Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
La Toison d’Or
Plonger dans les Douces Vagues Ondoyantes Souffle Frémissant des Herbes Chatoyantes Frisson des Oyats à la Chevelure Dorée Pâle Blondeur des Epis Safranés.
* Ces oyats ont été pris à Gouville dans la Manche.
16 réflexions sur « La Toison d’Or »
frêles oyats pliés, aux aux grains dorées
à la vue si gracile, on te croit bien fragile
pourtant sans effort, tu retiens les dunes
que les vents fort, emporte comme des plumes
bonne soirée
Bise passe là
Mère en écho de la mer
Couche les oyats
Le vent l’ondule
La main la caresse
L’oeil la photographie
Oh, instants tannés
Par le temps, l’odeur, le vent
Je me couche
Zut le 5-7-5 ! … je recommence …
___
Oh, instants tannés
Par le temps, l’odeur, le vent
Là, je vous couche
___
Marc :
je trouve géniale cette idée de revenir à la genèse du blog d’Ossiane … que nous l’étoffions …
J’ai passé des heures, le 1er novembre, à lire sur ce blog … je n’en ai approché qu’un aperçu …
J’irai encore me perdre dans cet océan … de moments de Vie.
Biz à tous.
magie de la photo
réalisé par un oeil agueri
ou l’image immobile, l’image fixe,
semble s’animer sous nos yeux .
je sens le vent souffler dans mes cheveux
je respire l’air iode qui gonfle mes poumons
j’entends le grondement des vagues
s’echouer sur le sable
tel un cerf volant je sens mon corps s’éléver .
mes pieds se soulèvent de terre,
mais je n’ai pasde fil pour me retenir
le vent redouble et m’emporte
irrésistiblement jusqu’au coeur de cette photo
balloté au grés des rafales.
poete si vous regarder attentivement
vous pourrez par moment me voir
les bras ailés attendant que le
vent arrête sa danse !
alors je pourrais enfin continuer mon chemin….
Annick (et son Doux Rêveur) : merci pour le brin de chaleur de cette bougie.
(pas toujours facile de vivre dans une « quatrième » dimension … )
___
Marc ou l’histoire d’un cerf-volant…
___
Fais gaffe, Marc, siouplaît … c’est l’époque de la chasse !!!
« … approché un aperçu … » : pas joli comme formule !
mais vous m’aurez comprise…
qu’on arrete la soufflerie pour que je puisse reprendre mon chemin
demain sera unjournée lumineuse!
C’est fait, Marc, j’ai débranché.
Bon vent pour demain !
c est pas facile de vivre en quatrième dimension, je te l accorde Bourrache, bien moins encore quand le week de dimanche lundi, à cent mille à l heure.. à tenir!
mais la tite bougie allumée délicieues me chauffe…et j ai foi en devant..
>Marc, Bourrache, Annick:
Sympa à vous de venir animer cette ancienne note de vos belles émotions poétiques. Ce qui est passé revit. Tu t’envoles Marc;-) Bises à vous trois et merci pour votre attachement.
De lave et de feu monte,
coulisse ta prisonnière
de ta bouche, qui délivre
le raz-de-marée,
le gazeux geyser
gonfle l’écrin, tes doigts
ne me laissent répits
plus rapides, plus forts.
Ta bouche plus douce
s’impose et me soumet.
J’explose, j’implose,
j’étincelle des gouttes
d’or, d’argent, de nacre
qui ornent tes lèvres
bouillantes et magnifiques
et courent tels des lévriers
orner tes seins, paillettes
coulées le long de la clavicule,
Doigts humides de mon extase.
La toison d’or
Un doigt joue do,
la terre se couvre d’or,
Qui fait courir cet aimable frisson
Sinon les mots de ma chanson
les échelles de bambous où le vent vient tisser
La rivière qui enfle et blanchit la vallée
la fontaine irisée comme du verre brisé
les oyats sur la dune que le vent fait danser
Les gouttes de lumière dans les cannes de maïs
Ou les filles fleurs toujours à rire sauf quand elles pleurent
frêles oyats pliés, aux aux grains dorées
à la vue si gracile, on te croit bien fragile
pourtant sans effort, tu retiens les dunes
que les vents fort, emporte comme des plumes
bonne soirée
Bise passe là
Mère en écho de la mer
Couche les oyats
Le vent l’ondule
La main la caresse
L’oeil la photographie
Oh, instants tannés
Par le temps, l’odeur, le vent
Je me couche
Zut le 5-7-5 ! … je recommence …
___
Oh, instants tannés
Par le temps, l’odeur, le vent
Là, je vous couche
___
Marc :
je trouve géniale cette idée de revenir à la genèse du blog d’Ossiane … que nous l’étoffions …
J’ai passé des heures, le 1er novembre, à lire sur ce blog … je n’en ai approché qu’un aperçu …
J’irai encore me perdre dans cet océan … de moments de Vie.
Biz à tous.
magie de la photo
réalisé par un oeil agueri
ou l’image immobile, l’image fixe,
semble s’animer sous nos yeux .
je sens le vent souffler dans mes cheveux
je respire l’air iode qui gonfle mes poumons
j’entends le grondement des vagues
s’echouer sur le sable
tel un cerf volant je sens mon corps s’éléver .
mes pieds se soulèvent de terre,
mais je n’ai pasde fil pour me retenir
le vent redouble et m’emporte
irrésistiblement jusqu’au coeur de cette photo
balloté au grés des rafales.
poete si vous regarder attentivement
vous pourrez par moment me voir
les bras ailés attendant que le
vent arrête sa danse !
alors je pourrais enfin continuer mon chemin….
Annick (et son Doux Rêveur) : merci pour le brin de chaleur de cette bougie.
(pas toujours facile de vivre dans une « quatrième » dimension … )
___
Marc ou l’histoire d’un cerf-volant…
___
Fais gaffe, Marc, siouplaît … c’est l’époque de la chasse !!!
« … approché un aperçu … » : pas joli comme formule !
mais vous m’aurez comprise…
qu’on arrete la soufflerie pour que je puisse reprendre mon chemin
demain sera unjournée lumineuse!
C’est fait, Marc, j’ai débranché.
Bon vent pour demain !
c est pas facile de vivre en quatrième dimension, je te l accorde Bourrache, bien moins encore quand le week de dimanche lundi, à cent mille à l heure.. à tenir!
mais la tite bougie allumée délicieues me chauffe…et j ai foi en devant..
>Marc, Bourrache, Annick:
Sympa à vous de venir animer cette ancienne note de vos belles émotions poétiques. Ce qui est passé revit. Tu t’envoles Marc;-) Bises à vous trois et merci pour votre attachement.
De lave et de feu monte,
coulisse ta prisonnière
de ta bouche, qui délivre
le raz-de-marée,
le gazeux geyser
gonfle l’écrin, tes doigts
ne me laissent répits
plus rapides, plus forts.
Ta bouche plus douce
s’impose et me soumet.
J’explose, j’implose,
j’étincelle des gouttes
d’or, d’argent, de nacre
qui ornent tes lèvres
bouillantes et magnifiques
et courent tels des lévriers
orner tes seins, paillettes
coulées le long de la clavicule,
Doigts humides de mon extase.
La toison d’or
Un doigt joue do,
la terre se couvre d’or,
Qui fait courir cet aimable frisson
Sinon les mots de ma chanson
les échelles de bambous où le vent vient tisser
La rivière qui enfle et blanchit la vallée
la fontaine irisée comme du verre brisé
les oyats sur la dune que le vent fait danser
Les gouttes de lumière dans les cannes de maïs
Ou les filles fleurs toujours à rire sauf quand elles pleurent
Alain