nuit d’encre
quand le voile se déchire
lumière divine
• • • •
night of ink
veil tearing
divine light
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
nuit d’encre
quand le voile se déchire
lumière divine
• • • •
night of ink
veil tearing
divine light
Peindre
Plaindre
Peur
Pleurs
Ombres
Sombre
Voûte
Lourde
Dure
De la Terre à la Lune
Marcher sur les Eaux
Déchirure
Rochers
Clocher
Nuées
Trouées
Surmoi
Emoi
Crier
Appeler
Vivre
Des Pieds à la Tête
De la Tête aux Pieds
Revivre
Implorer
Espérer
Sentir
Toucher
Vouloir
Savoir
Prier
Aimer
Ebloui
De Long en Large
Du Début à la Fin
Ebahi
Les yeux fermés
Les yeux ouverts
Joli, fantastique.
A la soif des ciels
Le vent grandit les êtres
Et pousse les nuages à se sublimer
Pour exister.
Bien avant le toucher de l’homme
la rencontre des éléments
en ordre de marche
pour que la vie vienne .
Le courant Célestine illumine
Le monde invisible enlumine
Céleste en Célestine
Noce divine
https://www.youtube.com/watch?v=re-hf_I5ZpU
Elle est jolie cette image, tes mots superbes, Ossiane,
les mots de vous aussi, c’est fort bon,
Des noirs
Et cette lumière
Magique sa vive
Qui donne des couleurs
Au plus pur du blanc
gloups,
signé Annick
Et tout devient possible dans la trouée céleste des nuages pour que naisse de l’obscurité ce qui ne peut s’imaginer dans l’ombre là où tout semble lugubre et démoralisant….
Sur la toile céleste
Dans l’émergence de lumière
S’ouvre la page du ciel
c’est beau, Monique, l’ouverture du ciel, qui donne à la vue, ce goût de céleste, le dépassement du noir, vers son ciel de vie…
Céleste jeta un sort, fit un merveilleux souhait. D’un trait, je saisis la lumière et partis à la recherche de la fin du rêve.
Telle une lune descendant des ciels
S’abreuvant du sel des mers
Et de toutes ces vies parallèles…
Dénouer les fils du ciel
Pour voir voler les anges
Relier tous les points
Pour voir un visage
Une ombre nette
Un noir profond
Une trace de comète
Un sourire des pôles
Transcrire la lueur des étoiles
Pour croire deviner l’infini
Etre dans la vie
Pour donner son âme
Un rire illuminé
Un rose éclatant
Une fusion des temps
Un sens en existant.
Là où pointe l’abîme
Vaste monde
à la hauteur
des rêves
qui nous entourent.
Foule sur le sol –
éparpillement.
Reflets du temps sur le brise-lames.
Comme une évidence
Cette lumière
Sublime
L’être
L’astre
Symphonie
Des cinq sens
Comme une jouissance
Et tout remettre dans le bon sens…
c’est fort joli, Miomodus.
Comme un reflet de la terre que le ciel illumine de rayons fugitifs et mystérieux
Ouverture sur le monde
Rayons de lumière
Inspiration divine
État de grâce
Douces espérances
Suffirait-t-il d’une image ?
Je ne m’en tiens qu’à la beauté
Pour laisser aller le rêve
Jusqu’à » l’illusoire apparence »
« illusoire apparence » termes empruntés à François Cheng, quant au rêve, ce grand poète nous dit dans et le souffle devint signe « le rêve joue un rôle fondamental : il renoue en nous l’imaginaire et le réel » raison de plus pour laisser aller le rêve…..
(…) »Certains rêves ont une présence
plus forte encore qu’une
apparition : les images pénètrent
en nous sans obstacle, fouillant
notre part la plus intime »(…) F. Cheng
Céleste estime qui nous envahit après être tombée du ciel
et dans la voute la lecture architectonique d’une portée incroyable
cette demi sphère qui en appelait d’autres sur des niveaux différents
n’en finit pas de nous remplir d’admiration non feinte et de curiosité
pas toujours récompensée, avant du moins que le phlogistique et l’éther
ne cède la place au cosmique , il n’y a rien de comique mais beaucoup de grandeurs
pas seulement physique à contempler le scintillement des étoiles qui disparait une fois l’atmosphère dépassée, et l’abyssal doute s’installe quand le noir se fait, le bleu du ciel
s’étend délavé dans l’élévation qui sans être seulement action de grâce, nous éloigne
de la surface de notre orange bleue, alors sans être perdu, on cherche d’abord à éteindre
les lumières pour allumer ce merveilleux plafonnier constellé qui nous révèle plus de couleurs que jamais, c’est du moins ce que jean François Clervoy nous a dit il y a peu.
Célestine ne lésine pas sur le polish pour faire luire la voute et rendre aux carreaux toute leur transparence!
un message n’est pas passé, il est pris dans les rets de la voute
A l’heure ou s’ancre le jour
la nuit ne connait pas de retour
le noir s’enfuit et s’essuie
délavé par la pointe des rayons
tracer à nouveau à coup de crayons
des signes visibles et tangibles
sans que tangue haut le sens
Chaque spectacle de la nature qu’un ciel rend majestueux provoque en nous un état d’extase, j’ai souvenir d’un certain coucher de soleil à Belle île en mer …
C’est tellement merveilleux
Le regard se passe de mots
Le silence prend place
L’âme se saisit de la beauté
L’installe en son intime
Pour mieux la vénérer
La lumière lentement
Se diffuse en profondeur
Il ne nous reste alors
Qu’à boire l’élixir céleste
A la coupe de notre âme
Jusqu’à l’ivresse
éclat et halo
les larmes s’évaporent
et vogue l’âme
—
Et les cieux s’entrouvrirent
une grande lumière nous entoura
il y avait la de quoi sourire
Une trouée dans le noir
Et c’est déjà la vie
Qui se donne à *levivre
Du goût ses mille parfums
Un vaporisateur
Aux embruns de lumières
Asperge chaque être Humain
Des gouttes si précieuses
Essentielles jolies
Pour donner de la vie
Le ciel il s’éternue
Sous le paquet d’étoiles
Qui le serre trop fort
Et la lumière se brille
Sa splendeur chauffe le coeur
Et l’âme remercie
Ce bel instant béni
Le peintre lève les yeux
Un cil touche le ciel
Et ce tendre pinceau
Ecarquille le voile
Dessous c’est merveilleux
Et ce qui se donne à voir
Fleurit dedans la tête
Donne des ailes secrètes
Voilà que le tout noir
Resplendit de milel feux
Une larme du ciel est tombé sur les feuilles
Les voilà toutes vertes d’espoirs de vie à vivre
La trouée tout en haut est délicieuse et tendre
Le cratère d’un pleur est d’une telle splendeur
Quand il ouvre des voies des envies d’être riche
Avec l’étoffe en soi qui habite le coeur
De partages si forts si bons si merveilleux
Que le bruissement pétale un vacarme paisible
La vie n’a pas d’odeurs ou juste celle de *levivre
de mille feux,
une larme est tombée,
merci d’avoir rectifié de vos cils de belles plumes.
Très joli Annick je découvre tes mots avec plaisir, ils ont un parfum de bonheur et de douceur et sur la grisaille de mon ciel ce matin ils ont la clarté d’une aurore.Belle journée à toi et à tous.
j’ouvre la page,
et je me dis,
*c’est une très jolie image
comme c’est beau cette lumière
cela fait un effet incroyable
comme c’est grand
cette lumière pour chacun
et je te lis, Monique, merci.
Belle journée pour chacun’e’.
Et son œil s’écarquille
Son filet de lumière
Et vois là que le ciel
S’ouvre un peu plus sa page
La paupière se ferme
Lumière éblouissante
Et déjà elle s’entrouvre
C’est si bon la Lumière
A serrer tout de contre
Aspiré ventilé apaisé
Dans ses bras
Au plus près
Du vivant
De son être
D’être en être
Un ciel qui s’ouvre comme c’est beau
Et si bel si fort de bon
Quand il ne cesse de se donner lumières
L’éblouissement tend de si jolies vues
Un envol fou une échappée prise de conscience
Que la beauté sauve le monde
Plus encore plus que des laideurs chères achetées
La gratuité des choses simples
Ecrire sur elles pour tenter ceux
Dont le seul moyen de *levivre
C’est de survivre avec si peu
Vive la fraîcheur
La tendresse douce
Une Nature à se frictionner
Une main serrée, un sourire vrai
De la chaleur un fort instant
Être celui qui en AMOUR
VEUT s’Exister encore en corps
Dans ses plus près
mince, parti trop vite,
me venait encore cette phrase/
Être celui qui en AMOUR
VEUT s’Exister encore en corps
Dans ses plus près
Etats de grâces belles délicates
Levée de rideau
Spectacle en majesté
Lumière rêvée0
quand les nuits blanches
chaloupent sur nos hanches
nos coeurs diaphanes
—
Parfois la nuit nous déchire, de peur, d’inconnu et de stupeur
elle nous a pris dans ses rets d’infamie, dans ses rêves odieux
mais quand le jour parait, dès la première lueur de l’aube
ce n’est pas que la roue …à aube qui tourne,
pas histoire de communion lumineuse uniquement
et le voile qui masquait toutes les impérities
peut livrer un plus terrible spectacle encore
la réalité peut être moins froide mais touchée
par les rayons éclairants mais sans grâce
a quelque chose qui nous glace
le jour nous obligé a affronter certains de nos démons
ni de midi ni de minuit, ils sont permanents
ce sont comme des aimants que travaillent des pôles
auront nous pour faire face d’assez larges épaules
pourtant décillés au devant des contraintes et difficultés
nous devons nous porter car rien ne sert de fuir
on ne peut se voiler trop longtemps la face
Quand le ciel se joue des lumières , l’âme se croît immortelle
Instant de paix
« Plus le bleu est profond, plus il attire l’homme vers l’infini » Wassily Kandinsky
Venue d’un ailleurs plein de mystère
L’illumination céleste perce les nuages
Projection éphémère sur la beauté du monde
Un Instant divin aux reflets d’azur
Un mirage bleu venu des profondeurs
La douleur sa béante
Ouvre sa plaie divine
Et voilà que lumière
Jaillit du plus profond
Des éclairages vrais
Espoirs énergies belles
Surgissent inespérés
D’une âme qui d’abord
Aime sa vie en amours
Moment crucial où le ciel se déchire
Sous un revers fugitif des nuages
Faisceau de lumière d’où se dévoile
Toute la profondeur de l’éther
Dans cet émerveillement soudain
Qu’il est beau cet instant où j’effleure
Comme la sensation du divin mystère.
magique, Monique.
Le cil tendre se déhanche
Et soudain aperçoit
Une lueur magique
Un éclat, ses murmures
De l’état pure merveille
L’éclat papille prunelle
*levivre prend tout son sens
L’encre coule pâle
La plume tremble sur la feuille
Les mots vont s’éteindre
Le ciel se couvre de noir
La lumière tente une issue
Une magnifique ouverture portée par une éclatante lumière…
Joli texte et magnifique photo, quelle belle prise de vue, la lumière qui s’échappe des Cieux obscurcis, les rayons du soleil qui plongent entre l’ombre et la lumière, sublime ! bonne soirée NB : beau site que je découvre
Bienvenue à monique mon homonyme !
Le ciel s’est ouvert
Sur un gouffre de lumière
Débordante clarté
____
bonne semaine à tous
Nuit au coeur de l’enfant
Terré sous les grands pins d’ébène.
Les poignards secs des bras acérés
Sont doux à sa peine.
Il appelle la douceur
Ne croit qu’à la solitude.
La lueur des astres
N’atteint pas sa détresse.
O allume
tes yeux
de la couleur de naître.
-Alejandra Pizarnik,
yahou, comme c’est joli, Valentine,
merci pour ce partage,
j’aime beaucoup cette phrase,
ma mémoire courte va tenter de la retenir
pour la confier à d’autres.
et je vous confie, que je ressens une vie qui s’est allumé plus, à la lire cette phrase,
mes yeux vous remercient!
Les nuages se poussent
La laisse entrer la lune
Dans sa robe de lumière
Bonjour Ossiane j’espère que pour toi tout va bien, je t’embrasse
Voir s’ouvrir le ciel
Pour que renaisse l’espérance
Entrevoir le soleil
Et reprendre confiance
Que le cœur à nouveau s’émerveille
Et retrouve espoir et insouciance
Soleil quand tu es là
Levivre à ce parfum
Son sol de terre en ciel
Et ses milliards de rayons
Pour chaque être humain
Qu’il se pousse son brin
De vert dans la lumière
Bien me bonjour Ossiane, prends bien soin de toi, comme tu prends sinon de chacun.
Manteau de nuages
Sur un voile bleu d’azur
L’hiver se vêt et se dévêt
Entre tempêtes et ciels d’été
La voûte céleste se peint et se dépeint
Entre soleil, brumes et averses
Le temps s’étire en désordre
Comme le monde qui ne sait plus
Entre la pluie et le beau temps
S’il doit rire ou bien pleurer
Dans ce désordre qui nous affecte.
Un chant venu de loin
Traverse la voûte céleste
La mélodie du vent
Un souffle de poésie
Traverse les nuages
Aujourd’hui dans mon ciel pas un nuage, le mistral a tout balayé et sa musique n’a rien d’une mélodie, mais ce soir, une féerie de couleur inondera le ciel.