montagne moirée
tu captes les reflets célestes
souveraine
• • • •
shimmering mountain
you capture celestial reflections
sovereign
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
montagne moirée
tu captes les reflets célestes
souveraine
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shimmering mountain
you capture celestial reflections
sovereign
Bonjour à tous, me revoilà 🙂
Oh éminence grise
ou peut être devrais je dire altesse
vous vous bercez de vert
tu me fais rire, Thierry…
Tout devant elle est Là
Sa petite frimousse
Et quand elle tend du gris
Pour l’écrire son ciel
Il lui donne une craie verte
Qui dessine ses plus bas
Et voilà qu’en orbites
Ses yeux bleus ils Là pépites
du moiré à tous les étages
en ordre dispersé
la végétation assaille la montagne
le piémont avantageux
accueille l’entre deux de la rencontre
ce geste graphique de la gauche vers la droite
un jeté souple
en prime les nuages
écriture d’avant la venue de l’homme
écoutez le temps qui se dépenaille !
bon à me relire…
Ses yeux bleus Là pépites
( bon à préciser quand même que Là et pépites c’est écrit à ma manière des bouts de doigts et j’aime lire ainsi, *levivre… ) mais pour la mélodie, peut être ma plume un peu bouchée ce matin, me semble que Ses yeux Là pépites, c’est plus léger gai joli, à *levivrelire…
BEL VENDREDI.
BEL JOYEUX ANNIVERSAIRE DE CETTE RENTREE AVEC TOI, Ossiane, et chacun…
Belle rentrée à toi aussi, tendre Annick 🙂
Le message de Monique, me donne envie d’essayer.
déjà merci, Ossiane, que serai je sans tes pages, et ceux d’autres sur leurs pages…
Tendresse vaporisée
De mon œil doux mouillé
Des ondes de bise belle
test
Commentaire de Monique déposé par Ossiane:
Un nouvel essai en espérant cette fois qu’ils ne me signalent pas un doublon pour ce commentaire comme hier au soir alors qu’il n’a pas été pris en compte….. ah ! ça réserve des surprises l’informatique !!!
Bonsoir Ossiane nous sommes là 🙂 Thierry, Regard, Annick et nous tous imperturbables tant c’est du bonheur et si…c’est folie, c’est une folie bien douce 🙂
_____
Quelle est cette main de maître
Qui sur l’infini du ciel
Dessine la beauté en couleur
Répand ses ombres lumineuses
Entre la pierre, l’herbe et la terre
Offre un regard de tendresse
Sur l’élégance des courbes
Et caresse les sommets
Qui miroitent et rayonnent
Sublimés de luminosité
_____
Derrière ton objectif Ossiane, je crois bien que ces yeux de maître sont les tiens et pour notre plus grand bonheur à tous.
bug
toujours Bug
Pourquoi dis-tu que ça ne marche pas alors que tu arrives à déposer ces deux derniers commentaires, Thierry ? Je ne sais pas quoi faire, cela doit venir de ton ordi, essaie de vider ton cache pour voir.
Bonsoir à chacun,
pas d’inspiration dans l’instant,
alors juste que j’espère que pour chacun l’envoi possible de ses mots…
DOUX SOIR.
Promeneur du soir
Avant que la nuit ne vienne
Goûte le silence
Il suffisait de presque rien
J’entends déjà les commentaires
Qu’elle es jolie…..
oui je sais comme un petit air connu qu’on me pardonne, trop contente de pouvoir vous dire bonsoir en espérant que Thierry puisse faire de même, et je ne sais pas à qui il faut dire merci, de toute façon à toi sûrement Ossiane, la patience est toujours gagnante.
je me cache comme un gros vilain
et j’encense ce dôme par encore au gouter
Ah enfin une passe pas raide pour accéder
pas excédé mais patient
l’irise qui grise ne marbre t’irise pas
Plis de mousseline floue
Nuances naturelles
Voile de soie vaporeux
Légèreté
Semblables aux monts d’Auvergne
Quand le vent froid souffle sur les sommets,
Dessine avec netteté leurs contours,
Et gomme les ombres sombres de la nuit
Les volcans d’Écosse impressionnent
Leurs monts alors dans leur nudité absolue
A peine recouverts d’un drap de lumière
Offrent un espace calme et paisible
Le silence qui les entoure
Les couleurs tendres et pastelles
Opèrent en une sorte de magie.
Ce qui pourrait sembler une masse
Lourde, imposante et sauvage
Devient sous le reflet des nuages
Un monde de douceur et de sérénité
Caillou poli posé sur la terre nue
Capteur d’ondes de lumière diffuse.
Sommital pour sommités
on ne s’endort pas sur ses lauriers
il faut l’admirer dans sa pureté
D’un mont à l’autre
chevauchée de lumière
en voile de soie
Jade osait au delà des mythes, des masques et des rites
jade aurait pu donner dans la perle mais il l’évite
La montagne arrondie
Par les années passées
Ne sais plus mon inspiration du jour !!! du commentaire juste le 4 après celui d’Annick ,qui a disparu
désolée j’étais là un » bug » pensées amicales avec plus de chance une autre fois
AA
Rectification: le 5 septembre après le com d’Annick
le bleu le vert le blanc, de la nuance
la lumière domine, le mont resplendit
jeu de l’instantanéité
la trace de l’ombre s’en est allée
para gaté, l’hier effacé
vivre au jour le jour
temple gris qu’à peine assaille le temps
en lui donnant dans l’arrondi
sur un pieds vert te tiens par devant
test
Une histoire de fous !!!
vous me faites rire,
allez si cela s’affiche, vous le saurez,
Histoire d’une vie
C’est déjà de la folie
Que de rester en vie
Dans un destin si lourd
Mais ce qui reste est précieux
Un grain de folie!
C’est bien!
C’est que la vie dedans
N’a pas muetté l’esprit
Qui peut encore se rire
A dire des bêtises
Et puis devenir sage
Avec un grain de folie
C’est une couronne précieuse
Qui contient tant de vie
Circulez y’a rien à voir
Jamais ma sage longtemps
Ma folie douce je l’aime
oui, tes ??? qui disparaissent, Monique, c’est une histoire de fous…
et mince mes mots d’après aussi…doux soir.
Qui a marché la montagne
Qui l’a survolée de fort haut
Qui de qui la regarde
La vie ce passage du temps
Qui arrondit les angles à vif
Qui fait devenir gris le cheveu
Qui parfois devient chauve
Et quand pas son tout sage
Il reste aussi un grain de folie
Doux tendre joli fort bel
C’est qu’on n’est pas montagne pelée
Pour de rien…
C’est qu’on naît pour rester vivant
Il y a tant de fraîcheur, tant de douceur dans cette image qu’il s’en dégage un parfum mêlé de lumière jusque dans notre regard comme un effet miroir.
____
Le sein dévoilé
Pudeur de sa nudité
Le corps du volcan
De l’été l’exubérance
Du charme et de la beauté
___
Ah ! si notre regard sur le monde pouvait nous procurer cette même sérénité le mot rêve n’aurait plus sa raison d’être, heureusement tout n’est pas sombre et j’ai bien envie de me concentrer sur tout ce qui peut diffuser pour tous un peu d’espoir et de beauté pour qu’en nous une lueur ne cesse de briller.
Corrigé des variations saisonnières
parfois une halte moins hospitalière
pourtant elle transcende les frontières
Griffures d’épagneul signe le retour de la chasse
pour s’élancer matois répondant au patois
sur les pentes bien lestes à la végétation rase
mais si le cerf en ces pays amphibies est le roi
on fait bien son ordinaire de lapereaux (haig)
pour peu qu’une rasade vienne ponctuer
une partie d’échasse dans une lande détrempée
Profitant de la bande passante et de la lande rasante
voici des tableaux qui ne demandent qu’à s’animer
les fréquents édicules n’ont jamais frisé le ridicule
l’altitude est limitée mais les boissons locales
remédient aux désirs de hauteur, tropisme altier
Stuart et jacobites n’ont eu de cesse d’élever
un peuple mieux éduqué que dans bien d’autres endroits
amenant les lumières et les constitutions d’anderson
quand les têtes rondes faisaient saigner la place
proches des françois malgré henry le second
ils trouvère refuge et leur appartenance
aux royaume uni n’a rien de définitif
certes c’est un peu tiré par les tifs
mais flower of scotland
c’est beaucoup de chardons
et bien moins de charbon
alors scone à toute heure
mouvants horizons
le vent porte la lumière
barques de soleil
Désolée pour tous ces problèmes de dépôt de commentaires. J’ai des gros soucis avec des spammeurs que j’ai du mal à déloger. J’ai fait de nouvelles modifications dans ma configuration qui devraient en principe résoudre ces problèmes. Bien à vous !
Quand on s’allonge la montagne
Elle vaporise un je ne sais quoi
Une brume forte de bien être
Volcans d’Auvergne impressionnants
Même éteints ils laissent vivre
Leurs laves rouges en gros torrents
La terre sous pieds se vit de vie
Quand humblement on vit sur terre
La montagne…
http://harunyahya.fr/fr/Kuran_Mucizeleri/28003/Le_role_des_montagnes
Dans l’ascension on se grise
mais au fait la peur bleue domine
et dans les verts pâturages
on peut retrouver l’horizontal
pourtant il est bon de voir le val
tandis que le sommet bien équarris
domine de toute sa puissance
y aller et faire montre d’aisance
ce n’est pas oublier les risques
qui sinon plus d’un bien marris
peuvent laisser quand acculé
il ne reste que le précipice
sans prévenir les auspices
Ce texte est à la mémoire de mon tendre et cher jean marc qui nous a quitté il y a 18 ans
Les mots fusent….. merci Ossiane pour ton intervention. Que de tracas t’occasionne ce blog ces jours-ci merci de nous permettre de rester à bord sans naufrages, quel dévouement et gentillesse pour nous tous c’est vraiment très sympa de ta part Ossiane. Bise
Bonsoir à tous, les mots fusent-ils ce soir ? Merci Ossiane d’intervenir pour nous permettre de rester à bord sans naufrages, Les commentaires t’occasionnent beaucoup de tracas en ce moment c’est très sympa de ta part d’essayer d’y remédier ne t’inquiète pas tout va bien finir par s’arranger, c’est un peu pile ou face. Encore merci Ossiane. Bise
Grand Merci Ossiane et aux amis qui pourchassent l’esprit malin
Fidèlement AA
Je vous rejoins, chers de vous,
et je te remercie, Ossiane, pour ton bien bel album, haïkus, citations, partages,
doux jour pour chacun.
Le regard fête en cœur
Pose dessus la toile
Des couleurs de montagne
Grenade des framboises
Blanc bleu jaune opaline
Pour les fleurs d’altitude
Ce petit monde paisible
Accueille chacun son être
Douceur sérénité éclats de vie
*levivre
Comme c’est beau la vie
Quand on aime s’exister
Dans la tendresse des jours
Qui délivrent tant de tant
Des bels parfums d’odeurs
Une diffusion des sens
Gorgés de bels projets
Les pieds en belle terre
Comme c’est bon d’exister
Le cœur aimant *levivre
D’une arabesque belle
Par la pointe d’un pinceau
Un murmure filet d’âme
Offert au monde entier
et je tente, même si je me prends un bug,
belles inspirations, beaux filets doux roucous, je ne vous abandonne pas, juste quelques jours dans le Nord, on posera des mots tendres et des murmures mignons, pour ceux qui aiment *levivre tendrement ses douceurs.
Le soir la montagne rêve
Dans ses replis jolis
Et elle diffuse en ciel
Des poèmes si tendres
Que le brin d’herbe posé
S’attendrit et déguste
Les ondes de bel temps
La beauté sauve le monde
Ses paupières fermées
Elle dessine sa vie
Du contour de ses lèvres
Avec son doigt de plume
Posé sur l’oreiller
La couette sa confidente
Ne dort jamais la nuit
Car chaque matin sonnant
Un ouvrage de la nuit
Est posé dans sa tête
Puis juste quelques phrases
Inspirations du jour
Pour offrir en partage
Le mystère de la vie
Quand ses yeux aiment écrire
la montée est ardue
dur ardu en celte à un sens qui ne trompe pas
on ne peut attaquer ces pentes en direct
il faut des lacets pour économiser les souliers
et surtout le souffle des hommes qui ne sont pas des chèvres
ne peuvent faire le cabris que ceux qui sont des as de la cabriole
mais c’est plus que risqué de vouloir courir en montagne
sans entrainement s’entend et de jouer avec la montre
les chaines de solidarité, les cordées ce n’est pas de la frime
c’est le minimum pour éviter en cas de chute
de touts se perdre au fond d’un ravin, d’une cluse
et puis la marche souple n’exclut pas de regarder
où poser ses semelles car chaque pas recèle un danger potentiel
la descente dans les pierriers à toute blinde , à tombeau ouvert
n’est recommandé que pour les plus entrainés et encore
il faut jouer dans la dynamique du rebond permanent
car arriver à bon port , pas seulement histoire de confort
c’est encore le plus important pour être sur
de continuer à jouir de moments merveilleux
pas avalés à toute vitesse.
encore un bug déjà un hier
Merci chère Ossiane
hier j’avais mis toute mon âme de randonneur
tous mes souvenirs et émotions et sans sauvegarde pffft
je pense que je vous avais donné le meilleur , désolé
la montagne m’a réservé le meilleur et le pire
jean marc est mort à la mi aout 1995 , je me suis trompé, c’est plus de 19 ans
c’est un détail sans doute mais c’est très important
car je le pleure encore…
Bon week-end à tous avec ou sans bug, d’où la nécessité de copier le commentaire avant de l’envoyer car en ce moment pour ne pas le perdre à tout jamais ou pire encore croire que la mémoire est fidèle mais la pensée est diffuse et les mots s’envolent comme des étoiles dans un ciel d’orage…..c’est la surprise !
Et c’est en regardant une image comme celle-ci, en lisant les mots qui l’accompagnent que nait la véritable diffusion des pensées qui nous entraînent sur les sommets et font resurgir dans les mémoires des souvenirs bons ou mauvais, diffusion des émotions devant la beauté qu’accentue la lumière dispensée par le soleil, le ciel et la blancheur des nuages, diffusion des pensées par le silence qui en émane et qui vont bien souvent au-delà de l’image, au-delà des mots et vient réveiller ce qu’il y a de plus intime en soi….c’est aussi ça la beauté extérieure qui se diffuse jusqu’à faire rejaillir une petite flamme intérieure.
____
Pensée qui s’égare
Habitée par une absence
Elle si présente
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Un commentaire en deux temps pourquoi pas ?
Forme pure qui irradie en écho
les puissances invisibles célestes …
Pensées en harmonie avec Monique quand il est necess
Clac !! mon com est coupé net !
Merci Monique de nous préciser de copier son texte
et de faire une pose méditative devant une image ,
Belle journée à vous amis des écritures en pointillé…
Arlette
« Alors, satisfait jusqu’à l’ivresse de la vue de cette montagne, je tournai les yeux de l’âme vers moi-même et, à partir de ce moment, personne ne m’entendit plus proférer un mot de toute la descente (…) »
François Pétrarque. L’ascension du Mont Ventoux
Mon tag en haut
pas du land art
la nature rien de plus beau
qu’est ce qui exauce mes voeux
sans faire monter la sauce
qu’est ce qui me rapproche des dieux
sans cueillir la rose
l’envie de voir au loin
et au moins une fois dominer
qu’importe si c’est la dernière
ce chemin là je l’aurai accompli
Des cimes comme il m’en plut d’en fréquenter
à distance respectable et à fréquence acceptable
la cime y est comme ces montagnes casques
dont le chef protégé n’est pas de nature
à souvent alléger les pensées
et des yeux au travers de la visière
montrent le même spectacle quasi intemporel
quand se raréfient végétation et repères
pour faire place aux repaires de brigands
aux murs si verticaux d »el Capitan
on se prend à rêver du trésor de la sierra madre
aller et retour ne sont pas symétriques
il ne peut y avoir de confusion en cela
il y a l’avant et l’après du sommet
demandez leurs à tous ces pionniers
l’exploit réalisé quand il en est un vrai
parfois vous ploie et vous déploie
de manière insoupçonnée sous la notoriété
mais ne rien demander et aller
son petit bonhomme de chemin
n’est pas moins intéressant ni noble
s’inscrivant dans le cours des jours
Ladahk ou zanskar
il est des cols qui valent des monts
Peindre le bonheur
Trois petits coups de pinceau
Sur le bleu du ciel
Mots vert-tendre, bleu-azurés
Jetés au vent de l’été
Je rêve de mots doux qui apaisent les colères
de mots colorés qui redonnent l’espoir et endorment la haine
de mots simples qui soufflent l’amitié belle et sincére
de mots joyeux qui apportent le sourire et non l’anxiété
Je rêve de mots doux
QUE la couleur gagne…
(inspiré de « je rêve de vers doux…. » Au jardin de l’infante Albert Samain
en son sein de pierre
couvert de dentelles de nuages
la terre offre la vie
Bonsoir à tous, merci qu’il est doux de vous lire et vous retrouver à travers d’aussi jolis commentaires
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C’est dans la présence de l’ombre
Que la lumière offre son éclat
C’est l’herbe rase, la mousse et les lichens
Qui donnent plus de blancheur à la pierre
Le jeu des contrastes se fait dans l’harmonie
Il suffit souvent d’attendre que le soleil se lève
Que l’ombre des nuages glissent sur le sol
Pour voir le volcan respirer doucement
Et dans le silence qui l’entoure entendre son souffle
Est-ce le vent, est-ce une voix profonde
Qui dans l’émerveillement parvient jusqu’à nous ?
La beauté est hallucinante et trouble les âmes
Et le corps tout entier s’en nourrit, s’en abreuve
Pour au-delà des rêves vivre le frisson de l’émotion.
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Bonne semaine à vous tous qui passez ici.
La montagne sa pelée
Reste ardente en dedans
C’est un bel jour de vie
belle semaine, vous souhaitant des partages sans bug dans le délié des doigts…sourire…