Insula

Insula

fragile

nomade et secrète

le temps d’une île

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fragile

nomadic and secret

time for an island

45 réflexions sur « Insula »

  1. Bonjour Ossiane, quelle belle photo et merci pour cette fraîcheur sur nos écrans en ces jours chauds de ce mois de Juin. J’espère que pour toi tout va bien. Je t’embrasse.

    Dans le désert bleu
    Bateau aux mats de misère
    île de solitude

  2. J’ai de la peine insula
    comment te rejoindrais je ?
    j’ai de la veine insula
    je vais me laisser flotter
    tu es ma reine insula
    dans ton écrin bleuté

  3. Elle est belle cette page
    Merci pr vos mots

    Émouvante île belle
    Tu me frissonnes l oeil
    Captive de ton lieu
    En soif de libertés
    Leurs jolis états d être
    Qui imagent la tête
    De vie ses flux précieux
    Sur cet écran géant
    Qui la vit et revit
    Son âme attendrie
    Par ce coin en amours
    Et sa paupière se ferme
    Se tapisse en amours
    Le duvet de son oeil

  4. Sur le son île
    Ame son
    Equilibre fragile à main tenir

    Au fil de l’eau
    Le fil du vent file le temps
    De celui qui l’aura

    De l’être au courant
    Se souvenir
    Le courant de la vie

    A l’heure de l’aura bleue
    Tu l’auras
    La paix de l’esprit

  5. Dans l’isolement
    d’une sereine existence
    la volonté d’être
    pour s’offrir tel un joyau
    dans son halo de lumière

    A tous une bonne semaine.

  6. c’est fort beau encore une fois, Monique,

    Le pouce rejoint l’autre pouce
    L’index gauche celui de droite
    Ensemble ils créent une île

  7. Bonjour Annick et encore merci pour tous tes mots si généreusement offerts.

    Faire le vide autour de soi
    laisser le cortex remplir son rôle
    serait-ce l’insula du rêve ?
    trouver la clé du bonheur
    dans un océan de tempête

  8. Jolie complicité
    Qu’une amitié sa grande
    Quand plus fut impossible
    La vie décide tellement
    Quand un enfant fragile
    Tendre douce nostalgie
    Ma main dedans la tienne

  9. « s’aider mutuellement à ramer à travers le lac de l’ennui » mots de Rainer Maria Rilke dans le secret, j’ose au regard de vos mots faire une variante à cette citation pour ramer sur le lac de l’espoir, de la vie et du partage.
    Depuis de nombreuses années ce blog d’Ossiane a été assimilé à un immense bateau dont Ossiane est le Capitaine, nous sommes ses moussaillons de la plume et chacun sait que les membres d’un équipage pour mieux naviguer se doivent d’être soudés pour ne pas chavirer, ce sont les mots qui nous tiennent et qui nous aident à garder le cap vers demain même s’ il y a de la houle et du tangage. Merci d’être là.

  10. Merci d’être là, Monique, et chacun,
    et Ossiane,

    main dans la main ensemble
    moussaillons d’eau douce ou de mer
    *levivre nous va bien

  11. Se naviguer son île
    Passé présent à venir
    Dans ses forces de vie
    Qui guident on verra bien
    Oser, prendre du recul
    Cela dépend du jour
    Dans sa seconde belle
    Qui donne à aimer
    *levivre pour l’aimer
    Sa vie sur cette terre
    En faire une merveille
    Avec des tant dedans
    Et parfois le fort beau
    Peut être ce qui fut rude
    Pour en arriver
    Une paix si jolie
    Guidée par des passions

  12. Il fait chaud chaud chaud !!! alors rêvons d’un voyage dans l’air marin de cette île déserte … facile après la douche fermer les yeux devant le ventilateur toute lumières éteintes et sentir ce petit vent qui vous caresse le corps….

    Insula la belle
    qui dans ton aura bleuté
    évoque la fraîcheur
    qu’il est doux d’imaginer
    une nuit sous les étoiles

  13. A cette heure où nous ne savons plus si c’est encore le jour, si c’est déjà la nuit tout semble étrange… j’aime cet instant où rien n’est sûr où tout est tangible, incertain …

    A l’orée de la nuit
    quand les ombres se dessinent
    un instant de grâce
    le silence se met en place
    dans la décence des âmes

  14. Image familière dans cette contrée mélancolique
    Tout un empire voué au bleu éthéré
    Domaine des anges dans la lumière propulsée
    Le noir pour donner plus d’éclat en contraste
    Une atmosphère au-delà du vraisemblable…
    Mais il fallait pour parfaire ce regard
    Comme une perle d’ébène en son centre
    Noir esquif parmi d’autres sur l’échiquier du temps
    Plongeant ses racines dans la profondeur des eaux
    Tache sombre et solitaire dans les abîmes du silence

    « le bleu conduit au pays de anges » dit Bernard Werber mais le pays des anges semble bien illusoire !

  15. bleue ode des cieux
    sous cloche
    l’orchestre émerge de la tourbe
    un souffle descend de la montagne
    le cri des noyés s’éprend de l’ombre.

  16. Toujours la beauté de la nature viendra comme un lieu salvateur petite île refuge pour l’âme en péril.

    Tabernacle de la beauté
    sur le fond d’une encre bleue
    quant aux antipodes du temps
    se sont inscrits au fuseau noir
    les mots funestes du malheur

  17. Dans la pénombre du crépuscule
    les mots nous viennent à pas feutrés
    comme des vapeurs océanes
    ne dévoilant aucun secret.

    Égarées au milieu des eaux
    des âmes errent dans le silence
    taisant leur histoire et leur nom
    créant le doute et le mystère.

    Curieuse, insolite nature
    qui recèle souvent en son sein
    des lieux étranges et surprenants.


  18. Cours, cours,
    Courons

    La terre est ronde

    Vole, vole,
    Volons

    La terre est ronde

    D’il
    en ailes

    La terre est ronde

    D’elle
    en îles

    La terre est ronde

    Voyage dit
    la Vie

    La terre est ronde

    A tire d’ailes
    Les rêves grondent

    A court d’horizon volé

    Et dans cette nuit
    Ronde est la lune

    Comme une île oubliée

  19. Bonjour Bourrache très contente de te lire, la terre est ronde oui mais elle ne tourne pas rond pour autant -:))
    _____

    Voyage sans bagage
    au gré du vent et du temps
    de rives en dérives
    sur l’île déserte de nos rêves
    pour au large trouver la paix
    ____

    « (…)Et nous allons, suivant le rythme de la lame,
    Berçant notre infini sur le fini des mers.(…) » Baudelaire l’appel du large

  20. Un grand Coucou à Bourrache, Marc et MTO qui reviennent sur leurs terre ancestrales. Oui la terre est toujours ronde et l’encre bleue de Chine fait bien rêver sans se jeter à l’eau 🙂
    Merci de votre visite qui fait bien plaisir, merci également aux matelots sentinelles qui veillent au grain avec talent 🙂

  21. Blanche est la feuille sur laquelle je me penche
    lisses et tranquilles sont les eaux de l’océan
    quelle est donc cette ancre qui me retient et me tire
    vers ce passé que je ressasse sans cesse
    ma plume semble tremper dans un encrier trop plein
    d’une harde de mots qui débordent
    L’horizon est trop lourd d’un amas de brume
    Que vienne le vent arracher les liens qui m’entravent
    ouvrir la voie vers de nouvelles contrées nitescentes.

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