Nocturne / Nocturne

Nocturne / Nocturne

lumière de perle

la forêt des magiciens

ciel de flamme

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pearly light

forest of magicians

sky of flames

28 réflexions sur « Nocturne / Nocturne »

  1. Sur les vagues des nuages
    l’eau recueille les reflets du ciel
    dans le silence de l’âme
    à la lisière d’un étang

  2. J’aime la douceur de cette photo, couleurs d’azur qui dispensent une savoureuse quiétude. Tout est calme et tranquille, bien posé, reposant, rassurant offrant un équilibre apaisant.
    Merci Ossiane, bonne semaine, je t’embrasse.

  3. De l’eau
    reflet des nuages
    reflet de la forêt
    cette ligne de séparation
    blanche , droite , fine
    une limite
    une accentuation
    un entre-deux
    entre ce que je décris
    et ce qui s’advient
    au-delà de ce que je suis ,
    le mystère .

  4. Ligne de vie signe la Vie
    A la lisière du monde rive d’onde
    A la croisée l’indivisible
    Vivre l’indicible en ce monde

  5. Superpositions de couches
    La matière de *levivre
    Chacun ses étoffes de soi
    Aucune étoffe semblable
    Dans le précieux chemin
    De s’habiter soi dessus

  6. cernée d’eau de nuages
    la forêt des magiciens
    cernée de nuit

    Douce année 2016 à toi chère Ossiane. Douce année à vous passagers de l’ Oeil Ouvert.

  7. à me relire, je vois que j ai écrit deux fois *étoffe,

    alors je me creuse le duvet de tête…

    Superpositions de couches
    La matière de *levivre
    Chacun ses fils de soi
    Aucune étoffe semblable
    Dans le précieux chemin
    De s’habiter sa route

  8. Dans ce paysage
    Où décline le jour
    S’exposent avec panache
    Les dernières lueurs du ciel.
    L’amphithéâtre de la nuit
    Plongé dans le bleu du soir
    Accueille le monde des ombres.
    Un dernier faisceau de lumière
    Laisse sur les eaux
    S’étendre les ténèbres.
    Bientôt dans le silence
    Viendront se mêler
    Le monde des nuages
    Et la brume des eaux.
    Le jour s’est éteint,
    Depuis longtemps déjà
    Je ne dors pas …..et j’ai sommeil.

  9. Le silence des eaux calmes,
    ridules à la dérive.
    Bouillonnement des nuages
    Lumière qui s’estompe,
    et disparait derrière
    le rideau de la forêt.

  10. Magie de la nuit
    Dans l’ombre bleue du mystère
    Un frissonnement
    Sentir comme une présence
    Une peur sans en être une

  11. c’est joli, Monique,

    Nos frissons de nos ailes
    A la lueur de la lanterne
    Qui veille sur nos nuits
    En amour d’être nous
    Qu’une larme jolie
    S’incline car ta présence

  12. merci Annick, on a tous connu ces instants où l’on se trouve dans un état second entre la peur et l’envie de rester, j’ai longtemps eu très peur de la nuit noire jusqu’au jour où j’ai fait une randonnée sous les étoiles, j’étais angoissée et en même temps j’aimais cette aura de silence et d’ombre que la nuit générait. Bonne semaine Annick à toi et à tous

  13. MERCI Monique,

    bonne semaine pour toi, et pour chacun,
    sans oublier Ossiane,
    puisque sans elle nous ne serions pas là…

    j ‘espère ton début d’année, goûteux, plein de créations, Ossiane! je t’embrasse.

    c’est pure joie de reprendre la plume,
    quand un temps lui donna de l’encre trop lourde,
    pour se froufrouter une page son simple petit débit comme çà,
    j’aime tant la laisser me dire ma plume,
    *et la suivre comme elle se rebondit de vie en l’aimant tant *levivre.

  14. Parce que c’est beau, parce que c’est vrai….

    « Bleus de la profondeur,
    Nous n’en finirons pas
    d’interroger votre mystère.

    L’illimité n’étant
    Point à notre portée,
    il nous reste à creuser, ô bleus

    Du ciel et de la mer,
    Votre mystère n’est autre
    que nos propres bleus à l’âme. »

    François Cheng dans la vraie gloire est ici Gallimard 2015

  15. Reflets trompeurs
    Sous un ciel tourmenté
    D’une ambiance nocturne
    Dans ce calme apparent
    Où le bleu joue son rôle
    D’élément apaisant
    Il s’avère que ce sont les lueurs
    Plus que le bleu ambiant
    Qui dans ce paysage d’ombre
    Offrent une aura paisible
    Comme un voile qui se lève
    Sur l’imminente naissance du jour
    Nuages rejetés aux gouffres de la nuit
    Pour que dans le miroir des eaux
    Se mire un ciel pur clair et lumineux

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