Guide 08

GUIDE 08 / GUIDE 08

suivre les étoiles
ces lumières qui scintillent
peu importe les nuages

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follow the stars
these twinkling lights
no matter the clouds

14 réflexions sur « Guide 08 »

  1. Merci Ossiane à la veille de cette fête au parfum d’amour et de tendresse.

    La Saint Valentin
    avec un joli bouquet
    d’or et de lumière

  2. Bonsoir Monique, contente que cette photo t’inspire ces pensées soyeuses 😉
    Bienvenue à Anne B, un grand merci à PierreB pour cette belle balade à petits points, un grand bonjour à Pierre que je n’ai pas croisé depuis longtemps. Je n’oublie pas Marc, Nath et tant d’autres. Perdus de vue un temps mais au final des retrouvailles !
    Bien à vous tous !

  3. Bonjour Ossiane et merci. Tes dernières images si goûteuses d amour, c est vraiment tres beau et bon à les vivre.

    Comme c est bon
    D écrire en lettres d or
    Dans un ciel bleu si bleu
    Des baisers de l amour
    Cela palpite la page
    Qui s envole messagère
    Vers la boite aux lettres
    Pour ceux qui en ont bien besoin
    De l amour si joli

  4. Bonjour Ossiane, bonjour à tous.
    Pensées vagabondes vers le Japon, ce matin.

    Onsen
    Comme la soie d’un kimono froissé,
    abandonné sur les rochers,
    dans les vapeurs blanches
    d’un bain chaud…

  5. S’immerger dans les rêves doux
    dans l’exotisme d’un poème
    aux émanations chaudes des mots
    et sentir en soi le bien-être

    dans cet Onsen si poétique qui vous met l’âme à nu, délivrée de tous les oripeaux qui nous encombrent, merci Jo.S pour ces belles « pensées vagabondes »

  6. Dans les eaux bleues couleur du ciel
    chaque étoile comme une lueur
    allume en nous cette soif d’aimer
    et réchauffe nos cœurs assoiffés

    comme je sens bien en toi Annick cet amour débordant sur les rives de ta vie et celles de tous ceux qui t’entourent, ç’est réconfortant

  7. Merci Monique
    Merci Jo.S

    Aimer c es mon péché mignon
    Mais chut d autres ça les dérange
    Et ben mince et tan pis
    J aime plus encore qu hier
    Et ce n est pas fini
    Aimer si belle raison de vivre

  8. Flocons flottant
    dans le grand bain
    un monde irénique
    où les étoiles
    nous rapprochent
    pas des cétoines dorées
    pour la belle adorée
    mais un lit grumeleux
    où on est bien à deux

  9. Bouillon prébiotique
    dérivé de la nucléosynthèse
    une soupe d’étoile
    qui nous sert
    et le cœur nous serre
    imaginer des lentilles
    cosmiques où se mirent
    et la trame galactique

  10. Vent d’amour pour la saint valentin

    Pour ce jour des amoureux
    point de marmousets frétillants
    mais au nom de saint valentin
    l’appariement des oiseaux
    semble être le fuseau
    qui file l’haleine suave
    rien à voir avec le valentinois
    ni l’allusion de chevalier à valentine
    mais d’illustre remembrance
    de bernard de ventadour
    qui n’était pas entre Ariège et Garonne
    mais poussa des souffles puissants
    dans ses chansons courtoises
    comme des rafales ou des réminiscences
    l’époque des troubadours n’est plus
    mais leur esprit reste vivace
    dans ces lais et virelais
    font passer de façon lyrique
    le grand frisson onirique
    il n’est que de se ramentevoir
    la chanson de l’alouette
    dudit bernat de ventadorn
    qui de ses mots magiques adorne
    ce qui n’a rien d’une supplique
    car à la beauté il faut déclarer sa flamme
    et savoir déclamer légèrement
    pour éviter de se prendre un vent
    et si on voit celle ci osciller
    il convient de ne celer à personne d’autre
    ses doux sentiments

    Reprenons ses propres mots qui à 9 siècles de distance ne sont pas seulement un miroir aux sentiments mais l’adresser pure au firmament des émotions

    Chanson de l’alouette

    Quand vois l’alouette mouvoir
    De joie ses ailes face au soleil,
    Que s’oublie et se laisse choir
    Par la douceur qu’au cœur lui va,
    Las ! si grand envie me vient
    De tous ceux dont je vois la joie,
    Et c’est merveille qu’à l’instant
    Le cœur de désir ne me fonde.

    Hélas ! tant en croyais savoir
    En amour, et si peu en sais.
    Car j’aime sans y rien pouvoir
    Celle dont jamais rien n’aurai.
    Elle a tout mon cœur, et m’a tout,
    Et moi-même, et le monde entier,
    Et ces vols ne m’ont rien laissé
    Que désir et cœur assoiffé

    Or ne sais plus me gouverner
    Et ne puis plus m’appartenir
    Car ne me laisse en ses yeux voir
    En ce miroir qui tant me plaît.
    Miroir, pour m’être miré en toi,
    Suis mort à force de soupirs,
    Et perdu comme perdu s’est
    Le beau
    Narcisse en la fontaine.

    Des dames, je me désespère ;
    Jamais plus ne m’y fierai.
    Autant d’elles j’avais d’estime
    Autant je les mépriserai.
    Pas une ne vient me secourir
    Près de celle qui me détruit,
    De toutes, doute et veux médire,
    Car bien sais que sont toutes ainsi.

    Avec moi elle agit en femme

    Ma dame, c’est ce que lui reproche,

    Ne veut ce que vouloir devrait

    Et ce qu’on lui défend, le fait

    Tombé suis en maie merci

    Car ai fait le fou sur le pont

    Et si cela m’est advenu

    C’est qu’ai voulu monter trop haut…

    Et puisqu’auprès d’elle ne valent
    Prière, merci ni droit que j’ai,
    Puisque ne lui vient à plaisir
    Que l’aime, plus ne le lui dirai,
    Aussi je pars d’elle et d’amour ;
    Ma mort elle veut, et je meurs,
    Et m’en vais, car ne me retient,
    Dolent, en exil, ne sais où.

    Tristan, plus rien n’aurez de moi,
    Je m’en vais, dolent, ne sais où ;
    De chanter cesse et me retire,
    De joie et d’amour me dérobe

  11. bonjour Ossiane
    Au détour des chemins de l’internet, je découvre votre blog avec ravissement ! Les photos, les mots délicats, sensibles et de toute beauté sont un enchantement . Je vais venir y faire une promenade régulièrement…
    Belle journée , les yeux grand ouverts

  12. De blog à blogs surgissent des petites perles : « imagesetmots » est une de celle que nous aimons rencontrer sur notre chemin jonché d’images et de poésie, de haïkus au parfum subtil de la nature, bonjour et bienvenue à Andrée/

    Pour vous accueillir de Philippe Jaccottet
    « Sérénité

    L’ombre qui est dans la lumière
    pareille à une fumée bleue »

  13. La profondeur du silence est là, palpable
    que les écailles du ciel renforcent
    dans le bleu noir les feuilles
    comme un tapis mordoré
    racontent la dérive assurée

  14. Vent d’amour pour la saint valentin

    Pour ce jour des amoureux
    point de marmousets frétillants
    mais au nom de saint valentin
    l’appariement des oiseaux
    semble être le fuseau
    qui file l’haleine suave
    rien à voir avec le valentinois
    ni l’allusion de chevalier à valentine
    mais d’illustre remembrance
    de bernard de ventadour
    qui n’était pas entre Ariège et Garonne
    mais poussa des souffles puissants
    dans ses chansons courtoises
    comme des rafales ou des réminiscences
    l’époque des troubadours n’est plus
    mais leur esprit reste vivace
    dans ces lais et virelais
    font passer de façon lyrique
    le grand frisson onirique
    il n’est que de se ramentevoir
    la chanson de l’alouette
    dudit bernat de ventadorn
    qui de ses mots magiques adorne
    ce qui n’a rien d’une supplique
    car à la beauté il faut déclarer sa flamme
    et savoir déclamer légèrement
    pour éviter de se prendre un vent
    et si on voit celle ci osciller
    il convient de ne celer à personne d’autre
    ses doux sentiments

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