N’oubliez pas de cliquer sur la photo pour voir le panoramique
Lecture du Haïku Calligramme: du premier plan vers le fond.
Dans le bleu saphir
Sur les vagues engourdies
Je m’évapore
◊ Photo du lac de Lugano prise du belvédère de Sighignola surnommé « Balcon d’Italie ». A droite, le lac Majeur. C’est un très beau promontoire à 1.302 m d’altitude, à cheval entre la Suisse et l’Italie depuis lequel on a une vue étendue panoramique sur les massifs alpins et les grands lacs. Voici la deuxième moitié du panoramique.
L’horizon déploie
L’étole impatiente
De la civilisation.
Le velours des instants
S’épanouit au théâtre
De cette union.
Horizon bleuté
Vertige du panoramique
En beauté tu plonges.
Aux caprices du bruit,
La Nature se fêle
De révérences.
Tes yeux murmurent
A mes mains de peupler
Les vallées de ton corps.
Le long ruban du lac Majeur
Serpent d’eau qui lentement se love
Sous un ciel bleu teinté de mauve
Au pied de montagnes pataudes
en Immobiles vagues émeraudes
Semble un chemin de vrai bonheur
Le suivant nous irons aborder
Aux merveilleuses îles Borromées
Aux jardins luxuriants et parfumés
A la beauté florale inouïe
Tandis qu’enchanteront notre ouie
Une chorale d’oiseaux-orchidées
Et du haut du « balcon d’Italie »
En contemplant émus et ravis
Un paysage si doux que notre vie
Dont l’âme s’évapore au soleil
Se rêve un songe sans pareil
Où douceurs et beautés s’allient
Le lac Majeur ouvre son coffre
Cette écharpe de vert soyeux
Qui a la couleur de tes yeux
Je la prendrai dans ton regard
Cette parure d’eau de brocart
Est une étole que je t’offre
J’ai demandé à ma concierge ce qu’elle pensait de Lugano, elle m’a répondu qu’elle ne connaissait pas cet auteur…
Du bleu dur
Au bleu azur
Que de murmures
ECLIPSE
Eclipse énigmatique
Venue des feux célestes
Danse méphistophélique
Ou festin fantasmagorique
Le ciel invoque la clémence
La fraîcheur de l’air le nectar
L’obscurité le mystère
Et la lueur divine la démence
Dans deux minutes le soleil
Se lèvera pour la moisson
Et fera naître la lumière
Entre ses doigts de magicien
la montagne
chuchote
à l’eau qui
murmure
son ciel
une vue vertigineuse sur un paysage somptueux.
Tu t’es donné la peine de monter en haut du belvédère, et cet effort fut grandement récompensé. D’ici, la civilisation est minuscule et se perd dans la nature.
je t’embrasse.
en camaïeu de bleus,
en succession de bosses,
les doigts d’eau tapis.
Chère Ossiane,
tes photos de Lugano sont splendides !
Quelle chance d’y être allée !
Ce vert émeraude étincelle,
Lugano, ville merveille,
Entre « mar y munt »*,
Je m’éclipse…
Bises à vous tous mes Amis et surtout à notre hôtesse Ossiane,
OLIVIER
* »Entre mer et mont » en catalan.
Eclipse
comme un papillon dans l’éther crucifié
se moque des empreintes du temps qui passe
Tu écoutes,
Toi, le Gardien des détroits interdits
Toi, le Magicien aux portes de l’irréel
battre le pouls de nos vies sans rêve
dans l’univers fatal qui nous a mis en cage
mais un soir, pourtant, dans la vague des nuances
dans la fragmentation de la lumière à l’ infini
alors que vibraient les dernières lueurs du crépuscule
mon âme, sans un soupir et sans un mot, s’ éparpilla…
rect. a mis en cage
merci Ossiane
Bonjour. Merçi pour ces beaux paysages et pour le précédent la région de Lugano. Les pays méditérranéens se ressemblent tous et sont baignés par cet mer bleu qui les unis et les rends attirants. Toutes ces couleurs de rouge, des toits à l’anciennes nous changent de ces grand s immeubles. Ces petites maisons aus toits pointus à l’anciennes nous montre que les gens d’ici sont restés un peu nature. La province est restée belle car elle est entretenu par le soleil qui m’intiends ces gens de bonne humeur. Les provinciaux sont des bons vivants, nature sans chichis, pasb comme nos fameux Parisiens qui jouent les chics du style nous n’avons pas les mêmes valeurs et nous regardent toujours de haut. J »aimais les Corses qui me faisaint beaucoup rire. J’ai employé le passé parceq ue la Corse a changé elle tue la différence et ce n’est pas beau. Dommage pour l’île de la beauté s’est le comble. Bonne journée chez vous et bons bisous du soleil levant.
Protégée
L’eau s’épanouïe
Dans son cocon émeraude
Yo-cox
http://photo-passion.blogspot.com/
Sur le tapis vert
De l’immensité
L’Humanité joue aux dés.
J’irai peut-être un jour
à Lugano,écrin
de verdure,îlot
et de tout mon coeur
je prierai,Tessin
que la beauté,halo
de lumière,toujours
éclipse nos chagrins
et nous jette,dévots
à tes pieds
monde de merveilles
LUne quand tu joues ton quart
GAlopent nos émotions
NOus frissonnent de beau
Sous le masque impossible
De cette foliation,
L’audition de la Paix.
Et assis tout là haut
Les pieds pendants
Sur notre petit nuage
On regarde cet écrin
Nos yeux plongent dedans
Et nos mains qui se serrent
Se déserrent et se serrent
Douces promesses au temps
Le lagon a bercé
Dans ses bras le secret
De notre renaissance.
Ces paysages sont superbes
Et si frais,
Dans la monotonie
De la chaleur de l’été
Qui part et puis revient
Je plonge
Dans ce bleu saphir
De tes vagues
Où tu nous a invité à rêver
Je lis ces beaux commentaires
On sent une grande paix
Que ces belles photos
Donnent des ailes à l’imagination,
On reste sur place
Mais notre imagination
Est bien au belvédère de Sphignola.
De sa loggia,
Lugano prend les traits
Des Amants de Vérone.
Quand s’affranchira le Temps
De l’onde pétrifiée,
Nous serons quittes.
La pierre,
précieuse évaporée,
caprice au lointain clair,
intense transparence.
Bleu plus bleu que le bleu
de tes yeux? Bleu profond,
en son regard se noie,
entend la vague étale.
Absente trajectoire
essaie de décrypter
éclipse, corindon…
Est-ce engourdir mon âme,
saphir panoramique,
un nuage immobile?
Du balcon d’Italie
Les montagnes et les lacs
Avec leurs entrelacs
Quelle leçon de géographie!
Le soleil eclipsé
Le ciel brumeux
Se dilue et se voile
Estompe dans le paysage.
Et de ce toit du monde
L’on voit partout
La vie humaine s’accrocher
Comme elle peut
Dans les replis et les creux
S’y logeant douillettement.
Toujours tes photographies qui donnent beaucoup de sérénité de douceur
bises Ossiane
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>>>>>> Grosse coupure de réseau pour moi depuis ce matin… d’où mes commentaires retardés. Voici la première tournée de mes réponses. La suite dans quelque temps…
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>Les larmes du phoenix :
Toujours de très beaux haïkus imagés. Je suppose qu’il y en a un pour chaque photo. En tout cas, je les perçois comme çela. Bonne journée et merci.
>Annie-Claude :
Oui Annie-Claude, j’ai failli appelé la note « Plongeon » 😉 Merci pour ton haïku vertigineux. Je t’embrasse au pays des lagons.
>amichel :
Tu es vraiment tombé sous le charme de ce lieu, Michel 😉 Paysage envoûtant au long ruban vert. Petite rectification cependant car je me suis sans doute mal expliquée. Ce serpent émeraude est toujours le lac de Lugano. Le lac Majeur se trouve en petit par delà les vagues de montagnes sur la droite. Le lac de Lugano est draîné par la Tresa qui conduit au lac Majeur. Lugano est une ville de 25000 habitants. Ce n’est pas grave du tout et cela n’enlève rien à la beauté visuelle et à la douceur de ton poème. Merci beaucoup pour cette somptueuse écharpe de mots qui ensorcèle. Je t’embrasse.
>Bonbonze :
😉 En tout cas, j’aimerais bien savoir l’origine du mot « lugano ». Si parmi vous, certains ont la réponse, je suis preneuse. Merci pour ta visite.
>sven :
Superbe poème, tu as vraiment plongé dans ces vagues d’infini, tel ce papillon assoiffé de lumière et de rêve. Très belle image que l’âme qui se dissème dans la lueur du crépuscule. Un moment unique de la disparition. Merci sven pour la sensibilité de tes évocations. Je t’embrasse.
>Maria-D :
Voilà que tu nous proposes deux exercices de style bien différents 😉 Tu as raison de te frotter à plusieurs approches. Leurs points communs, les rimes et une atmosphère empreinte de mystère. Ambiance ésotérique pour cette éclipse, sensations de l’invisible et l’impalpable, magie de l’instant. La lumière va bientôt emplir le monde de l’ombre. Merci Maria pour ton écriture fertile et magicienne. Bises de là haut.
>Annick :
Un joli partage Annick pour cette osmose entre l’eau, le minéral et l’air. Ce paysage n’existerait pas sans cette symbiose parfaite. Je t’embrasse et te remercie.
>james :
Oui james, c’est l’un des plus beaux panoramas que j’ai jamais vus. Tu as bien compris ce que je voulais faire passer. De là haut, on se sent éphémère et poussière d’homme immergé dans cette belle nature généreuse. Merci d’être venu, je t’embrasse.
>brigetoun :
Quelle image étonnante ces doigts d’eau bleus ! Je regarde la photo d’un autre œil maintenant 😉 Merci pour ce bel haïku. Bises à toi.
>Olivier :
Oui Olivier, je mesure la chance que j’ai eue de séjourner là-bas. Malgré les quelques images négatives que la Suisse véhicule, c’est un endroit de rêve où je retournerai volontiers. Merci pour ton poème étincelant; j’espère que tout va bien de ton côté. Bises émeraude.
>Yo-cox :
Bonjour yo-cox, j’espère que tu vas bien 😉 Merci pour ce poème très bien senti. Les montagnes protectrices enserrent le lac dans son écrin émeraude et lui permet de resplendir. Bises du lundi, merci.
>les larmes du phoenix :
Le regard d’un dieu sur l’humanité à ses pieds dans ce bel haïku. Belle image que ce jeu de dés à propos de la vie humaine. Merci beaucoup.
>feu romeo :
Comme toujours, tu nous proposes un poème original au niveau de sa forme et de son rythme grâce à cet arrêt au bord du vers suivant. C’est comme si on était au bord du précipice à admirer sans retenue les merveilles de la nature. Lugano te fait chavier toi aussi 😉 Bien à toi, je t’embrasse.
Facile:
« Le toponyme « Lugano » dérive du nom commun latin lucus qui signifie « bois sacré » ou bois en général; à l’origine, Lugano se serait donc implantée auprès d’un bois. »
Aucun mérite, j’ai Internet à la maison :-))
eaux de source
dans l’eau au coeur de jade
écho lisse et opaque
mes mots galets roulés
dans l’eau de vert-pré
écho clair et sonore
mes mots acidulés
dans l’eau de l’émeraude
écho de pierre taillée
mes mots perles nacrées
dans l’eau de port lointain
écho de vents marins
mes mots bulles d’air frais
dans l’eau claire des lagons
écho des farandoles
mes mots îles flottantes
dans l’eau pure de la source
écho d’or des sésames
mes mots chant de voyelles
A Lugano
Mon blues chronique
S’éclipse
>Annick :
Merci Annick pour l’acrostiche en tiers et pour ta tendre rêverie poétique au bord du nuage. Bises du soir.
>Les larmes du phoenix :
Les quatre haïkus en ont appelé quatre nouveaux tout aussi beaux, à découvrir dans l’ordre des photos. Merci à toi.
>Cristina M :
Ca me fait vraiment plaisir que tu accroches aussi bien à ce paysage. Je craignais qu’il ne vous lasse pour la deuxième partie du panoramique. Je vois que non et je constate que vos poèmes sont toujours aussi inspirés. Merci de jouer le jeu avec autant d’élégance. Je t’embrasse claeureusement, Cristina.
>Bernard :
Un très beau poème sur la transparence du saphir, la signification du bleu. Je décèle quelques questionnements sur l’éclipse et les mots de mon haïku. Le mot Eclipse amorce une transition vers un autre ailleurs. Il s’associe avec « évapore », verbe que j’ai choisi car il faisait très chaud. J’ai même pensé à mettre « vagues de chaleur » 😉 « Engourdies » car les vagues sont minérales et donc statiques. Comme quoi, les poèmes peuvent être composés à partir de sensations toutes simples faisant partie de l’ordre du vécu. En tout cas, c’est comme ça que je fonctionne souvent. J’espère avoir répondu à tes interrogations. Un grand merci à toi. Bonne soirée.
>pierre (2) :
Merci de nous livrer ton beau regard de poète et de géographe dans ce poème. J’aime bien ton expression « toit du monde ». On se sent effectivement observateur de l’activité humaine qui choisit ses endroits préférés pour se lover. Quelque part, c’est attendrissant. Bonne soirée, je t’embrasse.
>Bruno :
Bruno, je ne fais pas dans la violence 😉 Ce n’est pas vraiment mon truc 😉 J’espère que ton bobo se soigne bien. Bises à toi.
>Bonbonze :
C’est vraiment sympa d’avoir cherché pour moi l’origine de « Lugano ». Cet environnement boisé est toujours d’actualité des siecles après. Ca rassure un peu quelque part. Merci et bonne soirée !
>bouldegom :
Formidable poème autour du vert de l’eau que tu déclines en différentes teintes. Nuances qui évoquent des choses très différentes dans chaque strophe. La première strophe est très zen, la deuxième est campagne, la troisième évoque la pierre taillée, la quatrième est marine, la cinquième est paradisiaque, et la dernière est chant de la poésie. Bravo à toi, ton poème est très graphique. Je t’embrasse.
>Maria-D :
C’est chouette Lugano si le blues disparaît 😉 Beau parallèle avec mon bleu saphir. Bises et merci.
notre souffle respire
au dessus du lac vert
cet air si apaisant
de ce moment présent
« Je ne cherche pas la définition, je tends vers l’infinition. » Une enivrante pensée de Paul Klee qui m’a marquée, et qui rôde sur tes photos…
Soyons admiratif, Apollinaire
Ce calligramme est merveilleux.
Flânons dans la légèreté
La mer étincelle
Le soleil éclaire les bois
Ce bleu du ciel , fête de la lumière
Eclipssons nous……
Bonne nuit Ossiane
Région tout simplement merveilleuse.
et ce merveilleux est bien transcrit dans ton Haïku-calligramme.
Mais qu’éclipse-t-il ? Le paradis ?
Le bleu
le bleu de l’immensité, le bleu ne représente rien concrètement. Il génère une impression d’espace, de distance, de pureté. Il est le mouvement qui élargit, qui élève, il ne s’enferme pas, il est la conversation sans le carcan des mots, le bleu de l’encre, le bleu de l’écran, le bleu du vague à l’âme… dilué , il parait inquiétant, le rêve, le souvenir, apaisant, il peut à la longue inviter à la mélancolie, à l’intériorité… insaisissable, insondable bleu…
Vague à l’âme
Dans cet univers bleu Klein
Le rêve s’installe
Comme le vitrail cathédrale
sait en s’épanouissant
ce bleu et l’éclat divin
dont il sera amant
Ainsi ton œil émérite
avait songé d’avance
d’être le doux miroir
de nos instants si pleins
Ossiane tu es la fée
de nos âmes éclairées
cela suit son cours, je suis un peu moins présent mais je lis beaucoup et je commente un peu moins. Je prépare un nouveau post même si pour l’instant je suis fort occupé avec mon nouveau site mais je n’abandonne absolument pas l’écriture une fois ce petit problème réglé cela va partir de plus belle.
Je sais que tu ne fais pas dans la violence.
Je t’embrasse à bientôt
Ossiane, c’est magnifique, merci.
On…je …reste sans voix devant un tel panorama, j’aime ces courbes , ces couleurs , passer des verts aux bleus…et m’évaporer.
Tant de bleus sur ton blog.
Tout le monde s’est plongé dans le bleu.
Bleu plus bleu que le bleu de tes yeux? (Bernard)
La verité c’est, comme a dit Cristina M., nous sommes tous au belvedère de Sphignola, avec toi Ossiane.
Merci.
un bel écrin
écrin de beauté
beauté entre montagnes
montagnes et lac
lac en écrin
des ricochets d’oiseaux
ailent des cordes musique
ils se laissent planer
d’un flanc à un autre
les notes se cristallinent
avec l’écho si tendre
Vos panoramiques me font voyager … J’aime bien .
un jour ou l’autre…
le soleil un jour pour nous aussi s’éteint
personne ne viendra nous prendre la main
les pierres s’enfonceront dans nos pieds
plus personne dans nos coeurs à convier…
plus de soleil, plus de pierre, pour s’attarder
plus de lumière, plus d’ombre pour nous diviser
plus aucun repère aux croisements des chemins
plus de pierre pour graver nos noms et nos destins…
éclipse de lune
mascara de carnaval
gondole à venise
A Sven
Toujours, tu me touches très fort en mon âme dans tes écrits
Et là encore une fois, je lis et je relis, j’ai une boule dans la gorge, les larmes aux yeux et pourtant je ne suis pas triste, Mais…. je pleure.
Connais-tu cela ?
C’est un poèmes que j’aime beaucoup et que je lis très régulièrement.
Je t’en fais cadeau
De coeur à coeur
Maria
LE PROGRAMME EN QUELQUES SIÈCLES
On supprimera la Foi
Au nom de la Lumière,
Puis on supprimera la lumière.
On supprimera l’Âme
Au nom de la Raison,
Puis on supprimera la raison.
On supprimera la Charité
Au nom de la Justice
Puis on supprimera la justice.
On supprimera lˆAmour
Au nom de la Fraternité,
Puis on supprimera la fraternité.
On supprimera lˆEsprit de Vérité
Au nom de lˆEsprit critique,
Puis on supprimera lˆesprit critique.
On supprimera le Sens du Mot
Au nom du sens des mots,
Puis on supprimera le sens des mots
On supprimera le Sublime
Au nom de l’Art,
Puis on supprimera l’art.
On supprimera les Écrits
Au nom des Commentaires,
Puis on supprimera les commentaires.
On supprimera le Saint
Au nom du Génie,
Puis on supprimera le génie.
On supprimera le Prophète
Au nom du poète,
Puis on supprimera le poète.
On supprimera les Hommes du Feu
Au nom des Eclairés
Puis on supprimera les éclairés.
On supprimera lˆEsprit,
Au nom de la Matière,
Puis on supprimera la matière.
AU NOM DE RIEN ON SUPPRIMERA L’HOMME ;
ON SUPPRIMERA LE NOM DE L’HOMME ;
IL N’Y AURA PLUS DE NOM ;
NOUS Y SOMMES.
Armand Robin / Ma vie sans moi / Poésie Gallimard
Ma petite Marie à moi,
si tu as envie de pleurer, pleure… et quand tu auras vidé toute les larmes de ton coeur, quand tu auras totalement vidé ton esprit de ses chagrins, de ses peines qui viennent comme ça, comme un raz de marée nous emporter, quand les larmes auront noyé toutes tes aspirations, toutes tes joies au quotidien, quand tu n’auras plus assez de volonté, , quand tu seras complètement silencieux à l’intérieur de toi, dans un total abandon, alors sous la poussière des journées ensevelies, la beauté et l’amour renaîtront… quand tu ne chercheras plus, quand tu ne désireras plus, quand tu ne poursuivras plus rien, l’amour et la beauté seront là. A Marie-D, sven
Merci et douce nuit.
Maria
éclipse
des vagues de larmes
obscurité d’ outremer
mots à la dérive
abysses inconnus
surf sur la crête des flots
regard hors de l’eau
reste de lumière
camaïeu de bleus célestes
éruption de l’énergie
magique sven et maria D..je vous lis toujours avec plaisir….
tandis que je glissais une phrase,
tu écrivais un bien beau poême bouldegom. Merci.
A Maria-D
le plus beau des cadeaux n’a pas jamais de papier…et le plus beau des cadeaux ce soir, c’est le tien. Merci.
Avec mes semblables
je m’élève vers le soleil
Petite bulle de vie
ps : merci Ossiane pour ce petit bijou comme je les aime
du camaïeu de bleu, aux lignes du haiku, tout nous emporte vers le ciel
les poëmes, sa rend la vie plus belle, sans faire partie de la vie elle m^me, les poëmes c’est les rèves, et les rève c limaginaire, a un moment i faut reprednre contact ac la réaliter avant de décrocher, je c ke révé c beau, mais comme de tout, fo consomer ac moderation. chapeau kmeme, c bien écrit, ya ke des sentiments pour exprimer sa!
Quel beaute dans les photos, et dans votre poesie.
Cette photo me donne un grand sens de paix, comme je suis perdu dans le bleu et dans les vagues…c’est comme un reve!
Le bleu de l’eau
et le vert des montagnes
s’unissent et transforment
le paysage en une oasis.
J’aime poème. Il tre tre bien.