N’oubliez pas de cliquer sur la photo pour élargir le champ
Lecture du Haïku Calligramme: gauche, droite, centre.
Colonne cambrée
Son doux regard se courbe
Sa peau soyeuse
◊ J’ai eu envie de mettre en lumière les beaux poèmes d’Annick, de Fred de Toulouse, d’Annie-Claude et de Daniel pour la grande diversité de leurs interprétations. Amour, nature, douceur, jeu et humour.
Hésitante et rampante
Fouillant le sol d’ombre
Un beau jour elle osa
Se cambrer de sa grâce
Et offrir son pur corps
Aux mains de la lumière
autruche du caprice
poésie des lumières
tête dans la canopée
Gauche inclinaison
La cambrure se redresse
Sous l’oeil des bambous
Fantaisie d’une pousse,
Toboggan de mousse,
La vie en pente douce…
◊ Photos prises dans la bambouseraie d’Anduze dans les Cévennes.
Gauche inclinaison
La cambrure se redresse
Sous l’oeil des bambous.
Le frisson d’être la première. Je me lâche. Merci à toi, Ossiane.
Tendance gauchiste.
Les bambous manifestent.
Retour vers le ciel.
Ou
Vert tendre ou sombre
Bambouseraie opaque
Un coin de ciel bleu.
Un rêve de Robinson
————————-
Perdu sur une île cachée dans l’océan
Robinson solitaire de vivre s’efforçait
Par la pêche la chasse l’enclos ensemencé
Le temps semblait sans fin laissant passer les ans
Un jour, désespéré, qu’il allait explorant
Son royaume de vent fatigué d’avancer
Il s’assit à l’ombre d’un grand fût élancé
Dont la vue raviva des souvenirs latents
La cambrure du tronc lui rappela le corps
D’une du vieux jadis aimée dans quelque port
Surprise nue brossant ses très longs cheveux noirs
Ses formes juvéniles à la peau ambrée
La grâce de ses gestes et son dos cambré
Son visage ses seins ses yeux dans le miroir
……….
La tête de chaleur de désir lui tourna
Il s’endormit vaincu par la fatigue
Et des rêves érotiques
L’emportèrent au-delà des mers
…………
c’est magnifique, amichel.
Hésitante et rampante
Fouillant le sol d’ombre
Un beau jour elle osa
Se cambrer de sa grâce
Et offrir son pur corps
Aux mains de la lumière
dérobade hardie
esquiver les embuscades
échapper au pire
Fantaisie d’une pousse,
Toboggan de mousse,
La vie en pente douce…
Ossiane, Annick
c’est très beau ce que viens d’écrire Annick n’est-ce pas ? … »s’offrir aux mains de lumière »,
lumière nous sommes et lumière nous retournerons…au jour naissant, au jour de ma naissance…
Chair de sable
prisonnier du sable
je marche lentement
suivi par mes pas
mes propres pas
ma chair de sable
ma chair s’efface…
à l’or et au rouge
au rouge et au sang
au combat fasinant
des éléments
mon âme insoumise
délire et me tord
au goût fugitif
au goût captif
de ton corps…
sur la plage assoupie
l’océan caressant
sous le soleil tremblant
lentement se blottit…
et dans nos rêves de nuit
tes reins se creusent
et mes mains s’y plongent
encore plus doux qu’un songe
ta chair de sable…
Poème que j’ai retrouvé dans mon « carnet noir » un peu de nostalgie aujourd’hui, bah, c’est une fois par an seulement, heureusement ! bonne journée.
Que de beauté !!!!!!!!!!!!!!!!!
Bonjour à tous
_______
Deux corps épousés
Caresses de lumière
Un frémissement
alarme
arcades de lumière
de tes yeux en amande
fluo flirtant avec les cuivres
la corne de brume
répond au cornet à pistons
en trompe d’éléphant
de l’afrique à l’inde
les sirènes font vibrer l’air
signal onndulatoire
Bonjour Ossiane,
C’est bizard;Sans voir le Haiku, mon premier regard me guidait directement vers une imagination doucéreuse de la représentativité de l’amour.Le haiku vient dès lors subjuguer nos sensations les plus tendres et nous conduire vers une harmonie des couleurs et de la lumière présente dans cette image.
Bravo, vraiment très réussi ce haiku.
Passe une bonne journée Amicalement a++
Sa taille s’est fort cambrée
De ses jambes écartées
La vie sort de son ventre
Le tit Homme roule boule
Puis il se niche contre ce sein
Au doux parfum de celle mère
Et puis, il se lange, redresse la tête
Il tente vers le haut, observe
Il s’asseoit, puis il s’ose
Un pas puis un autre
Miracle de la vie
Du sol vers l’infini
L’Amour
Se cambre
Se donne
Et s’élance
Vers le ciel
Caprice
La nature, imprévisible, s’offre ainsi :
Sous cet arbre se cache certainement une femme
De ces formes généreuses, s’arrêtant ici
L’homme, drogué aux vapeurs d’écorce, s’enflamme.
Grattant ce tronc qui ne cesse de résister
Cette déesse ne sera point découverte ce jour
Résistance et charme sont ses plus beaux atours
Une seule solution s’imposa alors : la supplier.
L’homme à genoux lui conta sa plus belle poésie
Déposant à ses pieds les plus beaux refrains
Une rafale de vent annonça pourtant cette fin :
Aveuglé par ce sable dans les yeux, il se coucha ici.
A l’abri du vent, dans ce lit allongé
Il comprit enfin toute la vérité
Des plus malins avant lui se sont ici reposés !
Chris
autruche du caprice
poésie des lumières
tête dans la canopée
point de vue viril
tabou têtu du totem
maquilage de femme
Caprice d’Olivier,
Quand l’Amour reviendra frappait à ma porte ?
Quand irais-je au pays du soleil levant ?
Quand Michel m’écrita t’il un poème ? 😉
Quad serais-je guéri ?
etc…
La complainte…
Bisous Ossiane et à toutes ces dames, Amitiés à ces messieurs,
Bonne semaine !
Retour aux sources
************************************************************
Échouée en pleine forêt,
Figure de proue
De jonque chinoise,
Navire égyptien ou viking.
Point de caprice,
Mais loi du destin :
En s’affaissant, le pachyderme
Offre ses défenses à la terre.
c’est fort triste, Chris..et fort beau d’écriture
Ossiane
Derniers vers : « Des plus malins avant lui se sont ici reposés »
Excuse-moi pour l’oubli.
Bonne journée à toi ainsi qu’à ceux et celles de ce blog
Chris
Souvenirs d’un arbre…
Nous nous souvenons de toute la hauteur de nos cimes
des chemins empruntés, des contrées traversées,
des ciels balayés…
nos nous rappelons la tête pointée vers les nuages,
la douceur des vents, la fraicheur des torrents
des amours tourbillonnants…
nous avons croisé des milliers de voyageurs de rêveurs,
qui semaient la misère, l’infortune, la richesse
aussi parfois la sagesse…
nous avons lutté contre les brises les secousses les tempètes,
les épreuves, les victoires, les défaites
pour soutenir ou abattre…
dans nos coeurs nous nous rappelons les hommes et les femmes
un peu de chaque être reste gravé,
sur nos troncs qu’ils ont caressés…
J’aimerais être cette courbe élancée et gracieuse, cette taille fine et gracile, cette allure cambrée, ce doux regard de lumière, ce tronc caressé, cette courbe désirée, cette peau soyeuse et ambrée, cette trop longue chevelure sombre, cette grâce miraculeuse, cette innocence ré-inventée, ces mains offertes … pour inspirer à Michel de si belles pensées poétiques… mais pas que
Signé : La sentinelle de l’invisible, alias » La Fiancée du Pirate » (des Caraïbes ou d’ailleurs)
au creux de ses cuisses
l’écureuil a du panache
soyons sot-l’y-laisse
AIMER
Il y a les heures lumineuses. L’indolence sage. Ils sont là, enlacés dans le théâtre de cette clairière où il pleut du soleil dans les branches. Ils s’écoutent, ils s’enlacent, ils s’unissent. La lumière les inonde. La beauté les enveloppe. Elle dit quelques mots. Il dit quelques mots. Ils se disent des mots tendresse, des mots caresse, des mots enlacement, des mots oubliés qui se disent sans mots. Des mots d’amour glissent en kyrielle le long des corps. Des mots je t’aime.
« Je t’aime »
Un verbe qui se dit de lui-même. Un verbe qui naît d’un parfum, d’un saisissement, d’un émoi. Un verbe, un mot qui se perd dans le souffle des amants. Un mot qui coule d’un silence à l’autre. Un mot qui jaillit d’un soupir à l’autre. Une beauté infime, une caresse de lumière, un caprice d’amants, une béance divine. Il faut beaucoup aimer pour la reconnaître.
Arbre de vie
On se regarde
Et on se rit
Car par mégarde
Il s’est endormi
Son tronc a dévié
On s’est sourit
Il s’est réveillé
Car rien ne vaut la vie
Dans toute sa beauté
Celle qui éblouit
Par l’étincelle éternité
Merveilleux, ce que tu viens de doucement déposer, MariaD.
Merci pour tous vos beaux textes qui me donnent le dinguedong depuis ce matin, j’ai larme à l’oeil, si fort encore, si beau, si fort…que caresser doucement le mot amour dans toute son essence…je vais sortir un peu mes bottes, il pleut dehors.. yaouh, si fort parfum d’amour dans ton album, Ossiane que la tête me tourne, ennivrée de beautés. Bises de lundi.
j’aime bien » béance divine « , MariaD, c’est tellement rare et unique..
Caprice, c’est fini et dire que c’était la ville de mon premier amour…
Comment ça j’ai pas compris…
Avec la complicité des arbres…
leurs colonnes se courbent
sous les caresses du vent
l’air murmure et cadence,
rythme en doux complice
le balancement des branches…
leur feuillage tinte et se penche
dans l’aria miroitant blond et vert
papillonnent vibrantes sensations
notre regard dans le végétal se perd.
où le soleil froufroute en complice…
les sens s’éveillent et le jour salive
les silences se bordent d’agitations
les oiseaux plissent un bout du ciel
les corps peu à peu s’enchevètrent
les rires étouffés vibrent à l’unisson…
le mouvement du vent confond l’écho
des battements de leurs coeurs réunis
perturbe l’azur clair au-dessus de nous
le jour décline et le calme déconcerte
nos désirs vont lentement s’étourdir…
Dimanche
Elle frappe doucement à la fenêtre du salon… » Pierre…il fait beau..laisse la ouverte..cela fera entrer le soleil.. »
J’ai hésité..je contemplais le visage..j’écoutais la voix et, je ne savais pas qui je devais inviter…Je ne voulais pas choisir..je désirais tout..la chaleur et la douceur…la sérénité et la luminosité…Et je n’ai rien dit….
Les rayons du soleil ont alors mordu le plancher du salon…effleuré les murs…joué avec les rayonnages de la bibliothèque..et se sont perdus..avec mes rêves..sur les marches de l’escalier…
Lundi
« Elle s’offre aux mains de la lumière…. »
Annick a posé sur ces pages ce matin ces mots délicieux…Je la remercie du fond du coeur…En la lisant j’ai en effet compris qu’entre un être aimé et un astre de lumière..on ne pouvait pas choisir…
>>>> A tous:
Pardonnez-moi d’avoir fait disparaître cette note à un moment donné mais j’ai eu beaucoup de soucis de mise en page. Plus difficile à faire qu’avec Word. J’espère que ça ne vous a pas occasionné de dommages.
Entendu à l’hotel des Dieux à Capri ce mardi
Apollon voyons,ne sois pas capricieux,mange ton fromage
devant leur grille,
dressée, la douce trompe,
géant végétal
>Annie-Claude :
Merci pour ces trois beaux haïkus dont un contestataire, déposés au cœur de la nuit. D’être la première, ça te libère 😉 J’ai privilégié la douceur du premier dans mon choix. Bises.
>amichel :
Superbe idée que l’ïle d’un Robinson solitaire qui imagine les formes de la femme au travers des éléments de la nature. Un beau rêve d’amour aux touches sensuelles Bravo à toi, je t’embrasse.
>Annick :
Tout comme Sven, j’ai été séduite par ton premier poème et l’offrande de ce corps à la lumière. Un poème bien abouti.
L’amour, toujours l’amour baignent tes deux autres poèmes. L’amour maternel et l’amour de la femme. Elévation aussi vers le haut. Merci à toi. La recette cuisinée d’Annick à la ciboulette me plait. Continue sur ta lancée.
>bouldegom :
Eloge de l’esquive dans ton premier haïku. Trois mots qui l’évoquent sans détour.
De beaux échos sonores entre l’Afrique et l’Inde. De superbes images un peu surréalistes comme les yeux en amande, les cornes et la trompe. Le regard est ébloui.
Masculin, féminin.. Ton dernier haïku évoque également des sons, des rythmes. Beau thème également. Merci beaucoup, je t’embrasse.
>Daniel :
Ton poème est très doux à l’oreille sans doute à cause de la présence du son « ou ». Belle idée ce toboggan. La vie rêvée. J’aime beaucoup. Bises.
>Sven :
J’avais aussi repéré le premier poème d’Annick.
Magnifique poème que cette chair de sable qui emprisonne. Amour passion qui finit par retrouver la sérénité et la douceur dans les rêves de la nuit. C’est beau. Un grand merci, je t’embrasse.
>Maria-D :
Je suppose que tu as pensé à l’arbre penché de droite pour évoquer cette fusion. Ton poème est plein de douceur.
Très beau morceau d’écriture autour du verbe AIMER des amants. Un mot qui enlace, des corps qui s’unissent, la beauté d’un moment, déclaration lumineuse et caressante. Il me semble que c’est la première fois que tu écris en prose, Maria. Joli ballon d’essai. Merci beaucoup.
>Dominique :
C’est sans doute cette courbe douce et sensuelle qui t’a conduit à y penser. Je pense à une sculpture quand je regarde cet arbre. Beauté unique des caprices de la nature. Merci de nous faire partager tes sensations. Je t’embrasse.
>Chris :
Quelle belle histoire tu nous racontes ! Embrasement du cœur de cet homme pour une illusion. Sa tentative de séduction est pathétique. Merci beaucoup Chris pour l’originalité de ton poème plein de mélancolie. Bonne après-midi.
>Fred de Toulouse :
J’ai beaucoup aimé ton haïku plein d’humour. Merci à toi, je t’embrasse.
>Olivier :
Beaucoup de questionnement dans ton poème, Olivier. Je ne vois pas cela comme une complainte ni un caprice. Juste ton état d’âme du moment qui me semble un peu mélancolique. Les beaux jours vont bientôt revenir. Courage à toi, je t’embrasse.
>Patricio :
Je suis contente que cette photo vous fasse voyager dans des pays si lointains. Un retour aux sources tragique cette jonque échouée ou ses défenses d’éléphant enfoncées dans le sol. Que se passe-t-il là-bas ? Merci pour ta belle plume et ton retour Patricio, je t’embrasse.
>Sven :
Très beau poème plein de souffle. Et l’homme qui laisse toujours ses empreintes dans la nature. Ces arbres grandissent, résistent, observent et reçoivent. Les totems de l’être humain peut-être. Merci pour la beauté de tes mots. Bises.
>Enna :
Bonjour Enna ou sentinelle de l’invisible, il me semble qu’on s’est déjà croisées ici ou ailleurs 😉 Sois la bienvenue. Hé oui, Michel est le spécialiste pour écrire des poèmes d’amour 😉 En tout cas, ta façon de dire ce que tu aimerais être est tout à fait délicieuse. Tu as fait mis en avant avec grâce ce que dégage cette photo. Au plaisir de te lire à nouveau.
>Yves :
Je reconnaîtrai tes haïkus sans signature avec tes images et associations de mots qui déroutent 😉 Tu as l’art de nous désarçonner. Bravo pour la richesse de ton écriture.
>bonbonze :
;-)) C’est fou, tu trouves toujours quelque chose d’amusant à dire. Tu as ça dans la peau. Merci beaucoup.
>Sven :
Quelle inspiration débordante aujourd’hui, c’est lundi 😉 Toujours les arbres mais cette fois, tu évoques davantage, la musique du vent dans les branches et les feuilles, le silence qui s’ensuit, une ambiance propice à l’abandon du cœur et des sens. Ton poème est très imagé et sonore, on se croirait assis sous ces arbres par un beau jour d’été. Merci Sven pour ces beaux partages que tu nous offres à lire.
>pierre b :
C’est amusant de voir comment ton écriture et le choix de tes thèmes évolue au fil des semaines. Loin des embouteillages parisiens, tu nous offres maintenant des morceaux de vie, des esquisses de portraits des visiteurs du blog. C’est très bien fait, émouvant, chaleureux et généreux. C’est la fête à Annick aujourd’hui 😉 Je t’embrasse.
>feu roméo :
Voilà que tu te mets à donner la réplique à bonbonze 😉 Merci pour ton humour. Qui veut relever ce nouveau défi ?
.
et quand l’être aimé est l’ être de lumière.. le choix est fort grâcieux.. clin d’oeil Pierre b.
je te remercie, Ossiane, et je te rassure, cela va, je tremble pas, je syncope pas, juste cela m’a émue fort de cliquer, de lire mes mots que je n’avais pas lus.. juste posés dans le départ de mon fils, ce matin..
il y a encore une fois de très beaux textes posés, sous une bien belle photo, et ton haiku si délicat.. MERCi, Ossiane, merci pour tout! ma modeste ciboulette, j’aime bien qu’elle pousse ici, car ta terre est bien bonne! et les jardiniers de ton album fort gentils! j’apprécie max leurs plumes d EUX!
Je vous prie de m’excuser mais je ne sais pas faire de compliments, alors sven, amichel et boudegom…… mmmh de mmmmhh….. j’aime vous lire!
Il est si beau et bon de se donner en amour, et c’est fort bien semé ce bel amour, chez toi, Ossiane. Bises de fin d’après midi.
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Nouveau commentaire sur:
https://blog.ossiane.photo/2007/02/16/enlacement/#comments
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Annick
Fred de Toulouse
Annie-Claude
Daniel
C’est très bon lire vos poèmes.
Je vous embrasse.
Bises carnavalesques du Brésil-São Paulo.
C’est vraiment un régal de se promener dans la bambouseraie d’Anduze, merci Ossiane, ce lieu à l’air magnifique et a la chance d’être photographié par toi… mis en Haïku Calligramme…et maintenant en poèmes !
Depuis quelques jours que nous sommes ici c’est un plaisir de reconnaitre au fond les bambous d’hier, la cage de l’autre jour, découvrir d’autres angles… toutes ces tiges verticales…plus on moins grosses , plus ou moins droites… toutes ces teintes de vert, de bruns, de jaunes et de bleutés… cette lumière…
C’est un ravissement.
Ossiane j’ai remarqué que tu as classé une bonne partie de ces notes dans » la sculpture » ? pourquoi ?
Annick je suis heureuse pour toi, gros poutous ma belle.
Fred, Annie-Claude, Daniel bravo
J’aime beaucoup çà :
« autruche du caprice
poésie des lumières
tête dans la canopée »
alors, j ai des petits soucis, je suis allée chez Daniel, cet aprem, pour revoir et découvrir d’autres jolies photos, et mince, où je ne vois pas clair mais impossible de mettre un message.. c’était idem, qd j ‘ y suis allée plusieurs fois.. je dis au cas où il y un souci qui peut être résolu, pourtant je clique sur contact..et puis aussi à écouter les poèmes de Fred, et les couleurs de ces dames de Annie Claude, tellement de dépaysement avec le Nord gris de gris aujourd hui….
c’est chouette, vraiment..
je me disais en sortant de ces trois délicieux voyages, que c’est bon de voyager en restant chez soi, car d’autres partagent. MERCI BEAUCOUP, à tous les trois..il est impossible dans une vie de faire tout cela, alors comme c’est sympa de partager autant.
Caprice
Tu m’as regardé
Avec attention
Clignant les yeux
Doux et charmant
Mais, je sais,
C’est un caprice
Tu m’as souri
Avec malice
Et m’as jeté
Un gros bisou
Mais, je sais
C’est un caprice
Tu m’as dit
“Je t’aime”
En fermant les yeux
En indiquant le coeur
Mais, je sais
C’est un caprice
Masqué le bal
Masqué toi aussi
Mais, je sais
C’est un caprice
Caprice surréal
Caprice de Carnaval.
Dans le Dos
A ce tronc adossé,
Lui
A ce Lui lovée,
Elle
Paisibles
En Paix
Ils respiraient à l’Unisson
Sans un mot
A pas feutrés
A pas de loup
Deux êtres
D’eux
Se sont approchés
Rusés
Dans le dos
Leur attaque a débuté
Attaque fulgurante
Pluie de balles
Explosions de cris
Assourdissants
Surpris
Lui, Elle
Sont restés sans réaction
Accusant les projectiles,
Un temps seulement
Le temps du réveil
Bien réveillés
Bien décidés
Décidés à ne pas se laisser faire
Lui, Elle
Ont rendu
Balle pour balle
Cris pour cris
Lui, Elle
N’ont pas cessés de se défendre
Mais se sont tus
Tus pour écouter
Ecouter ces Rires de Gosses
Tus pour les dévorer
Balles multicolores
Couleur de Carnaval
Combat de Carnaval
Balles de Carnaval
Bal de Carnaval
Tus pour écouter
Ces Rires de Gosses
Echo,
ne t’arrète pas
Propage les à l’infini
s’il te plait…
Vous avez dit Bonheur ?
Sans aucun doute…
>>>>>A tous :
Je sais qu’il y a certains d’entre vous qui ne peuvent pas déposer des poèmes très tôt. Soit vous intervenez dans l’après-midi, le soir ou même le lendemain. Pas question pour moi de vous oublier. Il va falloir que je trouve une solution pour vous faire participer à cette mise en lumière car jusque là, j’ai mis en ligne les poèmes choisis, le lendemain de la publication en début d’après-midi. Soit, je choisis plus tard, en fin de soirée par exemple … Si vous avez des idées, je suis preneuse….
>Brigetoun :
Joli, Brigitte ! Tout à fait dans l’esprit. Merci à toi.
>Annick :
Je sais bien que tu ne syncopes pas; la mise en lumière était méritée 😉 Continue à bien prendre soin de ta ciboulette poétique. Bonne soirée.
>Pam :
Hello Pam, Si tu as l’occasion d’aller dans le sud, n’hésite pas à faire un détour en choisissant ton moment pour te balader en paix. Bien observé, c’est vrai que je suis très tige en ce moment mais j’aime bien ces lignes graphiques et ces jeux de lumière 😉 Bien vu encore. J’ai hésité mais j’ai effectivement choisi de classer ces notes dans la sculpture. Pas de pierre, certes. Pour moi, ce sont des sculptures végétales naturelles avec ou sans intervention de l’homme. Je pense également aux créations du land art qui disposées et conçues en pleine nature, offrent au regard du volume en 3D, des formes, des lignes, de la matière, de la texture, du mouvement à la manière d’une sculpture. J’espère que tu n’en es pas trop choquée. Dis-moi… Je t’embrasse.
>Neyde :
Neyde, la grande amoureuse de la vie 😉 Ton poème est adorable et je t’imagine, le sourire en coin en train de l’écrire. Ton cœur aime donner et recevoir. Tu nous offres un beau caprice aux couleurs du carnaval de Rio 😉 Merci Neyde, je me demande toujours comme tu arrives à écrire si vite de la poésie en français. Quelle classe ! Un bisou à toi.
Caprice surré(e)l
>Nigra :
Un petit rebond sur le Carnaval. Ta poésie est très originale. Elle fleure bon l’insouciance, la joie, les jeux et les rires de l’enfance. Toujours ton style très personnel simple et efficace qui fait passer les émotions. Phrases, courtes, respirations, actions et pensées successives, associations de mots. Merci pour ton bel écho poétique. Ca fait longtemps que tu écris ?
Merci Ossiane pour ta réponse,
Non non je ne suis pas choquée du tout au contraire je me sens tout à fait en accord… je trouve aussi que la nature nous offre de magnifiques oeuvres d’art…
Alors encore une question : pourquoi tu n’as pas classé dans « la sculpture » la note du 2 février « tropique » ? sur la photo cela ressemble bien à une « installation » de land art ?! non ?
Je t’embrasse
>Pam:
Pam, je vais te nommer Ange gardien du blog si ça continue car tu es très observatrice et ça me rend service 😉 J e n’ai pas classé Tropique dans Sculpture par simple oubli 😉 Bonne fin de soirée.
Bonsoir Ossiane,
déjà te dire que je me disais vraie en parlant de syncope, quand tu as parlé il y a plusieurs mois du justesimplevivre, en mettant l’adresse de mon blog, je ne me pas sentie fort bien, j’ai été prise de court…tellement d’émotions….pour ma petite personne, j’aime assez les trous de souris..je suis vraiment extrémement émotive, et c’est aussi une lourdeur….
cette fois, on était prévenus, et puis, cette fois, il m’a fallu plusieurs jours pour oublier que je pouvais être choisie.. cela va , je m’y suis fait.. j’ai l’adrénaline facile, voilà tout..
pour répondre à ta question, pourquoi ne pas laisser les commentaires jusqu’au dernier… et mettre le texte choisi lorsque la publication suivante parait ( bien sûr sous l ancienne photo )….C’est bien de m’encourager, car je suis vite satisfaite, youps j’écris je déballe, j envoie, youps… je peux pas trop me compliquer mon intérieur, c’est impossible, je souhaite simplesimplesimple..bises de nuit, Ossiane.
A Ossiane :
Merci Ossiane. Si je m’attendais ! Je t’embrasse.
A Annick, Fred, Annie-Claude…et les autres :
Vos beaux écrits, vos regards, toutes vos émotions si différentes autour d’une même image instruisent et passionnent le photographe que je suis. C’est un vrai plaisir que de partager tout cela avec vous. Amitiés à tous.
A Neyde :
Neyde, c’est la première fois que l’on m’offre des bises carnavalesques…Je t’embrasse.
A Maria-D :
Merci pour tes mots. Amitiés.
A Annick :
Merci de l’intérêt que tu portes à mes photos Annick. Elles ont besoin de regards comme le tien pour continuer d’exister après que notre histoire, à elles et moi, se soit terminée. Pour les messages, c’est curieux que tu ne puisses pas poster ?? D’autant que j’en reçois tous les jours sur cette boite. Bon, nous allons essayer de comprendre le pb, je te contacte en privé. Je t’embrasse.
Mon toi
Mon regard t’admire
Ma tête se laisse aller
A toi
Mon corps se cambre
Mes veines frissonnent
Par toi
Mon île offre son port
Mes yeux fermés vivent
Mon moi
je vois ton message Daniel, je vais donc retenter…
>Annick:
Je trouve que ces petites mises en lumière fonctionnent bien pour l’instant. Heureuse que cela te fasse plaisir et te stimule. Je les fais en toute simplicité sans chercher à jouer à celle qui sait tout, ce qui est bien loin d’être le cas;-) Je les fais en fonction de l’émotion que je ressens et de ce que j’ai envie de mettre en avant sur le plan poétique. Pas toujours facile de décider car le niveau général est bon;-) Je suis très sincère dans ce que je dis.
Pour ce qui est de ta suggestion, si je mets les poèmes choisis au bout du deuxième jour, je crains que ça n’ait pas le même effet et que les gens n’aillent plus lire la note précédente, non? Continuez à me donner votre avis, je continue de réfléchir… Ce serait bien que les visiteurs qui ne peuvent pas écrire tôt se manifestent.
>Daniel:
Que de regards et de mots croisés,; c’est vraiment sympa. Bien à toi Daniel; ce petit clin d’oeil est bien mérité. Je t’embrasse aussi.
Dans cette sensation probable
Dans cette grâce d’ouverture
Dans cette chevelure de douceur
Sans tracas sans ombrages
Mes yeux sont soumis à l’image
A l’image que je regarde
A l’image qui me regarde
Dans ce foisonnement végétal
Entre cette averse de lumière
Je perçois le subtil de la matière
Ossiane, quel honneur tu me fais ! merci encore pour tes encouragements ;o)
Si Annick se dit vite satisfaite (je crois surtout Annick que tu as des émotions et des sentiments à exprimer, et tu les exprimes spontanément, je t’envie cette capacité-là), pour moi c’est vraiment l’inverse. J’ai tellement peu joué avec les mots…. que je me délecte chaque jour de votre capacité à tous à écrire vos ressentis, émotions…
J’apprends doucement. Alors, encore une fois, merci pour tout ça, à tous.
L’oeil regarde
Et se laisse rouler
Cette courbe
Si belle et douce
un voile sur mes cils
une poutre dans mes yeux
regard assoiffé
Tout est toujours aussi magnifique ici !!!
A travers les branches des arbres
il nous écouter le chant du vent…
ces appels d’amour sans pareils
venus de toutes parts
et gorgés de soleil…
une poudre fossile
des regards desséchés
voilage dans mes yeux
l’âge du fossile
le regard introspectif
corne résistante
regards persistants
encornent et grésillent
les faux cils marteau
vestiges du temps
les logos ensevelis
mémoire écornée
les caprices du temps
des espoirs ensoleillés
les maux rebondissent
toboggan en vol
le désespoir donne des ailes
mots en pente douce
le flux et refus
comme Bouldegom dégomme
mer si pour les flots…
regard d’élégance
la belle polit ses défenses
terre rendons les armes
L’enfant escalade le tronc
Puis il se laisse glisser
Son short tout blanc
Le parent gronde et pourtant
La vie juste imprimée
De vert dessus le blanc
>Maria-D :
Merci Maria pour le bel abandon poétique de tes yeux dans cette chevelure végétale que la lumière illumine. J’espère qu’il adoucira ta journée. Bises.
>Annie-Claude :
Encouragements mérités, Annie-Claude. Les débuts de nuit te sont propices 😉 L’intérêt de ce salon est que toutes sortes de sensibilités s’expriment. Il y a des lents, des spontanés; peu importe. Je suis un peu comme toi; je ne suis pas très rapide 😉 C’est ce qui fait la richesse de tous ces écrits car les poèmes ne sont pas formatés. L’essentiel est dans ce qui sera donné à partager. Alors, continue à ressentir et écrire avec ce qui te ressemble et te met à l’aise. Je t’embrasse.
>Annick :
Belles idées que cet œil qui roule ou cet enfant qui fait du toboggan en salissant son short. Tu devrais continuer à travailler la dernière idée. Belle journée.
>acede :
Bonjour et bienvenue, acede. Merci pour tes mots sympathiques. A bientôt.
>Sven :
Comme Maria, tu aimes écouter le chant des arbres le matin. Beau parallèle entre les feuilles frissonnantes et ces appels d’amour. Ta journée sera belle auprès de ceux que tu aides, sven. Bises.
>Fred de Toulouse et Bouldegom :
Quels beaux échanges entre vous deux ! Pas moins de sept poèmes en 1h ! De cil en fossile, de fossile en faux-cils, Fred dégomme bouldegom avec ses jeux de mots et elle ne s’en laisse pas raconter 😉 Merci beaucoup à tous les deux et bravo.
étrange
étonnement
découverte
tendresse végétale
image
pieuse
inclinaison palpable
voile rose
enveloppe fragile
par touches fines
pudeurs grises
ocres bleues
ses yeux verts
clairs et dansent
vers les cîmes
élancement
désir
d’être ange
je suis néo poète
élégance et respect
chacun son e-slam
Toboggan
comme une plaie ouverte sur le côté
on sait qu’un jour le destin va frapper
comme la lave crachée d’un volcan
poussière de cendres ou duvet blanc
l’innocence fragile vacillera incrédule
sur les tourniquets, les chevaux à bascule,
on ne sait rien des lendemains qui mordent
un jour on perd ses repères,puis saute à la corde,
un jour on se pend et puis, on pense ses plaies,
on se sait rien des lendemains qui sourient
on ne sait jamais quand le destin va frapper
sur le toboggan on laisse étourdis filer nos vies…
>Bernard:
Ton poème a beaucoup de rythme avec ces espacements, ces phrases découpées et ses mots lâchés comme des ballons. Ca donne beaucoup de fraîcheur et de douceur à cette découverte végétale spontanée. Que cet ange des cimes veille sur toi. Je t’embrasse et te remercie.
>Fred (de Toulouse):
Tu tiens une sacrée forme aujourd’hui;-) Je crois que tu viens d’inventer une nouvelle expression; il ne manque plus que le son;-) Bises au e-slammeur.
>Sven:
Sympa d’avoir repris cette belle idée du toboggan qui est riche en imaginaire et qui a été amorcée par Daniel. Ta glissade poétique évoque le toboggan de la vie avec ses blessures, l’insousciance éphémère et fragile de l’enfance, l’incertitude du lendemain, l’envie de se laisser emporter malgré tout par le flot bouillonnant. Un très beau poème lucide, émouvant et vivant. Je t’embrasse.
Je monte à l’étage, je suis la première, alors, je remonte le store, ouvre le rideau.. et dirige mon oeil vers le parc aux canards…ma guitare attend posée dans un coin, et mon oeil se prend de face l’arbre d’Ossiane, qui courbe sa jolie forme coquette.. cela me fait sourire, la tendre poursuite d’Ossiane…..la même ondulation, le même frisson partagé, le ciel cambré, et le tronc appelé vers la lumière…
Rando de vie
En main moussue
Destin empreinte
Pas de son ciel
Le regard de l’arbre en dit long sur sa peau de vie cambrée, que caresse le chemin des amours…
Au devant de la scène
L’étoile esquisse un pas de deux
Dans la chute de tes reins
Chaque valse est une danse
Et je me sens souverain
De ton infinie nuance
OMBRAGE
Les arbres buveurs de lumière
pulvérisent le jour
sécrètent la clarté
pour décrasser nos yeux
souillés de cendre et de fange
pour immerger dans un calice d’ombre
les scintillements trop violents
d’un monde trop aiguisé
de la brûlure du soleil
>Annick:
Tu m’as fait peur avec ton oiel, j’ai cru que tu t’étais cognée dans l’arbre;-) merci pour ces douces traces poétiques.
>l’oeil vagabond:
Belle imagination cette danseuse étoile en train d’éxécuter ses pointes. Elle a la tête dans les nuages. Bises et merci.
>Maria-D:
Un poème plein de sensualité qui rebondit sans doute sur le poème précédent. Délicates images. Merci Maria, bonne soirée.
Aimer ton blog:)
Je suis biologue et ecologiste et jai mon blog aussi.Je tái ajouté a mes liens de blogues environmentales et de photo.
Embrasse
Joao Soares
Portugal
Quand son oeil
Amoureux
Roule
Délicatement
Sur la courbure
Son oeil à elle
S’allume
Et jamais
Non jamais
Son oeil se satisfait
D’un petit sillon tracé
Car son oeil qui se roule
Laisse la délicate trace
Des parfums de l’amour
Et leur regard à eux
S’éclaire de découvertes
De leurs deux corps
Sur le chemin de lumières
Poudrées d’or sublime
>Joao Soares:
Bonsoir Joao, merci de t’exprimer en français. Je te souhaite la bienvenue et te remercie pour ce lien et ton compliment. Malheureusement, je cne comprend spas le portuguais. Au plaisir de te revoir.
Un arbre tendre. Il a voulu pousse autrement. Plusieurs chemins menent au ciel. Chacun a son propre ciel. Merci pour l’elegance, la souplesse, la caresse de cet arbre. Sincerement, Frederique.
>Frédérique:
C’est juste d’évoquer la douceur, la tendresse de la courbe. Cet arbre a poussé comme il l’a senti et bien lui en a pris car il nous offre un pur plaisir visuel. Sincères amitiés à toi.
Qui a dit
Que les arbres poussaient droits
Comme les i ?
Ils aiment aussi se coucher
Longuement ramper
Caresser les mousses
Cueillir les confidences
Au ras des oreillers.
En un mot
N’en faire qu’à leur tête.
Pris d’un élan soudain
Se relèvent se montrent
Se poussent rivalisent
Se cambrent et s’érigent
Amoureusement.
Ils gagnent les hauteurs
Vers la lumière
Portant leur canopée fiérote
Avec langueur.
>Pierre (2):
Magnifique poème plein de sensualité sur la douce courbe de cette arbre qui ne pouvait que t’interpeller. On se demande comment il a pu prendre cette trajectoire. Quelque chose a dû le gêner, je suppose. Cet arbre semble bel et bien vivant sous tes mots. On a l’impression de le voir s’étirer vers le haut. Un grand merci pour ta belle plume généreuse.
> Ossiane, rien ne gêne cet arbre. C’est une sorte de bouture naturelle du pied-mère (situé sur notre droite). Les basses branches de ce cyprès-mère se courbent, touchent terre et s’enracinent. On voit parfaitement ceci sur ta photo et, en particulier, la liaison avec le pied-mère. La branche ainsi enracinée devient pousse, se redresse et continue de croître par son apex. C’est une sorte de marcottage. Tout autour du pied-mère se crée ainsi un bosquet qui deviendra une forêt en miniature. Ici, à Anduze, le phénomène s’est, je crois, répété une deuxième fois, produisant des marcottes de marcottes!
Toutes ces explications vont décevoir nos ami(e)s poètes sans aucun doûte mais pour les consoler, nous pourrions les inviter à méditer sur le thème suivant: poésie et réalité. Un beau sujet, n’est-ce pas!
>Pierre (2):
J’apprends deux choses dan ta réponse. L’identité de l’arbre qui m’avait échappée et cette histoire de marcottage. Je ne suis pas du tout déçue de ta réponse. L’inventivité de la nature m’impressionne toujours. C’est une forme d’art aussi. Merci pour ce partage de connaissance. Toi et François êtes mes botanistes attitrés;-)
> Merci, Ossiane, pour la promotion et heureux de la partager avec ce cher François. Je tenterai d’en être digne!