Lecture du Haïku Calligramme: centre, haut, bas
Ligne d’horizon
cercle des certitudes
côte à côte
◊ Du port de Porto … Voir la Carte de Corse …
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: centre, haut, bas
Ligne d’horizon
cercle des certitudes
côte à côte
◊ Du port de Porto … Voir la Carte de Corse …
Un or intense
Ouverture du monde
Au vent de la nuit
***
Nuit belle à toi
l’un et l’autre
est ce que le temps peut se mesurer à l’aune du coucher de soleil?
être bien ensemble à contempler une merveille dans un cadre grandiose
est ce que la ligne verte existe?
des certitudes?
le bonheur n’existe pas, il n’y a que des instants de bonheur alors goûtons les!!!!!!!!!!!!
merci pour ces photos!!!!
« La lune, sur la mer, brasille »
(Espronceda)
miracle d’or quand dort la mer
le soleil fait sur les passes du vent
glisser les douces couleurs d’un simple bonheur…
(http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9serve_de_Scandola)…
Un ciel de cirrus
instant d’incertitude
la mer si tranquille
Nudité
D’un pays d’or
Dépôt
De sable
Sur la ligne d’horizon
L’appel de la lumière
Un éclair
D’aube
Qui tremble.
..
Je suis très fan de ce « miracle d’or », pour citer le poète qui me précède.
éffusion de lumière
fusion de la roche et de la chair
fission du temps
C’est magnifique Ossiane !
Bonne journée.
peut-on s’imaginer
qu’une eau si calme
puisse se déchaîner
Et déchiqueter la pierre!
peut-on s’imaginer
que les tendres années
s’effacent aussi vite
que nos pas sur la grève!
peut-on s’imaginer
que le déchaînement des mots!
puissent se déchiqueter
mon cœur pareil à la terre
peut-on s’imaginer
que la douce lumière d’or
puissent brûler notre corps
Et le réduire en poussière
peut-on s’imaginer
que tes pépites irisée
puissent anéantir
D’un regard noir mon âme!
Peut on espérer
La rédemption par l’amour
Ou est ce un coup de grâce
A l’huis de l’éternité.
Clin d’oeil
En sable de lumière
la mer assagie
bascule à l’horizon
se perd se confond
miracle d’équilibre
en nos yeux endormis
assoiffés de paix.
Une photo et une autre, dans la splendeur de vues, et puis le calligramme et l’haiku, mes mots se silencent et contemplent, et ressentent de tant.
lLe sourire innombrable………..de la vague marine
Instants de joie qui viennent scintiller à la surface de la vie
Jacqueline de Romilly dans son dernier livre un petit bijou d’écriture
La vie s’inscrit entre ciel et mer
sous l’aile du soleil
qui s’endort à l’horizon
Le silence s’installe …
… alors peut transparaître l’infini
Merci Ossiane de votre attention
Il ya tellement » d’artistes » dans votre entourage……….
Voici le blog du monde http://arletteart.blog.lemonde.fr/
Et un autre pour les reportages avec mes amis ou un instant de vie ou même la perte de mon chat !!!!!
http://arletteart.skyrock.com/
De magnifiques photos!!
Aux lisières du temps
Les incertitudes virevoltent dans le vent
Fils ténus de l’histoire des amants
L’aube claire soulève ses paupières
Dessille leurs tourments
Comme flaques de lumière
Irriguent le coeur des amants
En extase sur le bord de la falaise
Subjugués par l’intensité de la lumière
Qui embrasse la mer, comme vagues frénétiques
Comme vagues d’écume qui se plissent
Miroitent et dérivent de pâmoison,
Aux lisières du temps
L’amour se vit dans le fugitif instant
Où les corps s’unissent
Confusion ultime
Dans l’émoi de leurs ébats
Du soleil levant et de l’onde qui se mire
Dans le sablier du temps
Lignes rondes…………. Le Ciel se Courrrrrrbe
~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~
Lignes planes………….. La mer s’étireeeeeeee
_______________________________ _ _ _ _
Lignes brisées………….. Les roches s’éllllllancent
^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^
Les roches s’élancent
A l’assaut du ciel
La mer s’étire
Pour enlacer le ciel
Le ciel se courbe
Pour caresser les roches
Au seuil de la nuit
Magie d’un soir d’été
Aux reflets d’Or
Qui s’évaporent
Et flottent les esprits
Deux silhouettes en osmose
InTENSité d’émotions
La Nature si grandiose
^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^
Biseeeeeees émerveilléeeeeeeeeeees
Merci pour votre attention Ossiane voici mon adresse
http://arletteart.blog.lemonde.fr avec des esquisses
et un autre pour mes reportages avec mes amis selon les moments de la vie même ce dernier jour la perte de mon chat tristement AA
http://arletteart.skyrock.com/
Spectacle si grand vivant
On le regarde à deux
Côte à côte
En silence
Immenses recueillements
De me serrer mon ciel
Avec toi
A ses pieds,
la chute du présent
en cataractes d’or.
L’instant se gonfle
d’un trouble immense
et l’œil – étroit, sec, quotidien –
s’évase alors
en une plénitude
inattendue.
Heure miraculeuse où les mots se fondent
au regard palpitant du mystère.
Belle la série, beaux les mots, merci Ossiane
prendre du recul
parce que tant d’intensité
le souffle du vivant
transporte
au fil de soi
fil d’or relie
oracle de lumière
silence d’or
une lueur parvient
à la sueur du front
passer le cap
à une toute autre vision
poursuivre le cap
sans perdre le nord
une île de beauté
livre une œuvre d’art
baladins de sagesse
sur les pics de l’extrême
l’immensité se révèle
le cœur grand ouvert
Le réverbère du ciel
Scintille la mer
Et leur amour
Les éclaire
à l’ombre du monde
la beauté partagé
le regard complice
et dans l’intensité de son regard, je me perds…
toi et moi,
côte à côte,
le temps d’un moment,
un peu de bonheur nous partageons,
toi et moi,
côte à côte,
le temps d’un moment,
un peu d’amour nous partageons,
toi et moi,
côte à côte,
le temps d’un moment ,
un peu tendresse nous partageons,
toi et moi,
côte à côte,
le temps d’un moment…
c’est vraiment magnifique… magique de l’imagination qui entoure et embrasse la réalité…
excellente continuation…
Et ils se sont assis
A regarder la mer
Chaque souffle de bise
Remuant onde jolie
Et le clavier du temps
Si belle mélodie
Que la saveur amante
Tout de haut
En plein ciel
Des mille étoiles dorées
Tombent de la frange du cil
Les yeux ils se délicent
Pour y voir unpeu moieux
Le soleil est doré
Et de son or inonde
Le ciel et puis la mer
D’un amour si profond
» Je sais pourquoi là-bas le volcan s’est rouvert…
– C’est qu’ hier tu l’avais touché d’un pied d’argile,
– Et de cendres soudain l’horizon s’est couvert. »
Gérard de Nerval
__
Merci Ossiane.
Je suis seul, immobile.
Mon corps est encore serein mais je sens qu’elle arrive, qu’elle me suit.
Déjà les murs se rétrécissent, se rapprochent.
Mon corps se tords, se contorsionne. Mes cris raisonnent dans cette chambre aux murs capitonnés.
La lumière artificielle éblouit mes yeux.
La sueur baigne mon front et mon torse. Mes doigts enserrent le drap déjà mouillé. Ma tête est broyé par cet étau et mes plaintes se font lente agonie. Les visions deviennent floues mais ma tête me renvoient des images réelles.
Je cris « Vous me voulez morte, silencieuse mais qu’importe, je vis dans une vie qui n’est pas la vôtre, dans un monde qui n’est pas le mien ».
Et puis la bête sort de sa tanière. Elle m’enserre, me broie, m’étouffe. Je voudrais la rejeter mais ils m’ont ligoté et son corps s’enroule au mien. Je sais qu’elle libèrera bientôt son venin sans que je puisse la repousser. Déjà le liquide coule dans mes veines. D’autres bruits me parviennent. Des éclats de voix, puis des couleurs blanchâtres.
Mon corps se détends lentement. La réalité reprend lentement sa place. L’intensité de la crise m’a laissé prostré. Mon corps se recroqueville.
Je ne vous aime pas.
Seuls au monde
Et ensemble
Ils sont bien
Un temps cité, telle beauté, superbe arrêté suspendu, cérémonial devant cette vue qui plisse les yeux, et coule la larme.
>maria :
Merci Maria, tes haîkus se glissent toujours si bien dans mes images. Merci beaucoup.
>candide :
Beaucoup d’interrogations parmi ces certitudes 😉 Tu es toujours en quête de comprendre la valeur de la vie 😉 Merci candide.
>jorge :
Joli mot que ce verbe « brasiller » .-) Merci pour ce partage.
>aspe :
Un poème plein plein de douce sérénité dorée 😉 Merci aspe !
>pierre :
Belle idée d’évoquer les incertitudes sous le nuage ! Ton deuxième poème efface tous les doutes pour trouver le bel équilibre. Merci pour ta belle plume sensible.
>hélène :
Bonsoir hélène, beaucoup de sensiblité dans ta plume pour exprimer ce filet d’or et ce voile de lumière dorée. Juste une petite série photographique ambrée pour se réchauffer 😉 Bien à toi et merci.
>marc :
Bien vu marc, cette association du minéral déchiqueté et du charnel bien lisse ! Ton poème est riche d’émotions et d’images. Bravo et bonne soirée.
>nath :
Merci, nath, belle soirée à toi.
>annick :
Recueillement et silence, ce réverbère du ciel diffuse une douce lumière apaisante. Merci pour ces jolis mots délicats.
>arletteart :
Bonsoir, merci pour ce beau partage avec ce livre que je ne connais pas. Merci également pour vos liens. De très jolies esquisses pleines de délicatesse et de mouvement y figurent. Bravo à vous !
>claudie :
Coucou claudie et merci ! Tes mots sont superbement lumineux et plein d’intensité. Ce genre d’ambiance déclenche toujours chez toi l’ivresse des mots. Bravo à toi !
>Christineeeeeeee :
Bien vu ces trois sortes de lignes réunies dans la même image ! C’est vrai qu’on peut tout leur faire dire. Ton évocation est belle, tous les éléments sont en fusion. Merci Christineeeeeeeeee !
>johal :
Grande beauté de cet œil qui est parvenu à trouver un bel instant de paix. Un moment unique ! Merci pour ce beau morceau d’écriture imagée.
>véronique :
Tu te projettes complètement dans les images ! Le fil d’or qui relie tes mots les uns aux autres enlumine ce très beau tableau ! Instants magiques. Merci véronique, bonne soirée.
>sabine :
Merci pour ce joli petit poème à partager entre nous 😉
>mato :
Bonsoir et bienvenue sur le blog 😉 Je revendique l’imagination au pouvoir pour être plus heureux;-) Au plaisir de te croiser à nouveau.
>perline :
Merci perline pour cette belle référence à de Nerval. Un volcan de lumière dorée s’écoule depuis plusieurs notes sur le blog;-) Bonne soirée !
>rachel :
Sont-ce vraiment ces images qui t’inspirent ce cauchemard étouffant ou autre chose … En tout cas, c’est très bien écrit et ressenti…. Avec beaucoup d’intensité comme il se doit 😉 Bises vers toi.
Fixation, éblouissement, aveuglement
j’ai envie de crier, mais aucun son ne sort
j’ai envie de pleurer, mais mes yeux restent secs
un ami nous a quitté, c’est trop triste et soudain
alors je vous dit à demain…peut être
qu’y a t’il par delà l’éclat des rêves?
qu’y a t’il par delà l’horizon?
qu’y a t’il par delà le présent?
la réalité de certains moments
va delà de nos espérances
au delà de nos propres rêves
pourtant du rêve au cauchemard
il existe l’épreuve du temps
et la trivialité des jours
comment passé par delà le temps
ce vertigineux abîme
au parois si changeantes?
Viens tout contre moi
Serrons nous de nous
Un hâvre de paix
Nous fait tant de bien
Et nos coeurs s’envolent le ciel
Merveileuses images de la création d’un monde biblique…… et Dieu sépara la ciel de la terre et la terre des eaux ,et Dieu vit que c’était bien…..
Belle et inexorable
Répétition
Du jour qui s’enfuit
La première photo provoque un véritable malaise chez moi. Malaise physique que je serais bien incapable d’expliquer. Bizarre autant qu’étrange. Je me sens mieux dans les autres même si la couleur ne m’apaise pas, étrangement.
Quel bonheur de vivre ça ! et n’avoir envie de ne croire en rien d’autre qu’en la beauté, en ressentir une émotion intense même si l’imagination ne peut atteindre le vécu d’un tel tableau. J’ai eu l’occasion de vivre l’attente d’un spectacle grandiose d’un crépuscule sur les falaises de Belle Île, la récompense dépasse tout ce que l’on peut imaginer et ces images me rappellent ces moments-là, quel merveilleux souvenir . Merci Ossiane de me remémorer ces moments de profonde et d’intense émotion mêlés de joie et de bonheur, et je peux comprendre le malaise qu’éprouve rachel , le beau fait naître des réations imprévisibles parfois, la joie et la douleur peuvent se confondre l’une et l’autre quand l’émotion est trop forte.
___
Cercles du Soleil
Sur la ligne d’horizon
A peine posés.
Retenir son souffle
Devant l’offrande du ciel
La rendre immortelle
Dans l’instant suprême
D’intensité de couleur
Le recueillement
___
Qu’ils sont doux ces moments dans la vie, où la beauté d’où qu’elle vienne apporte son petit lot de consolation…
la mer s’allonge à perte vue
sous mes yeux frippons;
j’aimerais soulever son juppon
pour voir ses secrets perdus
sonder les abysses sombres.
Peut-être Rachel a-telle peur du vide ou de l’espace ? Et dans la première photo, l’oeil ne se raccroche à rien, à part la ligne d’horizon, qui est très loin… Et le soleil et la couleur ne semblent pas naturels… Peut-être…
Côte à côte
Chair à chair
Viendra l’enfant.
Tu ris ?
C’est le ciel qui l’a dit !
Regarde ce qu’il dessine…
Tu ne vois pas ?
Regarde bien
Rapproche-toi
Rapproche-toi de moi
Ces couleurs
Cet or
J’adore
…surtout sans Dior
:-)))
Je n’y avais pas pensé mais tu as sans doute raison Christineeeee. J’ai peur du vide et c’est vrai que mon oeil a sans doute besoin de se raccrocher à quelque chose. Merci docteur !
#
Nudité
D’un pays d’or
Dépôt
De sable
Sur la ligne d’horizon
L’appel de la lumière
Un éclair
D’aube
Qui tremble.
..
Je suis très fan de ce “miracle d’or”, pour citer le poète qui me précède.
Rédigé par: hélène | le Mercredi 28 mai 2008 à 08h21|
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“miracle d’or” l’air des éclairs
pose
dans les sables
l’or des vagues
à l’ombre rayonnante
77777777777777777777777
merci hélène
trop compliqué pour moi de glisser un commentaire sur ton « blog »
les jours passent…
et pour eux, plus aucunes certitudes, rien que des incertitudes…
Et à l’horizon, pourquoi pas un monde meilleur …
>thierry :
Pensées de réconfort vers toi.
>marc :
Toujours beaucoup de questions posées dans tes poèmes sans oublier ta part de vécu. Merci pour ta sincérité.
>MTO :
Du haut de ces falaises, tu vois loin, MTO 😉 Merci beaucoup.
>Annick :
Beaucoup de communion dans tes mots. Je t’embrasse.
>fugitive :
Répétition qui va sans doute trouver sa fin 😉 Merci Fugitive.
>rachel :
Image un peu trop glacée et lisse peut-être…
>monique :
Tu es une fervente adepte de ces instants 😉 Tu as raison, le ciel se donne tout entier. Merci pour cette belle intensité poétique.
>Christineeeeee :
Pour info, je précise que je n’ai pas touché à ces couleurs qui sont sorties tout droit de mon appareil 😉
>phil :
Le rapprochement se fait certain, phil 😉 Merci à toi.
>@nn@ :
Que du naturel, @nn@ 😉
>sabine :
Le temps qui défile fait-il changer la perception des choses…. Bonne fin de soirée.
vivre, vivre chaque jour, un peu plus intensément…
aucunes certitudes, car nous ne pouvons le savoir, mais côte à côte, main dans la main,combien de temps nous restent-ils encore ???
les jours passent…
et pour eux, plus aucunes certitudes, rien que des incertitudes…
Rédigé par: sabine | le Jeudi 29 mai 2008
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mouvantes fresques
des ors fuyants
désordre de mon âme
pour son coeur
épris dans la vision des tourments
j’aspire à la paix de l’or
mais.,.,.,.,.,.,.,.,.,.,.,.,.,.,.,.,.,.,.,.,.,.,.,.,.,.,.,.,
miracle d’or quand dort la mer
le soleil fait sur les passes du vent
glisser les douces couleurs d’un simple bonheur…
888888888888888888888888888888888888888888888
Un interlocuteur lointain
Là-bas de l’autre côté du monde
Entend les mots murmurés
Des amants de la mer
Le soir dans ses reflets d’or
Peut-être n’est-il pas né encore
Celui qui viendra sur son cheval de mer
Laver dans les vagues d’écailles
Les cogitations nocturnes
De ces amants de l’ombre
Qui caressent les étoiles
De leurs longs doigts d’ambre
Il épie déjà leurs songes
Ce chevalier de mer
Venu de la nuit sombre
Avec son soleil de verre
Qui se noie dans l’onde
Pour maria-D
cheval de mer ………vagues d’écailles ………. soleil de verre
que cette image de mots est belle et m’inspire une esquisse
merci AA
Ossiane !
Coucou bonjour du matin !
Et après ta précision technique,
Voici mon instantané du matin !
Ohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !
mAGIE
D’un seul clic
Une couleur réussie !
Ohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !
Miracle
De la nature
Aux couleurs
Si pures !
Ohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
Instants
Si rares
Qu’on aime tant !
Instantané en noir et blanc !
Biseeeeeeeeeeeeeeeeeees
à notre Capitaineeeeeeeee
Qui tient bon sa barre !!
___
http://www.linternaute.com/photo_numerique/concours-photo-d-actualite-aout-2007/image/34132.jpg
___
ces cecles de la terre et du ciel m’évoquent les dessins d’Hildegarde de Bingen au XIIe s. quand elle tentait de mettre sur le papier ses visions. Gageons que l’essentiel ne connaît pas les limites du temps humain et se répand de siècle en siècle en échos à peine déformés. Amitiés.
Entends tu ce doux chant
Qui borde la couette en ciel
Et ce coucher de soleil
Qui murmure l’amour
Entends tu ce silence de tant
Qui serre liberté miel
Et offre ses merveilles
Qui vaporisent l’amour
Entends tu ce voile si charmant
Qui berce notes y’ailes
Et apaise vermeil
Qui aiment tant s’amour
Coucou, Ossiane
Merci pour ton commentaire d’hier..Hier soir, …..j’ai eu enfin de ses nouvelles!!
Ses mots ont ouvert grand mes ailes
Brisant ce silence oppressant
J’ai sautillé comme une sauterelle
Ivre d’un printemps carillonnant
Mon coeur s’est inondé de larmes
De joie, il débordait de flammes
Caressant ce bonheur tant espéré
De le sentir, tout contre moi, par la pensée
Ce fils chéri, que j’ai peut-être, trop ou mal aimé
Et qui s’en est allé construire son chez soi
Loin de moi, loin du giron maternel
Pour enfin voler de ses propres ailes!
Messager du soir, papillon bleu d’espoir!
Bises à toi, Ossiane et à vous tous qui m’avez soutenu dans mes moments de tristesse et de doute!
>maria :
Waouh, magnifique poème que tu as écrit avec la présence d’un troisième personnage inattendu ! Que de belles images dans tes mots pour décrire ce chevalier de l’ombre. UN grand merci à toi, bel après-midi !
>christineeeeeeee :
Coucou Christineeeeeeeeeee, un poème matinal très vitaminé ;-)) Ce golfe de Porto est reputé pour offrir de merveilleuses teintes au couchant. Bises à la mateloteeeeeeeee !
>Jean-Pierre :
Merci pour cette référence, je découvre… Beaucoup de cercles dans ses peintures. Bon après-midi.
>Annick :
Si doux, si calme, ton poème donne envie d’aller faire la sieste 😉
>Claudie :
Bonjour Claudie, merveilleuse nouvelle que tu annonces !!! J’ai toujours cru que ce signe viendrait tôt ou tard. Rien n’est impossible. Touchée de te voir venir partager en vibrante poésie ce bonheur tant attendu. Des moments de grande intensité à savourer précieusement. Ne te reproche rien, laisse les choses venir toutes seules. Je t’embrasse bien fort.
Je découvre le bonheur et la joie de Claudie et je suis heureuse, très heureuse pour elle « …un seul être vous manque et tout est dépeuplé… »
Comme je ne veux pas fragmenter ce si beau poème de Lamartine, Claudie je te l’offre en cette si belle occasion et t’embrasse
L’isolement
Souvent sur la montagne, à l’ombre du vieux chêne,
Au coucher du soleil, tristement je m’assieds ;
Je promène au hasard mes regards sur la plaine,
Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds.
Ici, gronde le fleuve aux vagues écumantes ;
Il serpente, et s’enfonce en un lointain obscur ;
Là, le lac immobile étend ses eaux dormantes
Où l’étoile du soir se lève dans l’azur.
Au sommet de ces monts couronnés de bois sombres,
Le crépuscule encore jette un dernier rayon,
Et le char vaporeux de la reine des ombres
Monte, et blanchit déjà les bords de l’horizon.
Cependant, s’élançant de la flèche gothique,
Un son religieux se répand dans les airs,
Le voyageur s’arrête, et la cloche rustique
Aux derniers bruits du jour mêle de saints concerts.
Mais à ces doux tableaux mon âme indifférente
N’éprouve devant eux ni charme ni transports,
Je contemple la terre ainsi qu’une ombre errante :
Le soleil des vivants n’échauffe plus les morts.
De colline en colline en vain portant ma vue,
Du sud à l’aquilon, de l’aurore au couchant,
Je parcours tous les points de l’immense étendue,
Et je dis : « Nulle part le bonheur ne m’attend. »
Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières,
Vains objets dont pour moi le charme est envolé ?
Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères,
Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé.
Que le tour du soleil ou commence ou s’achève,
D’un oeil indifférent je le suis dans son cours ;
En un ciel sombre ou pur qu’il se couche ou se lève,
Qu’importe le soleil ? je n’attends rien des jours.
Quand je pourrais le suivre en sa vaste carrière,
Mes yeux verraient partout le vide et les déserts ;
Je ne désire rien de tout ce qu’il éclaire,
Je ne demande rien à l’immense univers.
Mais peut-être au-delà des bornes de sa sphère,
Lieux où le vrai soleil éclaire d’autres cieux,
Si je pouvais laisser ma dépouille à la terre,
Ce que j’ai tant rêvé paraîtrait à mes yeux !
Là, je m’enivrerais à la source où j’aspire ;
Là, je retrouverais et l’espoir et l’amour,
Et ce bien idéal que toute âme désire,
Et qui n’a pas de nom au terrestre séjour !
Que ne puis-je, porté sur le char de l’Aurore,
Vague objet de mes voeux, m’élancer jusqu’à toi !
Sur la terre d’exil pourquoi restè-je encore ?
Il n’est rien de commun entre la terre et moi.
Quand la feuille des bois tombe dans la prairie,
Le vent du soir s’élève et l’arrache aux vallons ;
Et moi, je suis semblable à la feuille flétrie :
Emportez-moi comme elle, orageux aquilons !
LAMARTINE
Voir au dessus des eaux
Le temple d’Apollon
C’est approcher le dieu de l’Olympe.
Il offre à la tombée du jour
L’inspiration féconde aux poètes amoureux
Il répand sur la mer
Ses derniers rayons de lumière,
Et plonge dans l’ombre
La terre endormie.
Son geste est ample et généreux,
Le geste du semeur.
Son offrande au monde
Est un symbole d’éternité
Et par la magie de sa puissance
Il perpétue la vie
Dans la symbiose extraordinaire
De l’eau, de la terre, du ciel et de l’amour.
les mots sont de merveilleux electrons
qui se séplacent par une force mirifiques.
propulsé de notre coeur à notre âme
ils apportent de l’intensité à l’existence
sans eux la lumière s’éteind peu à peu
nous laissant croire à une solitude infinie;
Je t’aime
Mon ciel
De toi
Et ton ciel
Pour moi
M’aime t’il
Dis-moi, pourquoi mon coeur bat-il plus vite quand j’écris ici ce qu’a écrit Jean Ferrat ?
Dis moi, pourquoi mes yeux s’embrument-ils quand je fredonne ce qu’à chanté Jean Ferrat ?
Dis-moi, pourquoi suis-je encore là à espérer ?
Serai-je, un jour, rassasié ?
Jamais ! Jamais j’espère.
—
La mer sans arrêt
Roulait ses galets
Les cheveux défaits
Ils se regardaient
Dans l’odeur des pins
Du sable et du thym
Qui baignait la plage
Ils se regardaient
Tous deux sans parler
Comme s’ils buvaient l’eau de leurs visages
Et c’était comme si tout recommençait
La même innocence les faisait trembler
Devant le merveilleux
Le miraculeux
Voyage de l’amour
Dehors ils ont passé la nuit
L’un contre l’autre ils ont dormi
La mer longtemps les a bercés
Et quand ils se sont éveillés
C’était comme s’ils venaient au monde
Dans le premier matin du monde
—
Eh ! Monique, Dame du bord du Rhône,
du même Lamartine :
(un jour, je vous ai écrit que je l’aimais)
Mais la nature est là qui t’invite et qui t’aime
Plonge toi dans son sein qu’elle t’ouvre toujours
Quand tout change pour toi, la nature est la même
Et le même soleil se lève sur tes jours
—
Soleil…
Lumière, lumières…
Que c’est bien de pouvoir éclairer mutuellement nos chemins.
Quel mot gentil, aimable, pourrais-je écrire sans être trop familier ?
(……………..)
Il est entre les points.
Que chacun choisisse celui qui lui convient.
Un temps cité parmi les accusés la ligne d’horizon réussit à fournir un alibi en béton. Elle avait toujours été là comme tous les soirs et assurait n’avoir pas bougé. Le cercle de certitudes du Commissaire EGIM se réduisaient d’heure en heure.
– Saperlipopette, les suspects ne peuvent être très nombreux ! Réfléchis mon petit Jules et analyse la situation avec sans froid et détermination. Le soleil a été aperçu agonisant à 22 h 30 le 15 juillet. Deux inconnus ont été aperçu côte à côte non loin de là. Deux inconnus qui auraient dû raisonnablement être couché à une heure aussi tardive (précision ici que Le Commissaire EGIM était un couche-tôt). Mais le mobile Jules, le mobile ! Quel est t’il ?
Que peuvent vouloir deux jeunes gens à 22 h 30 ? J’y suis sacrebleu, il cherchait l’obscurité et n’ont pas hésité à s’en prendre violemment aux rayons du soleil jaunissant. Et pour quoi faire je vous en conjure !
– Ah mon petit Jules, il n’est pas encore né celui ou ceux qui se moqueront impunément de toi ! J’appelle immédiatement le préfet.
Quelque semaines plus tard, le commissaire Jules fut aperçu à la maison de repos
« Le grand calme » où il se reposait pour quelques mois. Aux dernières nouvelles son état est préoccupant mais stationnaire.
MERCI phil alba pour cette merveilleuse chason de J.Ferrat….
intense
le soleil
au couchant
revêt d’une parure d’or
la mer majestueuse
intense
chatoiement
de lumière
où l’âme irradie
d’une joie sans pareille
intense
délivrance du songe
qui entre avec bonheur
dans l’ infini
ouvert
par les portes du ciel
Phil alba, Le Monsieur des bords du Rhône
Comment l’aurai-je oublié que vous aimiez Lamartine, vous m’avez fait cette confidence, un soir sur les bords de la Loire, sur les quais d’Orléans plus précisément et je m’en souviens très bien
(………)
« ….
De lumière et d’ombrage elle t’entoure encore;
Détache ton amour des faux biens que tu perds;
Adore ici l’écho qu’adorait Pythagore,
Prête avec lui l’oreille aux célestes concerts.
Suis le jour dans le ciel, suis l’ombre sur la terre,
Dans les plaines de l’air vole avec l’aquilon,
Avec les doux rayons de l’astre du mystère
Glisse à travers les bois dans l’ombre du vallon.
Dieu, pour le concevoir, a fait l’intelligence;
Sous la nature enfin découvre son auteur !
Une voix à l’esprit parle dans son silence,
Qui n’a pas entendu cette voix dans son cœur ? » Le Vallon Lamartine)
La Dame des Bords du Rhône
Contente de lire tes mots Claudie et contente de ta joie.
~
Tout n’était que nuit
et tanière;
il pleuvait,
c’étaient les gouttes du déluge,
c’étaient les carillons du ciel:
les sept cent lacs
moutonnaient
en sifflant, le monde prit
une odeur de fumée mouillée
de pubis vert
de bois.
Vers quel lieux s’en étaient allés
le soleil avec sa marée
la lune avec son rêve et son sommeil
la mer avec sa forge ?
Un nombre grandissait
dans la profondeur de la terre:
comme un germe terrible,
la pierre peu à peu s’ajoutait au silence,
la me nace au feuillage.
Cent grossissait, devenait mille,
sulfure, fange
cent mille décuplait
la fournaise secrète
cela qui se pulvérisait
multipliait le feu.
~
Pablo Neruda / L’épée de flammes
~
Merci Ossiane pour la gentillesse de vos commentaires à bientôt.
C’est superbe et l’ atmosphère est un peu étrange…
andré claude
>Ossiane, serais-tu devin, ou bien si attentive à nos tourments, tu avais vu juste, il suffisait d’être un peu patients mais quand il s’agit de son fils, il est dur d’attendre. Je te remercie pour la chaleur de tes mots
>Monique, merci de partager avec moi cette joie intense, le titre de la note d’Ossiane correspond tout à fait à mon état d’âme du moment.
Quel beau poème tu m’offres pour « fêter » cette bonne nouvelle, je t’embrasse aussi très fort!.
Bonne soirée à tous.
Claudie je suis content pour toi
que cette joie dure longtemps
la séparation d’avec un enfant est toujours déchirante
j’en sais quelques chose!
dans cette enclave miraculeuse
cachés dans le fief du temps
ils récoltent le bonheur
simple d’être ensemble;
petit à petit, la brume se dissipe, et l’horizon se dégage… l’avenir leurs appartient…
et l’amour d’une maman, envers ses enfants, et en général si grand, que nous ne pouvons en mesurer l’intensité…
très heureuse pour toi claudie…
dèjà elle redoute cet instant, mais elle le sait bien, côte à côte, ensemble, un bout de vie ils vont parcourir… ensuite viendras le temps de la séparation…car inévitablement, vers elle,à jamais, il s’en retournera…
>monique :
Tu es une fille de l’air et de l’eau, Monique et tu te donnes toute entière à cette belle lumière;-) Merci pour ta belle écriture, bonne nuit.
>marc :
Comme c’est bien senti ce poème sur l’intensité des mots ! Merci pour cette belle inspiration.
>annick :
Mais oui il t’aime, annick 😉 Bises vers toi.
>phil :
Belle idée d’avoir proposé cette chanson pour ces photos. Que la lumière soit avec toi aussi 😉 Bises.
>rachel :
Imagination fertile et inattendue, rachel 😉 Merci beaucoup.
>amichel :
Intensité maximum dans ces mots déposés Michel 😉 C’est superbe, je t’embrasse.
>salomé :
Une belle découverte pour moi ! Etrange comme les mots de Neruda se prêtent bien à cette ambiance solaire. Merci pour ce beau choix. Bonne nuit à vous et merci.
>chief gardener :
Et bien merci, une atmosphère créée par la lumière et rien d’autre dans un endroit particulièrement sauvage et magique;-) Merci de ta visite.
>claudie :
Non, non surtout pas devin 😉 Simplement que je me disais que ton fils était parti en quête de lui-même en solitude et qu’il allait finir par se trouver un jour. On ne peut pas errer sans fin. Sans doute aussi une envie de faire partager son bonheur nouvellement trouvé. J ete dis mon ressenti mais je peux me tromper bien sûr… Bonne nuit Claudie et surtout fais de beaux rêves.
>sabine :
On commence à y voir plus clair de toutes parts;-) Quelle belle journée !
En communion complice
Tout simplement
Ils contemplent paisibles
Le temps qui passe
Dans sa beauté en vues
Si belle immensité
Que l’âme toute émue
Se dévoile à nue
…
j’aime ces instants magiques
où je viens me reposer sur la plage
et laisser la nuit m’envelopper
doucement
calmement
…
>Sylvie:
Tu as la plage pour toi toute seule aujourd’hui;-) Merci pour ces mots.
A l’horizon,
Anne,
que voyez-vous venir?
http://www.notre-planete.info/medias/images/temperatures_world.png
Evolution des températures moyennes mondiales sur mer et sur terre de 1880 à 2006. En ordonnée, se trouvent les écarts de températures en °C par rapport aux normales calculées pour la période 1951-1980.
L’élévation de température depuis le début des années 1980 est notable tout comme les records des premières années du XXIème siècle.
Source : NASA GISS Surface Temperature Analysis, 10/2007
En écho à Bernard.
Bientôt, il ne restera à Anne que ses yeux pour pleurer.
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Vingt et une nouvelles espèces animales, dont le guépard, trois familles de dauphins et un vautour égyptien, ont été placées sur la liste des espèces en voie d’extinction par la IXe Conférence de l’ONU sur la conservation des espèces migratoires qui s’est conclue vendredi à Rome.
Les lamantins et six autres familles d’oiseaux ont été également
placés sur cette liste des animaux devant bénéficier d’une protection
absolue (dite liste I) tandis que l’année 2009 a été proclamée « année du gorille » pour aider à la survie des derniers 6.000 gorilles de la planète. Plusieurs familles de requins ont été inscrits sur la liste II des espèces menacées. Il s’agit notamment de deux familles de requins Mako de la Méditerranée dont la population a décru de 96% en quelques années en raison de la surpêche.
La Conférence a également adopté plusieurs résolutions, dont l’une
vise à réduire la pollution sonore des océans provoquée notamment par les navires, et qui a pour effet de perturber gravement la vie et de menacer la survie de plusieurs espèces de mammifères marins, en particulier les baleines et les dauphins. Tout en se félicitant de l’adoption internationale de mesures de renforcement de la défense des espèces marines protégées, la Société pour la Conservation des baleines et des dauphins (WDCS – Whale and Dolphin Conservation Society) a regretté que les gouvernements n’aient pas décidé d’y affecter des ressources suffisantes.
« Il est déconcertant de constater que le budget total de la Convention sera de moins de 7 millions d’euros et que les projets de conservation disposeront pour les trois ans à venir de moins de 170.000 euros » a déploré Nicolas Entrupp, le porte-parole du WDCS. Il a estimé que « ces montants dérisoires étaient une gifle » pour
l’avenir de la conservation des espèces menacées. (belga)
05/12/08 23h45
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Bernard, je constate que tu commences à faire tes recherches de coups de coeur;-)
And 1 And 2 Pitch_
Il était content, elle était heureuse
Il en avait mis du temps pour lui dire
Ce ne fut pas évident avec le sourire
La franchise de ces aventures malencontreuses
Elle était contente, il était heureux
Elle lui avait fait peur pourtant
En fait, cela n’a duré qu’un temps
L’honnêteté sortie de sa bouche, tel un voeu
Il était content, elle était heureuse
Le principal était maintenant fait
La paix régnant malgré ces méfaits
Il pouvait partir avec son ame joyeuse
Elle était contente, il était heureux
Dehors, malgré la pluie battante
Une voix l’appela derrière ces allures criantes
Ceci est mon mot et mon pseudo sera feu
Chris
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