village des ombres
quand les nuages se déchirent
ligne de vie
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village of shadows
clouds breaking
lifeline
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
village des ombres
quand les nuages se déchirent
ligne de vie
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village of shadows
clouds breaking
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Et enfin de très joyeuses fêtes de fin d’année dans la lumière de ce ciel déchiré d’où jaillira de belles promesses, j’en suis sûre, en tout cas il faut y croire !! Si jamais, je ne parviens pas à repasser ici d’ici le 1er car je vais bouger, je vous souhaite une belle et heureuse année !! ♥
Quelle splendide photo!
Cœur bleu
Rêve d’azur
L’Océan.
d’estran découvert
aux nuages en déroute
dans la crique blanche
les cloches ont sonné l’appel
entends-tu nos souvenirs ?
Ciel pas dénué de vivacité
écharpe dénouée dans le bleu
et le calme apparent des fonds rocheux
Village endormi
Le spectacle du ciel
Soleil en majesté
Les tourments du ciel
N’entravent la beauté des lieux
Mais l’intensifie
Merci, chère poétesse en images, de nous faire rêver. On a tant nécessité en ce monde !
De belles aventures en voyage et te souhaite une merveilleuse année 2013.
Je t’embrasse sous la boule de gui l’an neuf.
Géant vit
Rêve bleu chasse l’ombre
Terre de l’aimé
Nous sommes en Ecosse….
_____
Il y a du mystère, il y a de l’attirance
Du charme et de la complaisance
Quelques excès dans la tourmente
Pour fouiller au firmament
Les raisons d’un chaos qui dérange
Et trouver au centre des nuages
L’ombre des démons qui rodent
Quelques fantômes ou quelques esprits….
______
C’est au travers de la littérature que peut-être trouverons-nous la réponse à de grandes énigmes comme l’origine de l’ossianisme…
Dans une grande envolée
la nuée se déchire
avec la mer retirée
Merci Ossiane
sous le signe de la décontraction
fond à découvert
et ciel chargé
pas question
de jeter le loch
on est à bloc
on ne craint
le Morloch
habités sont les espaces sauvages
par des esprits coutumiers
pas de sauge qui fasse des ravages
l’an à marée basse
sous un ciel serein demain
sourit et santé
L’an vieux s’en va
L’an neuf s’approche
Qu’il soit l’espoir
de beaux jours
pour nous
Ossiane, je te souhaite un heureux 2013.
A tous mes amis du blog je souhait aussi un heureux 2013.
Et pour fermer l’année , le poème du mois :
ROUGE DE MARS
toujours ardent
tapis de braises.
je le sens en COUCHANT
la tête nue dans l’herbe
pour CROQUER
les larmes du soleil,
le ciel, la mer,
avec des plumes
aux cheveux d’ange
Je voulais rester ici,
dans les eaux de saphir
du lac de l’oiseau blanc
pour toute l’ETERNITÉ,
regardant la PARTITION
du ciel en blanches et bleues,
doux soupirs de cotton.
Mais les NUÉES
de mon âme en ombres
ne se déchirent pas
et mon coeur battant
ne voit pas la ligne de vie.
Ah!
Mon pauvre coeur bat tant …
Ossiane,
presque tous tes mots du mois sont ici .
Nue et ardente
j’étais accrochée à l’espoir
comme une moule sur son rocher
je n’allais pas, honteuse, me cacher
même l’instant d’un soir
une nouvelle pente
était à gravir
qui pourrait me ravir
L’an vers lequel nous nous acheminons
nous mettra t il plus à l’endroit
à bon droit on voudrait gager que oui
mais ça n’engage que nous
et la Baudroie dévorante
qui montre sa sale gueule
il faudra que les courroies
fonctionnent mieux
pour transmettre
des mouvements
de progrès
Tendre et paisible année nouvelle pour chacun, dans l’amour…
Nuées al dente, nubosités tant espérées
qui nous amènent cette vesprée
quand se couronnent les montagnes
que s’ornent les fronts de mer
meilleurs voeux à toi Ossiane
une très bonne année neuve pour tout l’équipage
il y a tant de voyages en images qui nous attendent
Ces voiles de Maya ne sont pas la fin du monde : la preuve, elle n’a pas eu lieu et il nous faut exister encore en 2013. Meilleurs voeux de joie et bonheur pour cet an neuf débarrassé des miasmes !
une bien belle lumiere
Peux-ton encore formuler des voeux ou faut-il plus résolument agir et croire en nos espérances, bon courage à tous pour cette année nouvelle.
Au ciel de l’an neuf
Entre nuées et nuages
J’ose voir l’espoir
Neyde,
Ton poème de clôture est pure merveille, il se lit comme on écoute quelques notes sur un piano, merci Neyde pour ces jolis mots dont la ré-partition n’était pas forcément facile à jouer.
Je te souhaite ainsi qu’à tous les passagers de l’Oeil Ouvert une bonne année 2013 .
Encore un grand merci à notre Capitaine de nous offrir cet espace de partage et d’échanges et d’avoir si bien senti l’importance qu’il tient pour nombre d’entre nous en quête de vérité, de beauté, de poésie, d’amour, de moyens d’expression.
e t’embrasse Ossiane où que tu sois dans tes déplacements en souhaitant que tu y trouves ce que tu cherches, découvertes, rencontres, beauté, images, chaleur humaine….
Bonne et heureuse année Ossiane
qu’elle te soit belle et riche
généreuse et créative
et…. tout et tout …
je t’embrasse
Les nuées ne sont pas dénouées d’intérêt
car dans leur ombres emmêlées la lumière s’infiltre
parfois ça interpelle à plus d’un titre
Je suis reviendue 🙂
Merci de vos voeux optimistes; on en a tous bien besoin face à tout ce qui ne tourne pas rond! Des bises à tous sous le gui ou dans notre forêt de mots; j’espère que vous avez passé de joyeuses fêtes et que vous avez pris de bonnes résolutions pour 2013 🙂 Cueillez la vie, ses petits plaisirs au quotidien, vivez les en intensité, buvez la beauté autour de vous pour mieux la distribuer, énivrez-vous, chaque seconde compte !
Bravo Neyde pour ton magnifique poème du mois qui va si bien pour ces moments de fin et début d’année!! Je viens d’ouvrir un article spécial Poèmes du mois, si le coeur vous en dit … je vous quitte sous les nuées ossianiques que j’aime tant, n’est-ce pas Monique 🙂 … bonne fin de journée l’élan au coeur !! ♥
le mystère des grands nuages
colle à la terre
les ombres des lunes
passages des vents…
Mondes en tourments
Heures grises
Bleus à l’âme
Vents contraires
Infinie tristesse…
ils sont jolis vos mots Jo.S, je les ressens fort de fort…
je te suis Jo.S
Douleur et colère
La folie est sur la terre
Dans la pomme le ver
Nuées pas dénuées d’intérêt
on les espère passagères
et pas seulement messagères
pas de quoi effrayer une mégère