Impulsion / Impetus

Impulsion / Impetus

clair de mer

la vague se soulève

l’envol d’un oiseau

 

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sealight

wave rising up

flight of a bird

37 réflexions sur « Impulsion / Impetus »

  1. Bonsoir les amis !

    Merci à tous pour tous vos beaux commentaires et poèmes déposés sur les notes précédentes!

    Je suis complètement submergée en ce moment d’ou mes rares apparitions, désolée …

    Merci Mathilde pour ta remarque à propos du partage sur facebook, je vais essayer de trouver le problème …

    J’ai bien entendu vos regrets quant à ces poèmes du mois que nous mettions en place à une époque … je ne fais plus rien de ce côté là ni du côté du journal de voyage car je n’ai plus le temps de mettre en forme vos écrits et de rédiger … cependant, si le plaisir est toujours là et sans que ça me prenne de temps, je peux créer une note spéciale en fin de mois où vous pourriez venir mettre vos poèmes du mois dans la page de commentaires … dites-moi si ça vous intéresse et j’ouvrirai une note fin février … voilà;)

    Bonne soirée à tous, bien chaleureusement à tous ceux qui se sont manifestés en sympathie sur les derniers articles …

    Ossiane

  2. Bonsoir Ossiane et merci d’apparaître ici avec ces quelques mots . Bon courage à toi.

    La mer une poudrée de lumière
    geste auguste d’un semeur
    venu du ciel

  3. Je rejoins Pierre,
    merci Ossiane, pour tes mots posés,
    c’est bon de te savoir la capitaine,
    hein, moussaillon Pierre?!

    et comme c’est joli, Pierre,
    belle tendresse de mots légers pleins de grâces…

  4. Quand la vague se soulève ,la mer fume …
    Grand émoi chez les mouettes
    Le chant des sirènes vibre encore
    Et notre Fée Ossiane chevauche les Embruns
    Merci pour ton attention Fidèle

  5. Bonsoir Ossiane sans te cacher notre joie à te lire ce soir malgré le peu de temps dont tu disposes merci à toi vraiment, bonne nuit, je t’embrasse.
    _____

    Ainsi l’amour des mots
    Nous entraîne dans un monde étrange
    Nous pousse inlassablement
    A vouloir formuler
    Nos amours, nos peines et nos joies
    Impulsions incomparables
    Alors même que nous savons
    Leur impuissance souvent à traduire
    Les plus simples de nos états d’âme
    Dans les rouleaux de vagues écumantes
    Avides d’aspirations incessantes
    Les mots roulent et glissent sous la plume
    En quête de beauté, de vérité
    Et de plaisir dans le bonheur d’écrire
    S’il leur arrive de venir s’échouer et mourir
    Quelque part dans le silence et l’incompris
    Quelques uns survivront peut-être
    Affleurant l’onde claire et calme de la mer
    Dans le chant lointain des oiseaux de passage.

  6. l’aile surgit
    des nuées fugitives
    flots de nacre

    **************************************************************************************
    Merci Ossiane, pour tous ces éclairs de beauté dans nos vies, ton écoute si attentive et tes mots chaleureux.

  7. Bonjour Ossiane, courage pour la suite!

    Baiser si léger,
    la mer frémit, apaisée,
    sous les projecteurs.

  8. Comme c’est bon de le voir s’envoler
    Ses ailes
    Sa tendre respiration dans les ondes du ciel
    Son libre
    Il se grimpe ses tendresses et frémit
    Sa vie
    La mer attentive l’embrasse du coin de ses vagues
    Ses roulis
    Et le brume se frissonne émotions devant levivre
    Son lui

  9. A la recherche des paradis perdus
    je constelle mon existence

    – je danse uniquement sous la pluie –

    pour sentir mon corps en demander encore et encore…

    Dans l’attente du vague, je laisse mon esprit vagabonder au dessus de la lame, bien loin du fond…

    Si loin.

    Par transparence, je vous aperçois tous… Sourire à la vie !

    Loin si loin du bruit et de la poudre.

  10. Une envolée vers un ciel sans nuages
    Porté par le courant des vents
    Image fugitive et lointaine de l’oiseau
    Vers d’autres cieux, d’autres horizons
    Plumes au vent le corps léger
    Au-dessus des embruns
    Il passe, nous passons,
    Sa discrétion est élégance.

    Belle nuit à tous et beau voyage dans les nuages, au royaume des rêves.

  11. I mmanquablement, je reviendrai
    M on cœur en mouvement
    P ortant le feu des airs
    E n voyage sur mon argile
    T oujours en marche, épuisée
    U nique poussière du vide
    S ilencieusement, je chute.

  12. Impétuosité n’est pas onctuosité
    la tourmente se prépare
    un grain s’annonce
    et s’amoncellent
    les nuages noirs
    des déboires
    qui ne manquent pas de sel
    on cherche une réponse
    plus rien ne nous sépare
    impétuosité n’est pas glacée

    il reste les tourments
    les coups de vents
    comment s’assurer
    une ligne de vie
    aux chandeliers

  13. imposition, impression, impulsion
    trois i pas haïs mais subis
    il faut lutter pour restaurer le naturel
    sans le chasser

  14. e vais avoir besoin de votre soutien moral à tous, ceux qui arpentent ces lieux de providence; je suis au plus bat et défait
    le processus de guériosn est en panne pour le moment, je suis chez moi après avoir été renvoyé de la clinique où j’étais, pourtant je ne suis pas un monstre mais j’ai déplu et on m’a sanctionné par les libertés que je prenais, devenu incontrôlable et trop puissant à leur gout on m’a rogné les ailes et renvoyé à ma condition d’infirme en me prétendant maboul! ; je peux témoigner que je suis vif et sain de corps et d’esprit mais pas assez sain sans doute et pas un saint puisqu’on m’a diabolisé et bouc émissarisé!!!

  15. Thierry hello, tout l’équipage et son capitaine sont là donc sois confiant , joue avec les mots, et prends nos mots de réconfort à bras le corps, remonte la pente en te concentrant sur du positif car il y en a toujours, ne serait-ce que l’amour et l’amitié que l’on rencontre autour de soi, respire à plein poumon laisse venir le printemps, les oiseaux en sont les annonciateurs, il suffit de les regarder danser leur grands ballets jusqu’au soir tombé… et puis écoute la musique pour faire chanter ton cœur toi qui sait si bien jouer avec les mots. Je t’embrasse et suis sûre que tout le monde ne demande qu’à te voir sourire, je t’y encourage et t’embrasse, accroche-toi.

  16. Thierry , tu n’espérais quand même pas rester malade toute ta vie ! Ton médecin est excellent puisqu’il a su te donner l’impulsion au bon moment , tu sais demander du secours , c’est bon signe , sourire.

  17. De son cerveau embrumé
    S’envole ses ailes belles

    Bonjour Thierry,
    tenez bien la corde, fortement,
    l’équipage des mousses, est là,
    et la capitaine, veille au grain…

  18. L’écriture , Thierry, permet de soigner ses maux…..avec des mots!! Courage pour la suite, avec une bonne dose d’optimisme………..

  19. L’océan
    et le chant des sirènes
    – au détour d’un détroit
    qui m’attire…

    Pour me faire jouir
    Dans l’infini des sens
    Au vide immense
    Telle une danse

    Aux fils des possibles
    Laissez-vous prendre !

  20. L’océan
    et le chant des sirènes
    – au détour d’un détroit
    qui m’attire…

    Pour me faire jouir
    Dans l’infini des sens
    Au vide immense
    Telle une danse

    Aux fils des possibles
    Laissez-vous prendre !
    C’est la vie qui le demande !

  21. sans élan vital rien n’est possible
    mais s’il est bon d’oser il faut savoir doser
    car nous ne sommes invincibles

    merci de vos témoignages, c’est pas évident d’arriver dans un lieu pas équipé
    pour éclopé, parfois je fulmine un peu comme un crayon mais ça se tasse
    la patience est sapience mais il faut en garder provision comme providence

    je passe fugace de peur qu’ils se lassent…

  22. Thierry je t’emmène au théâtre voir une pièce, elle raconte la plus belle histoire de la vie.
    _____

    Un immense rideau de brume
    S’ouvre sur l’océan
    Le décor est grandiose
    Quelques trainées de lumière
    Traversent le plateau
    Premier acte sans personnage
    Qu’un silence pathétique sonorise
    Le style est donné
    Il transcende en poésie
    Le lent déroulement
    D’une brume qui s’étire
    Laissant à l’océan
    Son heure de gloire
    Il enfante la beauté
    Apothéose de l’unique tableau
    D’une pièce qui se joue
    Aux aurores d’un jour.
    _____

    Surtout n’applaudis pas car j’aime goûter les dernières notes de musique, elles sont pour cette pièce si délicates à entendre.

  23. C’est bon lire ton message. Sera-t-il possible que moi, après tout ce temps là, je puisse encore écrire un poème du mois? Voyons!
    Ton blog toujours plein d’amis et d’amies que j’aime beaucoup.
    Il a de fois que je viens mais en silence …
    Je lis tous les commentaires et je continue un élève de français et vous tous les profs. Merci.

  24. quel plaisir de te lire Neyde

    merci Monique j’ai fait silence après la pièce de choix

  25. Oh Neyde, toi grand soleil de nos amitiés!Nous sommes tous des élèves de la vie.

    Vers en effervescence
    Je viens en silence
    Derrière la vitre des songes
    J’écoute les rires de l’ange
    Les mots qui se mélangent
    L’attention qui s’échange
    Et les pleurs de l’enfance
    Poésie de l’absence
    IMPULSION de vie.

    Derrière la vitre des songes
    J’écris seigneur Éole
    Les vers qui caracolent
    Cascade où je plonge
    Ah! Billet…

  26. oh vague immarcescible qui ne peut que se reproduire à l’infini
    l’éclairage rasant est là qui ne te coupe le pied
    et quand se lèvent les murs d’eau on sait qu’il te sied
    de revenir encore sur ce même lieu travailler l’iris
    puisque c’est ainsi que les formes se glissent
    et que grisant les cieux le mouvement prend sa source
    remplissant peu à peu de richesse la bourse
    jusqu’au plus loin des loin, là où l’horizon fini

  27. Douceur de te savoir là Neyde toujours à l’écoute, ce matin Leïla et Thierry nous ont fait l’honneur et le plaisir d’écrire, je ne sais sous quelle impulsion vraiment des paroles admirables dans un langage très poétique et agréable à lire, bonne journée à tous.

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