horizon d’été
courbes de l’évasion
je m’y suis baignée
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summer horizon
curves of escape
I went bathing
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
horizon d’été
courbes de l’évasion
je m’y suis baignée
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summer horizon
curves of escape
I went bathing
vagues zigzagues
le serpentin des sables
s’écoule et coule
—
Méandres de la vie
Quand *levivre se donne
Des vues des beautés d’être
C’est la joie tellement
Qu’en traverse le temps
Même si les épreuves
Rejoindre une île
Un calme, le frisson d’un instant
C’est tellement magique
C’est tellement *levivre
C’est tellement précieux
C’est tellement bon de vie
D’un baiser son si vrai
La vie cette belle offrande
Quand on reçoit des jours
Dans son humble de soi
Des jours des souffles beaux
Comme c’est doux vraiment
D’exister *lerevivre
Après ce tant derrière
*levivre ma poésie
En moi ses tellement
Qui me gardent vivante
Sur la toile de sable
La « tranquillité de l’âme »*
Au bout du pinceau
De la plage à l’horizon
Le tableau d’une fusion.
« la tranquillité de l’âme » disait Sénèque
et comme c’est bon la tranquillité de l’âme,
aucun effort ne semble trop lourd,
quand l’âme sa douce tendre tranquille.
les couleurs du temps
n’altèrent en rien la beauté
la lumière et le vent
l’eau et le sable
transcendent les formes
en des tableaux changeants
Au gré des courbes
le regard danse et court
à travers les entrelacs
dans les reflets de l’eau
Galerie à ciel ouvert
d’un thème d’élégance
d’un artiste inconnu
sur les plages de l’océan
C’est ainsi qu’Ossiane tu nous convies dans ce haut lieu de l’art où la mer dessine sur le sable ses chefs-d’œuvre éphémères d’une nature en éternel mouvement, où par bonheur tes photos laissent une trace de ces merveilles océanes. Merci à toi et à bientôt, bise.
c’est très joli, ce que tu écris, Monique,
merci à Ossiane, de faire vivre ici, de belles plumes en âmes…
Une image son click
Le faire voir son regard
Tout dépend de quel angle
La prise de vue se prend
Une seconde son click vrai
Juste l’instant d’après
Matière un autre click
*levivre ses méandres
D
Mine envolé pendant le jettt…je continue si j y arrive…?!
Dans les couleurs du temps
Que capture l’appareil
Son être de bel vivant
Et quand l’âme ses doux
En objectifs vivants
Le corps ondule et plane
D’un amour bel vivant
heu? si j osais, Ossiane,
merci de recoller les deux morceaux,
de ma plume tatouée sur ton album,
en oeil, ouvert, vivant de tendres âmes,
hého les petits matelots.
Bonsoir Annick comme moi tu apprécies ces méandres qui se donnent en versions si différentes au gré de la lumière, du temps, sous l’oeil qui va et vient et suit les contours du chemin qui ruissèle et ondule sur le sable mouillé et creuse son sillon.
Belle nuit Annick et à vous tous qui flânez par là.
Comme les méandres de la vie , la mer en ses repos ,
tantôt violente , tantôt douce et caressante
Un grand Bonjour ,émerveillée devant tant de splendeur
AA
Méandres comme des envies de retourner dans sa tête et ailleurs
toutes ces idées et remugles qui vont et viennent dans l’agitation douce mais incessante
sans presser le pas plus que les filets qui s’écoulent et d’où découle un abord compassé
il n’y a pas ou plus de sentiments d’urgence mais tout reste dans la prégnance
écoulement sans écroulement quelque soit le point du jour les lits affleurent
et la peau se hérisse du souffle discret qui ne roule pas grand chose sur l’étendue quasi lisse
et presque lustrée des miroirs intemporels.
De la douceur dans les traits
De la matière modulable
Un ensemble harmonieux
Mais une indéniable mélancolie
Un silence qui se décèle
Un imperceptible mouvement
une nature endormie
Et si c’était tout simplement
moi qui caressais un rêve
Bercée par la beauté des lieux
Perdue dans le dédale
Des eaux divagant sur le sol
pénètrant à mon tour
dans ces sables mouvants
afin de mieux me fondre
dans l’aura d’une contemplation.
*levivre
son sillage
en méandres ses sens
car quand de l’amour
à *levivre
cela reste un bel sens
de sauver de l’Humain
son sacrifice à ailes
*levivre
en écrits
en bocal ses tous vrais
en partages complices
pour *levivre
tout de près
quand on aime vraiment
et quand des impossibles
*levivre
ses fracasses
son boucan ses tumultes
il y a quatre années
*lesurvivre
bien plus
chaque jour en espoirs
legrandir en autisme
*l’aprèslevivre
ce tout cela
il en reste des songes
des tous de vrais vécus
de la beauté d’aimer
bien au delà vraiment
au bout de ses limites
un combat tellement lourd
si long des jours des jours
et *levivre épanoui
mon fils son Humain d’être
c’est un cadeau béni
inespéré merveille
que mes jours à serrer
tout de contre tout de près
mes quelques libertés
que je trouve tant libres
après tellement d’années
d’enfermement vivante
dans un amour si grand
je vous embrasse, chacun,
sur votre ligne droite,
ou dans vos méandres de vie,
ligne et virage se suivent,
la vie apprend tant *levivre.
Envie de te dire Annick qui nous confie ce combat incessant que tu mènes que l’Amour en fin de compte est vainqueur car la Vie est toujours le plus beau cadeau qu’il nous est permis d’avoir, rien ne dit que cette vie est facile mais elle a dans les circonstances de beaucoup raison de nous et j’aime cette poésie que tu lui donnes en retour ainsi que cette force et cette reconnaissance envers elle qui n’efface rien mais qui sait mieux que d’autres, j’en suis persuadée apprécier sa grande et juste valeur. Puissions-nous suivre ton exemple et mettre dans notre vie ce qui manque le plus bien souvent cet AMOUR qui est l’essence même de la réussite et du bien-vivre dans quelques milieux ou conditions que nous soyons. Je vois tant de malheur tant de haine, tant de souffrances en ce monde, qu’il me semble que c’est ce qu’ il faut avant tout savoir donner autour de nous, car c’est ce qui manque le plus trop souvent et c’est seulement ainsi que l’on pourra chaque matin se regarder dans son miroir sans baisser les yeux et s’en trouver plus heureux. L’Amour peut de grandes et belles choses. Merci Annick pour tes mots qui te viennent du cœur avec tant d’énergie et de sincérité cela me touche profondément.
Annick lis -tu sais mieux que d’autres,- et non qui sait mieux….. j’ai écrit au fil de ma pensée et suis allée un peu vite peut-être pardon
je te remercie Monique,
hier j ai commencé à lire tes mots, et les larmes me sont montées,
tes mots sont si gentils, tellement,
j’ai fermé l’écran,
et j’y reviens ce jour,
avec moins d’émotions vives,
je te lis et je te remercie,
tu me touches car,
oui de oui,
c’est de l’amour qu’il est bon de véhiculer,
je me suis parfois si fort interrogée sur les malheurs du monde,
bien trop manquent d’amour,
alors c’est bon d’en faire son sens de vie:
véhiculer l’amour
le partager alentour
aimer aimer sans s’arrêter tant pis si parfois on est déçu
et j ai constaté de mes yeux, vu,
que parfois l’amour me déstabiliser certains,
et leur faire emprunter un chemin d’amour aussi,
alors c’est bon…
et pardonne moi aussi,
c’est que le fil de mes pensées qui me sert de plume,
et parfois, il m’en fait voir de toutes couleurs,
mon fil de vie…sourire…
Je t’embrasse, Monique, et Ossiane, et chacun ,
et puis tous,
c’est le second jour de Printemps…
et c’est bon d’abuser oser plus d’amour encore….
hihi, moi aussi j’ai écrit au fil de ma pensée…
MERCI DE LIRE
^parfois l’amour peut déstabiliser certains…
Tout est doux tout est tendre
Le ciel est tamponné
La mer se retire, arrive
C’est selon les marées
Une story d’astres encore
de ciel son tout vivant
Qui inspire expire
Des souffles d’amours bels
Le doigt virage méandre
Chorégraphie de l’esprit
Qui se laisse porter
Par des bouts de doigts ceux ci
Un bout de plume
*levivre
son bijou de plage
à marée basse
ombilic du grand large
yahou, joli, Regard.