Rencontre

La Lumière Tressaille sur les Ailes en Eventail, Soleil  de Retrouvailles.

La Lumière Tressaille sur les Ailes en Eventail, Soleil  de Retrouvailles.

* Lecture du Haïku Calligramme: verticales de gauche à droite, courbes bas en haut.

La Lumière Tressaille
Sur les Ailes en Éventail,
Soleil de Retrouvailles.

* Photo d’iris.

15 réflexions sur « Rencontre »

  1. Depuis trois jours c’est une fête, un vent de fol…sérénité qui souffle.
    Je me régale.
    « Dis, bonne fée des eaux, on continue la semaine prochaine, hein!? dis. »

  2. Yan sous l’eau à nénuphar
    Yin derrière les joncs

    attendent la rencontre de
    Nouhistou pour boire ensemble
    le petit lait frais suivi des vapeurs à café

    le jour se lève
    les oiseaux aussi t’attendent
    la végétation omniprésente

    miaouh YIn miaouh Yan
    kiss to U

  3. alors !!je suis sans voix une fois de plus devant cette photo , le silence de la beauté appelle le big bang de la rencontre !Bises

  4. es milieux humides nous donnent des illustrations magnifiques des possibilités d’alliances entre le végétal et les insectes, ne vois tu pas au travers des feuilles et des tiges se profiler l’abri d’une libellule, d’un moustique , d’un éphémère, autant de lieu ou l’illusion crée des cachettes et abris virtuels où s’éternisent les possibilités de vie…

  5. j’ai fait une visite éclair hier, mais pas eu le temps de poster…
    j’aime cette série où, sur l’écrin de l’eau, tu nous offres flèches et auréoles de verdure…
    j’ai gardé ton blog ouvert sur « larmes » toute la journée d’hier… elle m’a servi de fond d’écran…
    je crois bien que je vais faire la même chose avec « rencontre », aujourd’hui, puisque je suis au boulot jusqu’à point d’heure…
    bonne journée à tous

  6. >Merci Catherine pour cette rencontre lumineuse. Bon week-end; je t’embrasse.

    >Pierre (1): Je suis contente que ça te plaise. Il faut dire aussi que cette saison se prête bien à ces déclinaisons car les plantes aquatiques revêtent leur habit de fête. Pour l’instant, je continue. Quant à la semaine prochaine, ça dépendra de mon emploi du temps 😉 Bises sereines.

    >Lilly: Un clin d’oeil de ta part en réponse à mon commentaire laissé sur ton blog hier soir;-) Yin va bien finir par récupérer Yan et s’ils parviennent à se rencontrer, promis, je leur sers ce petit lait frais mais sans café. Végétation omniprésente car je baigne dedans;-) A big kiss from Nouhitsou, my sweet Lilly.

    >Alain d’Emmaus: Tes paroles me font plaisir. Je comprends mieux ce que tu voulais dire l’autre jour. Bises silencieuses.

    >MTO: Tu as tout à fait raison. A partir d’une surface d’eau vierge que l’on remplit de plantes aquatiques aux différentes fonctions dont les plantes oxygénantes qui permettent de réguler l’équilibre de l’eau, une vie animale se développe très vite. Insectes, escargots, larves, moustiques, libellules, poissons, crapauds, grenouilles, oiseaux, chauves-souris colonisent les lieux et s’autorégulent. Je ne nourris pas les poissons. Tout ce petit monde cohabite et s’auto alimente. Les herbes offrent des abris protecteurs pour vivre et procréer. Les grandes libellules bleues survolent encore aujourd’hui le bassin. Belle journée. Je t’embrasse.

    >Bén: Merci pour cette fidélité qui me touche beaucoup. Cette série semble bien vous plaire car elle est très paisible et sereine. Bonne après-midi au soleil. Il faut prendre un peu l’air;-)

    >Odeol: Bonjour et bienvenue à toi. Tu fais une entrée remarquée avec ce très joli poème plein d’amour et de douceur.
    Reviens quand tu veux nous faire partager tes émotions. Je te souhaite un bon week-end. Bien amicalement.

    >Marie: Je te souhaite également la bienvenue pour ce premier contact avec mon blog et je te remercie pour tes impressions. La porte des commentaires t’est ouverte. Au plaisirr de te lire à nouveau. Amitiés.

  7. Si je parais manquer de souffle (poétique)c’est que j’ai courru pour être au rendez-vous ,je suis donc un peu essoufflé:>))

    **Si un ange j’étais j’aurais gardé « les aîles »
    mais pauvre homme je suis qui sur des pieds chancelle:>))
    Avant le rendez-vous.

    Assis au bord de l’eau les pieds en éventail, (**)
    La tête sur l’herbe et les yeux grand ouverts
    Sur le ciel. Je rêve. L’étang est un vitrail
    De reflets d’or, de fleurs, d’azur, de roseaux verts

    Je songe à toi Iris messagère des Dieux
    Epouse de Zéphyr et fille de Flore
    Qui vient sur l’arc-en-ciel délivrer en nos lieux
    Les grâces de l’Olympe, ô belle météore !

    Le vent doux me caresse et je crois que c’est toi
    Je tressaille et frissonne autant que sous tes doigts
    L’amour est hors du temps plus rien ne va contre

    Alors tout se tait,seule l’onde murmure.
    Je voudrais tes baisers au bon goût de mure
    Je me lève,il est temps! je vole à ta rencontre.

  8. >Alors Michel, que t’est-il arrivé? J’ai cru que tu avais abandonné l’Oeil Ouvert 😉
    Décidément, cette série suscite en toi des sentiments très doux. Tu as préféré Iris et l’éventail à mes ailes d’oiseau ou d’ange;-) Ce n’était pas facile de faire cohabiter tous ces éléments. Félicitations pour ce beau poème d’amour au bord de ce vitrail de couleurs. Rencontre fulgurante d’un rêve ailé. Bonne soirée Michel. Je t’embrasse.

  9. merci pour ces belles fenêtres ouvertes chaque jour sur la poésie et la nature. C’est BON! Minute d’évasion tranquille.

    Ce soir la pluie tombe à flots, l’orage gronde et aussi sur ton petit jardin aquatique. C’est bon aussi la pluie en ce moment.

    Candide

  10. >Candide: Je suis heureuse de pouvoir t’apporter ces minutes d’évasion. Je ne sais où tu habites mais chez moi pas de pluie à l’horizon pour l’instant. La journée fut belle et ensoleillée. Bises et bon week-end.

    >Michel (2): Ce n’est pas grave , tu peux te répéter;-) Si ces photos te font cet effet, c’est qu’il y a une raison. Je suis allée sur ton lien. Je me demande tout simplement si ce n’est pas dû aux lignes de force assez marquées de la composition ainsi que bien sûr au sujet aquatique qui est cher à la peinture asiatique. Merci encore et bonne fin de soirée.

  11. feuilles mortes reposant sur l’onde
    reflétant en son sein tout un monde
    serpentins végétaux nageant dans l’eau
    comme un frisson parcourt la peau

    courbes effilées de voluptueuse verticalité
    les iris vers les cieux sont dressés
    attirés irrésistiblement par le soleil
    qui d’une caresse leur fait ressentir la merveille

    pas un frisson sur ce miroir
    ne troublera le nénuphar
    peut-être un bain de minuit ce soir
    comme la promesse d’un espoir

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