La Toison d’Or

La Toison d'OrOyats


Plonger dans les Douces Vagues Ondoyantes

Souffle Frémissant des Herbes Chatoyantes
Frisson des Oyats à la Chevelure Dorée
Pâle Blondeur des Epis Safranés.

* Ces oyats ont été pris à Gouville dans la Manche.

16 réflexions sur « La Toison d’Or »

  1. frêles oyats pliés, aux aux grains dorées
    à la vue si gracile, on te croit bien fragile

    pourtant sans effort, tu retiens les dunes
    que les vents fort, emporte comme des plumes

    bonne soirée

  2. Zut le 5-7-5 ! … je recommence …
    ___

    Oh, instants tannés
    Par le temps, l’odeur, le vent
    Là, je vous couche
    ___

  3. Marc :

    je trouve géniale cette idée de revenir à la genèse du blog d’Ossiane … que nous l’étoffions …

    J’ai passé des heures, le 1er novembre, à lire sur ce blog … je n’en ai approché qu’un aperçu …

    J’irai encore me perdre dans cet océan … de moments de Vie.

    Biz à tous.

  4. magie de la photo
    réalisé par un oeil agueri
    ou l’image immobile, l’image fixe,
    semble s’animer sous nos yeux .

    je sens le vent souffler dans mes cheveux
    je respire l’air iode qui gonfle mes poumons
    j’entends le grondement des vagues
    s’echouer sur le sable

    tel un cerf volant je sens mon corps s’éléver .
    mes pieds se soulèvent de terre,
    mais je n’ai pasde fil pour me retenir
    le vent redouble et m’emporte
    irrésistiblement jusqu’au coeur de cette photo
    balloté au grés des rafales.
    poete si vous regarder attentivement
    vous pourrez par moment me voir
    les bras ailés attendant que le
    vent arrête sa danse !
    alors je pourrais enfin continuer mon chemin….

  5. Annick (et son Doux Rêveur) : merci pour le brin de chaleur de cette bougie.

    (pas toujours facile de vivre dans une « quatrième » dimension … )

  6. ___

    Marc ou l’histoire d’un cerf-volant…
    ___

    Fais gaffe, Marc, siouplaît … c’est l’époque de la chasse !!!

  7. c est pas facile de vivre en quatrième dimension, je te l accorde Bourrache, bien moins encore quand le week de dimanche lundi, à cent mille à l heure.. à tenir!
    mais la tite bougie allumée délicieues me chauffe…et j ai foi en devant..

  8. >Marc, Bourrache, Annick:
    Sympa à vous de venir animer cette ancienne note de vos belles émotions poétiques. Ce qui est passé revit. Tu t’envoles Marc;-) Bises à vous trois et merci pour votre attachement.

  9. De lave et de feu monte,
    coulisse ta prisonnière
    de ta bouche, qui délivre
    le raz-de-marée,
    le gazeux geyser
    gonfle l’écrin, tes doigts
    ne me laissent répits
    plus rapides, plus forts.
    Ta bouche plus douce
    s’impose et me soumet.

    J’explose, j’implose,
    j’étincelle des gouttes
    d’or, d’argent, de nacre
    qui ornent tes lèvres
    bouillantes et magnifiques
    et courent tels des lévriers
    orner tes seins, paillettes
    coulées le long de la clavicule,
    Doigts humides de mon extase.

  10. La toison d’or

    Un doigt joue do,
    la terre se couvre d’or,
    Qui fait courir cet aimable frisson
    Sinon les mots de ma chanson
    les échelles de bambous où le vent vient tisser
    La rivière qui enfle et blanchit la vallée
    la fontaine irisée comme du verre brisé
    les oyats sur la dune que le vent fait danser
    Les gouttes de lumière dans les cannes de maïs
    Ou les filles fleurs toujours à rire sauf quand elles pleurent

    Alain

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