Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Destinations Inconnues
* Photo prise au Phare du Paon, sur l’Ile de Bréhat.
16 réflexions sur « Destinations Inconnues »
Je passe aussi beaucoup de temps à regarder partir ces bateaux, me demandant toujours où ils vont… Qui sont les passagers, vers quel destin voguent-ils ? Alors le rêve trouve sa place….
Mousse d’écume blanche tracée à toute vitesse…
Jeune, je rêvais beaucoup, dans les ports de la méditerranée, à voir partir les bateaux, j’étais dans l’un d’eux…
J’aime venir faire mon petit tour de rêve par chez vous…
Oui, je suis toujours intriguée par les pas décidés, les airs assurés, les routes encombrées, les trains bondés, les rames de métro surchargées (pas vrai Virginie?). Où vont toutes ces personnes et que vont-elles faire? Au moins, cela peut faire rêver même si ce n’est pas toujours très amusant d’être coincé dans la foule. Merci à vous Osiris et Virginie.
dans chaque bateau il y a un désir secret de ne plus avoir de port d’attache
Bonjour Ingervar. Il me semble que tu es déjà passé sur l’oeil Ouvert, non? C’est exact que le bateau représente un symbole très fort quant au désir de liberté qui étreint chacun de nous. Au plaisir.
c est bizarre chaque jour je pence a toi tout simplemant je t aime
ossiane
c’est moi qui ai parlé du conciliabule des vagues, il y a quelques jours. Mais j’étais anonyme.
Autrement je n’ai pas grandi, je cherche toujours la route pour Mandalay…
D’accord Ingervar. Je te remets dans ma tête. Ton poème sur les vagues était très joli et d’ailleurs c’est à partir de lui que j’avais mis des sons de mer. Je viens d’aller voir ton blog. Il a bien progressé. Amusants tous tes photos montages. Il faut pas mal d’imagination pour mettre en scène ta drôle de voiture. Bonne continuation et au plaisir de te revoir sur ce blog.
J’aime beaucoup votre calligramme! Les couleurs des rochers et de l’eau sont tres vivants et frappant. Le bleu clair de l’eau c’est mon couleur favorite. Apres j’ai vu cette calligramme, je voudrais visiter le lieu. J’espere que je fais un calligramme comme vous!
un temps
insigne
paroles en histoire, chants de nuit
n’y a-t-il que le rêve
imprécis de mes yeux
tout autour d’une terre inondée d’océans
qui entende et m’allège
des ressacs et des rocs
file fil de la vierge
bleu hasard
aimer à l’évidence
>Bernard:
Merci Bernard d »être là de nouveau;-) Tu as choisi de replonger dans les profondeurs de L’Oeil Ouvert en sensibilité. Je crois percevoir à travers tes mots subtils ce que tu ressens à l’heure qu’il est. Je suis à tes côtés. Je t’embrasse.
Précision
En écoutant ton cœur instrument du voyage
Raconter ses récits simples et pittoresques
tu te retrouves aux bords précis où les nuages
comme des casques d’or ressemblent à des îles grecques
Alain
La nacre
les chercheurs de nacre pour trouver le bonheur
ils se guident aux étoiles sondent les profondeurs
ils traversent des mers et des nuits d’épouvantes
ils ont le pied marin et dansent quand il vente
les chercheurs de nacre quand ils logent à Paris
ils regardent le ciel où flottent les nuages
ils voient des coquillages échoués sur le rivage
Pareils aux jolis femmes qui charment les esprits
mais le plus beau gisement n’est sur aucune grève
elle dort au fond des yeux la perle dont ils rêvent
Je passe aussi beaucoup de temps à regarder partir ces bateaux, me demandant toujours où ils vont… Qui sont les passagers, vers quel destin voguent-ils ? Alors le rêve trouve sa place….
Mousse d’écume blanche tracée à toute vitesse…
Jeune, je rêvais beaucoup, dans les ports de la méditerranée, à voir partir les bateaux, j’étais dans l’un d’eux…
J’aime venir faire mon petit tour de rêve par chez vous…
Oui, je suis toujours intriguée par les pas décidés, les airs assurés, les routes encombrées, les trains bondés, les rames de métro surchargées (pas vrai Virginie?). Où vont toutes ces personnes et que vont-elles faire? Au moins, cela peut faire rêver même si ce n’est pas toujours très amusant d’être coincé dans la foule. Merci à vous Osiris et Virginie.
dans chaque bateau il y a un désir secret de ne plus avoir de port d’attache
Bonjour Ingervar. Il me semble que tu es déjà passé sur l’oeil Ouvert, non? C’est exact que le bateau représente un symbole très fort quant au désir de liberté qui étreint chacun de nous. Au plaisir.
c est bizarre chaque jour je pence a toi tout simplemant je t aime
ossiane
c’est moi qui ai parlé du conciliabule des vagues, il y a quelques jours. Mais j’étais anonyme.
Autrement je n’ai pas grandi, je cherche toujours la route pour Mandalay…
D’accord Ingervar. Je te remets dans ma tête. Ton poème sur les vagues était très joli et d’ailleurs c’est à partir de lui que j’avais mis des sons de mer. Je viens d’aller voir ton blog. Il a bien progressé. Amusants tous tes photos montages. Il faut pas mal d’imagination pour mettre en scène ta drôle de voiture. Bonne continuation et au plaisir de te revoir sur ce blog.
J’aime beaucoup votre calligramme! Les couleurs des rochers et de l’eau sont tres vivants et frappant. Le bleu clair de l’eau c’est mon couleur favorite. Apres j’ai vu cette calligramme, je voudrais visiter le lieu. J’espere que je fais un calligramme comme vous!
un temps
insigne
paroles en histoire, chants de nuit
n’y a-t-il que le rêve
imprécis de mes yeux
tout autour d’une terre inondée d’océans
qui entende et m’allège
des ressacs et des rocs
file fil de la vierge
bleu hasard
aimer à l’évidence
http://home.no.net/fenja256/superaldis/aldis_at_sea.jpg
>Bernard:
Merci Bernard d »être là de nouveau;-) Tu as choisi de replonger dans les profondeurs de L’Oeil Ouvert en sensibilité. Je crois percevoir à travers tes mots subtils ce que tu ressens à l’heure qu’il est. Je suis à tes côtés. Je t’embrasse.
Précision
En écoutant ton cœur instrument du voyage
Raconter ses récits simples et pittoresques
tu te retrouves aux bords précis où les nuages
comme des casques d’or ressemblent à des îles grecques
Alain
La nacre
les chercheurs de nacre pour trouver le bonheur
ils se guident aux étoiles sondent les profondeurs
ils traversent des mers et des nuits d’épouvantes
ils ont le pied marin et dansent quand il vente
les chercheurs de nacre quand ils logent à Paris
ils regardent le ciel où flottent les nuages
ils voient des coquillages échoués sur le rivage
Pareils aux jolis femmes qui charment les esprits
mais le plus beau gisement n’est sur aucune grève
elle dort au fond des yeux la perle dont ils rêvent
Alain
merveilleux texte, encore, Alain…
MERCI Annick
:))
Alain
trés bon site