* Lecture du Haïku Calligramme: Reflets…, Bercement…, Frémissement…, Frissonnement…, Enlacements.
Reflets Vert d’Eau
Eclat Jaune Ambré,
Bercement de la Brise Dorée
Frémissement des Feuilles Cuivrées.
Frissonnement de la Peau Mordoréet,
Enlacements sur L’Onde Safranée.
* Photo prise au bord du Ciron, un petit affluent de la Garonne dans la région de Barsac,
en Gironde. Les brouillards matinaux de cette rivière favorisent le développement du Botrytis, pourriture noble des raisins qui servent à l’élaboration des vins liquoreux.
Splendide.
Couleurs délicates.
Il y a tellement à voirdans cette image qu’il me faudra plus de temps (et j’en manque).
Bonne journée, amitiés.
j ‘ai reconnu le pays ( imaginaire ) d’où je viens…l ‘enlacement en moins…
bonne journée
chut c’est le nid douillet des amours de Merlin et Melusine aussi la légende du saint Graal…d’où sort l’épée d’exalibur…
Quel bel endroit !!! bravo OSSIANE !!!
merci pour le blog d’Emma.
Bien à vous,
OLIVIER
« Fôret enchantée »
« où mille et une z araignées »
« venaient s’emmêler les pieds »
« dès que le soleil dormait »
« Mais la p’tite fée oreillette, »
« échappée par la fenêtre, »
« est venue toutes les chasser »
« Na !
maintenant, on peut aller se promener !!!
:o) :o):o)
Bonjour Michel-Jean. Tu es bien matinal et le premier à commenter. Pas trop dur de se réveiller en glaçon 😉
Prends ton temps et reviens plus tard.
Bonne journée également.
> Bel(le) anonyme, d’où viens-tu que je te perçoive mieux? Tu n’aimes pas les enlacements?
> Oui Aurélie, toujours les mots justes pour évoquer tes pensées. J’apprécie.
> Merci Olivier et heureuse de t’avoir fait découvrir une artiste.
> Emma, quelle forme tu tiens après avoir réduit MJ en glaçon.
Merci pour tes jolis mots et ton humeur gamine :-))
Barsac…nous sommes dans le Sauternes, là…je connais Barsac! Ta photo est originale…les couleurs sont chaudes mais rafraîchissantes, aves les ombrages…c’est presqu’un tableau…cela me rappelle » Les enfants du marais » lorsqu’ils vont pêcher les grenouilles…Retour à nos rainettes?
Oui Chris, tu as raison. Ce qui est étonnant c’est cette couleur ocre de d’eau . On se dit, il y a de l’or là-dedans tout comme la couleur du sauternes. Ce petit affluent est étroit mais a une grande influence sur le vignoble. Je n’y ai pas vu de grenouilles. Je ne sais pas encore ce que je vais faire demain et mais j’essaie de vous rafraîchir.
» d’où viens-tu que je te perçoive mieux.. »
anonyme par …mégarde
» Tu n’aimes pas les enlacements? » oh! que si c ‘est eux qui ne m ‘aiment…plus
D’accord Ravi, je te situe mieux maintenant 🙂 Je te sens pessimiste tout d’un coup.
[Ossiane] journée de douze heures («c’est normal, pusique tu aimmes bien les ordinateurs…» et vla, gestion de centre d’examen et agacements de tous genres)
Ta photo est splendide (malgré le fait que je n’ai plus rien à faire du Sauternes) : c’est un magnifique tableau que je mettrais bien en papier peint sur mon mac…
[Ravi] Ossiane est parfaite pour remonter le moral… quand elle ne tente pas de te transformer en grenouille ;-))
Gosh, tu as eu une sacrée journée MJ et avec cette chaleur, cela n’a pu être qu’agaçant. Tu as fait passer le brevet, je suppose.
Oublie le sauternes et concentre-toi sur la photo. Très touchée qu’elle te plaise à ce point.
C’est dans ma nature de me tourner vers les autres et de donner un petit coup de pouce quand le moral est bas. J’aime bien voir les gens contents. Mais attention, je ne transforme pas tout le monde en grenouille 🙂
Promu chef de centre sous prétextes que je sais le faire et que c’est également dans ma nature de ne pas laisser les gens se planter…
Sais pas dire non…
Le Sauternes est bien oublié…
Je me doutais que tu étais quelqu’un de généreux. 🙂 Si tu ne dis jamais non, tu dois te taper les corvées.
remarque, il y a eu un «non» personnel qui m’a bien sauvé/engagé la vie…
C’est vrai donc il t’arrive de dire non et c’est une bonne chose sinon on se fait abuser. Il ne faut pas exagérer tout de même avec un tempérament généreux comme le tien 😉
Tu pourrais bien me transformer en dragon mais c’est incompatible avec St Michel qui les terrasse…
Remarque, il y a dragon et dragon. Et j’en connais un bien écrabouillé…
Ah bon, qui c’est?
Son prénom est Al :-]
Je ne vois toujours pas. Esprit embrumé ce soir 🙂
Oooossssiiiiaaaaaaannnnnneee !
On en a parlé par mail il y a une demi heure…
:-))))) De Al?
oouuuiii !!!
tu as compris, pour le démon ?
J’aime vraiment le principe d’extirper des calligrammes à partir de photographies prises par vos soins.
Très bien réalisé !
Bonjour Guillaume et bienvenue. Cette forme d’expression mêlant photo et poésie correspond bien à mon tempérament. Merci pour ton gentil commentaire et à bientôt.
Mordoré, ambré, doré, cuivré, safrané… Après ma « journée » de boulot (qui s’achève à cette heure tardive), tous ces mots me font du bien. Ils vont en plus à merveille avec ta photo qui semble une peinture acrylique. Et ils rafraîchissent…
Longue et chaude jounée pour toi Candide. Contente que mes mots te rafraîchissent l’esprit. Repose-toi bien et à bientôt.
Alios
As-tu marché sur les bords du Ciron,
Le long des eaux limpides
Imprégnées de lumière? Elles caressent des sables,
Oxydés de ce fer qui flamme leurs couverts.
Souvenirs…
>Bernard:
Toujours perdu dans les méandres de mon blog;-) Tu es arrivé sur une des séries que je préfère. Encore un très joli poème qui me donne l’occasion de comprendre l’origine de cette couler dorée. Je ne connaissais pas le terme « alios ». Ton dermeir me laisse à penser que tu connais cette rivière 😉 Merci pour tes mots. Très bonne nuit à toi.
je suis baba, devant tant de merveilles!
Ma Gironde natale, je ne l’avais jamais vue aussi somptueuse et si bien poétisée, Merci de tt mon coeur, Framboisine
>Merci framboisine d’être remontée à tes sources;-) Je suis heureuse que tu te retrouves bien dans ta région natale. Il y a de belles choses à y découvrir. Bien amicalement.
Masques
Les visages sont changeant comme l’eau des rivières
Ils possèdent des rives sur lesquelles on aborde
Des miroirs profonds des lits remplis de pierre
Et de terribles crues quand colère ils débordent
Comme les paysages ils connaissent des saisons
Le masque de l’hiver est poli comme l’acier
Il a des reflets bleus comme l’eau des glaciers
Et le regard gelé de la froide raison
Le masque de l’automne est maculé de boue
comme un homme aviné il roule de port en porte
Il a le poil hirsute et un regard de fou
Humide de brouillard où planent des feuilles mortes
Alain