Parasol

Canal du Midi.

L'Allée des Nuages, les Pins Ouvrent leurs Ailes dans le Matin Bleu.

L'Allée des Nuages, les Pins Ouvrent leurs Ailes dans le Matin Bleu.

L'Allée des Nuages, les Pins Ouvrent leurs Ailes dans le Matin Bleu.

L'Allée des Nuages, les Pins Ouvrent leurs Ailes dans le Matin Bleu.

* Lecture du Haïku Calligramme: de bas en haut.

L’Allée des Nuages
Les Pins Ouvrent leurs Ailes
Dans le Matin Bleu.

* Photos du Canal du Midi prises entre Le Somail (Aude) et Colombiers (Hérault).

50 réflexions sur « Parasol »

  1. Dérive
    ———-

    Sous le grand ciel bleu
    Les pins se balancent dans l’air
    Saluant les bateaux qui passent
    Où des couples s’embrassent
    Dans la lumière et le temps clair
    L’onde verte berce les amoureux

    Au loin la tourterelle appelle
    Roucoulement plein d’impatience
    Auquel répond un même écho
    Qui fait rougir les coquelicots
    Qui écoutent dans le silence
    Troublés par leurs battements d’ailes

    Le vent prend l’accent du Midi
    Pour murmurer des gentillesses
    Aux voyageurs qui rêvassent
    Dans la chaleur qui les enlacent
    Et leur est une douce ivresse
    Dans le courant qui les conduit

    Le canal qu’ils suivent ravis
    Passe sous les voûtes de pierre
    De ponts qui ouvrent leur œil rond
    Etonnés quand les dépasseront
    Les péniches aux lignes familières
    Dans un sillage- adieu de nostalgie

  2. … cet amichel…

    ja t’ai lue avec plaisir Ossiane, vraiment.
    Touchée, émue et te dire combien j’aime
    tes associations d’images et ces petits sillons de mots
    impressions posées
    au contour des formes

  3. parasol

    parapluie
    quand il pleut
    sur mon coeur

    et qui sait

    parafoudre
    quand l’orage
    fait rage

  4. je vois beaucoup de noir
    là…tout en bas…
    pas vous?
    y a des matins comme ça…

    ………………………

    café noir

    je n’ai plus de café
    tous allez me chercher
    mon café quotidien
    il me faut mon breuvage
    et je le veux bien noir
    tourbillonnant dans ma tasse
    brûlant à mes lèvres
    fort comme mille et une nuits
    avec le parfum qui inonde
    avant pendant après
    lorsque je suis sans lui
    mon sang bat à mes tempes
    je bouillonne en silence
    je déborde à petit feu
    tous allez me chercher
    mon café quotidien
    j’ai besoin de ma dose
    café in je suis accro

  5. noir c’est noir…..

    ………………………..

    nuages noirs

    pas d’oiseau dans le ciel
    gargouilles tendant leurs cous
    panthères et margouillats
    ont l’oeil sur les eaux
    pyramide animale
    obsevatoire de hyènes
    riant de mes épreuves
    pour tenter le passage

  6. du vert,du bleu et de l ‘eau,que demander de plus…,j ‘aime cette sérénité qui se dégage de ces images au demeurant très  » techniques  » également

  7. Beaucoup de monde sur ce blog et c’est entiérement mérité. Les photos sont trés belles, on voit une grande maitrise. L’approche qui mélange images et textes est assez original mais le résultat est trés agréable Je vois que tes photos sont protégés, tu est professionel? Au passage n’hésitez pas à venir sur mon blog consacré à la photo.

  8. ce n’est pas la Moldau de Smetana, que j’aime écouter en rêvant,
    mais cette eau qui coule entraîne le même mouvement de laisser aller, moins tumultueux et bien plus apaisant!
    instant calme, profitons-en!

  9. >Amichel :
    Une belle dérive poétique Michel à l’ombre des pins et sous ce grand ciel bleu que tu connais si bien. Langueur de l’été qui coule, des amoureux qui s’embrassent et des tourterelles qui roucoulent. Des images amusantes avec ces coquelicots qui rougissent ou ce vent à l’accent du midi. C’est une vision idyllique de la vie, Michel 😉
    Cette chaleur et torpeur ne va sûrement pas donner des ailes à ceux qui vont travailler aujourd’hui 😉 Une petite sieste leur est conseillée. Merci beaucoup pour cette évasion poétique qui fait rêver. Et un petit clin d’œil au rond de tes ponts. Je t’embrasse.

    PS : tu as écrit ce vers « Et leur est une douce ivresse ».
    J’ai l’impression qu’il y a un problème avec leur, non ?

    >Sylvie :
    Merci pour ces mots. Mes visites ne sont pas régulières par manque de temps mais il m’arrive de faire des sauts de puce de blog en blog quand j’ai une éclaircie.

    >Bouldegom :
    Je te sens plus à l’aise aujourd’hui avec ces photos vu la quantité de poèmes que tu as déposés en peu de temps 😉 C’est peut-être ce ciel bleu qui t’inspire davantage.
    – En tout cas, tu démarres bien avec ce parasol/parfoudre. Deux belles images mises en parallèle. Il n’existe pas de parajoie mais il reste le parachute 😉
    – Comme d’habitude tu aimes partir d’un mot et tu as choisi le noir de la dernière image. Association inattendue avec un café bien noir qui exhale ses saveurs. Un compagnon très cher sans lequel tu ne peux pas vivre. Ton cerveau est en ébullition ce matin 🙂 C’est bien écrit.
    – Les nuages dont je parlais se transforment en créatures impressionnantes sous ta plume ! C’est une bonne idée. Je les vois se former comme les taches d’encre d’un lavis. Elles surveillent d’un oeil amusé les déboires des hommes du haut de leur perchoir. Merci beaucoup pour cette poésie originale. C’est bien fait.

    >Eric Low :
    En pleine forme pour démarrer la journée, Eric ! Merci.

    >Brigetoun :
    Merci pour ce joli petit haïku. J’aime bien ton idée de barrière percée face cette ligne touffue de pins. Cela signifie qu’il y a une ouverture. Bonne journée.

    >Franc6 :
    Je te sens heureux avec ces séries sur le canal. Tu aimes l’eau et vis entouré d’eau. Photos simplement prises au fil de l’eau sans prise de tête. Juste se laisser porter par le regard. Merci; je t’embrasse.

    >Jull :
    Bonjour et bienvenue Jull 😉 Je suis contente que tu aies apprécié la visite et je te remercie pour tes compliments. Je ne suis que simple amateur. Je mets cette mention sur mes photos en vertu du code de la propriété intellectuelle qui fait que chacun d’entre nous peut revendiquer d’être l’auteur d’une photo ou d’une autre création. Bon vent à ton tout nouveau blog. Au plaisir de te revoir.

    >Candide :
    Zen Candide aujourd’hui, pas de questions soulevées 😉 Tu te laisses simplement emporter par le flux du canal. La journée va être belle. Merci; je t’embrasse.

    >Lyre :
    Bonjour, je te souhaite la bienvenue 😉 Merci d’avoir pris la peine de déposer ces quelques mots qui nous font plaisir. Les visiteurs poètes sont cités également 😉 Reviens quand il te plaira. Bien amicalement.

    >Annick :
    Tu t’envoles comme Candide avec l’odeur des pins en plus 😉 Merci.

    >L’œil vagabond :
    Et voilà Chris qui vient rejoindre le trio avec amichel. Mais cette fois-ci avec des notes de musique en plus 😉 C’est très gai et léger. Le printemps est bien là. Merci à toi.

  10. j’ai beaucoup aimé ta transcription graphique très « encrée »; et par curiosité j’aimerais bien savoir où se trouve cette portion du Canal du Midi (c’est bien çà ?).

  11. >Emma:
    Merci pour ton regard de peintre. Je vais essayer de retrouver plus précisément où se trouvent cette portion avec les pins parasol. Je te redis cela un peu plus tard…

  12. ossiane,

    je ne crois pas tout ce que disent les poètes…

    il ne faut pas croire tout ce que dit la pseudo poétesse que je suis…

    la chercheuse en poésie aime vraiment
    -le café bien noir
    -ne met pas d’eau dans son vin
    -et ne met pas toujours de l’eau dans son encre…

    😉

    quant aux photos du canal du midi que je regarde avec toujours autant d’intérêt, pour moi qui suis pourtant une spécialiste du sur-place, elles ont du mal à frayer à mon rythme interieur…tiré à la diable par mes électrons libres…j’en conviens…
    mais tu sais qu’elles finissent toujours par faire leur chemin en moi…

    je ne suis pas perdue pour ta cause…

  13. Blog-notes
    ———–
    Pour « Et leur est » on peut le comprendre comme : est à eux
    Mais à la reflexion écrire « Et l’heure.. » aurait été mieux !!

    « Et l’heure est une douce ivresse »

    Sieste
    ———

    J’ai vu l’Eldora DO
    Au beau ciel azu RE
    Dans l’eau d’un canal endor MI
    Quand le vent décoif FA
    Un grand pin para SOL
    Dans la lumière de ga LA
    Le sommeil m’a sai SI
    Et je me vois despéra DO

    ——————–

  14. >Emma:
    J’ai fait quelques recherches. Cette portion du canal avec les pins parasol se trouve du côté d’Argeliers pas loin de Colombiers juste avant Béziers. Tu connais cette région?

    >Bouldegom:
    Message poétique bien reçu;-) Mais que veux-tu, je tente d’esquisser les contours de la personne qui écrit ces messages. C’est vrai que tu ne mets pas d’eau dans ton vin et c’est bien comme ça;-) Pour ce qui est de l’encre, je ne sais pas. Il faut peut-être la rendre plus légère avec de l’eau de source …
    Casanière, Bouldegom;-) Je touche à ta tranquilité et te bouscule un peu. Mais je crois deviner qu’au fond de toi, tu aimes qu’on vienne te chercher pour ces beaux voyages intérieurs. Ta place est toujours là quoique tu fasses;-)

    >amichel:
    Hé hé! superbe répartie ami Michel avec cette amusante sieste réparative avec la gamme de Do! Tu n’es donc jamais à cours d’idées? A l’heure qu’il est, je t’imagine en train de lire un bon bouquin dans ton hamac, à l’ombre d’un pommier . Je suis sûre que tu sais profiter de la vie;-)

    Au fait, dois-je corriger ta faute? Je me pose la question car les gens risquent de ne pas comprendre ton dernier commentaire.

  15. Quiétude sous la protection des grands pins…
    Je me pose, me repose et laisse mes songes emprunter le fil de l’eau…

  16. >Kaïkan:
    Alors Kaïkan, c’est le farniente aujourd’hui après ta rude journée d’hier. Ces photos vous invitent tous au repos.

  17. Balade sur le canal.
    Les pins ouvraient leurs branches en parasol
    et leur ombre faisait des ronds dans l’eau
    des ronds comme des bulles de fraîcheur
    des ronds comme des promesses à éclore
    des ronds où nous glissions
    paisibles, traçant une ligne
    pour que les vagues mélangent
    notre reflet à celui du ciel,
    pour que les vagues inscrivent
    notre présence
    même après avoir passé le virage
    qui nous ferait disparaître.
    Et puis nous avons aperçu le pont
    le pont sous lequel
    nous nous sommes arrêtés
    pour déchirer le silence
    de nos mains rejointes
    le pont sous lequel
    nous avons osé murmurer
    ces mots qui depuis se renvoient l’écho
    ces mots de notre secret.

    Ces mots de notre secret
    où je m’éveille chaque matin
    comme sous un parasol
    pour ne pas qu’ils brûlent,
    ces mots de notre secret
    où je m’éveille chaque matin
    comme si le canal du midi
    les berçait encore
    les conduisant vers le fleuve du bonheur.

    Catherine

  18. Admirables photos
    qui ravivent mes souvenirs,
    Quand,assis sur une « plate »,
    Papa poussant la « pigouille »,
    Nous parcourions « le marais »,
    Notre venise verte
    du marais poitevin

  19. >Catherine:
    Une promenade paisible et pleine de promesses à venir. Une balade intime où le ciel et l’eau ne font plus qu’un tout comme ces mains qui se serrent sous le pont où se mumure un secret. Merci beaucoup pour cette douce rêverie poétique. Laisse-toi bercer. Je t’embrasse.

    >Joli coeur:
    Je vois que tu possèdes le vocabulaire spécifique des bateliers;-) Je suppose que la plate se réfère à la barque et que la pigouille est une sorte de godille, non? Le marais poitevin est une région que j’aimerais visiter. Merci pour ta visite. Bonne nuit.

    >Michel (2):
    Te connaissant un peu, je me doutais que ça t’intéresserait;-)

  20. des signes dans le noir

    06.06.06
    il devrait se passer quelque chose
    les signes s’accumulent
    reste à en chercher le sens
    07.06.06
    il ne s’est rien passé
    les signes s’accumulent
    le sens reste à chercher

  21. Chère Ossiane,
    d’abord merci de tout coeur de ton mot !!
    Sache que tu m’énerves 🙂 tes photos sont magnifiques !!

    J’embrasse très fort Catherine, Bouldegom et Michel !! eux aussi sont magnifiques !

    Canal du Midi, tu me charmes,
    Devant toi je rends les armes,
    Je me vois admirer tes rives,
    Admirer tes eaux vives,
    Un léger vent caressant mon visage,
    J’imagine tes divers paysages,
    Comme Bouldegom un café à la main,
    Je rêve à mon destin…

    Bisous du Midi,
    OLIVIER

  22. >Jean-Louis:
    Merci Marcello.

    >Bouldegom:
    Toujours dans le noir ce matin mais avec quelques signes;-) Pas grand chose à dire si ce n’est que c’est déconcertant, décalé, troublant. Beaucoup de plaisir à découvrir tes poèmes, le sourire aux lèvres.

    >Olivier:
    Et voilà notre ami Olivier qui semble retrouver la forme;-) Ca me fait plaisir de savoir que je t’ai un peu réconforté. Les gens que tu cites sont généreux en pensées et t’aiment beaucoup également. Si tu as vraiment envie de créer des choses, fonce sans te préoccuper de ce que les autres vont penser. Parle avec ton coeur, ouvre les vannes et laisse filer les mots tout doucement comme tu le fais si bien avec ce canal qui te charme. On te sent détendu et apaisé dans ce poème. C’est une approche de la poésie par petites touches sensibles que j’aime bien. Allez Olivier, retrousse les manches et repars d’ci la tête pleine de projets d’écriture, tu en as la capacité et la sensibilité. Tous mes encouragements. Bises très affectueuses du nord.

    >Lilly:
    Très joli et imagé ton poème. C’est tout à fait cela que je voulais exprimer avec l’encre des nuages. Il ne reste plus qu’à faire une aquarelle ou un lavis maintenant avec des bulles d’O.
    Douces pensées vers toi. Kiss U strong too.

  23. J’ai peur,j’ai mal,et je suis bien;
    le printemps me murmure:lève-toi
    et voici que j’embrasse de nouveau
    dévotement son invisible trame…
    Oublie-le,ce monde terrible
    déploie tes ailes,envole-toi… Bloch

  24. Juste un passage très rapide cette fois-ci pour capter un peu d’ombre et de fraîcheur…
    C’est bien joli tout ça… Bises sans ombrage,

  25. Je viens souffler, me rafraîchir,
    Je viens me promener, ressentir,
    Prendre le large, le vert, ce que j’aime
    Me ressourcer dans ces écrits, ces poèmes…

    Je viens prendre l’air, profiter des mots et de la vue
    Comme à une fenêtre ouverte vers l’inconnu,
    Et toujours je trouve la tendresse, l’émotion, la beauté,
    Et toujours je repars nourrie et reposée

    Merci merci

    Yo-cox
    http://photo-passion.blogspot.com/

  26. barque immobile
    silence bleu frissonnant
    reflets chatoyants

    … quel plaisir de retrouver les mots des Contemplants de l’Oeil ouvert !
    je me pose moins souvent mais, dès que j’en ai l’occasion, avec autant de délectation…
    merci à chacun !
    Et Ossiane… merci, toujours, de nous offrir tous tes clins d’oeil…

  27. Merci encore à ce joli blog d’exister..
    je parcours l’album quand j’ai envie de me reposer un peu..
    je regarde en silence, pour ne pas encombrer ou obliger Ossiane à répondre, cela doit être si fatigant de répondre à chacun…reposez vous ossiane..un tel nombre de réponses..
    ce blog me fait du bien, j’ y trouve le repos… qui va me permettre de reprendre les écrits chez quoisetur…j’avais tant besoin de me soleiller la tête d’un hiver froid.

  28. « Feindre est le propre du poète
    il feint si complètement
    qu’il en arrive à feindre qu’est douleur
    la douleur qu’il ressent vraiment

    Et ceux qui lisent ses écrits
    ressentent sous la douleur lue
    non pas les deux qu’il a connues
    mais bien la seule qu’ils n’ont pas »

    Extrait de Autopsychographie de Fernando Pessoa

  29. Ainsi,sur ses rails circulaires
    tourne,accaparant la raison,
    ce petit train à ressorts
    qui s’appelle le coeur Pessoa

  30. Pas très prompte à réagir à vos messages. Pardonnez-moi.

    >Roméo:
    C’est un très beau poème en petites touches sensibles avec cette osmose parfaite avec le printemps ! Il faut continuer dans ce sens. Qui est Bloch? Bravo! Bonne soirée.

    >Alain du Mexique:
    Mon pauvre Alain, la chaleur doit être terrible si tu es venu chercher de l’ombre jusque chez moi en passant par-dessus l’Atlantique. Pensées glacées faute de pouvoir mieux 😉 Courage!

    >Yo-cox:
    Merci beaucoup pour la sérénité que tu exprimes;-) Ces promenades poétiques et photographiques du soir ressourcent après une dure journée de travail. Les messages des uns et des autres ont été déposés et on peut en faire la synthèse tranquillement.Cette fenêtre t’est grand ouverte. Bonne soirée. Je t’embrasse.

    >Bén:
    Coucou Bén;-) J’ai l’impression que tu as-tu le lac devant tes yeux dans ton hôtel. C’est ce beau haïku dans lequel le temps s’est arrêté qui me le fait dire. Temps suspendu, seuls les frémissements de l’eau dans le silence. Un instant de paix. Merci pour tes clins d’oeil également; on ne t’oublie pas. Bon travail!

    >Annick:
    Merci beaucoup Annick pour toutes ces remarques qui me touchent. J’espère que tu vas bien. Je n’imaginais pas vraiment qu’on puisse venir se reposer en silence ici. C’est vraiment sympa. Depuis le début de ce blog, j’ai fait le choix de dialoguer avec les visiteurs. Ce n’est donc pas une corvée mais un plaisir de bavarder et de rencontrer des gens. Donc, si tu as envie d’écrire ou de faire part de tes réflexions, ne te gêne pas;-) Je répondrai en fonction de mon emploi du temps, c’est tout;-) Cet espace est fait pour s’exprimer, donc utilise-le comme bon te semble. Je m’aperçois que tu me vouvoies et que moi je te tutoie;-) Que dois-je faire vis à vis de toi? C’est comme tu préfères. J’avoue que je tutoie facilement. Bonne soirée Annick et bon vent à tes nouveaux écrits. Je tâcherai de faire un saut chez toi bientôt.

  31. Ossiane,
    excuse moi, bien sûr que je te tutoies..tutoies moi..c’était plus du respect une marque de respect..
    ici, c’est le repos par les photos..
    mais c’est vrai qu en ce qui concerne les textes, ils sont tellement forts et ils remuent fort…chaque personne me remue..des poêmes sont si forts dans leurs corps de poêmes en tripes..

  32. Bonsoir Ossiane,
    de vue sur le lac… non… hélas ! ni de vue sur le Mont-Blanc…
    J’ai changé de bureau pour cette suite de conférence… direction rez-de-chaussée du bâtiment… le tout avec des horaires de nuit…
    Mais par la grande baie vitrée, je profite de la lumière du soir, arasante, qui frôle les feuillages sur fond de ciel bleu…
    belle soirée à tous

  33. je respecte le comment précédent mais pour moi, mais c’est vrai que je ne suis pas une littéraire éclairée..

    pour moi, me semble qu’un poête c’est celui écrit de ses tripes, et c’est juste le contraire de feindre, mais peut être je me trompe et dans ce cas là je serai déçue et car j’ai lu avec tellement de profondeur tous les textes que je lis ici…

    mon tit blog de rien est que moi, dans tout le vrai, il me semble tellemnt impossible de broder des trucs hyper tripals de vie…une plume c’est uncri, un dire, un ressenti qui se pose en mots…enfin je le ressens ainsi, pour moi ce n’est que jet direct..

    dans ce cas « de feindre » c’est plus du registre du roman me semble…

    et moi qui voulait faire silence, mais cet échange me plait, j aime aussi l’échange vrai…

  34. Merci Ossiane
    Je passerai encore
    Et encorps
    Pas virtuelle
    C’est ainsi
    Que je passe ici
    Fais en fonction
    De tes possibilités
    De répondre
    Mais j’aime cet échange vrai
    Comme mes comments et écrits

    Je dégouline devant les comments en mots si beaux posés tripalement écrits
    Ai froid pour d’autres
    Ou ai fort chaud
    Je vis les plumes
    Et je les aime toutes ces plumes…
    Car elles sont vivantes!
    La vie Vivante, c’est Beau!

    Et je rends hommage encore à Brel, Moustaki, Ferré, de Luca, Brassens.. qui transpirent leurs mots, c’est ainsi que j’aime la poséie, mais est ce encore de la poésie? puir moi ,oui, c’est pas le romantico mot posé comme cela sans être vécu en tripes.. boilà.. un bel échange Ossiane. merci..

    Merci Ossiane pour ton blog que tu partages si élégamment avec tellement une belle plume aussi…tu es très généreuse…

  35. et c’est vrai que quand un blog est riche, on est tenté d’aller vers les plumes.. les commentaires. juste à l intant chez yo- cox, et puis, tant tant tant que j’en perds un peu la tête, j’ai peur de passer à côté d’un essentiel, tant de beautés ici…j’aime tant ce que j’ai pu lire…allez je me tais.. mais c’est inévitable, et bien ainsi, je réagis vrai..j’écris en respire..

  36. Magnifique balade Ossiane … je sais que cela ne va pas trop avec ta ligne éditoriale, mais j’aurai bien lu un petit reportage sur ta « croisière » dans le Canal du Midi …

  37. >Night bird:
    Quand tu déposes ici des poèmes d’auteur comme c’est le cas ici, la moindre des choses est de le citer. Tu as donc écrit un extrait de Autopsychographie de Fernando Pessoa.

    >Romeo:
    Merci d’avoir rajouté la troisième strophe du poème de Pessoa.

    >Bén:
    Zut, c’est raté et en plus tu vis quasi enterrée cette fois;-) Tu es donc repartie pour travailler la nuit. Grand courage à toi, Bén. Je n’ose pas te souhaiter bonne nuit;-) Alors je t’embrasse.

    >Annick:
    Tu as suivi mon conseil et n’as pas fait oeuvre de silence ce soir;-)) Tu vois, je te réponds comme je peux et quand je peux. Les échanges bien sûr ne sont pas en temps réel. Tes messages sortent de tes « tripes »;-) Tu expliques bien la façon dont tu vis ta poésie. Ce « jet direct » se ressent dans tes poèmes et même dans tes commentaires;-) Continue à te faire plaisir. Merci pour ta plume généreuse. Bonne nuit.

    >Guess Who:
    Tiens, te voilà de retour;-) Tu veux parler d’un reportage écrit? Pas si facile à faire dans la continuité… Je sais bien que tu es un pro des reportages sur les voyages. Je pensais vous faire partager ce voyage sous forme de petites séries aux thèmes différents en alternant avec d’autres choses car j’ai peur d’épuiser la plume des poètes si je reste trop longtemps sur le même sujet. Ca t’ennuie?

  38. Pas du tout. Mais je te préviens, le jour où je me déciderai à faire aussi un tour par le canal du Midi, je te mettrai à contribution pour me donner des tuyaux !!!

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