* Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas.
Dans leur Sillage,
Ils Plissent l’Eau, de Rêves
Aux Ailes d’Ange.
* Photos de canard et cane colvert prises sur le Canal du Midi. Pour en savoir plus …
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
* Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas.
Dans leur Sillage,
Ils Plissent l’Eau, de Rêves
Aux Ailes d’Ange.
* Photos de canard et cane colvert prises sur le Canal du Midi. Pour en savoir plus …
Les mots sillons
Esquissent le sourire
De l’Ephémère.
L’Onde se révèle
Sous les ailes de lumière
De ses messagers.
L’Ange perpétue
L’intimité des reflets
En quête de paix.
Serait-ce l’amour chevronné ? ;-))
Catherine
Le Bonheur s’éveille
Sous le souffle des époux
De la même trempe.
Comme une onde
En V, ou en double V
S’échoue sur les bords.
Des canards, sur une mare, n’ont que trés rarement
autant inspiré de mots !
Serais-ce grace à la photo ?.
l’amour en sillage…
un canard ,deux canards,
le troisième cherche sa cane ,
à son âge !
l’amour n’ a pas d’âge !
Après l’ascension du PIC VERT,
le COLVERT en V l’eau 😉
http://www.oiseaux.net/oiseaux/anseriformes/canard.colvert.html
Je suis en arrêt image devant la dernière illustration et son mouvement…
le Kaïkan reprend la mer après 48 heures de tourmente informatique…
Bonne journée à toi, Ossiane…
Quelle imagination, quelle beauté ! je suis à tous les coups émerveillé.
Rene
fond de tasse
à ce point de l’existence
cet instant où rien ne bouge
je mesure la profondeur
le vague espace à franchir
les forces qu’il me reste
et l’absence des astres
pour veiller sur moi
alors je fais semblant
de ne rien entrevoir
et préfère me perdre
dans le gris du miroir
Plumes trempées
Dans l’encre blanche éphémère
Encre de lumière
Encre volatile
Pour écrire deux Vies
Deux Voies parallèles
très bel assemblage, Ossiane : le poème permet de mieux décrypter le sens de l’image (évidemment, la plasticienne qui parle…:-))) ) Les ondes sur les eaux m’ont toujours fascinée et tu leur donnes ici un sens profond ! moi qui suis plus « brut de coffrage » que toi, j’aurais encore accentué les contrastes dans la deuxième image, que j’aime particulièrement…
Au fil de l’eau
J’ai croisé ton regard
Etre seul, puis deux. Sans mots.
Poser une marque éphémère sur l’O.
Avencer grâce à une force silencieuse
Vers l’ile-amour mystèrieuse….
Deux! L’amour laisse sa trace.
Dans l’O, deux V s’entrelassent,
Dans l’air la douceur emplie l’espace…
Un instant….et tout s’efface!
Seule l’O se souviendra
De ses sillons sereins et complices…
Notre mémoire oubliera…
Mais l’amour continuera sa secrète glisse…
Yo-cox
http://photo-passion.blogspot.com/
>Les larmes du Phoenix :
Bonjour, contente de ton retour marqué par quantité de poèmes;-) Merci beaucoup pour tous ces jolis haïkus très différents des uns des autres. On a le choix 😉 Bonne journée.
>Catherine :
Aïe ;-)) Tellement obnubilée que j’étais par ces ailes, je n’ai absolument pas pensé aux chevrons 😉
>Ark :
Merci pour ton bel haïku, Ark. Ce sont bien les photos qui inspirent tous ces mots. Crois-moi, j’en suis très honorée. Ici, j’ai préféré suggérer des choses plutôt que tomber dans l’anecdotique du canard avec sa couvée de canetons qui sont pourtant fort mignons. Bien à toi.
>vi :
C’est sans doute ça… Pourvu que ça dure 😉
>Alain de la communauté :
Merci Alain pour ce poème à trois canards 😉 Dans mon idée, le canard partait chercher sa belle sur la première photo et la ramenait dans la deuxième. Bises.
>Fred de Toulouse :
;-))) Pour comprendre ce que veut dire Fred, il faut aller lire le poème qu’il a écrit sur la note précédente. Tu tiens une sacrée forme en ce moment 😉 J’aime bien quand tu fais ton rigolo;-) Le lien que tu as laissé est le même que j’ai mis dans « Pour en savoir plus… » Pourquoi ??
>Kaïkan :
Grande prêtresse de la seiche, je me ferai un plaisir de remonter à bord de ton vaisseau. J’espère que la tempête n’a pas mis tes nerfs à trop dure épreuve.
>Rene :
Merci Rene d’être aussi réceptif aux mots et aux photos. C’est un plaisir de t’avoir parmi nous.
>bouldegom :
Que nous as concocté bouldegom ce matin 😉 Un poème en relation avec la première photo, je suppose. Je le lis en la regardant et je trouve qu’il colle parfaitement bien à ce petit oiseau de dos qui s’en va affronter bravement l’inconnu, le vide sans la protection des étoiles. Espérons qu’il ne boira pas la tasse. Merci une nouvelle fois pour tes superbes idées de poèmes.
>Daniel :
Bien cette idée de plumes qui s’en vont tracer sur l’eau la double vie des oiseaux. Nous sommes en plein dans les volatiles 😉 Je ne sais pas si tu l’as fait sciemment 😉 Merci pour ce poème bien tourné, Daniel. Belle journée.
>Raphaëlle :
Je vais essayer d’être » brut de coffrage » en testant ce que tu me dis 😉 J’aime bien quand la plasticienne parle et me donne son avis éclairé. Moi aussi, j’aime les ondes, les sillages, les reflets. Tu as déjà traité fort bien le thème des reflets sur ton blog que je conseille aux visiteurs d’aller voir d’ailleurs. http://in-errances.blog.lemonde.fr Bonne création pour la journée.
>L’œil vagabond :
Bien vu Chris par rapport aux sens des photos mais aussi dans la réalité ! C’est incroyable ces correspondances entre nos deux blogs, qu’elles soient voulues ou inopinées. Bises croisées.
>yo-cox :
Bravo yo-cox ! Je sens que ce thème sur l’amour, l’eau et la mémoire t’inspirent particulèrement. J’ai la sensation que tu prends ton envol poétique. Sans doute, le bon air de l’Alsace y est pour quelque chose 😉 J’aime vraiment beaucoup ce que tu as écris. Poursuis sur ta lancée et bientôt tu me rejoindras. Bises.
les irisations
gris bleu, gris vert, sont frisées
par leur sillage
L’eau et l’air réunis
vont ondulant de concert
traversant ces univers
vitesse, sensations
ivresse de l’élément
pour seul carburant
pause sur le miroir
reflet, osmose, savoir
tendre ballet de duvets
sages images présagent…
un tourbillon de folies
Chère Ossiane, je m’en reviens d’un instant figé dans l’Eternité… mes yeux en sont encore tout étoilés… ce fut comme voyager un rêve sans en être que le passager… sous le regard de ma Bulle de Rêve… Ainsi était-ce :
Fille d’Oniros
Au sommet du Matin, tout n’était que murmures.
L’Océan s’éveillait au bras de son parfum
Qui saupoudrait d’azur les toits de Santorin.
Des passants de lumière escortaient la Nature
Jusqu’au coeur de la ville entre les Séraphins ;
Ces enfants en suspens embrassant le bassin.
Et je la devinais ciselée dans l’Aurore
Florissant l’horizon de son profond regard.
Le vent lui messageait dans ses longs cheveux noirs
Toujours le même rêve échappé de l’Amphore :
Une plume chantant la promesse d’encore
Egarer sa pupille au trouble d’un égard…
D’un mot comme une église où s’écrit le Hasard,
Elle esquisse un sourire ainsi que naît la Flore :
Rêve !
A ma Bulle de Rêve ! 🙂
>brigetoun:
Hé hé quand je disais que tu étais sensible aux couleurs;-) Merci beaucoup pour ce joli haïku coloré. Bises de l’onde.
>fred07:
Là, tu as totalement abandonné tes repères;-) Fini le carcan du 5 et du 7; je vois du 6 et même du 8! Place à la poésie buissonnière;-) Superbe cette osmose entre l’eau, l’air et l’animal. Tu as utilisé de belles images qui font rêver. La suggestion a certainement plus de pouvoir que la simple réalité visuelle. Un grand merci à toi de t’impliquer avec autant d’énergie et de poésie dans mon blog. Bonne après-midi.
>Phoenix:
Cher(e) Phoenix, je suis scotchée à mon fauteuil en voyant tous tes poèmes défiler dans ma boîte électronique;-) La pause estivale a été très fructueuse. Tes poèmes en dehors des haïkus sont très bons également. C’est sympa de nous en faire profiter. Merci pour tous ces cadeaux de mots.
Oniros fait allusion au rêve. Qui est cette déesse?
Un très beau poème, Phoenix avec cette plume qui esquisse un sourire. Bravo à toi. Continue à nous faire rêver.
Chère Ossiane, dans la Mythologie Grecque, Oniros est le Dieu du Rêve… souvent assimilé à Hypnos, Dieu du Sommeil… je peins là par mes mots celle qui, pour donner l’évasion à mon coeur, ne peut être que sa Fille par nature.
Et quel plus beau cadre que cette perle posée dans la Mer Egée au Sud des Cyclades, Santorin, pour être le Chemin de mes écrits et la Terre d’accueil de mes pas estivaux.
Ravi que ces pointes d’émois te touchent autant. Ce lieu que tu agrémentes d’images et de poésie est un sanctuaire où toute plume se plait à venir se ressourcer.
>Les larmes de phoenix:
Tu as répondu à mes interrogations;-) Je n’avais pas parfaitement saisi ton propos. Je constate que ce voyage à Santorin t’a complètement conquis(e) et que tu en es encore tout(e) imprégné(e). On entend dire que c’est l’une des plus belles îles de Grèce à visiter. Merci pour les impressions que tu me livres à propos de cet espace d’expression.
Chère Ossiane, comment te dire l’indicible de ce qui m’a étreint à découvrir cette île gorgée de mystères, d’histoire, de merveilles… que ressentirais-tu au moment où tous tes sens s’éveilleraient soudain ?! Que se passerait-il si soudain une étoile venait se loger au creux de tes mains et que tu l’entendais rire et te conter l’Infini ?! Il est des émotions qui dépassent les mots ou même les images… j’essaie avec sincérité de souffler simplement ce volcan qui m’anime.
Quand tu déambules dans les ruelles de Santorin, tu es totalement pris dans un maelstrom de sensations bigarrées, bercé d’une quiétude apaisante. La mélodie du Vent t’encourage à porter tes pas plus loin, veillé par un Soleil siégeant fièrement sur son Trône d’Azur. Il est parfois bien peu évident de distinguer où commence le Ciel et où finit la Mer… de sorte que ce Baiser bleuté paraït éternel. J’y ai vécu un instant qui m’a paru trop court et qui restera pourtant à jamais gravé en moi…
Par ailleurs, je voulais lever un doute dans tes réponses et te dispense des « e » superflu ! 😉
Prends soin de toi
Je comprends l’émotion qui t’a étreint à découvrir et sentir tant de merveilles. L’empreinte de beaux voyages dans les mémoires est indélébile. N’as-tu pas souffert de la chaleur et de l’afflus d’estivants à cette époque de l’anné car cette île n’est pas très grande?
Mes doutes sont levés quant à ton identité. Pardonne mon insistance.
Heureusement Zéphyr lovait Santorin de son humeur cotonnée rendant ainsi la température supportable… néanmoins je ne suis pas sujet aux problèmes dues à la chaleur… quelle figure ferais-je sinon en tant que Phoenix ?! 🙂
La manne principale de l’île étant le tourisme, il est quasi-incontournable d’en croiser par grand nombre, sauf lorsque comme moi, vous aimez errer en dehors des sentiers balisés pour découvrir le vrai visage des choses. Et là… sorti des « rues de l’or », du fatras des tavernes et autres brocantes en tout genre, on découvre le havre d’un silence sacral.
Tu es toute pardonnée ! 😉
(ultima verba :>)))
W..
Dans le petit matin blême je les ai vus
Se poser et glisser sur l’eau couleur de pluie
De ma hutte de bois je suivais leur venue
Double flèche filant droit sur moi sans un bruit
*****
Je me souviens alors d’une chanson d’enfance
Un air triste et très doux une vieille romance :
«Le fils du roi s’en va chassant »
*****
Un couple de colverts dans un vol de passage
Cherchant à s’isoler dans un coin de roseaux
Pour se mettre à l’abri des fureurs d’un orage
Un ciel couvert et gris se reflétant dans l’eau
*****
«Le fils du roi s’en va chassant »
« Avec son grand fusil d’argent »
*****
Leurs rides d’écume claires et légères
Leur font un voile blanc comme des ailes d’anges
Ils avancent rapides. Le mâle est un peu en arrière
Sa femelle a aux yeux un trait de khôl étrange
*****
:
«Le fils du roi s’en va chassant »
« Avec son grand fusil d’argent »
« Visa le noir tua le blanc »
*****
Un coup de vent soudain les voilà qui s’envolent
Brisant net mon rêve au fond de ma cachette
Surpris par leur brusque retraite qui m’affole
J’ai levé mon fusil et pressé la gâchette
*****
Je me souviens alors d’une chanson d’enfance
Un air triste et très doux une vieille romance :
«Le fils du roi s’en va chassant »
« Avec son grand fusil d’argent »
« Visa le noir tua le blanc »
« Fils du roi tu es méchant »
« Tu as tué mon canard blanc »
*****************************************
Honte sur moi Ossiane,
je n’ai pas cliqué sur « Pour en savoir plus… »
En fait tout va très mal dans ma vie
mais j’essaie de rester zen
de prendre du recul
d’en rire
Inopiné, pour sur, et tellement surprenant cette série de connivences-coïncidences, au fil de l’eau, je trouve celà très touchant. La bise
>Les Larmes du Phoenix:
Il est toujours préférable de s’écarter des sentiers balisés si on a envie de découverte et d’authenticité. Les gens n’aiment pas trop marcher et parfois, il suffit de s’éloigner de quelques rues ou chemins pour découvrir un tout autre visage des choses. Merci à toi et bonne soirée.
>amichel:
Quel beau poème pour ce cadeau de départ! Tu vas me manquer, tu sais;-) Ce que tu as écris à partir des quelques mots du haïku et du titre est remarquable. J’aime beaucoup l’atmosphère mélancolique du poème dans laquelle on sent que la mort rôde et qu’il va se passer quelque chose de tragique. J’en suis toute remuée. Malheureusement, ce que tu décris est un spectacle familier. La vie de ces oiseaux ne tient souvent qu’à un fil. Quand les laissera-t-on vivre leur vie?
Merci beaucoup pour tout ce que tu fais ou as fait pour L’Oeil Ouvert, Michel! Ca fait un an que je te connais maintenant et que tu ne manques jamais mon rendez-vous. Je t’embrasse bien fort et te souhaite de très bonnes vacances. A très bientôt pour de nouvelles aventures poétiques!
>Fred de Toulouse:
Pas grave de ne pas avoir cliqué, Fred;-)
Si ce que tu me dis est vrai, tu adoptes la bonne attitude. Il faut essayer de prendre du recul pour ne pas s’enfoncer. Le rire est un bon moyen d’y parvenir. J’aimerais te réconforter, Fred. J’espère que ce mauvais passage n’est que temporaire. Reçois toute mon amitié et mes pensées. Reste avec nous. Je t’embrasse bien fort aussi.
Les canards…
Après leur vol
au fil des nuages
qui, de leurs ombres fragiles,
brisaient les rais lumineux,
ils venaient au fil de l’eau
fabriquer les ondes
pour offrir un reflet à la lumière
et bercer le soleil.
Catherine
Le double V
Il,
Le Vétéran Canard
Se Vante à la Cane,
Veritable Vassal,
Voix de Velours:
Viens, ma belle Violette,
Viens,
Faisons un V ensemble.
Il dessine un Visible V
Sur le Vitrail liquide.
Elle,
La Cane, Vierge,
Vestale en Vedette,
Vraiment Vacille.
Vaincue pour la Verve,
En toute Vitesse,
Vole sur l’eau
En dessinant son V.
Les Vaguelettes
Valsent à la suite
Des Valereux ColVerts,
Vernissage d’amour
Victoire de la Vie
pas de deux
à chaque tentative
tu esquives l’approche
nos ailes d’anges blessés
ne peuvent s’accorder
en fait qui de nous deux
mène vraiment la danse
ton envolée est sûre
la mienne est fantaisiste
c’est une valse lente
un tango de fortune
des vagues de rêves flous
nourrissent le sillage
Double V
Les ondes du lac
Formées par l’amour
C’est qu’ici
C’est le Printemps
Qui arrive
Je vous laisse
Je m’en vais
Donner du pain
À ces amoureux,
D’ailleurs
C’est bien pour ça
Qu’ils nagent
Dans notre direction!
« …Y a des oiseaux de basse cour et des oiseaux de passage Ils savent où sont leur nids, quand ils rentrent de voyage Ou qu’ils restent chez eux
Ils savent où sont leurs œufs… »
http://fr.lyrics-copy.com/maxime-le-forestier/ne-quelque-part.htm
Ossiane,
j’ai changé le « Timide Vacile » pour
Vraiment Vacile.
Vers nº4 – 2ème strophe
Tu peux le faire, s’il vous plaît?
Merci.
>Catherine :
Merci beaucoup pour ce poème plein de générosité. Echos entre les nuages et les rides de l’eau. Un échange poétique lumineux. Les canards ne se rendent pas compte du beau spectacle qu’ils nous offrent. Bien à toi. Je t’embrasse.
>Neyde :
Quelle performance poétique tu as réalisée ! Tu as vraiment pris le titre à la lettre 😉 Et tu as tenté un exercice poétique en V qui se tient merveilleusement bien ! La magie est là dans ce poème d’amour 😉 Une belle fin qui rappelle le duo de colverts et ce fameux double V. Bravo Neyde ! En plus, je ne vois aucune faute de français. Tu as du mettre un temps fou pour écrire ce poème, non ? Merci beaucoup. Bises ViVifiantes vers ton Brésil 😉
>Bouldegom :
Comme souvent, tu pars de la réalité des photos pour explorer des contrées intérieures plus intimes. Entre accord et désaccord, rencontre d’un duo qui s’observe et ne parvient pas à trouver le juste ton. Une danse à deux mêlée de pas assurés mais aussi d’arabesques bohèmes. Personne ne mène la danse. Mais n’est-ce pas là justement le parfait accord avec cette complémentarité de caractères qui se retrouvent ? Merci boudegom pour ce beau questionnement poétique. Je t’embrasse.
>Cristina M :
Ce duo de V symbolise beaucoup de choses dont la réunion entre deux êtres. Petit clin d’œil avec le pain et cette arrivée gourmande vers le promeneur qui craque devant tant d’amour manifesté à son égard 😉 J’ai pris toute une ribambelle de canards, petits et grands. C’est effectivement de cette manière qu’on les capture le mieux dans l’objectif 😉 Merci pour ton poème. Bonne journée Cristina où que tu sois.
>francis :
Tu connais bien tes classiques 😉 J’aime bien les oiseaux de passage. Ces colverts vivent le long des berges du canal avec toute la famille. Merci à toi. Belle journée.
>Neyde :
J’ai accédé à ta demande. J’ai corrigé « Vacile » et ai écrit « Vacille ». Je pense que tu parles du verbe « Vaciller » qui signifie « Chanceler » ?
Amusant ce « tu » et ce « vous » dans ta dernière phrase « Tu peux le faire, s’il vous plaît? » 😉 Je t’embrasse.
C’est correct.
J’ai mangè un « L » de Vacille.
Un bisous.
« pourvu que….. » trop drôle, Ossiane….double V sont mes initiales..les vraies, les authentiques..
>Vi:
Amsante coïncidence;-) Le clin que je t’ai fait l’autre jour aurait été parfait sur cette note. Bonne soirée et bon week-end, Dame Vi aux deux V;-)
Un V retourné
Deux V enlacés
Un froissement d’eau
Deux palmes nagent
Un doux duo
Deux canards passent
>J’aime bien ce poème, Annick.
Je cherche un poéme sur le verbe s’isoler , quelqun qui s’isole pour réfléchir , se retrouver soi_meme…
merci de bien vouloir m’aider … =)
s’isoler
aux yeux des autres
pour se retrouver soi
et être soi
parmi d’autres
>malin:
Bonsoir, désolée je ne suis pas en mesure de t’aider. Il faut savoir que les poèmes déposés sur le blog appartiennent à leurs auteurs et qu’ils ne peuvent pas être diffusés sur un autre blog sans leur autorisation. Bien à toi.