Céleste / Celestial

Céleste / Celestial

nuit d’encre

quand le voile se déchire

lumière divine

• • • •

night of ink

veil tearing

divine light

53 réflexions sur « Céleste / Celestial »

  1. Peindre
    Plaindre
    Peur
    Pleurs
    Ombres
    Sombre
    Voûte
    Lourde

    Dure

    De la Terre à la Lune

    Marcher sur les Eaux

    Déchirure

    Rochers
    Clocher
    Nuées
    Trouées
    Surmoi
    Emoi
    Crier
    Appeler

    Vivre

    Des Pieds à la Tête
    De la Tête aux Pieds

    Revivre

    Implorer
    Espérer
    Sentir
    Toucher
    Vouloir
    Savoir
    Prier
    Aimer

    Ebloui

    De Long en Large
    Du Début à la Fin

    Ebahi

    Les yeux fermés
    Les yeux ouverts

  2. Elle est jolie cette image, tes mots superbes, Ossiane,
    les mots de vous aussi, c’est fort bon,

    Des noirs
    Et cette lumière
    Magique sa vive
    Qui donne des couleurs
    Au plus pur du blanc

  3. Et tout devient possible dans la trouée céleste des nuages pour que naisse de l’obscurité ce qui ne peut s’imaginer dans l’ombre là où tout semble lugubre et démoralisant….

    Sur la toile céleste
    Dans l’émergence de lumière
    S’ouvre la page du ciel

  4. c’est beau, Monique, l’ouverture du ciel, qui donne à la vue, ce goût de céleste, le dépassement du noir, vers son ciel de vie…

  5. Céleste jeta un sort, fit un merveilleux souhait. D’un trait, je saisis la lumière et partis à la recherche de la fin du rêve.

  6. Dénouer les fils du ciel

    Pour voir voler les anges

    Relier tous les points

    Pour voir un visage

    Une ombre nette

    Un noir profond

    Une trace de comète

    Un sourire des pôles

    Transcrire la lueur des étoiles

    Pour croire deviner l’infini

    Etre dans la vie

    Pour donner son âme

    Un rire illuminé

    Un rose éclatant

    Une fusion des temps

    Un sens en existant.

  7. Là où pointe l’abîme

    Vaste monde
    à la hauteur
    des rêves
    qui nous entourent.

    Foule sur le sol –
    éparpillement.

    Reflets du temps sur le brise-lames.

  8. Comme une évidence
    Cette lumière
    Sublime
    L’être

    L’astre
    Symphonie
    Des cinq sens
    Comme une jouissance

    Et tout remettre dans le bon sens…

  9. Ouverture sur le monde
    Rayons de lumière
    Inspiration divine
    État de grâce
    Douces espérances
    Suffirait-t-il d’une image ?
    Je ne m’en tiens qu’à la beauté
    Pour laisser aller le rêve
    Jusqu’à » l’illusoire apparence »

    « illusoire apparence » termes empruntés à François Cheng, quant au rêve, ce grand poète nous dit dans et le souffle devint signe « le rêve joue un rôle fondamental : il renoue en nous l’imaginaire et le réel » raison de plus pour laisser aller le rêve…..

    (…) »Certains rêves ont une présence
    plus forte encore qu’une
    apparition : les images pénètrent
    en nous sans obstacle, fouillant
    notre part la plus intime »(…) F. Cheng

  10. Céleste estime qui nous envahit après être tombée du ciel
    et dans la voute la lecture architectonique d’une portée incroyable
    cette demi sphère qui en appelait d’autres sur des niveaux différents
    n’en finit pas de nous remplir d’admiration non feinte et de curiosité
    pas toujours récompensée, avant du moins que le phlogistique et l’éther
    ne cède la place au cosmique , il n’y a rien de comique mais beaucoup de grandeurs
    pas seulement physique à contempler le scintillement des étoiles qui disparait une fois l’atmosphère dépassée, et l’abyssal doute s’installe quand le noir se fait, le bleu du ciel
    s’étend délavé dans l’élévation qui sans être seulement action de grâce, nous éloigne
    de la surface de notre orange bleue, alors sans être perdu, on cherche d’abord à éteindre
    les lumières pour allumer ce merveilleux plafonnier constellé qui nous révèle plus de couleurs que jamais, c’est du moins ce que jean François Clervoy nous a dit il y a peu.

    Célestine ne lésine pas sur le polish pour faire luire la voute et rendre aux carreaux toute leur transparence!

  11. A l’heure ou s’ancre le jour
    la nuit ne connait pas de retour
    le noir s’enfuit et s’essuie
    délavé par la pointe des rayons
    tracer à nouveau à coup de crayons
    des signes visibles et tangibles
    sans que tangue haut le sens

  12. Chaque spectacle de la nature qu’un ciel rend majestueux provoque en nous un état d’extase, j’ai souvenir d’un certain coucher de soleil à Belle île en mer …

    C’est tellement merveilleux
    Le regard se passe de mots
    Le silence prend place
    L’âme se saisit de la beauté
    L’installe en son intime
    Pour mieux la vénérer
    La lumière lentement
    Se diffuse en profondeur
    Il ne nous reste alors
    Qu’à boire l’élixir céleste
    A la coupe de notre âme
    Jusqu’à l’ivresse

  13. Une trouée dans le noir
    Et c’est déjà la vie
    Qui se donne à *levivre
    Du goût ses mille parfums
    Un vaporisateur
    Aux embruns de lumières
    Asperge chaque être Humain
    Des gouttes si précieuses
    Essentielles jolies
    Pour donner de la vie

  14. Le ciel il s’éternue
    Sous le paquet d’étoiles
    Qui le serre trop fort
    Et la lumière se brille
    Sa splendeur chauffe le coeur
    Et l’âme remercie
    Ce bel instant béni

  15. Le peintre lève les yeux
    Un cil touche le ciel
    Et ce tendre pinceau
    Ecarquille le voile
    Dessous c’est merveilleux
    Et ce qui se donne à voir
    Fleurit dedans la tête
    Donne des ailes secrètes
    Voilà que le tout noir
    Resplendit de milel feux

  16. Une larme du ciel est tombé sur les feuilles
    Les voilà toutes vertes d’espoirs de vie à vivre
    La trouée tout en haut est délicieuse et tendre
    Le cratère d’un pleur est d’une telle splendeur
    Quand il ouvre des voies des envies d’être riche
    Avec l’étoffe en soi qui habite le coeur
    De partages si forts si bons si merveilleux
    Que le bruissement pétale un vacarme paisible
    La vie n’a pas d’odeurs ou juste celle de *levivre

  17. Très joli Annick je découvre tes mots avec plaisir, ils ont un parfum de bonheur et de douceur et sur la grisaille de mon ciel ce matin ils ont la clarté d’une aurore.Belle journée à toi et à tous.

  18. j’ouvre la page,
    et je me dis,

    *c’est une très jolie image
    comme c’est beau cette lumière
    cela fait un effet incroyable
    comme c’est grand
    cette lumière pour chacun

    et je te lis, Monique, merci.

    Belle journée pour chacun’e’.

  19. Et son œil s’écarquille
    Son filet de lumière
    Et vois là que le ciel
    S’ouvre un peu plus sa page
    La paupière se ferme
    Lumière éblouissante
    Et déjà elle s’entrouvre
    C’est si bon la Lumière
    A serrer tout de contre
    Aspiré ventilé apaisé

    Dans ses bras
    Au plus près
    Du vivant
    De son être
    D’être en être

  20. Un ciel qui s’ouvre comme c’est beau
    Et si bel si fort de bon
    Quand il ne cesse de se donner lumières
    L’éblouissement tend de si jolies vues
    Un envol fou une échappée prise de conscience
    Que la beauté sauve le monde
    Plus encore plus que des laideurs chères achetées
    La gratuité des choses simples
    Ecrire sur elles pour tenter ceux
    Dont le seul moyen de *levivre
    C’est de survivre avec si peu

    Vive la fraîcheur
    La tendresse douce
    Une Nature à se frictionner
    Une main serrée, un sourire vrai
    De la chaleur un fort instant
    Être celui qui en AMOUR
    VEUT s’Exister encore en corps
    Dans ses plus près

  21. mince, parti trop vite,

    me venait encore cette phrase/

    Être celui qui en AMOUR
    VEUT s’Exister encore en corps
    Dans ses plus près
    Etats de grâces belles délicates

  22. Parfois la nuit nous déchire, de peur, d’inconnu et de stupeur
    elle nous a pris dans ses rets d’infamie, dans ses rêves odieux
    mais quand le jour parait, dès la première lueur de l’aube
    ce n’est pas que la roue …à aube qui tourne,
    pas histoire de communion lumineuse uniquement
    et le voile qui masquait toutes les impérities
    peut livrer un plus terrible spectacle encore
    la réalité peut être moins froide mais touchée
    par les rayons éclairants mais sans grâce
    a quelque chose qui nous glace
    le jour nous obligé a affronter certains de nos démons
    ni de midi ni de minuit, ils sont permanents
    ce sont comme des aimants que travaillent des pôles
    auront nous pour faire face d’assez larges épaules
    pourtant décillés au devant des contraintes et difficultés
    nous devons nous porter car rien ne sert de fuir
    on ne peut se voiler trop longtemps la face

  23. « Plus le bleu est profond, plus il attire l’homme vers l’infini » Wassily Kandinsky

    Venue d’un ailleurs plein de mystère
    L’illumination céleste perce les nuages
    Projection éphémère sur la beauté du monde
    Un Instant divin aux reflets d’azur
    Un mirage bleu venu des profondeurs

  24. La douleur sa béante
    Ouvre sa plaie divine
    Et voilà que lumière
    Jaillit du plus profond
    Des éclairages vrais
    Espoirs énergies belles
    Surgissent inespérés
    D’une âme qui d’abord
    Aime sa vie en amours

  25. Moment crucial où le ciel se déchire
    Sous un revers fugitif des nuages
    Faisceau de lumière d’où se dévoile
    Toute la profondeur de l’éther
    Dans cet émerveillement soudain
    Qu’il est beau cet instant où j’effleure
    Comme la sensation du divin mystère.

  26. magique, Monique.

    Le cil tendre se déhanche
    Et soudain aperçoit
    Une lueur magique
    Un éclat, ses murmures
    De l’état pure merveille
    L’éclat papille prunelle
    *levivre prend tout son sens

  27. L’encre coule pâle
    La plume tremble sur la feuille
    Les mots vont s’éteindre
    Le ciel se couvre de noir
    La lumière tente une issue

  28. Joli texte et magnifique photo, quelle belle prise de vue, la lumière qui s’échappe des Cieux obscurcis, les rayons du soleil qui plongent entre l’ombre et la lumière, sublime ! bonne soirée NB : beau site que je découvre

  29. Bienvenue à monique mon homonyme !

    Le ciel s’est ouvert
    Sur un gouffre de lumière
    Débordante clarté
    ____

    bonne semaine à tous

  30. Nuit au coeur de l’enfant
    Terré sous les grands pins d’ébène.
    Les poignards secs des bras acérés
    Sont doux à sa peine.
    Il appelle la douceur
    Ne croit qu’à la solitude.
    La lueur des astres
    N’atteint pas sa détresse.

  31. yahou, comme c’est joli, Valentine,

    merci pour ce partage,

    j’aime beaucoup cette phrase,
    ma mémoire courte va tenter de la retenir
    pour la confier à d’autres.

    et je vous confie, que je ressens une vie qui s’est allumé plus, à la lire cette phrase,
    mes yeux vous remercient!

  32. Bonjour Ossiane j’espère que pour toi tout va bien, je t’embrasse

    Voir s’ouvrir le ciel
    Pour que renaisse l’espérance
    Entrevoir le soleil
    Et reprendre confiance
    Que le cœur à nouveau s’émerveille
    Et retrouve espoir et insouciance

  33. Soleil quand tu es là
    Levivre à ce parfum
    Son sol de terre en ciel
    Et ses milliards de rayons
    Pour chaque être humain
    Qu’il se pousse son brin
    De vert dans la lumière

    Bien me bonjour Ossiane, prends bien soin de toi, comme tu prends sinon de chacun.

  34. Manteau de nuages
    Sur un voile bleu d’azur
    L’hiver se vêt et se dévêt
    Entre tempêtes et ciels d’été
    La voûte céleste se peint et se dépeint
    Entre soleil, brumes et averses
    Le temps s’étire en désordre
    Comme le monde qui ne sait plus
    Entre la pluie et le beau temps
    S’il doit rire ou bien pleurer
    Dans ce désordre qui nous affecte.

  35. Un chant venu de loin
    Traverse la voûte céleste
    La mélodie du vent
    Un souffle de poésie
    Traverse les nuages

    Aujourd’hui dans mon ciel pas un nuage, le mistral a tout balayé et sa musique n’a rien d’une mélodie, mais ce soir, une féerie de couleur inondera le ciel.

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