtes.

    Maria, tu as une grande connaissance de la poésie et tu trouves toujours les textes adéquats pour illustrer mes photos. Touchée par tes cadeaux qui m’ouvrent sur d’autres horizons.

    >Pam :
    Vision très celtique qui me plait, bien que je n’ai pas pris ces photos dans la forêt de Brocéliandre 😉 Bises vers Antibes et bonne expo là-bas !

    >Bonbonze :
    Réflexion, réflection, c’est sympa de pouvoir jouer avec ces mots. Ne te laisse pas impressionner par ton miroir. Tiens-lui tête. Bises.

    >Feu roméo :
    Belle vision qui peut illuminer la vie. C’est bien vu Roméo comme toujours. Je t’embrasse.

    >Brigitte :
    La terre, l’eau, la lumière, les éléments essentiels à la vie. Bien capté aussi pour toi. Bises.

    >Annick :
    Après l’amour, la vie, Annick. Mes préférés sont ton troisième et quatrième poème. Merci pour tes mots.

    >Daniel :
    Bel haïku plein de vie lui aussi. Le ventre de la terre. Cher frère de regard, je suis retournée visiter ton site 😉 J’ai beaucoup aimé toutes tes dernières nouveautés sur l’hiver, les planètes etc… tu sais tout faire. C’est beau. Vis-tu de ton art ?

    >Serge :
    Bonsoir Serge et bienvenue sur le blog. C’est très gentil de démarrer en belle poésie pour t’introduire ici 😉 L’association photo/poésie fonctionne très bien. En ce qui me concerne, ce sont les photos qui m’emmènent vers les mots. J’aurais beaucoup de mal à écrire quelque chose sans support visuel. De belles choses aussi chez toi. Au plaisir de te revoir ici.

    >Alain de la Communauté :
    Je ne t’oublie pas non plus Alain et passe de temps en temps chez toi mais en silence en ce moment car je n’ai pas beaucoup de temps de libre devant moi. Continue ta belle entreprise généreuse et humaine avec tes compagnons. Je t’embrasse.

    >Martine :
    Merci Martine. Je n’étais pas sûre qu’elles produisent leur effet car je les trouvais un peu sombres. En tout cas, tu as bien vu ce possible basculement comme Alice. Merci beaucoup pour cette part de rêve partagé. Bon week-end.

  14. Il était une fois, au coeur de la Forêt…

    C’est un miroir aux Fées,
    Une flaque dorée.

    J’étais couvert de boue,
    Mon cheval à genoux;
    Je buvais Tes pensées.

    Telle une Terre ancienne,
    Havre de magicienne,
    J’étais en ton palais.

    Où mille korrigans
    Visages Etonnants
    M’invitaient à entrer.

    J’y ai vu l’arbre d’Or,
    Et le masque qui dort
    Dans l’ombre canopée;

    Sous les plis de mon front,
    Un Sourire si long,
    Les lèvres étirées…

    Est-ce toi l’Enchanteur,
    Mon frère de douleur
    Mon diable prisonnier?

    Je n’oublie pas ma belle,
    J’ai regrets d’archipels,
    D’Océans et reflets.

    Ainsi j’aime d’Amour
    Et du val sans retour
    La douceur de l’ondée.

  15. Au creux de l’arbre
    L’oiseau s’éveille
    Le printemps est là
    Accroché au soleil des feuilles.

  16. Réflexion

    En cette nappe d’eau
    Posée sur l’herbe grasse
    Dans cette flaque attentive
    Le ciel et les feuilles conversent
    Ils sont en profonde réflexion
    Et débattent de l’avenir de la Terre
    Qu’en restera-t-il de cette Vielle Dame
    Dans quarante ans peut-être moins ?
    On empoisonne les mers, les océans
    On dilapide l’eau ce bien précieux
    On abat les arbres et les forêts
    On bouffe notre oxygène
    On respire des hydrocarbures
    On pille les pierres sans rémission
    On ratisse la flore sans scrupule
    On extermine la faune sans pitié
    Jusqu’à ce qu’il n’en reste plus rien
    Les rivières charrient des ordures
    Le sol est un cimetière de déchets
    Les oiseaux meurent dans l’or noir
    Les poissons crèvent le ventre à l’air
    Ils nous crient « Arrêtez tout çà »
    « Arrêtez votre barbarie »
    « Arrêtez votre humanerie »
    Le monde est en pleine démence
    A trop vouloir le progrès
    Le nucléaire qui nous dessert
    L’atome qu’on se dispute
    Un jour nous gouvernera
    Que ferons-nous de tout cela ?
    Que léguons nous à nos enfants ?
    Je souffre pour toi ma Terre-Mère
    Pour nos enfants que restera-t-il ?
    Connaîtront-ils les chants d’oiseaux ?
    Connaîtront-ils les fleurs des champs ?
    Les plages belles et idylliques
    Où sent bon le sable chaud ?
    Sauront-ils encore respirer
    Cet air pur du premier jour ?
    Je me sens à la fois attristée et révoltée
    Par tant de bêtise humaine
    Comme chaque fois c’est décidé
    Bien que le discours soit utopique
    Je voterai écolo…
    Pour le pacte écologique
    Moi qui suis apolitique

  17. à pam : Merci. J’ai aimé tes lignes.

    l
    les anciens celtes t’auraient dit :

     » voici !
    La déesse blanche , elle mène le monde …. »

    Comme quoi….on peut aimer Jimi hendrix et aimer également ce livre , très ardu ( robert graves :  » la déesse blanche » )
    Pour info, je ne l’ai pas encore lu, compris, jusqu’au bout…
    et , ça fait quelques années que je planche…
    Ce que j’aime, et ce qui est affirmé, malgré tout, chez les anciens celtes, : les forêts étaient leur temple.
    Merci Ossiane, por toutes ces libertés d’expressions, et à vous toutes, et tous, qui me donnez , ma dose de rêveries chaque jour.

    Franck

  18. (sur la 1e photo)

    Le bonhomme de nuit

    D’un pas tranquille,
    venant de ma gauche,
    il passe devant moi,
    balançant à bout de bras,
    sa lanterne pointilliste.
    Sous le chapeau de feutre,
    le regard est doré
    et vissé sur le chemin.
    Une mèche escamote
    son profil lumineux.
    Il tend vers moi,
    sa main droite,
    paume qui s’offre
    et j’y pose la mienne…

    A chacun : joyeuses fêtes de Pâques
    Bén

  19. je retrouve mon viel ordi qui me donne encore une image bien plus belle…

    le nez s’envole
    l’oreille court le tronc
    la vie se cherche
    tout là haut
    dans le trou bleu
    à travers les feuilles

  20. La boue fait flotter les arbres
    Dans ses flaques
    Et ça fait pousser très fort les arbres
    En paysage d’eau.

    Jocelyn (6ans)

  21. Ossiane
    Je te souhaite bonnes fêtes de Pâques.
    Toute mon amitié s’envole du Brésil vers chez toi.
    Merci de ton blog.
    Neyde

  22. Plongeon ensommeillé
    Dans les vertes abysses
    D’un rêve mordoré,
    La lune coloriste
    Irise son reflet
    Dans le délicat prisme
    D’un miroir oublié
    Où mon âme palpite.

  23. .

    >>>>>>>>>>>> A tous:
    Il va y avoir une maintenance technique sur les blogs du Monde de 23h jusqu’à 1h30. L’Oeil Ouvert ne sera pas accessible.

    .

    >Bernard:
    Très honorée que tu aies vu ce monde fantastique dans ces flaques d’eau. Ton poème a un parfum de magie magnifique; il nous emmène très loin de la réalité de cet endroit. Belle ondée de tes mots et de tes images. Un grand merci à toi; je t’embrasse.

    >Maria-D:
    Ne me remercie pas Maria; je ne fais vraiment rien de spécial;-) Elfes et Arche de Noé, la présence de créatures suit son chemin en beauté et en imaginaire.
    Et que dire de ton long poème sur la protection de l’environnement… si ce n’est qu’il me stupédfie;-) La réflection du monde dans cette flaque à travers les pensées de ces arbres fait surgir à l’esprit des questions, un cri de rage mais aussi le désir de faire bouger les choses. Tu sembles très impliquée dans cette belle cause. Merci Maria pour tous ces mots et idées jetés sur le papier avec tant de sincérité. Bises.

    >Franck:
    Ne me remercie pas, Franck, toutes vos expressions sont les bienvenues tant qu’elles amendent le blog. Je vous lis attentivement et apprends au passage. Je t’embrasse.

    >Bén:
    Pas de tanka aujourd’hui:-) Quelle idée originale! Tu nous racontes une belle histoire pour cette rencontre nocturne qui parait si naturelle. Ton bonhomme aucoeur tout enluminé illumine celui des autres. Merci beaucoup, je t’embrasse.

    >Nath:
    Bonsoir Nath, je n’en reviens de voir tout ce que vous pouvez trouver autour de ces images. Vos interprétations sont vraiment très variées. Toujours à la recherche du sens profond des mots et de leur interaction, ta rivière serpente dans les méandres de la nature mais aussi de ton esprit. La matière vitale et la beauté du monde habitent ton beau poème et ont rencontré ton coeur. Merci beaucoup pour l’énergie que tu mets à écrire avec toute ton âme. Bises du soir.

    >Annick:
    Les images sont peut-être moins sombres sur ton ancien ordinateur. En tout cas, j’ai l’impression que tu t’es transformée en écureuil pour attraper la vie à pleines dents. Bonne fin de soirée. Je t’embrasse.

    >MTO:
    Coucou, contente de te revoir par là;-) Je ne t’ai pas encore attrapée;-) Voilà un poème tout à fait à ton image. Beau, simple et vrai. Merci à toi et bon week-end!

    >Petit Jo:
    Coucou, je t’ai bien reconnu;-) Une superbe vision cette forêt flottante qui me fait penser aux bayous de Louisianne. Belle imagination, petit Jo
    (tu lui expliqueras Catherine;-) Je t’embrasse et te remercie.

    >Neyde:
    Amusant, tu es la troisième personne à me remercier ce soir alors que je n’ai rien fait de particulier aujourd’hui;-) Merci pour tes bons voeux, qu’il en soit de même pour toi et ta famille. Amitié très sincère pour toi.

    >Anne-Marie:
    Superbe poème de peintre! Les couleurs vibrent subtilement avec tes mots. Très impressionniste. Tu as retrouvé toute ta verve poétique, je le confirme. Toi non plus, je ne t’ai pas encore attrapé dans mon épuisette mais je ne sais pas comment faire pour y arriver;-) Bises à toi.

  24. Nous sommes aux Pâques.
    Je vous embrasse, avec tendresse,
    mes amies, mes amis du Blog,
    Pour moi, chacun de vous,
    me semble une flaque, où
    je vois les reflets de la poesie,
    des rêves, de la douceur.

  25. sur la route soudain ouverture vers un monde

    laisse venir
    ce ne sont pas que ténèbres et mort

    lumière du soleil et vert des grand arbres

    lever les yeux et découvrir le monde?

    au fond des gouffres
    parfois se reflète la vie

  26. Bonjour TOUS,

    OSSIANE, le poème dont tu parles est stocké dans ‘VALLON’
    Comme je traine et j’ai beaucoup de choses en cours, j’avais commencé à écrire ‘Serpente la rivière’ à partir de photos de Mars.
    C’est de ce poème dont tu parles à partir des 5 éléments évoqués dans la note.
    Le lien : https://blog.ossiane.photo/2007/03/09/vallon/
    Bon week-end
    Bises

  27. coucou de Pâques,

    oui, Ossiane les images sont moins sombres, les couleurs plus vivantes sur mon anciel ordi, alors je garde les deux…
    car cette image de cimes d’arbres, je ne l’ai vue qu’avec l’ancien,
    mon nouvel ordi portable me montrait plus un cratère, des verts, des vets dorés.

    bonne fête de Pâques! bises.

  28. Ossiane,
    est-ce qu’il t’apparaît aussi, « mon » bonhomme de nuit, sur ton premier cliché ?! C’est lui qui m’est d’abord apparu… et du coup, je ne vois que lui… !! [non, non, je t’assure, je n’ai pris que du licite !! ou alors c’était caché dans les oeufs de Pâques… ;-)]
    Très bon dimanche à chacun

  29. A toi Ossiane et à vous tous
    frères et soeurs poètes
    Je vous embrasse
    Et vous souhaite
    un beau week end pascal
    amour et joie en vos coeurs

  30. Pour toi, Ossiane
    Tout en te remerciant d’avoir ce blog
    Où tu nous laisse notre imagination libre et crréative et
    Des chemins qui se croisent, pleins d’amitié,
    Et à tous tes lecteurs et poètes
    Je vous souhaite de Joeyeuses Pâcques,
    En remerciant ceux qui sont passé avant moi.

  31. >Neyde :
    Clin d’œil vers toi, Neyde.

    >Candide :
    C’est beau et plein d’espoir, Candide ! Merci beaucoup.

    > Nath :
    Désolée pour mon erreur, Nath. Belle journée.

    >Annick :
    Il faudrait que tu règles la lumière et le contraste de ton écran avec les boutons qui se trouvent dessus. Tes deux visions sont très différentes. Bises.

    >Bén :
    Bien sûr qu’il m’apparaît ton bonhomme de nuit 😉 Je ne doute pas de ta lucidité 😉 Je t’embrasse.

    >Maria-D :
    Que ce beau soleil illumine cette dernière journée de trêve. Bises à toi.

    >Catherine JM :
    Joyeuses fêtes à toi dans le monde à l’endroit. Merci.

    >Cristina M :
    Merci pour la générosité de tes mots, Cristina. Que votre imaginaire continue à s’exprimer sans aune entrave. Bises vers l’Australie.

  32. J’ai hésité à mettre ces phrases dans ‘visite’, mais je trouve que c’est plus juste dans ‘REFLEXION’.
    Elles sont encore issues de ‘fragiles’ de Philippe et Martine DELERM .

    L’IDENTITE
    « Je n’aime pas cette qustion que je me pose. Je voudrais aimer la réponse, seulemnt. Entre les miroirs, seuls les autres me voient. Alors je fuis, je vis, je me sens libre, je m’oublie. Les autres me reconnaissent, et ne me connaissent pas. Je reviens au miroir. Je crois qulquefois me connaître – et je ne me reconnais pas. »

    Bonne journée ensoleillée.

  33. >Nath:
    Ce livre des Delerm semble t’avoir beaucoup marquée. Je ne connais pas celui-là. Il semble poser beaucoup de questions sur ce que nous sommes et l’image qu’on renvoie à l’extérireur. Merci pour ce partage.

  34. >L’Oeil regardait cahin-caha :
    Bonsoir L’œil; je te souhaite la bienvenue ici 😉 Merci pour la gentillesse de ton commentaire.

  35. regard

    ton regard du fayoum
    sur les bois pétrifiés
    dans les limbes teintées
    les antiques frégates

    ton regard d’icône
    de corps statufié
    parures irisées d’or
    mystère des encres

    ton regard d’ange
    ouvrant les mers du sud
    continents en dérive
    viaduc de tout temps

    ton regard de passeur
    reflets cartographiques
    accents de longs sanglots
    radeau de la méduse

  36. La nature m’apprend
    Il n’y a ni envers, ni endroit
    Rien que le reflet de ce que l’on croit
    Voir

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