Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Brise
un souffle indécis
frémissement de plumes
d’ambre et de flou
15 réflexions sur « Brise »
caprices du vent
les plumets échevelés
ailes ou cerfs-volants
La bise est venue
Briser nos rêves de printemps
Coucher les roseaux
les houpettes des roseaux
une surchauffe de lumière
mes lunettes sont sales
brise bistre qui se brise
vent mal orienté
et des plumes en prime
Ebauche d’une oeuvre
Les prémices du printemps
Avant impression.
Merci OSSIANE pour ces photos et haïkus.
Un régal pour la vue et la plume…..
Très belle photo! Il y flotte une légèreté et une douceur.
Tracés imprécis
anecdote
dans lart du récit
Sambre et Meuse
sabre au clair
attendrissement de lune
COMME C’EST JOLI, ja vais râté celle ci…HEU, AVEC ACCENT?!
Ma main les caresse
En silence
Ta douce chevelure
qui pare la brise
quand la vitesse est grande
qui part devant la brise
quand la tentation est féconde
combien d’épis en dépit des épices
vont rouler comme quand le tonnerre gronde
brise et hisse il n’y aura pas de seconde
mais les minutes rappellent
les récoltes couchées par des bourrasques
et ces tornades qui tournoient en lice face aux andains debout
alors pas de caprice plions et ployons , déployons nous
en ordre de bataille et pas comme une horde dispersée
de cette défense nous ne pouvons nous dispenser
Le frémissement des plumes se fait entendre en toute subtilité. J’aime cette photo.
Nature déchaînée
Quand le vent souffle la peur
Violence du mistral
« un souffle indécis
frémissement de plumes
d’ambre et de flou »
Je lis et relis ces quelques mots qui sonnent merveilleusement bien.
Merci, Ossiane !
jamais l’abus de vent ne m’a détraqué complétement
devant ou derrière c’est sans arrêt qu’il claque
soit il imprécis qu’il tape au juger et porte de travers
tandis que volètent comme des follettes
les plumons qui s’offrent des poumons
alors resplendit sans ombre la translucidité
qui donne à ce décor tant d’humanité
du reste ce n’est pas ici que nous foulons
si stipendiées que soient les abords mouillés
ainsi ne suis pas ce fol haï qui se déjante
pour marquer un semblant de territoire
celui par qui viennent les histoires
caprices du vent
les plumets échevelés
ailes ou cerfs-volants
La bise est venue
Briser nos rêves de printemps
Coucher les roseaux
les houpettes des roseaux
une surchauffe de lumière
mes lunettes sont sales
brise bistre qui se brise
vent mal orienté
et des plumes en prime
Ebauche d’une oeuvre
Les prémices du printemps
Avant impression.
Merci OSSIANE pour ces photos et haïkus.
Un régal pour la vue et la plume…..
Très belle photo! Il y flotte une légèreté et une douceur.
Tracés imprécis
anecdote
dans lart du récit
Sambre et Meuse
sabre au clair
attendrissement de lune
COMME C’EST JOLI, ja vais râté celle ci…HEU, AVEC ACCENT?!
Ma main les caresse
En silence
Ta douce chevelure
qui pare la brise
quand la vitesse est grande
qui part devant la brise
quand la tentation est féconde
combien d’épis en dépit des épices
vont rouler comme quand le tonnerre gronde
brise et hisse il n’y aura pas de seconde
mais les minutes rappellent
les récoltes couchées par des bourrasques
et ces tornades qui tournoient en lice face aux andains debout
alors pas de caprice plions et ployons , déployons nous
en ordre de bataille et pas comme une horde dispersée
de cette défense nous ne pouvons nous dispenser
Le frémissement des plumes se fait entendre en toute subtilité. J’aime cette photo.
Nature déchaînée
Quand le vent souffle la peur
Violence du mistral
« un souffle indécis
frémissement de plumes
d’ambre et de flou »
Je lis et relis ces quelques mots qui sonnent merveilleusement bien.
Merci, Ossiane !
jamais l’abus de vent ne m’a détraqué complétement
devant ou derrière c’est sans arrêt qu’il claque
soit il imprécis qu’il tape au juger et porte de travers
tandis que volètent comme des follettes
les plumons qui s’offrent des poumons
alors resplendit sans ombre la translucidité
qui donne à ce décor tant d’humanité
du reste ce n’est pas ici que nous foulons
si stipendiées que soient les abords mouillés
ainsi ne suis pas ce fol haï qui se déjante
pour marquer un semblant de territoire
celui par qui viennent les histoires