Chorus

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Aigrettes de soie, rêve de^porte-plume, grand panache blanc

Lecture du Haïku Calligramme:centre, bas, haut

Aigrettes de soie
rêve de porte-plume
grand panache blanc

97 réflexions sur « Chorus »

  1. c’est joli, c’est vraimEnt toujours joli cheztoi,Ossiane; Merci.

    Les plumes d’amour
    Se groupent
    Pour se tenir le ventre
    C’est pas facile
    De vivre
    Sur cette terre ainsi faite
    Quand se mourir d’amour
    Se connaît fort souvent
    C’est difficile
    D’aimer de bel amour dedans
    Tant ont perdu ce goût
    De ce parfum si grand
    Qui parfume le coeur
    Et palpite de paix
    Et quand on est Humain
    On souffre forcément

  2. la tête en nuage
    les jambes en roseau
    brandiller par le temps

    bonne journée à tous
    bon courage Ossiane

    très jolie calligramme

  3. De ta douceur au bout du fil
    J’en souris encore
    De cette soie au bout de tes doigts
    J’en rêve encore
    De la pureté de ces matins là
    J’en bave encore

    De l’impossibilité de vivre ces rêves là
    J’en crève encore

    De la possibilité d’acter ces rêves là
    J’en vis encore

  4. Belle journée à vous tous 😉
    Oui Marc, très joli le haiku d’Ossiane « ce rêve de porte plume » est absolument exquis ! Et la photo recomposée superbe …
    Mais elle est où la belle O où baignent les roseaux ? 😉

    Un rêve de porte-plume
    pour l’envol des vers blancs
    qui atteindront la lune
    choeur caresse du vent
    il est doux le voyage
    que sur ailes entreprennent
    ces anges frémissants
    qui saisissent les pensées
    quand ils les voient passant

  5. Je t’aime d’un amour
    Qui le défie le temps
    Ma plume tendre froufrou
    Te caresse intime
    J’aime te savoir aimé
    Toi qui aime vraiment

  6. Sur son bureau étal
    Des mille plumes tendres
    Chargées d’encre d’années
    Du temps fort pour aimer
    Alors dans ce grand puits
    Elles se chargent d’eau
    Et toutes se remontent
    Chargées d’un bout de vie
    Que le papier accueille
    A distance sans cri
    Dans le miracle de l’amour
    Qui de toutes ces plumes
    En crée une belle et unique
    Celle chargée si simple
    Des poussières d’étoiles
    De celui qui a jour
    Mit de tout vrai l’amour
    En vedette du temps
    Sur l’estrade vivante
    Intimité secrète
    Haut ressenti si fort
    Au plus profond de l’être
    Sur toutes ses facettes

  7. Quand le rayon de lune vint lui prendre la main
    Cyrano prit bien soin d’emporter en son sein
    Les charmes du panache blanc si leger et si fin

  8. Annick, tes écrits ce matin me furent aussi agréables que ma promenade à la campagne, un bol d’oxygène qui prédispose aux pensées les plus douces, aux sentiments qui semblent en effet parfois perdus. Belle approche de l’écriture aux bords de l’encrier. C’est très joli Annick avec cette grande grande sensibilité qui te caractérise. Merci.

  9. Merci, Monique, pour tes gentils mots,
    alors cela m’amène à me relire, je suis si surprise quand cette tite plume qui me gigote peut plaire, et je vois une erreur de frappe,
    ah, cette tite plume étourdie de grande sensibilité, oui, c’est vrai, c’est une grande sensible…BISES, Monique…Je suis contente pour ta ballade en campagne…et je suis confiante, Monique, ces sentiments là insoupçonnés rêvés, ils existent vraiment..

    Merci de lire..de celui qui UN jour…de 9 H 03…

  10. qu’il est tendre le temps des herbes hautes…
    ivresse
    des vents dans la matinée enchantée des faux
    puissances singulières des éclats de voix
    parfumés par cette âpre odeur poivrée des foins à venir
    gambadons enfants libres des inquiétudes…
    amoureuses couchées sous les « feunières* » des innocences …

    (« feunières:c’est comme ça que j’ai toujours nommé dans ma région, entre Cére et Dordogne les, (nord du Quercy et sud-ouest de l’Auvergne) les tas d’herbes fraîchement coupées que les paysans laissent sécher au soleil avant qu’il ne se transforme en foin)…

  11. Une splendeur, tes photos!!Ossiane

    Symphonie de joie
    L’orchestre s’empanache
    Ballet froufroutant

    En attendant mieux..Annick semble bien inspirée! je lui octroie une belle palme pour ses vers délicieux

    Bises..bonjour à l’équipage tout en plumes!!

  12. Cou – cou !
    Bonjour les kikis !

    eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

    Balade point banale
    D’une plume sur parchemin
    Autour du verbe AIMER :

    Vite,
    Faire le plein à la pompe…

    C’est parti !

    Petite plume en partance
    Pour des pleins rebondis
    Et déliés très raffinés

    En avant toute…

    Courbes arrondies : O
    Virage très serré : U
    Epingle à cheveux : S
    Croisement en : X
    Descentes vertigineuses : f
    Passer le petit pont : n
    Puis le grand pont : m
    Tournicoter : eeeeeeee

    Au cours du voyage,
    Plume sautille gaiement :

    Point sur le i
    Point sur le j
    Deux point :

    A l’arrivée :

    Point final

    eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

    _____

    http://cbelouin.club.fr/calligraphie/calligraphie_aimer800.jpg
    _____

    Biseeeeeeeeees de Christineeeeeee

  13. Crinières aux vents
    Les herbes de la pampa
    Pieds dans les roseaux

    Le souffle du vent
    Le chorus à l’unisson
    Tout empanaché

  14. Le décor use mais ne ruse pas car il faut voir avec quel panache
    il se fait hacher menu, mais pour le panaché il faut le mélanger.

    Il n’y a pas de panache sans fumée et pas de fumée sans feu
    mais de là à s’enflammer à la vue d’un panache !

    Le plumet n’est pas le Casoar car même sur le Shako il prend
    des airs bateaux et tangue, tangue au son du flûtieau.

    Prête moi ton plumeau pour que je fasse le plumier, je ne voudrai pas me faire plumer car sinon…je leur vole dans les plumes. Non mais des fois !

    Oui Aspe, la fenaison et le fait de fener, ce n’est pas ouvrir une fenêtre pour autant
    mais on peut se voir couper l’herbe, même haute, sous le pied 🙂

    Quand en panne de hache on se cache dans ce couvert végétal et que détalent les
    plumets, on se met en danger, oh certes pas létal mais l’étal a beau être rempli
    parfois on épie et de mal en épis on s’étale.

    Fatigue de semaine longue et occupée donne mots déraillants sur voie étroite mais sans panache la plume ne vaut pas grand chose.

  15. Le lierre s’est emmêlé
    A la tresse de l’oubli
    Mes lèvres abandonnées
    Au pays de rivages perdus.

    Pour ton coeur absent
    Ecarter les pampa
    Qui tanguent en paravent
    Derrière leur plumage blanc
    J’ai caché des mots doux.

    Tanguent les radeaux d’automne
    Au ciel de la rêverie
    Révérence par là, lumière sur soi.

    Qui sème la vie récolte le tempo
    Qui bat la mesure sème des étoiles
    Dans les panaches au vent
    Le ciel rit chatouillé
    La lune pouffe de blanc
    Et les herbes s’allongent,
    S’abaissent pour composer
    La couche des amoureuses
    D’herbes dansantes et de roseaux.

    Herbes hautes, à trop se cacher
    On se donne par maux, car vaut
    Beaucoup mieux écarter le panache
    Pour lire mes billets doux!

  16. Souple comme un roseau
    Le coeur se plie mais ne romp pas
    Et comme l’herbe de la pampa
    L’âme gigote ses plumes blanches
    Ces corps en chants ondulent tendre
    Devant l’oeil bienvaillant du temps

  17. « Mais le temps que s’allume
    L`idée sur le papier
    Le temps de prendre une plume
    Le temps de la tailler
    Mais le temps de me dire
    Comment vais-je l’écrire
    Et le temps est venu
    Où tu ne m’aimais plus »
    Brel

  18. Mais le temps que s’éteigne
    Mon amour sous la plume
    Le temps de l’essuyer
    Le temps de la ranger
    Mais le temps de penser
    Comment vais-je effacer?
    Cet amour malheureux
    Le temps de jour et noir
    Le temps de nuit en blanc
    Mes maux mit en suspens
    Mais le temps a passé
    Et mon coeur s’est lassé.

  19. Bonsoir Ossiane ou bonjour, tu dois être en tournée boulot ou à peine rentrée et tes petits mots nous manquent un peu beaucoup! Je fais les 400 pas sur le pont, dans le bateau tout le monde dort ou presque ! Alors pour t’imiter et nous sentir un peu moins seuls, je pense tout en plume 😉

    Brigetoun ton verbe vibre joliment , on entend presque les instruments !
    Leila, quelle paisible image que ces radeaux qui tanguent dans nos songes 😉 et quelle inspiration!
    Annick , on se demande au début si les plumes d’amour se tiennent le ventre de rire, puis on réalise que non et que c’est de la souffrance. Mais tu nous rassures quand plus loin les plumes à l’unisson font triompher l’amour, et tu le fais triompher admirablement quand tu écris. bisou
    Arletteart, oui Ossiane semble nous avoir abandonné à nos roseaux. Elle a effectivement pris la clé des champs. Reeeeeeeeeeviens nous O .
    Marc « la tête en nuage » nous fait doucement rêver, les jambes en roseaux devraient se muscler peutêtre un peu !
    Nigra, la douceur de la soie est pure et ces rêves impossibles, on les atteint presque dans tes mots.
    Vaggelis Vlahos, on behalf of Ossiane, we thank you for your visit. Please come again.
    Jeandler on préfère te suivre toi , plutôt qu’Henri IV 🙂 . Notre heure n’est pas encore venue !
    Bruno, jolie plume qui ici se pose 😉
    Yo cox, écrire le présent qui s’enfuit pour en retenir les jolies bribes ?!
    Le ciel rit encore Johal, on le voit dans les traces laissées par les nuages blancs. 🙂
    Aspe, l’histoire des feunières est mignonette. Je propose d’intégrer le terme dans notre dicco d’Ossiane.
    Claudie, tout cela donne envie de danser !
    Monique promène dans la nature son regard et sa belle inspiration. Bonne ballade dans la campagne.
    Bonbonze est souvent si drôle qu’on l’aimerait comme voisin de palier. Un bonjour du matin assaisonné d’un mot pour rire, rien de mieux pour la forme!
    Christineeeeeeeeeeee, tes jeux sont toujours aussi fun. Les lettres de l’alphabet se régalent .
    Thierry, tous les mots en plumes risquent d’être plumés avant d’aller se plumer 😉
    Très joli Fugitive et bisou à vous tous.

  20. Coucou du petit matin
    Joli ! Lou de nous parler si joliement en attente de la » belle indifférente « …non de la belle absente et si le plumet n’est pas le casoar !! Thierry
    Avec panache et du bout de la plume les lettres se placent ,s’enlacent ,s’entrelacent former pour avec humour
    un grand bonjour plein d’amour
    pour ce jour
    AA

  21. Une plume
    Passerelle pour un léger souffle
    Entre des duvets défaits
    Plume,
    Gracieuse caresse, légèreté
    Transparence de l’éphémère beauté
    Avant l’averse qui plaque
    Plume,
    Qui claque sur la courbure rosée
    Une plume
    Qui virevolte sur le nez
    S’en va balancier éphémère
    Se déposer au creux d’une main
    Puis un souffle de brise
    La voilà reprise dans un tourbillon
    Murmure entre ses duvets mousseux
    Elle part ondulant sur l’herbe
    Se repose un instant et l’emporte le vent
    Loin, loin, loin
    Les yeux suivent sa danse
    Concerto muet de l’esprit épris
    Du regard surpris
    Plume blanche du cygne qui danse
    Sur les eaux tranquilles de la clairière des rêves.

  22. Chorus line, qui fait sens en groupe, qui foisonne et ne moissonne pas
    car le moi ne sonne qu’en groupe justement.

    Grégarité quand tu nous tient …dans des champs de grégarité …car n’est pas grégorien qui veut… mais tous ensemble on s’insuffle de la force et ce n’est pas rien… l’un serait t il tenté de calancher que les autres l’entourent, le soutiennent, le retiennent.

    Aux vétérans de Koursk, allez les papy russes tous en choeur et on lève son verre, na zdarovie !

    Mais si on ne déroule pas les rouleaux, qui va inscrire en grandes vagues ondoyantes la beauté du vent, nouvelles éventées mais plumets pas dispersés
    car regroupés ils donnent un volume à la masse et sans nous prendre dans la nasse, amasse tant de souvenirs flottants.

    Aux fumeurs impénitents qui tirent sur la tige, votre fumée déconcerte, d’abord le bout rouge puis cette subtile suspension blanchatre.

    On ne peut être panaché à demi, c’est tout ou rien…alors pour les faux cool mettez une bavette pour ne pas faire la navette.

    Mais de ce signe ornemental qui flotte d’aucuns déduiront hâtivement de l’héraldique que comme les cimiers il annonce et glorifie, point de vaillance sans jactance, il faut porter bien les couleurs et d’ailleurs le panache peut s’entendre
    comme le panachage…d’un autre age.
    Pour les outrages on y répond avec le gant, car le code est donneur mais pas de signes de bonne aventure.

  23. Pas un mot plumeau que l’autre, ni plus beau d’ailleurs, une stricte égalité
    des nuances dans la tonalité, et ces mots qui courrent encore en file serrée
    pour densifier le propos et glorifier le passé, annoncer l’avenir, conter le présent
    retenir le prince charmant .

  24. Marguerite à clous

    Quand notre fakir tombe amoureux,
    Il a une méthode typiquement fakiresque
    Pour savoir où en sont les sentiments
    De l’élue de son coeur !

    Voici sa méthode :

    Prendre une boîte à clous
    Disperser généreusement
    Tous les clous sur le sol du sentier
    S’assoir dessus, ils doivent tous bien rentrer !

    Puis, un à un, retirer les clous
    “Elle m’aime,
    un peu
    beaucoup…”

    etc…

    (Texte de Christine dans « Projet »)

    Leïla y vient de son conseil poétique:

    M ais le plus récalcitrant
    A se planter profond
    R etirez-le autant
    G uerroyer avec lui
    U n peu, passionnément
    E ffacer sa douleur
    R ogner ses coins de fer
    I vre mort vous serez
    T ordu, plié à terre
    E nfin la vérité!
    S ur fond de hasard.

    Parfois, je ne comprends pas grand choses à certains de vos écrits, pas plus que je ne comprends certains issus de ma plume, je sais juste que j’aime écrire ainsi et que d’autres écrivent des choses qui ont un sens pour eux et qui mènent à la rêverie, à la réflexion pour d’autres.Voilà c’était l’instant philo.
    Ossiane cueille des bouquets en Champagne??? Elle y serait retournée discrètement à pas de vent????

  25. Lou

    bon boulot c’est ca un marin ca doit savoir tout faire même remplacer le capitaine quand elle dort en fond de cale d’avoir trop forcé sur le petit vin blanc

    ma plume hume les rêves
    et se laisse entrainer par ces fragances
    sur les chemins de l’existence

  26. jJajouterai que j’étais persuadée mais alors à fond!!! d’être dans la note d’Ossiane intitulée: »Marguerite » avant de me rappeler que les plumeaux nous avaient déjà emportés loin du champ, ce qui explique mes commentaires sans herbes hautes…C’est un peu comme ces scènes qu’on est persuadés d’avoir vécues un jour indéterminé, un coma d’une seconde et nous voilà ailleurs.

  27. Sam’di matin : 9 heures
    Allez-y tous en chœur
    Messieurs les beaux plumeaux
    En avant illico

    Otez bien la poussière
    en secouant vos derrières
    plus de moutons rebelles
    la maison se fait belle

    lorsqu’elle sera pimpante
    dans le matin qui chante
    nous crierons à tue-tête
    reviens-nous Marinette !!!!!!!!

  28. Merci Rachel pour ce pense bête qui nous dispense de généreux conseils
    mais ne nous dispense pas de passer à l’action, loin des factions honnies
    nous allons nous mettre en ordre de marche et y aller sus à l’ennemi, car faire voltiger la poussière fait partie des couleurs de la vie.

    Bon enfin il y a plus moderne que le plumet et sans faire de publicité avec des machins sans poches et qui nous montre l’avancée de nos combats on avance rassérénés sur leur issue et notre efficacité.

    Ah leila si il ne fallait prendre la plume que pour écrire à coup sûr, combien d’occasions manquées de libérer des tensions et des angoisses, le sens ne saute il pas aux yeux que la quête commence et c’est bien aussi …comme ça.

    Ossiane, c’est vrai que ton activité accaparante pour nous n’est pas désespérante mais que nous guettons ton retour avec impatience.

  29. La douceur de la soie…
    ….La luminescence de la neige…
    ………..Le parfum d’une rose…
    ………………..La souplesse d’un roseau…
    ……………………………………………..
    Chacun fredonne sa partition……
    …..Sous l’iris étoilé de mes yeux
    …………..Et le est tout, chant lyrique
    ………………Un chant sublime et magique…….
    ……………………………………………..
    Et ta peau sous mes mains fait chorus….
    …..Dans sa gage…..
    ……………Mon coeur-métronome
    …………………S’embale …….
    ………………………Et accelère le mouvement
    A l’unisson de nos baisers indomptés…………..

  30. L’esprit du vent a découvert
    que le sens des ramages
    les mots écrits dessous la pierre
    s’en allaient d’automne à l’hiver
    en déplaçant sur le ciel des orages
    où l ‘être est illusoire
    et l’ Avoir une attente ancienne.
    Mais le vent sur les ombres de soie
    patiemment les habille de fugue voilée
    mélangeant cette présence au coeur
    d’autants d’étoiles qu’il y a de fleurs.

  31. Foison de joncs!
    Je me suis mis à l’herbe
    Parce qu’elle est verte. Puis qu’elle est jaune.
    Je me suis mis au verbe
    Pampa du tout
    Pour une aumône
    Plumeau chapeau
    Et sans toupet
    Je suis gaucho
    Et quand y trot’
    Y fait des pets
    Tard dans le soir
    Et dans ma grotte
    J’attends nénette
    C’est ma Marie
    …Pour être honnête
    Pour le ménage
    De ses houssoirs
    Elle est habile
    Parfois…………amère
    Mais douce au coeur
    Encore bien verte. Presque pas jeune.
    Toison de…

  32. sur la note l’envol

    la plume cela me fait penser à un des premier textes déposé, il me semble, par thierry un texte que j’avais aimé

    bonjour vers toi et bonjour à chacun

    bon week end

  33. Lou m’a rappelé que les plumes sans donner dans le pudding ni dans le plus dingue pouvaient accroître les distances alors qu’on voudrait souvent qu’elles nous rapprochent ; pour être sans reproches je ne sais plus si je vous avais
    fait partager ce texte, si ça n’était pas déjà le cas, voilà qui est fait. ;)))

    000

    « Primitif ou plumitif, il faut toujours affûter quelque chose »

    Les chasseurs du néolithiques ayant appris à tailler
    Les pointes de flèches, les bifaces, les os de rennes
    Pouvaient alors confectionner des armes de jet
    Et patiemment, à l’affût en groupe, attendre le gibier.
    Souvent un animal plus isolé ou resté à la traîne
    Qu’ils avaient bonheur à prendre dans leurs rets.
    Ces primitifs au contact de cette nature sauvage
    Souvent inhospitalière, recelant de grands dangers
    En savaient assez pour quelque peu l’apprivoiser
    En construisant des huttes couvertes de branchages
    Ou cueillant les fruits comme on va vendanger.
    Et du feu maîtrisé avaient fait un allié pour toiser
    Ces animaux qui se laissaient rarement approcher.
    Le plumitif en comparaison de ce valeureux primitif
    Se contente de tailler sa plume et de la tremper
    Dans une encre incertaine pour délivrer un message.
    Il peut forcer le trait sans utiliser un arc de bois d’if.
    Mais s’il lui prend l’envie il lui arrivera de taper
    Quelques maximes qui sans être paroles de sage
    Amèneront forcément les lecteurs à une interrogation.
    Sans être un sauvage forcené assenant à tout coup
    De létales attaques qui repousseraient un auditoire
    Pas assez habitué avec les subtilités d’une écritoire.
    Il peut manier la pique comme une sagaie, du bout
    Voulant chatouiller ses congénères d’une ration
    D’insolence qui tire et puis élance une langue acide.
    Sans être Alcibiade ou même prendre le chemin d’Alcide

    000

  34. Toison de…
    Rédigé par: Bernard | le Samedi 27 septembre 2008 à 10h54| Alerter

    Puisque personne n’ a trouvé:

    Toison de Ἰάσων

  35. .
    22222222222222222222222222222222222222222222222222222222
    .
    Bonjour à vous tous par ce bel après-midi!
    .
    Oui je sais, je ne suis pas très présente; je sens votre impatience dès que je m’absente plus de 24h ;-)) Je ne suis pas indifférente et je suis touchée par votre attachement si chaleureux;-)

    Et pourtant, croyez bien que j’ai toujours du plaisir à vous lire et à voir mes photos honorées par votre belle poésie. Nous formons un réel attelage créatif dans cet atelier si particulier.

    Je vais, je viens. J’ai besoin de récupérer une partie du temps passé sur le blog pour le consacrer à mon travail. J’ai des projets à aboutir dans des délais très serrés.

    Je peux passer un peu de temps à réaliser mes notes mais je ne peux plus répondre à chacun comme avant. Chaque note me demande environ 2 à 3 heures pour les commenter. Vous multipliez par trois et ça fait une journée de travail. Je vais essayer d’intervenir d’une manière moins gourmande en temps; Croyez bien que je ne veux surtout pas vous laisser tomber;-)

    Il ne faut pas que cela vous empêche de vous exprimer en toute liberté et plaisir. Soyez assurés que vous êtes lus et appréciés par les visiteurs (environ 1500 par jour en ce moment) et puis bien sûr par moi.

    Compte tenu de ma disponibilité, faites-moi des suggestions, débattons de tout ça, je suis à votre écoute pour améliorer ce qui fait défaut et entendre ce que vous attendez de moi 😉

    Je remercie ceux qui se sont mis à commenter à ma place, n’est-ce pas lou 😉 Les marguerites et les plumets vous inspirent davantage que les têtes hirsutes;-)

     Clin d’oeil à Fugitive, NIgra, yo-cox et bienvenue à deslilas, louise, Poème, vaggelis vlahos. Je vous embrasse tous bien fort et j’attends vos réactions.

    Ossiane
    .
    777777777777777777777777777777777777777777777777777777

  36. La chance

    Refrain des couleurs dans l’ocean
    La chance est une âme vibrante
    Comme un limon de pierres précieuses
    Dans un lit de rivière
    C’est le visage du soleil quand il brille dans le coeur
    C’est la vie : quand elle sourit aux sentiments
    Seconde éternelle d’une lumière dévoilée

    james jonas david

  37. Je me réveille sur le pont et voila que notre capitaine passe. Hello Ossiane !!
    On comprend tout à fait que tu sois prise par le boulot. Bon courage à toi. C’est que tu nous avais gâtés par tes gentils petits com. qu’on appréciera toujours beaucoup. Ne t’inquiète pas surtout et commente quand tu peux ( Dites l’équipage, on la reverra peut-être quand elle prendra sa retraite! ;))) en attendant et bien on prendra le plaisir de savourer tes haikus et tes magnifiques photos.
    Merci pour ce bel environnement où les plumes font fleurir l’écriture
    Bisous

  38. pour faire suite au message d’Ossiane je trouve qu’il pourrait être sympa que quelqu’un prenne le relais des commentaire. Lou vient de le faire et c’était agréable. Cela pourrait être des personnes différentes à chaque fois et cela pourrait être enrichissant car nous avons tous une sensibilté différente. Enfin, ce n’est que mon point de vue et il serait bon de voir ce que pensent les autres amis du blog. Ne t’inquiète pas Ossiane, tu as le droit d’avoir une vie en dehors de « l’oeil ouvert » mais c’est vrai que lorsque tes absences sont longues ta présence nous manque.
    Sur ces mots bonne soirée à tous.

  39. On ne peut faire que chorus avec ce qui a été déjà écrit, et déjà estimons nous heureux et même vernis d’avoir si souvent des nouvelles pages enchanteresses
    merci Ossiane car tout celà est terriblement chronophage et la vie c’est quand même bien autre chose…même si toutefois nous sommes tous, et toi la première très attachés à ton blog.
    Bon courage pour faire face à tes contraintes durables et un grand merci pour tout ce que tu fais pour nous.
    Et bien sûr bonne soirée à tous

  40. >>> Ossiane
    Je n’oserai pas dire que te voir parler par haïkus me suffit mais photos et calligrammes m’interpellent souvent et c’est pour moi l’essentiel. Avec la manière de chacun(e) d’inventer sa propre poésie, d’apporter ses ressentis, ses illustrations sonores et ses images.
    Pour le reste, je ne suis pas étonné, et je laisserai au hasard de nos vies le soin de donner, peut-être un jour, voix aux silences et visages au fantômes.
    Amitiés à tous, Bernard

  41. Bonsoir Ossiane , je comprends tes impératifs professionnels , et ton manque de temps à consacrer au blog . en ce qui me concerne; pour les commentaires , je ne le ferais pas
    Ce serait déjà bien que chacun consacre un mot à l’autre , depuis que je viens sur ton blog, en dehors de tes appréciations , je suis invisible .
    En dehors d’ Annick qui ne manque jamais d’avoir TOUJOURS un mot gentil pour tous.
    Ce soir je passe la main
    Bonsoir Ossiane

  42. et je lis tes mots, Ossiane, et je vous lis,
    fais comme tu peux Ossiane, et si il n’y a pas systématiquement tes commentaires pour chacun, c’est pas un problème, on est déjà gâtés par cette chance d’écrire…
    Cela m arrive aussi, fort souvent, d’être invisible…mais quand le cri de mon coeur a envie de dire qu il aime, je le laisse prendre ma plume, je suis émue qd mon coeur aime, c’est un bel cadeau d’aimer…
    je suis bien incapable de commenter chacun, impossible,
    bises du soir.

  43. Hello Amis
    Ce délicat petit mot d’Ossiane me touche beaucoup comme pour tous bien sùr
    chacun a des occupations mais venir un moment lire et bavarder selon son humeur est un plaisir rare et si Ossiane est parfois très désirée « comme la manne de nos âmes » vous aussi les amis êtes un rayon de soleil et de miel des journées
    il est difficile de nommer tous les participants souvent un mot, un clin d’oeil répercute une réponse particulière.Lou sait parler à chacun Merci à Elle mais il y en d »autres aussi et puis il ya également des affinités
    Belle journée en grande amitié
    AA

  44. Ossiane , sois rassurée , cet espace poétique que tu nous laisses, nous pouvons en prendre soin en lui dessinant des mots, en lui tissant des liens..
    Nul besoin de commentaires superflus , chacun y fait son nid et tout se passe en douceur…De la poésie, de l’humour.. de la tendresse…et nous traçons notre propre carte du tendre…
    Prends soin de toi , nous attendrons sagement …
    Je t’embrasse…

  45. ossiane cet espace est magique; tu as moins de temps cela se comprend
    pour l’avoir fait deux ou trois fois de mettre un mot pour chacun je réalise à quel point il est difficile de mettre un mot et parfois deviner ce qui se cache derrière les mots . je sais aussi a quel point parfois il est difficile de commenter un seul texte que l’on aime sans dire un mot sur les autres de peur de froisser ceux qui ont ecrit aussi. Mais parfois certains mots nous touche plus que d’autre en fonction de nos sensibilités. je sais que pour certain il m’a fallu plusieurs moi avant de pouvoir rentrer dans leur monde notamment les ecritures plus abstraites ou inhabituelles.
    Pour helene qui se sens invisible. j’ai eu parfois ce sentiment parfois aussi. et c’est vrai qu’annick est une vrai sentinelle qui plutôt que de prévenir est plûtot prévenante.Parfois il est aussi difficile de trop commenter car il ne faut pas tomber dans le blog qui deviendrait un lieu de parlotte. donc on voit a quel point l’équilibre est fragile . c’est à chacun de veiller à ce fragile navire. pour ma part peut être de temps à autres je mettrais un petit mots pour chacun , et parfois j’écrirais un petit mot quand un texte un ensemble de phrase une phrase, une idée m’aura plu.
    bon courage à toi ossiane et que l’oeil garde le cap vers la beauté et la liberté.

    bonjour a chacun et bon dimanche

  46. Il me semble qu’il n’est pas nécessaire d’attendre des commentaires.Il suffit d’écrire, de lire les autres avec plaisir, curiosité, sourire, perplexité, amusement, petit grain de folie selon son humeur, et un petit coucou de temps à autre de la maîtresse de maison.Si commenter doit être autre chose qu’un plaisir….une corvée? alors l’oeil se ferme.
    Pour ma part, c’est ainsi que je vois les choses, je suis peut être idéaliste…dans plein de domaines de la vie d’ailleurs mais cela me convient.Je veux bien commenter en vers…de temps à autre au feeling mais « proséifier » à la manière d’un article de journal ché pas faire.Je suis atteinte de rimite aigue.Une maladie inplumable:)))

  47. Quand la petite abeille volette de fleur en fleur, elle prend à chacune un peu de son pollen. Ainsi se répand la vie.
    Il arrive parfois que la petite abeille est tellement chargée que son vol se fait lourd.
    Les fleurs restent belles, l’abeille reste vaillante et le champs se remplit de milliers de couleurs.
    Nul ne sent la caresse d’un regard. pourtant il y a tant de regards.
    Derrière ces regards, il y a autant de coeurs. Dans ces coeurs, il y a tout. Ne pourrait-on pas nous citer tous qui chacun à sa façon donne et reçoit ? Nous sommes si nombreux. La tâche est gigantesque.
    On peut se croire invisible, nous ne le sommes pas tant que cela.
    Dans le regard porté germe souvent un sourire qui tout à la fois est joie, compassion, admiration. Caresse, oui caresse avec souvent de la tendresse.

    Salut petite abeille ! Salut les fleurs ! Notre champs est magnifique, nos chants sont magnifiques !
    Et puis, vous avez quoi ? Oui bien sûr, vous savez !

  48. et je vous lis chacun et je partage avec chacun, et cette envie..me vient…

    Elle se croque une plume
    Chatouille ici le nez
    Sur l’autre caresse la main
    Et puis chatouille l’orteil
    De celui qui se rit
    Et encore se danse nue
    Cachée par sa petite plume
    Et son regard coquin
    Il vous embrasse chacun
    C’est bon la folie de vie
    A aimer et s’aimer
    Sans se lasser d’aimer
    De bel amour tout fou
    Tendre complice et simple
    Juste d’être bien ensemble
    Comme ça
    Folie de plumes
    Douce folie vraiment
    D’autres sont bien plus graves
    Cette folie si tendre
    Délicate et si belle
    La brille son oeil vivant
    Qui papille merci
    Un bel merci vivant

  49. J’ai rêvé le vent …dans la multitude étagée
    j’ai pensé le souffle …au plus haut de nos destinées
    j’ai sentie la vie…qui me caressait du bout des plumets

    c’est un bel ensemble et chacun joue sa partition
    au pupitre il n’y a pas de répartition
    quelques réparties
    des intonations
    jamais de heurts
    et au heurtoir
    chacun peut taper
    car l’oeil ouvert
    c’est aussi la porte ouverte

    Pas facile de répondre à tous, mais j’entends bien le mot d’hélène
    et j’en tiendrai compte pour la suite; certains ont de réelles prédispositions
    comme marc et lou pour tisser en trame serrée et en traits courts des liens
    et ces mini portraits qui renvoient chacun à sa contribution spécifique
    ce n’est pas aisé mais si il le faut j’en prendrait ma part car la solidarité aussi veut dire quelque chose.

    Bon dimanche très ensoleillé dans notre toulousain, lauraguais
    bises à Ossiane

  50. Bonjour à vous !

    J’apprécie toutes vos réactions qui me permettent de mieux appréhender ce problème de temps disponible et ma façon d’interagir avec vous. Merci de votre compréhension.

    Premier point, il n’est pas question pour moi d’abandonner ce blog ni en publications ni en apparitions 😉

    Deuxième point, je suis contente de voir que vous tenez avant tout à cet espace et à ce qu’il propose 😉 Soulagée d’apprendre aussi que ma présence sur chaque commentaire n’est pas la condition indispensable à votre présence ici 😉

    Troisième point, suite à vos réactions diverses, je me demande s’il n’est pas mieux que chacun interfère ici comme il le sent, c’est à dire de façon naturelle, en fonction de ses envies, de son humeur. Que ceux qui veulent dire un petit mot sur les poèmes des uns et des autres se sentent libres de le faire tout en sachant que c’est un exercice délicat. Cependant, le bon niveau poétique de chacun de vous facilite la tâche 😉

    Lou, merci pour ton ouverture d’esprit et ton amitié.
    Rachel, vis cette vie de L’Oeil Ouvert comme tu le sens ; tu ne manques pas d’idées 😉
    Bernard, le contenu avant tout 😉
    Thierry, joue ta partition à ta guise et en souplesse 😉
    Hélène, merci pour ton intervention, tu es devenue plus visible 😉
    Annick, je vais faire comme tu dis ; vis ta plume comme il te plait.
    Feu roméo, le partage avant tout 😉
    Arletteart, nous sommes tous désirés à égalité 😉 Tu sais parler aussi 😉
    Leila, serais-tu bretonne ? Pas garnd chose de plus à ajouter à ce que tu as dit fort justement. Tu fais ce dont tu as envie. Je voulais être bien sûre qu’il n’y ait pas de malentendus entre nous tous 😉
    Phil, jolie façon de donner ton avis 😉 Nous sommes donc un champ de marguerites 😉

    Bienvenue à james jonas david que je remercie pour ses jolis mots de poésie.

    Bises à vous tous ! Le débat peut continuer si vous en avez envie

    Nouveaux commentaires sur :
    https://blog.ossiane.photo/2005/04/29/2005_04_panoramique/#comments
    https://blog.ossiane.photo/2005/03/27/2005_03_yeux/#comments
    https://blog.ossiane.photo/2005/03/26/2005_03_voldegoelands/#comments
    https://blog.ossiane.photo/2005/03/25/2005_03_jourdepluie/#comments

  51. Tu as raison hélène de te manifester. C’est vrai qu’ Annick a toujours un mot gentil pour chacun et qu’elle a une place à part dans ce blog.Tes mots m’ont touché car on peut blesser sans en avoir l’intention, par manque d’attention ou de temps.J’essaierai, pour ma part, d’être plus vigilante. Je n’aime pas l’idée que quelqu’un se sente ignorée surtout sur « l’oeil ouvert » qui est un lieu de partage et d’échanges. Merci de nous l’avoir rappelé.

  52. Bonjour tout le monde, sur le pont les matelots s’affairent. Le capitaine est là, je me suis réveillée tardivement et il fait beau ! Arletteart, tes mots sont gentils, je ne sais pas si je parle bien mais je sais que je parle trop parfois et que comme dit Marc, ce n’est pas un lieu de parlotte! Cependant laisser partir son émotion en mots et dire si on en a envie, qu’on a été sensible aux écrits des autres ne peut pas faire de mal … , en prose en poésie ou en points et virgules qu’importe!
    Chacun à notre manière nous avons nos moments forts, nos moments de faiblesse, nos douleurs et nos joies. Comme l’espace d’Ossiane est rempli de cette douceur particulière qu’elle a su y instaurer, la sensibilité et le coeur s’y ouvrent naturellement et c’est ce qui fait que nous somme là, participant à cet environnement de partage et y laissant une part de nous. Les uns et les autres deviennent un pour apporter leur aide quand un des matelots est en difficulté, ça c’est unique, vraiment unique ! On ne vous laisse pas couler et j’en sais quelque chose 😉 Merci à tous.
    Helene, juste là, et je ne dis pas cela pour te faire plaisir. Mais je crois que c’était sur la note précedente, tu nous as posté du Forestier. L’écouter m’a ému. Je ne l’ai pas dit et j’aurais peut-être dû le faire.
    Très souvent aux lectures et Phil l’exprime joliment, le sourire ou l’emotion sont là dans ce regard qui lit, et l’image de l’abeille est si appropriée car ce ressenti est souvent transformé en petites productions du coeur. Aussi modeste soient-elles, elles viennent de nos coeurs et c’est ce qui fait leur charme. Merci à TOUS les amis du blog de nous faire rêver et sourire, merci à Ossiane et
    Bisous à tous, oui TOUS.
    LOVE

  53. eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

    Bonsoir à toutes et tous !

    Je viens de lire tous vos « commentaires », ceux des unes, ceux des autres,
    en fait :

    « chacun fait, fait, fait,
    s’qu’il lui plait plait plait !!! »

    Parfois, j’aime bien rebondir sur une idée de l’une ou l’autre, car des fois, ça m’aide ! (et oui, pas TRO Douée !)
    Je pense aussi qu’il est très difficile de passer tous les poèmes ou écrits en revue, c’est Ossiane la championne pour ce genre d’exercice !

    Alors, à l’occasion, j’dirai un p’tit mot !

    pour tout vous avouer, j’admire Leïla et sa « rimite aigue : Une maladie inplumable » qui semble aussi avoir atteint bon nombre de visiteurs : pas besoin de vaccin pour ce genre de maladie, je veux bien en attraper un petit virus !

    Et oui, après les « grainspoints », 2 nouveaux mots pour notre dictionnaire ! (clin d’oeil à Lou, qui adoreeee les nouveaux mots)

    rimite : maladie qui vous prend d’un seul coup de courant d’air, vous insuffle des vers, à faire rire ou à faire pleurer…. mouchoirs autorisés !

    inplumable : impossible à décrire !

    Je vous envoie à tous de grosseeeeeees biseeeeees
    (sans oublier PERSONNEEEE)
    Hélène gardes en un bon paquet de ma part !

    Christineeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

  54. Puisque tu permets l’échange, Ossiane, je te dis,
    souvent, j ai l impression de trop me lâcher, car mes émotions fortes, mais à savoir que pourtant, je me retiens fort souvent pour pas envahir la page,
    et je tente de m’oser parfois, en un temps consciente de mon trop souvent, je me suis barricadée dans du non partage pour pas envahir,
    merci de m avoir accueillie gentillesse sur la page d’une rose…
    mais c’est si vrai qu’à chaque texte, chaque poème, je pourrais réagir, car chacun se vit sa plume et c’est fort,
    et tout ceci sans juger, juste dans mon ressenti d’être Humain sensible!

    c’est une véritable grande réalisation, cequi se passe ici, car c’est naturel de chacun, me semble, et rien n’est arrangé ou codifié, la liberté de s’exprimer prime, le plaisir d’écrire, la joie de te lire Ossiane si tendre et patiente,

    merci à chacun de contribuer sur les jolis pages de ceta lbum, à un chorus de plumes Humaines de toutes les couleurs de la vie…
    JE VOUS EMBRASSE!

  55. Je suis touchée par ce que je lis , vraiment !!et un peu désolée aussi !
    Merci à Marc , Thierry , Rachel, Lou , Christine , à TOUS sans la moindre exception ;( et à Perline pour son accueil)
    Je vous souhaite le bonsoir , en particulier à OSSIANE .

  56. Et toi Christineeeeee tu es le génie du plumeau! Celui qui efface la tristesse ou l’amertume. Bravo encore pour tous ces sourires que tu nous offres si joyeusement.
    Merci de travailler de si près sur notre dicco. Le mot implumable est une si belle trouvaille! 😉
    Bravo Leila et Annick pour l’inspiration et ces rimites contagieuses (il est bon de toujours réutiliser le vocabulaire acquis, je m’y emploie !)
    Allez A+ , je m’en vais profiter de mon soleil et vous en envoie un peu dans le bisou voyageur.

  57. Lou

    le terme de parlotte n’avait rien de péjoratif
    et les appartés les blagues me font souvent sourire voire rire
    j’aime aussi cette diversité d’écrits et de vision à partir d’une même photo
    d’une titre ou d’un haiku.
    l’équilibre est en cela difficile à garder
    j’ai moi même par le passé surement parfois occupé l’espace de manière un peu trop présente . et cela à été pour moi une manière d’exorciser un certain passé
    et de prendre confiance un peu plus en moi … il était temps à plus de quarante ans

    je vous souhaite à tous une bonne soirée

    Hélène comme dit christine il ne faut pas être désolé, la première richesse de ce blog c’est justement de pouvoir s’exprimer en toute liberté
    en recherchant sans cesse l’humanité et la beauté qui est en nous et dans le monde

    ossiane bonne semaine et bon courage

    « l’oeil ouvert est souple comme le roseau »

  58. Je vais vous raconter l’histoire d’une mort et d’une renaissance.

    Ce matin j’ai perdu mon disque dur.Eh oui! envolé, parti tout le boulot, tous les textes, j’étais sur l’oeil ouvert! puis le temps de poster deux trois textes à vol de goélands et hop! dernier souffle et trépassement des ondes.J’éteins l’ordi, et le rallume histoire de lui donner une nouvelle jeunesse et voyez vous..plus rien, l’ordi s’allume sur une ancienne version Mac OS 9, préhistorique! Mise aux archives depuis des années…quelques tentatives désespérées de retrouver mon « bureau » via l’ancienne version, rien n’y fait, la babasse est trop vieille.MAIS, j’avais depuis quelques jours un immense carton, preuve que j’avais cassé ma tirelire! mais je n’avais pas encore jeté mes neurones sur l’engin.Oui j’ai un nouvel ordi.Enfin un matériel digne de ce nom pour composer de la vraie musique!
    Donc, depuis ce matin, mon vieux mac me regarde tristement éteint de loin, et j’inaugure le nouveau et voyez-vous c’est la première fois depuis des mois que j’admire les photos de l’oeil ouvert d’un autre oeil, elles sont si lumineuses, éclatantes de beauté, rien à voir avec la luminosité transmise par le vieil ordi.
    Mais pourquoi je vous raconte tout ça? Bein parce que je suis bien avec vous!

    A présent commentaires de vos textes…à ma façon

    Brigtoun, vois la voie des voix, chemin de plumes envolées mais toujours accolées!!:)))

    Annick, bel amour, doux discours et tourments envolés avec le parfum de ton coeur:))) écriiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis telllllllleeeeeeeeeemmmmnt ton temps et tant pour que l’amour survive en nous, j’écrirais Christiiiiiiiinemment:)))

    Arletteart, panache de plumes, et marguerite, viendra-t-elle, ne viendra-telle pas l’Ossiane de vagues? hé! hé!:)))

    Marc, la tête est coton et les jambes pipeau
    Le temps une chanson!!:))) le coeur métronome d’une partition hasard ou marguerite collée?? Sur le navire petit mousse, garde le cap vers les îles haÏkus!!

    Nigra, Attention! si tu ne rêves plus, je ne t’aime plus!:))))

    Et Lou raflera la mise avec ses pensées au vent, au rythme d’un encrier, d’idées sur un papier.:))) Jolies les lettres qui s’enlacent, s’entrelacent…Et les bisous voyageurs..; quelle poésie charmante et tendre!

    vaggelis vlahos, thank you for your visit, bons baisers à Hercule! :)))

    Jeandler VI, as-tu enfourché ton beau cheval blanc?:))))

    Bruno
    Tu dis:Où vole le vent se prose la nature
    Je rétorque:Où colle le temps se creusent les fractures:)))

    Yo-cox, la réponse à ta question « Pourquoi écrire ce présent qui s’enfuit?
    Pour en sourire, plus vieux et en pleurer de nostalgie..c’est selon les jours.Il faut bien que les eaux se déversent..quelque part…
    Taire ses pensées et regretter?!

    Johal,J’ai tenté de le chatouiller comme toi, le ciel, avec mon panache de la pampa, mais il s’est gratté au lieu de rire..c’est pas du jeu!

    Monique
    Elle marche et bats la campagne…attends-moi, j’enfile ma godasse de fakir:))) Je n’ai pas encore exploré l’aire des roseaux!

    Thierry
    Pas de ménage, interdit de plumet!, interdit de plumeau! dehors! Va t’oxygéner les poèmes!:))) Si tu te sens en danger à découvert, je fais le guet avec un propulseur !! Ma force est avec toi, calanche pas!J’aime beaucoup tes jeux de maux, mots!!:)))

    Aspe
    Dans les feunières, ma mie, j’irais vous retrouver et le vent contera à vos ouïes mon ivresse.

    Claudie
    Elle tonne, elle gronde la musique dans vos yeux, amie de l’oeil ouvert!

    Bonbonze A provoc, provoc et demie ou caresse d’amie? Rêve avec nous!

    Ah! Christine a trouvé l’essence moins chère, mieux qu’en Belgique!Du coup sa machine à alphabet tourne à plein régime nuit et jour,je la course, je la course mais elle a trop de « e » à ses engrenages!!!!:)))))

    Fugitive, fugitivement, quelques mots et puis se couche, le soleil des passants!

    Rachel,m^me si le ménage rime dans ton texte enjoué, ça restera toujours une corvée nécessaire.

    Perline, A la fugue du temps, les mots sont emballés dans un écrin de pierre, de l’automne à l’hiver, ainsi quand les étoiles souffrent de trop d’orage, elles s’allument dans la grottes aux fantaisies!! Sous le ciel, l’ombre de nos doutes.

    Bernard, Au verbe moussaillon! Navigue sans gouvernail, ainsi t’iras trouver sur l’île foison de joncs et des mustangs heureux de t’emmener loin des grottes aux corvées. C’est magnifique ce jeu de mots  » Quand on croit que la Toison d’or
    C’est qu’elle a l’Oeil ouvert »!! Et la voix du silence du visage fantôme, te connais sans te connaître!!

    Ossiane pensée émue et sincère, après avoir pris la plume électronique pour écrire quelques commentaires.Je confirme, ça prends beaucoup de temps, je le fais avec plaisir, car justement j’ai du temps ce soir mais ce n’est pas toujours le cas.. pour chacun d’ailleurs, nous avons en fait, tous, une vie à côté de cet oeil si pétillant de tendresse, un oeil artistique et poétique où se tissent des amitiés particulières, des affinités intellectuelles.Ossiane, tes haïkus sont touchants, chantant et tes photos que j’apprécie pour la première fois ce soir sur grand écran sont splendides.

    James Jonas David
    La chance c’est de gagner au loto du coeur! Si tu trouves un trèfle à 4 feuilles, je voudrais juste son empreinte! Tiens-moi au courant.

    Hélène, je te sens courroucée et cela m’attriste, je viens de comprendre ce que je n’avais pas saisi des commentaires des uns et des autres depuis ce matin…Allez zen! Tout va bien!

    Feu Roméo poésie du duo éternel, amoureux…touchant.

    Alix Pénélope tisse des mots et dessine des broderies de câlins! Au coin du jeu…de mots.

    Maria.D Au champs de la poésie, le vert à soi, éclat des autres!!

    Phil Alba Petit bourdon, petite abeille
    Ruche, ma maison, vers au soleil,
    Des poésies des autres.Regards écrans, coeurs dévoilés, reçois, reprends, laisse s’en aller vers la caresse des autres ton imagination, tes doutes, tes émotions.Je sais quoi, je sais quoi, nous savons tous de nos mois, nos émois.
    Voili…voilou.

  59. Merci bien Leila et belle journée à toi ! Bisou Marc 😉

    Ils traversent les champs des années qui se sauvent
    Et nos vies s’en pénètrent pour étreindre le beau
    Ces plumes qui ont volé bien haut et en panache
    Entre les doigts épris et les coeurs qui s’attachent
    Exhalent leur force vive et s’allument en flambeaux
    Quelles brûlantes couleurs quand les mots sèment ainsi

  60. Je ne savais pas qu’il y avait aussi des spectacles le jour..Ce lieu est vraiment incontournable..il y a de la vie..de la grace…des imprévus..de la beauté..Et puis cette suite de tableaux est un réel enchantement…Plumes chatoyantes…ces longues…longues.. jambes qui me font penser à des fleurs…les visages qui se noient sous les aigrettes de soie ..Non ..vraiment ..je ne savais pas…Les Folies Bergères font vraiment partie de notre patrimoine et c’est une chance de voir ces Belles de nuit sous un autre jour..Quant aux commentaires…évidemment qu’il y en aura toujours..malicieux..chaleureux…attentifs..acerbes..constructifs…Partir de Chorus et arriver au French Cancan…il faut vraiment être déboussolé..débordé..sans idées..à côté de la réalité…Comment Ossiane peut elle avoir le temps..l’envie de s’intéresser à de telles billevesées..il vaut mieux les ignorer..Quoi que….Est ce plus sérieux de considérer les herbes de la pampa comme des porte-plumes…Croit on réellement que dans un marais..un étang on va trouver de l’encre violette…Je dis violette pour sortir Ossiane de l’embarras..Entre une violette et une herbe de la pampa..il y a un lien…Mais l’encre noire…Vous imaginez..C’est délirant..Je sais bien qu’il y a des chanteurs qui vont trouver cette encre noire dans les yeux..Mais ils n’ont rien compris…les larmes n’ont pas de couleur..elles tacheraient les cahiers d’écoliers…les chemises des banquiers.. les amours délaissés…Et cela se verrait… »Tiens..tu as vu..il a pleuré.. » Ce n’est pas un homme… »Regarde son chemisier est taché »..Je m’en doutais..elle est amoureuse…Non..non…on pleure en silence avec des larmes incolores…C’est cela qui donne du relief à notre vie..qui casse les rêves et nous colle à la réalité..C’est pourquoi j’aime ce Blog… »L’oeil ouvert »…On reste les pieds sur terre…avec des mots de tous les jours..on parle de choses concrètes..à partir de photos d’actualité..de commentaires sérieux…Merci Ossiane …………..je t’embrasse fort…..

  61. Leïla a osé !!!

    BRAVO Leïla pour ton long commentaire… des commentaires !
    En prose !
    T’es vachement douée !
    et tu m’as bien fait rire, pour commencer la journée !

    Mais je vois que la nouvelle note est postée… un sujet qui… me plait !!!

    Biseeeeees de Christineeeeeee

  62. .
    Chapeau leila pour ce petit tour d’horizon à ta façon! Tu commences à bien connaître la petite tribu;-) Combien de temps as-tu mis;-)
    Bonjour à tous, merci rachel, perline, hélène, lou, annick, peierre b, marc, christineeeee pour vos dernières réactions qui ont continué d’arriver après mon intervention et dont je vais tenir compte. L’Oeil est souple et bien vivant d’humanité.

     Je note que ce débat a le mérite de dévoiler un peu plus de vos attentes et de vous. Je suis touchée et vous embrasse tous bien fort.

    Ossiane
    .

  63. Franchement je n’ai pas compté le temps,c’était long mais le plaisir de commenter les écrits de chacun a primé.Allez je men vais chevaucher une note de tendresse… tristement?

  64. Hello happy friends
    You know what ?
    You are wonderfull !
    Thank’s for Lou and Leïla !

    Bon, après cet effort (si ! si !) Je dis à Ossiane toute mon affection et, à tous, à bientôt pour de nouvelles aventures…

  65. Chère Leila désolé pour ton ordi mais puisque celà t’a permis de voir l’oeil reverdir plein de contraste alors, à quelque chose malheur est bon !
    Merci de ta longue tentative fort aboutie, il fallait oser…et tu l’a fait !

    Pierre b me fascine par son art du récit …en pointillé, pas à la mode de Sisley
    mais moi qui suis allé voir du Derain et du Matisse à Collioure j’apprécie le rendu éclatant des couleurs sur sa riche palette.

    Je vous embrasse tous ce soir et particulièrement hélène mais la fatigue vient…à grands pas.

    au fait j’ai une idée, si on faisait une chanson qui commence par « j’ai perdu mon disque dur »

  66. Bravo Leïla , un exercice auquel je ne me hasarderais pas !!
    Non je ne suis pas courroucée et ce soir plutôt confuse !
    Je vais tranquillement revenir à la poésie et cesser de faire l’enfant ;)))
    Merci à tous et Thierry bises en retour .

    Belle soirée à chacun, chacune

  67. Thierry, tu as provoqué en moi un bel éclat de rire avec cette idée de chanson !!
    L’écriture « en Sisley » est bien jolie .
    Quant à toi Phil tu es très wonderful aussi 😉 Bises à vous )
    Allez je suis Leila dans sa traversée des landes et des étangs, à cheval bien sûr pour mieux atterrir sur la note suivante .

  68. Moi qui voguait au plus près des enfers,
    J’avais perdu l’oeil ouvert,
    Trop de brume….

    Une éclaircie,m’a ramené.

    Le hasard, a voulu,que je choisisse la marguerite.

    Je n’y ai vu,
    Que le Bambou.

    Moi, qui voguait,
    au plus près des enfers.

    J’ai pu aller,
    Moi qui ne suis pas un ange,
    guidé par la lumière
    de tes pures mornings.

    Moi,
    qui marchait près des enfers,
    Qui ne suis pas un ange,

    Je suis passé.

  69. >bonjour fauki, plaisir de te revoir sur ces pages. Je crois comprendre à travers ton poème que tu viens de traverser une période diffiicle et j’en suis désolée. Je ne sais pas si ça te ferait plaisir de participer au jeu du damier ? Merci d’être passé.

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