Atempor-EL

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Hôtel de Bellagio

Terminus Hôtel, voyageur sans bagage cherche son chemin

faviconoeil2.jpg Lecture du Haïku Calligramme: méli mélo.

Terminus Hôtel
Voyageur sans bagage
Cherche son chemin

Photo prise à Bellagio sur le lac de Côme.

faviconoeil2.jpg Un petit clin d’oeil à Yves Tissot qui nous a rejoint sur le blog il y a
quelques semaines. Son blog est entièrement dédié à l’écriture de haïkus.
Un livre de 150 de ses haïkus va naître le 2 décembre.

48 réflexions sur « Atempor-EL »

  1. Ouvre-moi

    Ouvre-moi ta porte,
    Monsieur l’Hôtelier!
    J’ai juste débarqué
    De mon revê.
    Je suis perdue,
    Sans bagage,
    Sans chemin.
    Ouvre-moi ta porte,
    Monsieur l’Hôtelier!
    Il me faut reposer,
    Il me faut retourner
    À mon rêve
    Interrompu

    Ouvre-moi ta porte,
    Monsieur l’Hôtelier!
    L’Hôtel est si charmant!
    Je vois, à gauche,
    Un balcon fleuri.
    Ouvre-moi ta porte,
    Monsieur l’Hôtelier!
    Donne-moi la chambre
    Du fleuri balcon.
    Donne-moi la mer,
    Il me faut rêver…

    Ouvre-moi ta porte.
    Pour l’amour de Dieu!

  2. Je cherchais le chemin
    Et puis tu m’as montré
    Les haïkus de Yves Tissot,
    À cet hôtel, je me suis arrêtée
    Pour les lire
    Je n’ai pas besoin de bagage
    Seulement des haikus
    Comme lecture!

  3. est-ce qu’il regarde vers le lac, le voyageur? ou ailleurs? dans son attitude, on dirait qu’il guette, tendu dans l’attente de quelqu’un, plus loin, sur un sentier. On ne sait pas…bonne journée!!

  4. Voici le fou
    celui du roi
    qui est ma foi
    un triste sire

    Amusons nous
    car quelquefois
    le monde est las
    de tant de ires

    Voici le fou
    celui en toi
    qui nous fera
    vivre de rire

  5. >Neyde :
    Voilà un poème optimiste 😉 Ton voyage est un rêve interrompu qu’il faut s’empresser de reprendre. Ne tambourine pas trop fort sur la porte sinon tu vas réveiller tout le monde 😉 Bises à toi et merci pour tes mots.

    90% de réussite : Du fleuri balcon >>>> Du balcon fleuri 😉

    >Cristina M :
    C’est ce qui s’appelle mêler les anecdotes intelligemment 😉 Il va être content Yves 😉 Merci pour ton amitié.

    >François :
    A quel film penses-tu ? A Fenêtre sur cour ?

    >Muse :
    C’est effectivement une autre façon d’appréhender la photo puisque les volets sont fermés. Merci beaucoup pour ce petit haïku plein de justesse. Bon après-midi !

    >vietdom :
    Ton regard est juste lui aussi. En fait, si on regarde de près, dans les deux photos, il a deux attitudes différentes. Il regarde de face puis vers le lac. On peut imaginer tout ce qu’on veut. Merci Dom de ta fidélité. J’espère que tu vas bien.

    >Lyriann :
    Une très belle phrase, Lyriann qui donne envie de mordre la vie à pleines dents. Bises.

    >bonbonze :
    J’aime bien tes sourires dans la grisaille de l’automne 😉 En fait, je crois qu’il m’a vu 😉 Je suis très mal à l’aise pour photographier les gens à leur insu. Bises.

    >MioModus :
    C’est vrai, il y a un peu de tout ça dans ce que tu dis. Ce coin de Bellagio est une des perles du lac de Côme. Mais, j’y ai vu comme un vieil hôtel désaffecté, un vaisseau fantôme un peu hors du temps dans lequel il se passe des choses étranges. Il me rappelle un film de Wim Wenders qui s’appelle « Million Dollar Hôtel ». J’avais bien aimé ses ambiances dénudées à la Edward Hopper. Bien à toi, merci pour tes beaux poèmes.

    >brigetoun :
    Eh bien Brigitte, tu joues à cache-cache 😉 En tout cas, je t’ai bel et bien vue 😉 Ce sont les petits yeux que j’ai mis dans la note qui font que tu te sens observée 😉 Bises chaleureuses pour ce haïku plein d’humour.

    >feu roméo :
    Cette photo t’emporte très loin avec ce fou du roi qui déclenche le rire 😉 C’est un des ressorts de la vie a dit maître UU 😉 Merci pour tes poèmes toujours plein d’originalité. Je t’embrasse.

  6. >Salade:
    Trois mots simples mais vrais 😉 J’espère que tu portes bien dans le grand nord. Merci de ta visite.

    >Pierre (2):
    De grand retour de ta campagne, tu arpentes de nouveau les chemins électroniques;-) Ton nom d’hôtel est nettement plus gai que le mien qui a un air de fin du monde;-) Un bel haîku plein de profondeur sue la vie. Bises du lago di como.

  7. Hôtel du temps qui s’enfuit
    Hôtel des souvenirs perdus
    Hôtel au volets fermés
    qui voudraient retenir les parfums
    des flacons pourtant vides.
    Hôtel où seule une fenêtre ouverte
    crie la présence d’une solitude.
    Et le soleil s’en fout
    Et les enfants en bas sautent sur la marelle de la terre au ciel.

    Catherine

  8. sur le panoramique:
    est ce lui qui conduit la bête, immense chenille
    arrêtée au bord du lac le temps d’une pause?

  9. >Catherine:
    Un magnifique poème qui joue sur les oppositions ! Dans les sept premiers vers, tu évoques le temps qui s’en va, la vie qui s’éteint, les traces laissées. Le contraste est très fort avec les deux deniers vers. Quelle belle chute entre le haut et le bas! J’aime beaucoup. La vie continue avec une certaine cruauté malgré tout.

    Ton haïku change complètement de registre. Il est plein de sérénité. On peut vraiment faire dire aux images des choses très différentes. Merci Catherine; je te souhaite une bonne soirée et t’embrasse.

    >Candide:
    Je suis tout à fait d’accord avec ta vision amusante;-) C’est un attelage très étonnant. Cette fois, je crois qu’on a rejoint le monde imaginaire. Bonne soirée, Candide, merci de ton passage. Dois-je comprendre que tu as réintégré ton logis;-)

  10. Oui j’ai réintégré mon logis après de merveilleux moments à Lille et Paris où j’ai eu en plus la joie de croiser des gens que j’apprécie!!!!
    Et puis le disque dur de l’ ordinateur a lâché et c’était moins facile de se balader sur le net!
    bonne soirée à toi aussi

  11. « Je suis le ténébreux, le veuf, l’inconsolé,
    « Le prince d’Aquitaine à la tour abolie (…) »
    – El Desdichado –

    Beauté de ton haïku, Ossiane, et du regard de cet homme scrutant l’horizon : le passé ni l’avenir ne l’effraient. L’angle de son bras, la montre qu’il porte sans la consulter, ce geste suspendu, concentré vers ce qu’il fut, sera ou est, à cet instant même, toutes vies confondues et qui ont été siennes… Ce qu’il a perdu, ce dont il rêve, se rejoignent en cet instant.

  12. TERgiversant sur la tenue à mettre,
    il observe le ciel de sa fenêtre.
    MInutieusement il inspecte
    de chaque rai de soleil le spectre.
    NUS pieds il sortira, peut-être,
    mais pas sans sa chemisette.
    HOp-là, se dit le poète,
    aujourd’hui je pars en goguette,
    TEL un bon touriste alpestre,
    le nez au vent, et sans chaussettes !

  13. >Maurice :
    Poème très court mais très beau 😉 Vraiment une émouvante évocation. Tu as la poésie dans la tête en ce moment 😉 Bises.

    >Candide :
    Très heureuse de t’avoir rencontrée à l’improviste à l’exposition d’Aurélie 😉 Bises.

    >Fugitive :
    Fugitive, à chaque fois, tu m’impressionnes par la justesse et la beauté de ton regard sur mes photos. Voici une analyse qui n’oublie aucun détail graphique et dans laquelle je te rejoins complètement. Merci également pour le poème de Gérard de Nerval que l’on peut lire en entier à partir du lien ci-dessous :
    http://www.graner.net/nicolas/desdi/textes/doub.php3

    >Anne-Marie :
    Superbe acrostiche syllabique pour ce terminus poétique nocturne ! Je ne sais pas si ça existe déjà 😉 Voilà un poème plein d’humour et d’insouciance sur un simple touriste qui a hâte de mettre ses gambettes au soleil. La vérité est peut-être tout simplement là. Les avis des uns et des autres sont très partagés sur cette note. Bises de ma nuit noire. Un grand merci à toi.

    >Yves :
    Voilà l’homme du jour qui arrive avec pour bagage un bel haïku plein d’ambiguité 😉 Pardonne-moi de te taquiner ainsi, je n’ai pas pu m’en empêcher 😉 Merci beaucoup et que tes haïkus fasse le tour de la blogosphère et de la France entière. Bonne journée !

  14. Nostalgie

    Le bal chez Temporel

    « Si tu reviens jamais danser chez Temporel
    Un jour ou l’autre
    Pense aux bonheurs qui sont passés là simplement
    Comme le nôtre. »
    (Guy Béart)

  15. Elle a dit je suis là
    dans un souffle,craintive
    regarde moi
    l’éclat dans mes yeux ne chante que pour toi
    je t’offrirai le ciel
    regarde moi
    et le vent la mer
    et l’oiseau
    et le soleil la nuit resplendiront
    regarde moi

    est ce que je rêve encore?

  16. hôtel
    mmh
    les mouettes
    seront
    notre opéra..
    les vagues
    les valses
    à deux temps
    nos sourires infinis
    secrets chuchotés
    derrière les volets…

  17. J’habite à Bellagio, hôtel du ciel, chambre 31. Vous connaissez le chemin? Personne ne s’est jamais trompé! Il suffit de suivre son idée, de se faire confiance: vous pensez que vous y arriverez, ou plutôt vous ne pensez pas. Vous vous laissez porter, un pas en entraîne un autre.Vous sentez que votre vie s’écoule, que vous êtes guidé. Comment, par qui? C’est un mystère, votre esprit comme un lac est plein de profondeur, de douceur, de poissons aux longs voiles qui nagent sans bouger. L’air est pur mais dense, alourdi de parfums, de sèves essentielles. Ils vous font soupirer, votre regard s’étire. Et comme un pèlerin que la paix accompagne, vous êtes arrivé sans calcul inutile: Rien sur le péristyle, point de signalétique; cette couleur enchante, ces murs sont vos échelles. Vous gravissez léger des escaliers d’albâtre, un silence docile accompagne vos pas. Vous savez aux étages, les noms des locataires: ils s’appellent Absent, Je reviens, En vacances, A demain, Parti pour une course, Ne me dérangez pas, Chez ma mère, En travaux, S’adresser au concierge… La chambre 31, c’est ici. Le chat blanc vous attend; de son regard en or; il vous conduit, de ses doux pas feutrés, auprès d’une silhouette, au balcon appuyée. Ne dites pas un mot, elle disparaîtrait. Elle est là simplement, posée comme un instant, lorsque le photographe (c’est peut-être une femme) veut saisir dans sa boite toute une éternité! Vous vous imaginez, entre deux volets verts, de celui des forêts que l’ocre de la terre rend parfois insondable: Vous prenez votre élan, d’un bond vif d’ écureuil… Et c’est en un clin d’oeil, tout en haut du grand pin, que vous voyez le ciel.

  18. Je te remercie pour ton mail, j’y répond dés que je suis un peu moins full, mais je suis tout à fait d’accord avec toi ! !

    Pour ce qui est de la photographie , je préfère le cadrage non agrandi , j’y trouve plus de symétrie, mais c’est tout à fait personnel.
    d’ou…

    Je regarde cet homme :
    Dans une imagination de l’illusion, déformée par l’image de ma perception, je reforme mes rêves d’ébullitions en lyre de méandres de subjection.

    Je te remercie pour ton amitié et je t’embrasse

  19. Moi ce que j’aime c’est la douceur et la tendresse que je retrouve tout au long de tes photos. Ici je sens presque l’air doux me caresser. Un endroit qui m’a l’air l’endroit idéal pour se « poser » dans tous les sens du terme. Amitiés à toi.

  20. V

    Variation de sol
    Vérité des voyelles
    Verticalité

    Vive le bon vin
    Vitalité garantie
    Vacances à l’hotel

    Vertige d’amour
    Volé dans la chambre sept
    Volupté d’hotel

    Voyage des mots
    Vaisseau intemporel
    Valse dans le ciel

    bonjour ossiane

    voici mon thème du jour!
    que me réserves tu pour le W !
    sans parler des X
    Y
    ET Z !!!!

    bises de V elours

    jane

  21. >Pierre (2) :
    Toujours là Pierre, fidèle au rendez-vous… Merci pour ces paroles nostalgiques qui se prêtent bien à la photo, tu connais bien tes classiques… Bises.

    >François :
    Zut alors, je suis bien à côté 😉 Je crois que je n’ai jamais vu ce film. Te sens-tu déstabilisé par cette nouvelle tendance 😉 La bise au jardinier.

    >feu roméo :
    Un beau poème d’amour, roméo. Rêve ou réalité. Je suis toujours très émue par ce que tu réussis à écrire à partir de mes photos. Merci pour ce bel envol poétique. Je t’embrasse.

    >Annick :
    Coucou Annick, tu n’as pas pu résister à l’appel d’internet 😉 C’est très gentil de venir faire un petit signe depuis ton cybermonde. Je crois que tu commences à te faire à ton environnement exotique car ton poème est rempli d’une douce musique dédiée aux amoureux cachés. Merci pour ta poésie chuchotée. Bises de l’autre monde et à bientôt !

    >Bernard :
    Après cette longue plongée poétique dans les abîmes de mon blog, tu as décidé de venir reprendre du souffle à la surface de la dernière note 😉
    Je suis impressionnée par la beauté et la richesse de ton texte ! Tu es aussi bon en poésie qu’en prose 😉 Tu as imaginé toute une histoire autour de cette chambre 31 et de celles des Absents. Cette hôtel me rappelle celui que je mentionnais un peu plus haut dans le film de Wenders. Tu évoques des locataires à vie et non des voyageurs de passage. Je ne parle pas de la belle description très imagée que tu fais à propos de ce fil qui guide les pas ni de cet aboutissement en forme d’apparition. Beaucoup de fraîcheur et de légèreté dans tes mots. Un grand merci d’être venu écrire sur mon blog. Je t’embrasse.

    >Bruno :
    Prends ton temps Bruno; ne cours pas trop vite. L’essentiel est qu’on se soit compris 😉
    Je suis du même avis que toi pour la photo que tu préfères. J’ai choisi d’agrandir le champ avec l’autre photo car je trouve que la perspective donne une allure de vaisseau à la dérive à cet hôtel. Le but était de stimuler l’imagination avec une autre vision. Merci pour ta franchise.
    La perception de cet homme à la fenêtre t’inspire des rêves sinueux, Bruno 😉 En attendant de te voir atterrir, je te déprose une bise d’amitié 😉

    >l’œil vagabond :
    Hello Chris, le vent de la poésie soufle dans tes mots en brise légère. Ce voyageur écoute son chant avec attention. Bon après-midi, je t’embrasse !

    >Emma :
    Hello Emma, la new-yorkaise 😉 Je continue à suivre en silence vos dernières créations toujours aussi inventives et reviendrai vous voir dès que possible car j’aime me prêter à vos expériences graphiques.
    Pour ce qui est de la douceur qui se dégage, je ne sais quoi vraiment dire. Il est vrai que ce lieu de l’Italie est un petit havre de paix,de beauté et de gaieté. Très difficile de résister à ce charme 😉 Bises à toutes les deux.

  22. >Jane:
    Contente de te revoir;-) Je me demandais si le V ne te faisait pas un peu peur;-) Je vois que NON! Quatre haïkus d’un coup tous très différents; tu nous en mets plein la vue;-)

    Voix voluptueuse
    Vive la diversité
    Volent tes haïkus

    Effectivement, tu abordes des lettres très difficiles;-) A l’heure où je te parle, je n’ai pas encore choisi même si j’ai des petites idées. Je te laisse car il faut que je commence ma note de ce soir. Bises V ermeil.

  23. >Lilly rose:
    Je t’ai reconnue;-) Je suis allée sur le lien que tu as indiqué. C’est amusant et étonnant qu’on se retrouve toutes les deux côte à côte sur cette page. Apparemment, c’est un site poétique dédié aux femmes. Tu le connaissais déjà? Merci de me l’avoir signalé.
    Un gros paquet de ooOO°°°oooOO°° vers ton toi.

  24. c’est Marie qui m’avait signalé et de te la prévenir car elle regardait dans Google les « retombés bulloises » du livre et par hasard…
    nous voilà ensemble dans un shaker et exploser les bulles qui pétillent dans tous les sens et les narines chantent

  25. >Yves:
    Vraiment très forts tes haïkus! Dans celui-ci, je vois aussi des jeux de mots avec EL/elle et signes/cygnes. En tout cas, tu me donnes une superbe transition pour la note suivante qui aborde un nouveau thème. Merci pour tes contributions. Je t’embrasse.

  26. Danse sous le vent
    Bulles pailletées

    au fil des branches

    Présence de cascade
    Eclatée de vie

    Reflet bleutés aux ailes libellulées

  27. Mais combien d’étages
    La Tour Bas…b…EL, non Haut…EL
    Au clin d’oeil-de-boeuf !
    ===============================
    Volets vert sapin
    Façades ambrées de miel
    Sapin vers volets

    Pin jailli du lac
    Lors un homme à la fenêtre
    Se penche et s’étonne
    ================================

    Avec Ossiane on oscille entre la poésie et le ludique !

  28. >Reiane:
    Tu suis le chemin d’Yves avec ces nouveaux jeux de mots sur ce premier haïku,-) L’idée est bonne. Même chose sur le deuxième (vers/vert). Cette photo est bien plus profonde qu’elle n’y parait et ce pin anodin y joue les premiers rôles. Quant au troisième haïku, on nage en pleine science fiction;-) Jusqu’où va-t-on s’arrêter… Merci pour tes belles contributions. Je souhaite que ce blog ne se prenne pas trop au sérieux. Si on peut y ajouter une dimension ludique en jouant avec les mots et les idées, c’est une bouffée de bulles en plus qui va y entrer;-) Bien à toi, je t’embrasse.

  29. poème pour Cordélia :

    Dans ce monde où tout n’est que vicissitude et longueur de temps,
    Tel la racine d’un arbre qui recherche la source pour se désaltèrer,
    Je tracerai un chemin beaucoup plus rempli de certitude.

    Dans ce monde où les plantes et les animaux ont tous leurs habitudes,
    Tel une rose faite d’épines et d’une odeur enivrante,
    Tu tacheras de me prendre comme je suis pour en apprécier le meilleur.

    Dans un monde où chaque être vivant emmet un son, une musique,
    Tel une partition avec ses lignes, sa clef, ses notes et ses silences,
    Nous propagerons une douce chanson qu’il suffira d’écouter pour en tirer toute sa vertu.

    Bertrand 12.2007

    lien cliquable souhaité

  30. >Bertrand:
    Bonsoir et bienvenue sur le blog;-) Merci d’avoir déposé ici ce beau poème. J’espère qu’elle t’entendra;-) Bonne soirée.

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