En Pente Douce

N’oubliez pas de cliquer sur la photo pour découvrir le panorama.
Paysage des Cévennes

La Peau Laiteuse, La Courbure d'une Epaule, Le Corps se Dévoile.

* Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas.

La Peau Laiteuse
La Courbure d’une Epaule
Le Corps se Dévoile.

* Photo des Cévennes prise dans les environs d’Anduze.

* J’adresse un clin d’été amical à James qui nous a rejoint il y a quelques semaines. Il va bientôt quitter Paris pour le sud afin d’accompagner L’Ensemble intercontemporain de Pierre Boulez au Festival d’Aix. Vous pourrez découvrir ses très belles photos en visitant son blog intitulé « Le Regard de James« .

39 réflexions sur « En Pente Douce »

  1.  » impression soleil couchant  »
    ( titre d’un tableau de claude Monet )

    Impressionnistes:
    est dû a un commentaire (sarcastique)qui a changé le monde des peintres et donné aux peintres impressionnistes leur noms
    un journaliste de l’époque ( M Leroy ) a eu le trait de génie ( alors qu’il n’avait abordé l’exposition qu’avec un oeil critique ) de faire un papier pour commenter l’expo

    on sait à présent que ce jeune mouvement de peintres à transformé l’avenir et assuré a ces peintres une postérité sans limite!

    et quel bonheur d’avoir dans notre présent des photographes de talent

    bonne nuit
    jane

  2. Les montagnes

    Les montagnes
    sont puissantes,
    sont ravissantes,
    elles gardent
    des mystères,
    des secrets

    Au petit matin,
    quand
    le soleil vient,
    en les voyant
    le coeur chante,
    s’enchante…

    Mais, à la fin
    du jour
    quand
    le soleil s’en va
    en les regardant
    nous vient
    la peur
    au coeur…

    Non, Ossiane, je ne suis pas française.
    Je suis une brésilienne qui amoureuse de la France, de la langue française, des français.
    C’est un amour platonique parce que je ne connais pas ton pays.
    Oui, oui, je le connais un peu, j’étude la langue, l’histoire; je voyage … sur l’internet, je me correspond avec une amie française (faite sur l’internet), je lis plusieurs blogs français, parmi lesquels je lis ton blog, parce qu’il est très agreable, très poétique, et les commentaires aussi.
    J’aime la poésie, j’écris de la poesie depuis mon enfance, mais , en portugais.
    Moi, je pensais que j’étais la dernière romantique, mais tes photos, tes poésies, les commentaires, m’épreuvent le contraire.
    Pardonnez-moi les fautes, je suis toujours une étudiante et pour ça j’ai le droit de l’erreur.
    Avec amitié
    Neyde

  3. Bien au delà de ton élégante et savoureuse promotion de mon blog, je suis particulièrement touché par la sensibilité et la délicatesse de cette note.
    Image et Haïku, une harmonie et un sourire qui me font tout simplement « craquer ».
    Merci Ossiane, pour ce raffinement que tu m’offres.
    Douce nuit à toi.

  4. ah !Neyde quel poème charmant
    —————————
    pour évoquer avec de simples mots
    l’envoutante montagne du jour
    et celle inquiètante de la nuit…
    on devrait l’apprendre aux enfants ..bouldegom svp!
    la musique vient du Brésil .
    —————————————-

    « L’été en pente douce »
    Le ciel se laisse aller
    A caresser
    L’épaule douce et ronde
    D’une tendre montagne
    Que le soleil a dénudée
    Une source en rit
    Sous l’herbe cachée
    Tandis qu’un frais ruisseau
    S’empresse de le colporter
    Aux prés de la vallée
    Et le faucon qui plane
    En est tout étonné
    Les feuilles d’un vieux chêne
    Se mettent à trembler
    Les fougères entre elles
    Commencent à chuchoter
    Un vent léger
    Tend l’oreille
    Mais le ciel laisse faire
    Sa montagne lui plaît
    « L’été en pente douce »
    Il la couvrira de baisers
    Avant de poser
    Sur son corps nu
    Une étole de gaze
    Aussi ténue que bleue
    Pour la protéger
    Des feux du soleil jaloux
    Le ciel des Cévennes
    Est un amant très doux

  5. en pente douce

    avant d’être ensevelie
    sous la terre d’ombre
    prends tout le soleil
    qu’il nous est donné
    repliée comme un foetus
    sous le voile du linceul
    réchauffe toi encore
    de mon regard de braise

  6. Paysage qui se cambre de la terre aux étoiles
    Habité de sanglots et de trilles et de libertés nues
    Ta poitrine verte entre des deux épaules
    Entrouvre l’horizon du jamais ne s’achève
    Les vers en pente douce des coupes d’amertumes
    Qui ouvrent les portes de chair de l’entrée du monde

    Bruno(2)

  7. En pente douce je descends dans les trépas de mon imagination en courbe de proses corps nature afin de dévoiler
    en ombre pénombre l’imagination de mes fantasmes . Je debrise le vent pour éclairer la sublimation de la brume
    afin de faire apparaître un visage éphémère.
    Ton calligramme est superbe comme d’habitude . Merci pour ce moment de sérénité.

  8. Sur mon chemin de Crète,
    il y a de sombres vallons et des zones de soleil.
    Il y a des maisons dans la lumière et d’autres nichées aux creux de la montagne,
    Temps d’une halte.

    Sur mon chemin de crête…
    Vous que j’y ai croisé,
    que savez vous du voyageur ?
    Et moi que sais-je de vous?

    Dans le lever du jour ou dans le couchant,
    Sous le soleil de midi ou dans le bleu du soir…

  9. la montagne et le ciel ont des airs d’amants de Schiele parfois, dans leur dénuement
    la montagne se tend

  10. ************************************************************

    >Aux participants de l’initiative « A vos Plumes » :

    Je lance un appel pour un duo poétique avec moi pour ma publication de dimanche soir à minuit. Il suffit de m’envoyer un mail pour me dire que vous êtes intéressés.
    A partir de là, je vous départagerai en fonction de mes critères.

    Profitez bien de ce beau soleil.
    Mes commentaires suivront un peu plus tard.

    Ossiane

    ************************************************************

  11. latence poétique

    tu suivrais du regard la courbure
    et laisserais s’éloigner son épaule

    tu trouverais les mots du désir
    et ne caresserais pas sa peau

    tu chanterais la beauté de son corps
    et ne cesserais de la couvrir de voiles

    tu saurais dire les vagues du plaisir
    et jouerais sans fin l’absence et l’attente

  12. >jane :
    Il est très beau ce haïku ; je l’aime beaucoup. Le I n’était pas facile non plus à décliner.
    Merci pour ces infos sur l’origine du mot impressionniste. Je ne onnaissais pas cette anecdote.
    Merci égalemnt pour toute l’énergie que tu mets à rendre ce blog vivant. Ca me touche particulièrement 😉 Bises vers ta Corse. Bon week-end.

    >Neyde :
    Bonjour Neyde, je me souviens bien de toi 🙂 Je te vois avec grand plaisir débarquer du Brésil avec ce beau poème plein de sensiblité sur ces montagnes mystérieuses qui vivent leur vie au rythme du soleil. Nous aussi par la même occasion 😉
    Je voulais te dire aussi que je suis éblouie par la qualité de ton français, ton intérêt et ton amour pour notre pays. Cet amour platonique doit bien venir de quelque part. Ca ne se décide pas comme cela. Peut-être notre littérature y est –elle pour quelque chose…
    Tu habites également un très beau pays à multiples facettes que j’aimerais connaître davantage.
    Je serais très heureuse si tu décidais de nous rejoindre et de participer à nos écrits. Ce partage poétique à l’autre bout de la terre serait formidable. A très bientôt, poétesse romantique. Il ne faut pas voir peur de le dire 😉 Je t’embrasse chaleureusement depuis un petit coin de France ensoleillée.

    >James :
    J’aime tes photos, ce que tu cherches à exprimer et la sincérité de tes mots. Il m’a paru naturel de faire connaître la qualité de ton travail photographique. Je fais des clins d’œil amicaux aux nouveaux venus. Il y en a pas mal en ce moment; c’est une bonne chose. En attendant, je te souhaite une bonne route vers Aix et dis à très bientôt.

    >amichel :
    Pourquoi appelles-tu Bouldegom à propos du Brésil ?
    Superbe pour ce premier jour des vacances ! Un beau poème plein de douceur et de sensualité. autour de cette montagne qui se dénude. Un jeu de cache cache avec le ciel, le soleil, le ruisseau, les prairies et les animaux de la vallée. J’aime bien cette idée que tu as eue de faire participer la nature à ce jeu amoureux. Merci beaucoup pour cette belle caresse poétique. Ta plume est toujours aussi belle. Je t’embrasse.

    >boudegom :
    Ce poème est plus sombre puisque ce voile t’évoque un linceul et cette pente douce un départ vers une mort prochaine. Capturer les derniers rayons de la vie pour mourir en paix. Tes mots sont bouleversants, tu sais. Merci beaucoup pour tes mots sensibles.

    >Alain de la communauté :
    Bon week-end, angel !

    >Bruno (2) :
    C’est encore une fois un très beau poème qui me touche. Tu t’es vraiment immergé dans les deux photos pour pouvoir écrire cela. J’aime bien cette idée d’horizon qui jamais ne s’achève et ce parallèle entre la montagne et le corps d’une femme.
    Merci beaucoup Bruno pour cette belle écriture en pente douce. Bon week-end !

    >Bruno (1) :
    Les Bruno se suivent en pente douce 😉
    De la lumière vers l’ombre. Une belle pente douce au fin fond de ton imagination et de tes fantasmes avec ce corps que la nature dévoile. Ton regard sculpte la lumière de la brume pour y esquisser un visage fugitif. C’est une bonne idée aussi d’avoir chercher à donner une identité à ce corps. Un grand merci de nous d’extraire ainsi les particules poétiques de ton imaginaire fébrile 😉 Je t’embrasse.

    >Lyriann :
    Contente de te revoir 😉 J’espère que tu vas bien. Tu as déposé une très belle phrase. J’aime cette image de « vallée intérieure ». J’espère la tienne est riante et sereine. Bien à toi. Bises des Cévennes.

    >Candide :
    Comme d’habitude, tes petites déclinaisons poétiques me ravissent 😉 Elles sont pleines de fraîcheur, de simplicité mais aussi de gravité. Elles interrogent le paysage pour le mettre en relation avec notre statut d’humain perdu dans ce vaste monde.
    Belle image aussi cette fusion entre le ciel et la montagne. Merci d’être aussi fidèle et créative à ces rendez-vous. Bises chaleureuses.

    >Bouldegom :
    Tu as joué avec les mots en parlant de latence. Tu mets donc en parallèle l’approche amoureuse qui finalement ne parvient pas à s’exprimer. C’est habilement fait et comme souvent, tu nous prends à contrepied 😉 Merci pour cela..

    >Brigetoun :
    Je crois que tu es devenue la spécialiste des haïkus en couleurs 😉 C’est très joli et très bien vu. J’y suis très sensible alors continue à ponctuer ce chemin de poésie de tes petites touches. Je t’embrasse.

  13. je rêve
    et je suis bien
    déjà bien
    plus bien encore demain
    ou après après demain
    la courbe de la vie
    l’ horizon infini
    le murmure unique
    ce sublime enlacé
    des tortueux chemins
    qui mènent à cet unique

  14. En pensant à Neyde,je me dis que finalement, mon métier, je parle de celui qui me permet de vivre, est bien utile! C’est une des compensations de voir que quelques intrépides, se jettent dans l’étude de notre langue complexe, et aussi très belle si l’on s’en réfère ce qui accompagne ici même tes haikus et photos.
    J’aime beaucoup cette photo. Peut-être pour les lignes qui s’inscrivent ainsi sur un horizon moins défini, un peu comme un rêve, une lueur qui parchemine notre esprit et nos brumes.
    Je ne saurais te quitter, sans te souhaiter un excellent w.e, et de débrancher la machine, car j’entends le tonnerre pas si loin. Encore de la pluie ce soir? Incroyable, non… On se croirait presqu’en Bretagne!!!
    Bises:)

  15. naissance

    à peine né de ton ventre rond
    entre tes cuisses ouvertes
    je perçois le flou de l’horizon
    je vais glisser comme un poisson
    jusqu’au tendre replat qui m’attend
    là je prendrai une pause un répit
    pour garder au fond de ma mémoire
    les bulles tièdes qui bruissaient
    dans l’eau douce de ton alcôve
    sauras-tu de tes bras puissants
    m’attirer à tes seins tendus
    pour que dans ma bouche goulue
    coule en moi les délices lactés
    qui adouciront pour toujours
    ma vie sinueuse qui m’entraîne
    au-delà de ton corps immense

  16. petit arbre noel,tu es bien courageux
    de pointer vers le ciel ta cîme,seul,curieux
    ou sont tes camarades,la forêt protectrice?
    tu aimes les bravades,te voilà exorciste

  17. >Brigetoun :
    Cette coïncidence est incroyable. Cette ambiance a dû te rappeler bien des choses puisque tu les as suivis. Bien à toi.

    >Anncik :
    Toujours le rêve, Anncik….

    >Alain :
    L’amour que Neyde a pour notre langue doit te faire rêver. Ca doit te donner courage et espoir pour les cours de français que tu donnes aux étudiants mexicains.
    J’ai choisi cette photo pour sa simplicité de forme mais aussi pour son abstraction et ce qu’elle peut évoquer. La matière nuageuse ressemble à un voile. Cet effet est d’autant plus fort que la partie inférieure de la photo est très foncée.
    Bon week-end également et danse sous la pluie. Je t’embrasse.

    >Bouldegom :
    Formidable ! C’est sans doute le panorama qui t’a inspiré tout cela. J’avais aussi pensé à de corps étendu quand j’ai choisi cette photo. Une belle naissance entre ventre rond et horizon. L’idée du poisson et des bulles est vraiment très bien. Beaucoup de sensualité et de générosité dans tes mots. C’est beau. C’est aussi une nouvelle naissance pour toi. Bravo.

    >MTO :
    Un autre regard avec toi. C’est très bien d’opposer la forêt et la nudité des cimes puis de partir sur la glace. Ca se voit nettement sur la photo. Merci pour avoir bien synthétisé l’esprit de la photo, un peu à la manière d’un haîku. Bon dimanche.

    >feu roméo :
    Superbe ce petit poème dédié à ce sapin échevelé et esseulé. J’aime beaucoup. Finalement, il y aura eu trois visions différentes ce matin. C’est très complet. Un bon dimanche également et merci beaucoup.

  18. Le corps de la terre – silencieux – nous change un peu du foot ces temps-ci. La « ligne bleue » de l’histoire est ici bien visible.

  19. Trois monts se succèdent
    Et un quatrième à l’ouest
    Les pentes qui se montent
    Puis se dévalent
    Et encore montent
    Et encore se dévalent
    Ou choisir de rester en haut d’une cime
    De planter sa tente
    Et de regarder
    Le monde se réveiller chaque matin
    Ouvrir ses volets, faire son café
    Les enfants qui se lavent pour partir à l’école
    Les adultes qui se pressent vers leur boulot
    Et en fin de journée les voir tous revenir
    Ouvrir les cartables, prendre la douche
    Le doux repas des parents
    Et puis allumer les lumières
    Et rentrer se coucher pour faire de biens beaux rêves

  20. L’image panoramique me plait beaucoup
    Elle dévoile un panorama grandiose qui va si loin
    Rester au premier plan assis couché

    Et regarder
    Et sentir l’esprit se quitter
    Et planer au dessus des vallées, des monts, des pentes
    Et la main qui caresse le haut des arbres, le nez des herbes

    Rester au premier plan assis couché
    Elle ouvre un horizon magique si beau
    L’image panoramique me plait beaucoup

  21. tellement de beaux textes, et déjà l’image , l’aiku,
    j apprécie énormément le poême de amichel, il est d’une sensibilité qui me plait infiniment…qu il est bon de me poser ici, vraiment..
    et je ne peux remercier qu’encore une fois,pour tout cela..cela me touche énormément..merci d’être là, je respire déjà tant.. une perle c’est inévitable, mais ça va..

  22. Rattraper nos rêves
    Sur la pente douce.
    Courir plus vite que la vie
    Pour les sauver
    Des chutes de l’oubli.
    Défier le vent,
    Les porter aux sommets des montagnes,
    Leur accrocher des ailes…
    Et partir
    A vol de rêve
    Toucher le calme bleu
    Où nous comprendrons nos espoirs…

    Catherine

  23. Tout là-bas, par delà les nuages,
    Par delà les montagnes,
    Plus loin que tes yeux ne peuvent voir,
    Plus secret que l’espoir,
    Plus inconnu encore que le bonheur,
    Si éloigné de tout heur
    Que jamais nous n’osons en rêver,
    Ni même nous l’approprier
    Pour quelques heures de sommeil,
    Nous songeons à ces monts vermeils
    Comme des Everest, des paradis,
    Mais nous ne tenterons pas d’ascension,
    Pas de marche vers cette nouvelle Sion
    Elle est trop secrète, trop mystique
    Pour être découverte, cette terre fantastique
    Là-bas se cache nos rêves, nos âmes,
    Nos maris idéals, nos femmes,
    Tout un univers de liesse
    De joie et d’allégresse,
    De muses et de naïades,
    Des chutes d’eau
    Des collines de verdure,
    Des cris d’oiseaux
    Qui toujours perdurent,
    Voilà l’éternel,
    Nos jardins personnels,
    Nos larmes de jade
    Nos jours d’orangeade
    Nous l’avons tous, il est là,
    Bien en dedans de soi.

    Mais pour moi c’est un hologramme,
    Un décor de vie en filigranes,
    Des paillettes d’or sur le jour,
    Une fée clochette sur le retour,
    Sublimant alentour et plus loin
    Pour échapper au monde, à ses sagouins,
    Et forcer un inespéré “carpe diem”

  24. >Raphaëlle:
    Ca ne m’étonne pas que tu préfères celle-ci;-)) Merci.

    >Argoul:
    Je te réserve un petit coin de solitude sur ces cimes, Argoul. Il faut prendre de l’altitude pour retrouver le silence. Bien à toi.

    >Annick:
    Tu dois être fatiguée ce soir à monter et dévaler les pentes si souvent;-) Merci pour tes poèmes mais attention toutefois à ne pas trop brouller le fil de la lecture pour les visiteurs. Je t’embrasse.

    >Catherine:
    Merci pour cette petite pause poétique dans laquelle tu t’es laissée glisser en pente douce. Vite vite rattraper les rêves avant qu’ils ne s’enfuient. Je t’embrasse fort, Catherine. J’espère que tout va bien de ton côté.

    >Guillaume (2) (anciennement Goumy):
    Merci beaucoup Guillaume pour ce beau et long poème plein d’optimisme et d’espérance. Au creux de chacun d’entre nous existe ce jardin merveilleurs de l’Eternel. Un jardin par delà les montagnes dans lequel les hommes projettent leur idéal, leurs attentes et leurs rêves. Il aide à vivre et à passer les obstacles. Cet hologramme est une belle représentation de ce jardin. Cette image suspendue se nimbe de lumière pour échapper à la froide réalité. J’aime beaucoup ce que tu as écrit. Ton écriture est fluide comme ces larmes de jade. Je t’embrasse.

  25. je je
    jeje
    suis pas fatiguée
    seul ma boule dévale les pentes
    le corps se repose…quoique..
    merci de te penser à ma fatigue
    je vais aller dormir quand même
    car en fin de journée en début de journée
    un Humain va dormir je pense
    je pense à penser de beaux penses
    allez je vais dormir et t’obéis..
    chère ossiane.. bonsoir.. et dodo ohsi..

  26. Merci Ossiane
    Tes mots m’ont laissé très heureuse !
    Le partage poétique est toujours formidable parce que à l’âme aussi, lui faut la nourriture.
    Moi, vous rejoindre et participer de vos écris?
    C’est tentateur mais j’ai peur de n’être pas si talenteuse pour vous suivre.
    Et puis, je ne sais pas comment ces choses marchent, tu peux me dire?
    J’ai fait le premier poème, en français, je souhaite que d’autres viennent.
    Pardon Ossiane,
    Peux-je parler à amichel et à Alain dans ton Blog?

    Merci amichel,
    Ton compliment m’a fait très bien! C’est le prèmier poème en français. Je pretends continuer. Allons voir!

    Alain
    Tu as dit qu’en pensant à moi tu as finalement senti que ton métier est très utile, en compensation tu m’as donné l’envie de continuer à me jetter dans l’étude.

  27. Chère Ossiane,
    Encore un talentueux invité !! j’ai aimé ses photos !! merci James !!
    Désolé je n’ai pas d’inspiration…
    Sauf pour te déposer un baiser,
    et mes amitiés à James,
    OLIVIER

  28. >Olivier:
    Je suis contente que tu aies aimé ces photos. Pas grave pour l’inspiration, Olivier. L’esprit humain n’est pas une machine qui produit de la poésie en appuyan sur un bouton. Bonne journée à toi. Bises bien fraîches. Je suppose qu’il fait très chaud dans ton sud.

  29. Bonjour à tous

    J ai trouvé la photo vraiment incroyable! Le contraste entre les montagnes m’a frappé tres fort. Ca cree une esprit libre. Qu’on peut devenir en haut de la montagne si on essaye tres fort!

    Biz
    Caitlyn

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