N’oubliez pas de cliquer sur la photo pour découvrir le panorama.
* Lecture du Haïku Calligramme: de bas en haut.
Encre Blanche
Jeux de lignes en continu
Le Regard se Noie.
* Photos prises en petite Camargue ou Camargue gardoise.
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Tous ces mots blancs
que je n’ai pas su lire
quand tu m’offrais l’horizon des possibles.
Tous ces mots blancs
où j’hésitais
à reconnaître les lignes du bonheur.
Tous ces mots blancs
en suggestion
où les étoiles scintillaient.
Tous ces mots blancs
lisibles seulement dans mes nuits noires.
Tous ces mots blancs
que je n’ai jamais su mettre en couleur
pour te dire
tout le rouge
dont tu colorais mon coeur.
Catherine
Approches
————
Sommes nous au bout de la terre
Mer et ciel trace l’horizon lointain
Mais le regard est arrêté
Par les lignes des arbres et des joncs
Etapes où la vision d’ailleurs commence
Le paysage parle en entier
Simple et rustique songe
Qui prend son vol dans la pensée
On est au bord des âges
Les hommes se sont levés révélés
Ils ont traversé les vallées d’hautes herbes
Affrontés maints dangers
Et les voilà rendus
Au pied d’un grand lac salé
D’étranges oiseaux aux ailes d’aube naissante
Et aux longs cous de lianes
Ignorant leur approche
S’envolent et se posent avec majesté
Tant de beauté fragile de naturelle innocence
Les fascinent et les immobilisent
Bras levés ils saluent le soleil qui rayonne
Nous sommes à la porte des rêves
Aux prémices du temps
D’une humanité qui commence
A interroger l’Horizon
Au bord du monde
Et nous
Sommes nous à la fin de l’Histoire
Le galop des chevaux
Le vol des flamands roses
Et l’oeil noir des toros
S’évanouiront-ils quelque jour
Dans la danse des vagues
Et les éclats d’écume
Avant l’embrasement des horizons
Sommes nous au bout de la terre
Si l’on n’y prend garde
La fièvre des marais
Attire la camarde
Mais sur le delta secret
Ossiane lance ses rets
Qui protègent les camarades
au soir d’un chemin parcouru
l’expansion dans l’océan?
soupe primitive où dansent les atomes?
de la caverne noire d’où sort un filet d’eau,
sourdre,
par la force de la vie plus forte que la mort
naître et couler dans l’inconnu du jour et des nuits
tant qu’y a d’la vie y a d’l’espoir
roule roule petite boule?
coule coule petite source
et respire quand tu peux
rester dans le flot de la vie
avec toutes les autres petites boules? avec toutes les autres petites sources.
A perte de vue
Chou-fleur blanc des lagunes
et roselières
les chants les plus beaux
sont les chants les plus
désespérés
Sur l’horizon
De céladon
L’oeil ouvert
Au vert
Tire des lignes
Rectilignes
L’eau contre les maux?
Yo-cox
http://photo-passion.blogspot.com/
adoucissantl’eau
du réel
tu ouvres le paysage
quand l’horizon me, te, nous, leur, dira que seul le regard d’un autre peut l’embrasser ???
je trouve vraiment ton cadrage parfait
la nature et vos photos sont toujours resplendissantes chez vous Ossiane. douce journée .
Gérard
si mon âme était un paysage elle ressemblerait à quelque chose de semblable…
… cette eau-là est triste, non pas mélancolique, mais triste oui, un étang d’âme sans doute.
Doux euphémisme
la Camargue sauvage
vert, ocre, pourpre
>Catherine:
De l’horizon et de l’encre blanche, ont coulé ces mots blancs lumineux et limpides comme de l’eau pour dire les regrets. Regrets de ne pas avoir su lire à travers la blancheur, de ne pas avoir mis en couleurs le rouge de l’amour au coeur de la nuit noire. C’est un très beau poème à la fois plein d’émotion, de retenue et de tristesse. Merci beaucoup pour ta sensibilité. Je t’embrasse.
>Amichel:
Tu as réussi à bien exploiter ces lignes d’horizon. On remonte dans le temps avec la vie des premiers hommes qui à partir du moment où ils se sont dressés sur leurs deux jambes pour voir plus loin, ont découvert et inventé le monde. De beaux passages poétiques autour de ce lac salé qui a pu fasciner les hommes. J’aime bien ta comparaison de l’horizon avec le bord du monde. Tu aurais aussi pu donner ce titre à ce poème, non? Enfin, une belle ouverture sur ce que sera demain pour nous les humains au bout de la terre. Merci beaucoup Michel, c’est très beau et émouvant. Je t’embrasse.
>jjd:
Un clin d’oeil poétique amusant avec ces glissements de sonorités et de sens entre « camargue », « camarde » et « camarade ». Je me sens très à mon aise dans cet univers simple et sauvage et je veux bien vous protéger;-) Merci beaucoup pour ta belle plume. Bonne après-midi.
PS: « camarde » signifie la mort.
>Candide:
Superbe Candide cette soupe primitive 😉 Je n’avais pas prévu que ces plans d’eau vous inspirent ces réflextion poétiques. Comme amichel, tu fais un retour dans le temps mais encore plus en arrière. Tu remontes aux origines de la vie qui a pris naissance dans l’eau. Mélange d’atomes avec une force de vivre incommensurable. Depuis, la petite source coule toujours. Merci pour cette belle poésie qui perle sur la page de L’œil Ouvert.. Je t’embrasse.
>Fred :
Le sourire aux lèvres, je découvre ton joli haïku décalé. Vraiment bien l’idée du chou-fleur 😉 Je ne connaissais pas le mot de roselière. C’est donc un lieu où poussent des roseaux. Au fait, est-ce que toi ou quelqu’un d’autre connaît le nom de ces fleurs blanches ? Merci beaucoup Fred pour tes mots. Je t’embrasse depuis la lagune.
>eureka, night bird, roméo :
Curieux cette concomittence de mots mis bout à bout à quelques secondes d’intervalle comme si ces trois noms ne faisaient qu’un. Me trompe-je ?
>L’œil vagabond :
Décidément, j’apprends des mots nouveaux aujourd’hui. Mon Robert ne me quitte pas 😉 «vert céladon » signifierait vert pâle. Je dois être dans la bonne direction et te remercie pour ce poème clin d’oeil tiré au cordeau. Belle patte, Chris !
>Yo-cox :
Jeux de mots, jeux de maux. Oui, je crois que cet élément a un effet apaisant sur nos maux. Tu vas bientôt pouvoir faire un plongeon avec le beau temlps qui s’installe 😉 Merci pour ton passage.
>Bouldegom :
Poème un peu énigmatique, Bouldegom 😉 Merci.
>Alain de la communauté :
Toujours tes idées généreuses de partage, Alain. Dommage que l’horizon ne parle pas. Mais les mots font passer ce qu’on a dans la tête, non ? Bien à toi, angel.
>Emma :
Thanks a lot. Règle des trois tiers.
>Gérard :
Je mets simplement en ligne l’univers dans lequel je baigne et où j’aime évoluer. Je ne suis pas très urbaine 😉 Merci pour ta visite.
>franc6 :
Depuis que je diffuse ces paysages, je te sens très en phase avec ce que je propose 😉 Ces photos ne sont pas anxiogènes 😉 Contente que ça te plaise. Bises.
>Lyre :
Je conçois que tu puisses avoir ce sentiment de tristesse. C’est peut-être à cause de la palette de couleurs grises et de cette eau immobile C’est amusant toutes ces sensibilités différentes. Je ne ressens pas cela. Cette eau me réjouit et m’invite à la rêverie. Bien à toi Lyre. J’espère que les photos suivantes ne vont pas te mettre le moral à zéro 😉 Merci d’être venue.
>Fred (de Toulouse):
C’est sympa de revenir Fred avec ce nouvel haïku clin d’œil à la peinture que j’ai tirée de la photo, non ? Couleurs chaudes mises en avant. Il faut croire que je me sens bien devant ce genre de paysage. J’espère que je n’ai pas déformé ta pensée. Bises en couleurs.
j’aime bien le rythme des plans qui s’étagent sur cette image (la deuxième, particulièrement).
Comme Raphaëlle, j’aime bien le rythme en effet de la 2ème photo.
On a envie de se poser, s’asseoir sur un tronc d’arbre. Et écouter le vent.
Magnifiques radeaux de roseaux où se niche et se cache une foultitude de vies, oiseaux, insectes, canards de toutes espèces,foulques, élégantes avocettes… prodigieux écosystèmes que ces marais longtemps oubliés et heureusement réappropriés depuis plusieurs années et non moins superbe photo panoramique….
En prose en encre Blanche.
très joli, je me suis permis de vous bloggroller car j’aime.
de calmes strates
tendent à joindre
deux douces humidités
de longues bandes douces
s’étalent entre
eau bleu gris, ciel bleu et blanc
toujours pas terrible mais je préfère
mon cheval ma camargue et moi
Très beau paysage. La nature fait aussi bien les choses que les hommes avec leur canal du midi !!!
Je t’embrasse
Judith
Panorama grandiose.
Le ciel, l’eau, la végétation.
La simplicité au service de la poésie.
>Raphaëlle:
C’est bien ce rythme avec un effet de profondeur qui m’a conduit à sélectionner cette photo et puis bien sûr tout ce blanc. Bien vu! Merci.
>UU:
Petite pause récréative histoire de prendre l’air, UU;-) Je trouve aussi que la deuxième photo est plus riche dans la composition.
Alors pas trop dur tous ces montages de meubles? Bises du soir.
>MTO:
J’aime bien quand tu interviens sur ce genre de photos car tu sais toujours retirer ce qu’il y a de meilleur sur la richesse de nos écosystèmes parfois en péril. Tu nous rappelles avec raison que ces environnements sauvages regorgent de vie et qu’il faut savoir les protéger. Ces marais apparemment déserts et anodins sont un réservoir de nourriture prodigieux et un lieu de reproduction pour les oiseaux de passage. Bien à toi, Marie-Thérèse. j’espère que tu commences à t’habituer à ton nouveau lieu de résidence. Tu fêtes ton premier printemps là-bas. Je t’embrasse.
>Bruno:
Bonjour, je vous souhaite la bienvenue;-) Merci pour ce lien et votre compliment. Poète et photographe, vous photographez l’humain souvent de dos tandis que mes paysages sont déserts;-) C’est curieux comme nous sommes attirés par les contraires. Ceci dit, j’ai cru déceler votre passion pour Doisneau. On sent cette influence dans certaines de vos photos. Je reviendrai vous voir. Bonne soirée.
>Brigetoun:
Toi aussi tu fais des brouillons;-) Ca se rejoint dans le premier poème et ça s’étale dans le second;-) J’aime bien les deux douces humidités du premier poème;-) Merci pour cette écriture en direct. Je t’embrasse.
>Yogi:
Sois le bienvenu ici. J’espère que la visite t’a plu.
>Judith:
Je dirais même qu’elle fait les choses mieux quand tu vois la complexité de la végétation, de la faune et de cet équilibre naturel qui régit la planète et que l’homme met en danger. Bises de l’ouest.
>James:
Tous les éléments de la nature sont réunis et sont en osmose. Cette simplicité semble vous toucher particulièrement; vous l’aviez déjà souligné lors de votre dernière visite. Merci pour vos mots. Bonne soirée.
Mystère et Bouldegom Comment se fait-il que nos rêves
soient demeurés ici,
mêlés à la grâce
de nos doigts;
les habits de la chair,
à la clarté du ciel
Comme nous ferons tout avec joie!
Dans les jardins
de l’été,à la tombée du jour,
de main libre
en main libre,nous mettrons
les roses vierges
Tous nous serons seuls.
Les « au revoir » iront
de l’âme à la terre,
du ciel au corps;
rêve dont le réveil
sera un autre rêve.
Comme nous ferons tout avec joie!
Sur les étoiles
de l’été,la nuit,
de fraîche main
en fraîche main,nous mettrons
les belles roses
Juan Ramon Jimenez
oui, c’est vrai, la simplicité que je decouvre dans vos clichés me touche particulièrement. Sans doute une quête, un désir photographique de ma part: la recherche de la pureté et de la sincérité.
Et vos images sont d’une élégance troublante.
Bonne soirée à vous.
>Roméo:
C’est un beau poème; je ne le connaissais pas. Merci.
Tu m’intrigues, Roméo car tu ne réponds pas à mes questions quand je t’en pose. Peux-tu te dévoiler un peu?
>James:
Merci pour votre expication qui me touche. Pourtant, je trouve que la pureté dont vous parlez se dégage de vos photos. Je pense à la photo du violoncelliste. Bonne soirée également.
l’art comme remède aux maux
la beauté c’est ce qui fait plaisir
est-ce vraiment nécessaire de sortir sa carte de visite?De nombreuses personnes ici me sont également inconnues.
vous avez raison roméo, j’ai tellemnt tourné autour de ce sujet « blog », et je vus rejoins, l’essentiel étant que
l’art remède des maux
la beauté c’est ce qui fait plaisir
et peut importe le surnom, le nom..
l’art qui se donne sans vrai nom est encore plus beau encore.. il le fait rien que pour l’art, pour faire plsir et se faire plaisir, sans envie de gloriole, de pouvoir, de trucs bizares d’humains encore une fois..
mais je dois bien avouer qu’ici, il y a des chouettes plumes et je souhaite vraiment que le grand public puissent y avoir accès un jour, dans des livres papiers.. car partger son art quand certains sont aussi doués, c’est beau de beau aussi..
Comme une visionnaire
Tu nous ouvres les horizons
Tes lignes nous guident
Et je t’en remercie ma belle Ossiane.
Bonne journée ensoleillée
Judith
>roméo:
Je suis d’accord le sens de tes deux vers.
Il n’est pas nécessaire de sortir ta carte de visite;-) J’espère que tu n’as pas mal pris ma question. Il est simplement plus facile pour moi de commenter tes messages lorsque je parviens à esquisser quelques uns des contours de ta personnalité. Parfois, j’ai le sentiment d’être à côté dans ma réponse. Fais comme tu le sens. Bonne journée.
>pissenlit:
Je t’ai reconnue;-) Comment dois-je t’appeler maintenant? Ossiane un peu désatbilisée;-)
>Judith:
Tu vois trop de choses en moi;-) Mais il est vrai que j’aime repérer les lignes fortes qui structurent une photo. Ca ne va pas plus loin;-)
Le soleil est revenu et a l’air de tenir bon cette fois. Profite bien. Je t’embrasse ma belle Judith.
c’était juste pour sourire Osseane, bravo de m’avoir reconnue, c’était juste mon premier essai de me trouver surnom
et le dernier essai..
le soleil est là, et faut en profiter, c’est tellemnt bon ce soleil revenu..
pissenlit c’est Annick, et vous tous??
ou vous et d’autres inconnus que vous??
je suis déstabilisée, ossiane
mais le jardin n’est plus mouillé, le soleil chauffe fort, avec des rayons beaux, qui font du bien…
>Annick/pissenlit:
Ce n’était pas bien difficile de te reconnaître,-) Mais pourquoi donc cette soudaine envie de changer de nom? C’est sans doute à cause du retour du soleil;-)
Strates à première vue parallèles…
Illusion d’une nature codifiée…
Je tourne la tête, prends du recul, élargis mon champ de vision et les courbes s’installent doucement…
Le figé commence à vibrer sous les caresses du vent, les fleurs s’autorisent d’ insensibles écarts ….
Je reprends mon souffle, saute sur le dos de l’étalon blanc et nous galopons à contre courant…
Quelques pétales nous accompagnent dans ce désordre improvisé, les herbes tendent le cou , s’enlacent, se mêlent, se démêlent, l’écume colore les plans décontenancés…
Puis, tout redevient calme, serein, apaisé…
Vous avez vu passer une amazone chevauchant une monture blanche?
L’horizon comme frontière entre réalité et illusion?
L’imaginaire au service du plaisir…
Sur mon clavier vient de se poser un pétale salé…
Bonne soirée à tous…
>Kaïkan:
Je suis toute éblouie par la belle page d’écriture que tu viens de déposer ici. Un grand bravo! Avec quelle élégance tu passes de cette nature codifiée et immuable à cet univers de courbes qui frissonnent sous la caresse du vent sous le passage de ce cheval au galop. Cet horizon apparemment banal permet de basculer dans l’illusion la plus totale. Merci baucoup Kaikan pour cette superbe chevauchée fantastique.
Je viens de jeter un oeil à ton blog. Il évolue dans le merveilleux à la vitesse de l’éclair. Je passerai demain puisque tout est fermé la nuit;-)) Je souffle sur ton pétale pour t’envoyer mon amitié.
Ossiane,
Bravo pour ces photos d’un purisme intemporelle
mon cheval trépigna d’impatience,
personne pour lui siffler l’odeur d’une belle écurie,
aucun signal à ses oreilles,
il a cherché partout dans les bullles de soleil,
puis a retrouvé son écurie ici, déçu mon cheval,
non, non, mon cheval n’est pas fou, il rêve cette ballade tout au long de cet étang bien calme, pour courir au galop, trotter, regaloper,
dans une goutte salée,
mais il a foi, mon cheval,
il attend qu’un cavalier lui donne ce signal
pour galoper de vie,
et, déjà je rajoute sur la photo, des arbres pour traverser autour, du ciel bleu pour voir pleins des étoiles, des tapis de feuilles pour qu’il puisse se reposer, des images magnifiques,
et du bon foin, de l’avoine,et puis des descentes de ciel, et puis des cascades aux pépites, et puis des marches au pas de course, et puis des moments arrêtés pour se reposer…
vous aviez vu juste, Ossiane, le vert me lasse, c’est pourquoi mon papillon s’était déjà envolé vers sa lumière…
si j’aime contempler un paysage en me posant sur un tronc d’arbre et rêver, j’aime aussi le vivre intensemment ce paysage, et entrer dans l’image pour de vrai…
Lignes courbes et couleurs douces, ciels et eaux se rejoignent, mais ouvrent l’horizon.
Belles perspectives, qui invitent à penser ou à rêver, au choix, en laissant l’esprit vagabonder…
>Jean-Michel:
Bonsoir. Merci pour votre regard de photographe. Ca me touche beaucoup. Vous êtes le bienvenu sur mon blog. A très bientôt.
>Miel de lune:
Démasquée:-) Ce nom te va pas mal;-)) C’est Kaïkan qui t’a fait partir dans ce galop effréné en écriture;-) Merci beaucoup pour ces jets de mots comme tu les aimes, tel un tableau que tu composes sur la toile et dans lequel tu pénètres. Le pauvre cheval est tout essouflé. Ton papillon s’est bien envolé vers la lune;-) Bonne nuit A….k Je t’embrasse.
>Claude et Elaura:
Bonsoir à toutes les deux et bienvenue;-)
Je vous situe bien maintenant et j’ai remarqué votre belle écriture chez Frédéric Clément;-) J’essaierai de vous faire une visite. Merci encore pour l’intérêt que vous avez pris à mes photos. A très bientôt.
>Annie-Claude:
Un plaisir de te revoir;-) Merci pour cette belle description. Il n’y a rien à ajouter; tu t’es bien immergée dans le paysage. Bonne journée; bises vers Tahiti.
merci d’avoir apprécié mes mots qui avaient envie de continuer un peu les mots de kaikan…l’échappée poétique en plein les gaz bien trop rapide à mon sens..mais c’est bon de changer de style et de partir dans tous les sens.. c’est çà la magie de l’écriture.. ne jamais cesser de rêver avec la plume au bout du doigt..l’écriture mère de tous les possibles…
😉 😉
Clin d’oeil complice à vous !