Clair-obscur

Eclaboussures en Lavis de lumières, Film en Noir et Blanc.

Eclaboussures en Lavis de lumières, Film en Noir et Blanc.

* Lecture du Haïku Calligramme: de gauche à droite.

Eclaboussures
En Lavis de lumières,
Film en Noir et Blanc.

*Cette semaine, j’ai invité Virgile Martin qui nous a rejoints depuis novembre 2005. Depuis l’île de la Réunion où il vit, ce grand voyageur aime s’adonner à la poésie en laissant aller son imagination sensible de manière très spontanée. Merci beaucoup Virgile pour ton enthousiasme et ton amitié.

Voici ce qu’il m’a envoyé depuis les tropiques:

 

Ombre en partance

Ombre fuyante, dans la nuit glacée
Derrière un peigne de lumière de lune
Un reflet d’encre noir s’égare…sur les vagues d’un vieux papier
Ondulé d’avoir séché encore humide…trop vite.
Ces pas scrutés qui s’éloignent trop vite par la fenêtre du cœur
Ombre familière, dans la nuit glacée.

Virgile Martin

36 réflexions sur « Clair-obscur »

  1. Première impression à l’apparition de ce clair-obscur : c’est doux, c’est feutré…
    Je reviens un peu plus tard pour plus de mots
    Belle nuit à tous

  2. Entre chien et loup
    ——————–

    La nuit étire lentement son ombre
    Où la lune se couche
    Dans un deshabillé de brume
    L’air se voile et se mouille
    Les mots du poème s’effacent
    Et la page blanche se brouille

    Sur un lavis d’encre et d’eau
    Le pinceau d’un poète chinois
    Trace les signes où se devine
    Dans le courant d’un fleuve noir
    Des alluvions de terre grise
    Où se perd sa mélancolie
    Le temps aussi noie la mémoire
    Et innonde les souvenirs

    A l’heure entre chien et loup
    Le regret se fait loup-garou
    Déchirant les âmes errantes
    Et les coeurs nostalgiques
    A coups de griffes et de dents
    De fuir ils ne seront pas quittes
    Dans les marais des songes creux
    Et les trompeuses lises de l’oubli

    Sur le tableau noir des écoles
    De la vie buisonnière
    La brosse a laissé
    Les sillons de craies
    Des leçons et plaisirs de l’enfance
    Mais Printemps Etés sont passés
    L’Automne a sonné la rentrée
    L’Hiver engourdi l’espérance
    Et fini les grandes vacances
    De nos jeunes années

  3. Bravo Virgile, grande émotion ! bravo Ossiane !
    Ce n’était pas facile ! Je suis impressionnée par votre duo !
    Quelle inspiration Michel !

    ————————–

    Le blanc de la lune dans le noir de la nuit
    Comme un rond de lumière aux portes de l’oubli.
    J’en ai fait mon puits d’espoir trop fou et trop grand
    Mais qu’avais-je à perdre dans le coup effarant
    Que la vie venait d’assener à mon bonheur ?
    Le jour hurlant avait massacré les couleurs.
    Il fallait lui faire face dans le combat.
    Et surtout, surtout, ne jamais tomber à bas.
    Je n’avais pas le temps d’écouter ma douleur,
    Il fallait agir au plus vite avec rigueur.
    Apprendre, tout comprendre et tout décomposer,
    Même épuisée, ne jamais démoraliser.
    Et tout doucement la lumière a souri.
    Il a grandi puis appris et beaucoup compris.
    Il n’est pas enfermé dans un monde intérieur
    Ou mal aimé comme disent les imposteurs.
    Il a juste un fonctionnement très différent,
    Il faut lui rendre le nôtre plus cohérent.

    La lune a bercé mes seuls instants de silence
    Où je chassais les ombres de mes ignorances,
    Où je me ressourçais en énergie utile
    Et souvent, je le regardais dormir tranquille,
    Je lui promettais de fabriquer les couleurs
    Qui feraient naître des émotions en douceur.

    J’ai gagné le pari de la compréhension
    Et j’ai ouvert les portes de l’éducation.
    Il aura toujours besoin qu’une main se tende,
    Et il aura toujours besoin qu’on le défende,
    Mais qu’il est beau dans ses sourires lumineux
    Quand on comprend enfin ses efforts fabuleux.

    Il, mon fils, mon enfant
    Au rire triomphant
    Quand la lumière joue
    À lui faire coucou !

    Catherine

  4. grain du papier arches
    poudre de fusain
    modelé souligné
    par des raies de lumière
    le geste est têtu
    pour fendre ces empreintes
    front contre l’écorce
    percevoir l’embellie

  5.  » On n’est pas encore revenu du pays des mystères
    IL y a qu’on est entré là sans avoir vu de la lumière
    Il y a l’eau, le feu, le computer, Vivendi et la terre
    On doit pouvoir s’épanouir à tout envoyer enfin en l’air
    On peut toujours saluer les petits rois de pacotille
    On peut toujours espérer entrer un jour dans la famille
    Sûr que tu pourras devenir un crack boursier a toi tout seul
    On pourrait même envisager que tout nous explose à la gueule
    Autour des oliviers palpitent les origines
    Infiniment se voi rrouter dans la farine
    A l’envers, à l’endroit, à l’envers, à l’endroit
    A l’endroit, à l’envers, à l’envers, à l’endroit
    Y’a t’il un incendie prévu ce soir dans l’hémicycle
    On dirait qu’il est temps pour nous d’envisager un autre cycle
    On peut caresser des idéaux sans s’éloigner d’en bas
    On peut toujours rêver de s’en aller mais sans bouger de là
    Il paraît que la blanche colombe a trois cents tonnes de plombs dans l’aile
    Il paraît qu’il faut s’habituer à des printemps sans hirondelles
    La belle au bois dormant a rompu les négociations
    Unilatéralement le prince entame des protestations
    Doit-on se courber encore et toujours pour un ligne droite ?
    Prière pour trouver les grands espaces entre les parois d’une boîte
    Serait-ce un estuaire ou le bout du chemin au loin qu’on entrevoit
    Spéciale dédicace à la flaque où on nage, où on se noie
    Autour des amandiers fleurissent les mondes en sourdine
    No pasaran sous les fourches caudines
    A l’envers, à l’endroit, à l’envers, à l’endroit
    A l’endroit, à l’envers, à l’envers, à l’endroit… »

    A l’envers, à l’endroit
    Noir Désir
    Album: Des visages, des figures

    bonne journée

  6. Ce soir le sable a perd sa blondeur
    La lune blanche projette l’ombre des piquets brise-lame
    Nulle ombre d’enfant qui saute de poteau en poteau
    Nul rire, nul cri
    La mer s’est retirée
    Le vent s’est apaisé
    Que va-til surgir de la nuit?
    Mes pieds sentent les vagues de sable dans le froid

    Je regarde la lune
    Et la mer apaisée là bas au loin
    Dans le silence du moment

    Demain?
    peut-être
    le sable sera blond
    la mer roulera ses vagues
    les enfants sauteront
    les grands piquets noyés
    Et le soleil dans sa course
    de son pinceau d’or
    transmutera le paysage

  7. Fondations
    ********************************************************
    Parfois tunnel
    Chemin de fer
    Fissure ou bien
    Une ancienne cicatrice oubliée
    Que des doigts de fer
    Cherchent à entrouvrir

    Parfois entre tes côtes
    D’autres fois en profondeur dans tes poumons
    La radiographie de ta vie peut ressembler
    Aussi bien à des tiges d’acier
    Qu’au tissu d’un champignon

    Minéral et végétal ton corps
    Dans ton esprit transparaît évidemment
    L’essence de ta matière constitutive

  8. le miroir s’écaille

    la lampe frontale
    éclaire le chemin

    des empreintes de pas
    ont creusé cette glace

    les mots en dents de scie
    trempés d’or cuivré
    pénètrent la surface

    dans cette trouée
    l’eau paraît dévoiler
    des abysses bleutés

    les ilôts détachés
    glissent à la dérive

    avec le prochain pas
    c’est la grande plongée

  9. Que de talents !!
    « clair-obscur », flash, la photo !!
    Nombreux sont les photographes qui ont su mettre en valeur la femme dans un « clair-obscur ».
    Je pense à mon ami JONVELLE, trop tôt parti. Ses modèles, pas des tops, des femmes naturelles, belles. Il les aimait clairement. Mais les protégaient obscurèment.

    Mes mots sont confus… Désolé…
    Je t’embrasse chère Ossiane,
    OLIVIER pas du tout clair, plongé dans l’obscur…

  10. ah j’ai été censurée on dirait
    décidément « clit*oris », « diahrrée », il y a des mots qui chagrinent on dirait
    faut tout clean, kleenex
    sinon ça vexe
    dommage le poème est très beau
    parce que pas lisse
    comme la police

  11. à Olivier, j’ai connu Jonvelle, je peux te dire que dans le privé, ses modèles, il les protégeait d’une drôle de manière, alors le clair-obscur, c’est sûr ça fait b*ander (oh je vais encore me faire censurer)

  12. >amichel :
    Belle idée d’avoir choisi le titre « Entre chien et loup ». Ce titre prend tout son sens dans cette tombée du jour qui déroule doucement son voile d’ombre puis dans les angoisses que cette encre noire libère au cœur de la nuit. La page blanche du jour se remplit de signes de mélancolie et de souvenirs qu’un pinceau trace en sillons. Superbe comparaison entre l’écriture et les coups de griffe du loup-garou. J’aime également beaucoup ces références au lavis d’encre et à la craie du tableau. Une grande richesse d’idées, d’émotions et de thèmes qui cohabitent en profonde harmonie. Tu as planché très tard, Michel. Bravo au poète de la nuit. Je t’embrasse sans coups de griffe 😉

    >Catherine :
    Un émouvant rond de lumière rempli d’espoir dans la nuit noire. Dans ce passage au noir et blanc, il faut apprivoiser, résister, comprendre cette autre vision de la vie. Peu à peu, les couleurs reprennent leur place grâce à la main tendue et au cœur aimant. Merci beaucoup Catherine pour ce lumineux regard à l’enfant. Je t’embrasse bien fort aux couleurs de la vie.

    >Bouldegom :
    Je suis très sensible à ce vocabulaire graphique. En fait, cette photo me fait penser aux peintures de Soulages qui utilise beaucoup le noir pour jouer avec la réflexion de la lumière. Ces mots me font rêver. Merci beaucoup pour cette belle esquisse au fusain.

    On est toujours au pays des mots dans ton deuxième poème mais dans un univers glacé plus dur. Les pas ont percé la surface et révèlent des mots dans la fonte des glaces. Miroir étoilé, attention à ne pas tomber. Merci beaucoup et bravo pour ton talent.

    >Francis :
    Cette sombre photo t’a inspiré des idées noires d’où ce texte pessimiste de Noir Désir 😉 Un estuaire au bout du chemin. Une lueur d’espoir dans une attitude combattive. Merci Francis. J’espère que tu as le moral au moins. Je t’embrasse et je chasse tes idées noires.

    >Candide :
    La lune blanche a conquis ta plume. Perte des couleurs, vide de l’espace, silence de la nuit. Face à face solitaire avec la lune qui cèdera son tour au soleil pour réanimer le paysage pétrifié et lui rendre la vie. Tes contes poétiques sont toujours aussi sensibles. Celui-ci me semble rempli d’espoir. Merci beaucoup Candide. Bises dorées.

    >Patricio :
    Tu donnes un nouvel éclairage avec cette longue cicatrice noire qui peut avoir des significations multiples. Ton texte radiographique est dur et intense à la fois. Blessures de la vie au creux de ce corps meurtri. Sombres fondations. Merci beaucoup Patricio. Amitié minérale.

    >Mona-Lisa :
    J’ai beaucoup d’estime pour Virgile et son poème et je ne veux pas le mêler à cet incident.

    J’ai en effet supprimé ton commentaire que j’ai trouvé blessant vis-à-vis de mes visiteurs et je le ferai à chaque fois que ça se renouvellera. Je ne sais d’où te vient cette hargne mais si tu as une envie irrépressible de mordre, je préfère que tu t’en prennes à moi plutôt qu’aux visiteurs de ce blog. Je n’ai aucun problème avec les autres mots que tu suggères et je n’ai pas supprimé ton commentaire le concernant. Comme je te l’ai déjà expliqué, je mets simplement une étoile au milieu de ces mots car je ne souhaite pas être référencée au milieu des sites pornos.

  13. mais je n’ai pas envie de mordre, quand quelque chose me plaît je le dis, et j’aime ce poème de Virgile,
    pourquoi vouloir protéger tes visiteurs
    crois-tu qu’ils ne sont pas assez grands pour se protéger tout seuls, et se protéger de quoi? diantre!
    tu sais si tu ne veux pas être référencée au milieu des sites pornos comme tu dis, ce sont tous les mots que tu emploies auxquels tu dois mettre une *, clitoris par exemple ne fait pas partie du vocabulaire habituellement employé, par contre « bouton », « rose », etc sont des mots à*
    alors ne te cache pas derrière tes doigts, mais montre enfin ce que tu caches par pudeur, ou par vanité,
    c’est là que je te guette, tu le sais bien, et non dans ce consensus mou où tu t’enterres peu à peu sous les caresses des bonnes intentions
    tu as un réel talent, mais pas au bon endroit -je veux dire, si tu veux éclater au grand jour, mais peut-être tu préfères rester animatrice de colonie de vacances
    bien à toi

  14. j’ai roulé le tapis
    le feutre de la laine
    est gaufré par le temps
    les côtes de velours
    se serrent pour avoir chaud
    la flamme vient effleurer
    la matière ondulée

    dérouler le tapis
    faire fuir l’ombre noiraude
    brosser ce grain poudré
    étirer la tramée
    en regardant vers l’aube
    retisser quelques franges
    lissées par la lumière

    orienter le tapis
    contrer l’horizontale
    maîtriser la clarté

  15. Merci à vous deux pour cette belle invitation au voyage !
    L’océan Indien de Virgile et ton lavis m’ont inspirée ce qui suit…

    Les yeux mi-clos
    j’observe la lune coquette
    derrière le paravent frissonnant des filaos

    Elle trace de son pinceau de nuit
    le premier trait de sa calligraphie
    sur le ciel des Mascareignes :
    berceuse de l’Ile Bourbon
    fragrances de vanille
    aquarelles de flamboyant
    bruissement du cayamb

  16. >Bouledegom:
    On peut dire que c’est un tapis qui a vécu. C’est une véritable leçon sur l’art de s’occuper de cet objet de choix;-) Trace de notre passage, il supporte l’usure du temps, la poussière, la lumière. Merci beaucoup pour ce commentaire feutré. Bonne nuit.

    >Kromosom:
    Mais encore?

    >Bén:
    La lune ne nous quitte pas 😉 Tu sembles bien connaître l’île de la Réunion. Ce beau tableau plein de sons, de couleurs et de parfums fait rêver de voyages lointains. Je suis sûre que Virgile va être touché par la peinture de ton poème. Merci beaucoup Bén d’égayer cette fin d’hiver. Bises vers tes cimes neigeuses.

  17. Ossiane,
    j’ai vécu 4 ans à la Réunion, de 14 à 18 ans… de belles années entre les hauts et le littoral…
    belle nuit à toi
    je t’embrasse

  18. >Bén:
    Voilà j’ai tout compris maintenant! Quelle chance tu as eue! Belle nuit.

    >Shyboy:
    Contente de te revoir par là toi l’amoureux de la Bretagne;-) Merci d’apprécier cette série un peu obscure même si je suis un peu loin de tes thèmes favoris. Au plaisir de te lire à nouveau.

  19. Chère Ossiane,
    je comprends que tu sois passée sur mon mess…

    Chère Mona Lisa,
    Je connaissais aussi très bien Jonvelle. Mais je ne suis pas là pour mettre sa vie privée en avant. D’autant plus qu’il n’est plus là.
    Bien à toi.

    Ossiane, excuse ce H.S.
    Bonne journée,
    Bises,
    OLIVIER

  20. >Olivier:
    Ne vois là aucune malice de ma part, c’est un oubli malencontreux. Je me souviens en effet des belles photos que tu as montrées. Il y plus d’émotion qui transparait dans cette beauté naturelle que sur les podiums de mode. Bien à toi. Je t’embrasse chaleureusement.

  21. >MTO:
    C’est superbe de penser au contenu d’un livre. Tu condenses de façon très poétique ce qui se passe sur ces pages. Bravo Marie-Thérèse. Je t’embrasse.

  22. Bonsoir Ossiane, en me promenant entre les plies de ton blog je pense qu’on devrait ajouter aux droits de l’homme le droit à la beautè. Mais on y est tellement loin dans la tragicitè de ces jours…….bises de soie

  23. Quand j’étais enfant , je passais une partie de mes vacances dans l’Ariège , chez mes grands parents .
    L’aprés midi , on m’obligeait de passer une grosse heure dans la chambre , dans la demi obscurité , pour faire la sieste .
    Que de temps j’ai passé à regarder les projections sur le mur de la lumière filtrée par les volets disjoints !!
    Ta photo fait remonter tous ces souvenirs , tous mes rêves d’enfants .
    Merci .

  24. Sur ce Haïku c’est encore la plage de sable avec ses ondulations et aussi le soleil couchant que je vois et qui semblent te poursuivre dans tes photos si ce n’est peut-être jusque dans tes rêves !!!
    (revoir ton article du 01/12/05)

    Mais c’est peut-être plutôt dans mes rêves à moi… bien que je n’ai que très peu vécu au bord de la mer sauf à tahiti il y a bien longtemps pendant mon service militaire.

  25. Mon oeil reste ouvert, mais je n’arrive pas à saisir une image.

    Je n’arrive pas à faire le point 😉

  26. >Manuela :
    Bonsoir, tu continues à explorer «les plis » du blog 😉 Belle formule. Tu as raison. Ce droit à la beauté changerait les mentalités et pourrait peut-être faire passer les intérêts particuliers en second plan. Bonne visite. Bises vers l’Italie. Buona notte, Manuela.

    >Patricio :
    Sombre passé dans ces chenilles. Une note d’espoir pour l’avenir avec ce printemps en vue ? Merci Patricio. Bonne nuit.

    >Jean :
    Belle évocation de ces siestes enfantines obligatoires à l’ombre des volets disjoints. L’imagination se projette dans les paysages des ombres un peu comme lorsqu’on regarde les nuages. Tes souvenirs sont très précis. Merci Jean. pour ta visite nostalgique. Je t’embrasse.

    >Michel (2) :
    Tu connais le blog mieux que moi ;-)) Je n’avais pas du tout pensé à cette note. Il est vrai qu’il y a des similitudes. J’aime bien ces ondulations que je trouve très graphiques. Quant à mes rêves ou les tiens qui sait ? Il faudrait arriver à s’en rappeler au réveil pour pouvoir les analyser. Douce nuit Michel. C’est la pleine lune ce soir. Merci.

    >Fred de Toulouse :
    Je te sens perplexe devant ces rayures. Tu joues sur les mots 😉 Ce n’est pas grave du tout. ; la série n’est pas des plus faciles. En revanche, si ta vue se brouille, peut-être te faut-il des lunettes 😉 C’est gentil d’être venu quand même. Bises de 23h28.

  27. Pensée réconfortante de la nUUit, Ossiane.
    Il y a des gens qui font comme ça des croisades,on ne sait pourquoi.
    Bizz, ne t’en fais pas. Continue comme ton coeur et tes yeux émerveillés t’inspirent.

  28. Pensées envolées vers ton neuf trois. Bises réconfortées. La terre ne tourne vraiment plus rond. C’est que tu laisses aussi entendre sur ton blog, je crois. Merci, tu as un coeur en or.

  29. une nuit ou l’alcool nous ne saoulons plus le firmament azur le ciel la lune qui nous regarde

    l’obscurité qui se cache derriére les peines pour toi liot

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *