mon coeur resplendit
quand tu éclaires mes flancs
renaissance
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my heart sparkling
when shining on my sides
rebirth
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
mon coeur resplendit
quand tu éclaires mes flancs
renaissance
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my heart sparkling
when shining on my sides
rebirth
et le sphinx de trois quart arrière
d’ombrer sa chevelure sous le masque des nuages
et le soleil d’éclairer son flanc droit
tapi
au ras des eaux
mon coeur de pierres
sur la rive opposée
battit la chamade
mon havre
ma destinée
il se pourrait
que nous demeurions de mèche
moi l’ombre
toi la lumière
à navrer de tendres roucoulades
la délicatesse rugueuse de notre rencontre
Comme un ricochet, comme une reprise de la féerie des paysages du Massif central d’où je viens je plonge avec délice au cœur de ce décor bucolique
___
Belle est la couleur du jade
Dans le reflet des eaux calmes
En ce pays d’ombres et de contrastes
Où douceur et virilité se mêlent
Beau est le blanc cotonneux des nuages
Sur la peau rugueuse de la roche
Baignant dans un élixir de beauté
Jusque dans l’obscurité grenue des berges
Grande est l’émotion surgie de ces entrailles
Dans cette impressionnante splendeur
Faite d’un silence qui se prolonge
Bien au-delà des eaux, du relief et du ciel
_____
Splendides sont les mots de regard qui sous sa plume font jaillir de ces lieux le sphinx géant aux approches moins fantastiques qu’il n’y paraît dans ce vers…. « la délicatesse rugueuse de notre rencontre »
tes mots si jolis, Ossiane, je ne trouve rien au bout de ma plume, d’encre douce à déposer ses gouttes précieuses sur cet album de *levivre…
DOUX SOIR.
contente que tu sois reviendue Monique, merci Regard.
Le baiser du ciel
Fait une trouée
Si douce belle
Que le dur s’en éclaire
Et en jaillit le tendre
L’écorce palpite et brille
Passent les nuages
Le monstre s’est endormi
Caresse des dieux
Les berges du rêve s’éclairent
Une légende vient de naître
« Je ne sais quel chemin je pris pour parvenir au pied de la montagne. Elle m’apparut sous les brumes, offrant ses deux seins, offrandes de la terre ; s’y abreuvaient ciel et nuages. Une émotion s’empara de moi, mon cœur battait le rythme de l’abandon des poids, la musique d’une délivrance….et pourquoi pas gravir ses flancs pour en sentir toute la douceur, la chaleur d’un humble baiser…mais j’allais trop loin dans mon fantasme, dans mon rêve de bonheur…. »
Fabienne Bousseaud dans plateau du Mezenc edition Jardin de arts
magnifique, comme d’hab’… bonne continuation et amitiés toulousaines, Mélanie
Juste un rayon de soleil pour tout transformer
mon coeur en est illuminé comme l’Onde – Jade
qui boit les formes du Grand- Mont
La beauté du jour
Sur une page qui se tourne
La désillusion
Eclaircie dans les nuages
Pour une étincelle d’espoir
L’ombre glissait sur la colline à la vitesse d un cheval fou coiffėe de Sa criniėre de nuage gris cendrėe et blanche , rien ne pouvait l.arrêter, ni les sommets aprupts, ni la cime des arbres, elle montait, descendait, sautait par dessus l’ocėan, par dessus la lande, par dessus les hommes, sa course effėnėe laissait derrière elle une trainėe de lumiėre qu un autre cheval fou parcourait de nouveau, comme une horde indomptable.
@Marc
Belle image que cette chevauchée des nuages
(…)
« Mais la nature est là qui t’invite et qui t’aime ;
Plonge-toi dans son sein qu’elle t’ouvre toujours :
Quand tout change pour toi, la nature est la même,
Et le même soleil se lève sur tes jours.
…….
Suis le jour dans le ciel, suis l’ombre sur la terre ;
Dans les plaines de l’air vole avec l’aquilon ;
Avec les doux rayons de l’astre du mystère
Glisse à travers les bois dans l’ombre du vallon. »
(…)
Lamartine
Jade mire en ce vert seau
imaginant jouvencelle
qui telle poterie sigillée
oserait enfin se tremper
j’accours à la cure
mais je n’en ai cure
dans l’infini de mes songes
il n’y a rien qui me ronge
@Monique de retour de Blois où la Loire est bien haute pour la saison
@Mélanie arrivé à Toulouse pour faire la paire
@Thierry je n’y suis allée qu’au printemps, j’avais déjà observé une Loire à flots peu de bancs de sable à Blois si joliment recouverts d’oiseaux habituellement, elle ne montre pas cette année sa splendeur estivale, (je l’aime avec ses bancs de sable) j’ai espoir d’y faire un petit aller et retour avant l’hiver. Elle était grosse également à Retournac près de sa source dans la Haute Loire, Jeandler nous en touche deux mots sur son blog à mi-voix, une aubaine pour les navigateurs.
Je veux croire à:
une éclaircie,
un frémissement,
un puits de lumière,
Pour un monde en couleurs.
Qui le croira encore?
Sur la côte de jade
Hier
Entre Préfailles
Et Tharon
Histoire de papoter
Mouettes et ciel
Le bleu revient
C’est bien
à fleur d’eau en écho lié
des mots sur la jetée perlent
de l’être en forme
Quand le ciel s’ouvre un peu
La chaleur se fait douce
Et le minois sourit
C’est si bon d’être en vie
Dans l’eau azurée
L’éclat de mille reflets
Le beau, le sublime
(…)
« Le haïku ne décrit pas la réalité il la recueille dans l’espace et l’esprit, il la suscite même. Le Zen a montré avec finesse que réalité extérieure et réalité intérieure sont le Même, qu’une œuvre d’art est l’espace permettant au rythme intérieur de l’homme et à celui de la nature de se répondre et de s’unir. Peut-être ne photographie-t-on pas avec la vue mais à partir d’un rythme interne qui nous permet de nous mettre à l’unisson du monde ? La photographie est en ce sens d’abord un espace spirituel : elle nait dans l’espace du cœur. »
La photographie de Fabrice Midal edidtions du Grand Est
Comme tu démontres bien tout cela Ossiane
faut auto grapher
cette tension à saisir le réel
mais le réel , existe-t-il ?
imagerie d’Epinal
à susciter le beau, le bon, le doux
alors que tout est signe –
incommensurable –
unique
dans le comment de la chose en train de se faire
et déjà sûre au creux du râble
ma photo ma sœur
le photo-montagne de mon cœur
mon vertige
ma succession d’impacts sur le mur de l’errance
échange des regards
répartie des clins d’œil
alors que le bleu du ciel est si intense
juste pour marier photo et texte
histoire d’amour
bluette sentimentale
le tirté de nos relations
devient source de lois
sur l’ eau de jade
seule une barque passe
déclin de l’ automne
Faut il que l’eau calme reflète les tourments du ciel et de la montagne conjugués
et que dans ses bras le loch enserre pas comme les bois des cervidés, des serfs vidés de leurs terroirs, des brumes méphitiques, des embruns frénétiques, des miroirs romantiques
Ô jade en amour
Tu me scintilles mes veines
Et roucoules mon cœur
Mon âme te remercie
De ce courant si bon
Qui me garde amour
Amour mon infini
Car je n’en finis pas
De t’aimer de *levivre
La photographie est dans ce sens d’abord, un espace spirituel: Elle naît dans l’espace du cœur.
merci de partager cette phrase de F.Vidal,
je partage ses mots,
c’est profond une photo, cela ne peut que parler, palpiter, vivre sur la toile,
sinon, c’est une photo vide et ce n’est pas une photo, c’est juste un flash d’appareil sans sens…
Une photo qui crée par sa vision, des palpites du cœur, des mouvements de l’âme , Là en TOUT Là, yaouh, merci les artistes,
c’est si bon de VIBRER *lEVIVRE, c’est ainsi qu’il me plaît de *LEVIVRE…
je n’ai pas de photos de cet été 2014 particulier, pas de traces en vues sur toile,
juste mon cœur tapissé de l’Eté…
il y a des jours de vie, où on dépose la plume, l’appareil photos,
on se laisse emporter, porter, devenir une onde, une présence presque que pour soi, ou encore tellement tournée vers un autre,
mon fils a tant rempli mon Août de cet année, en absent, en présent…
et mon cœur bien ce jour, se laisse glisser sur l’Ô de jade, je m’en cueille des gouttes, assemble un bracelet, rempli des perles d’évasions, de libertés, de joies à distribuer…
@Thierry… merci!:-) eh oui, j’arrive, je repars… et je reviens tjs à Tolosa-oh Toulouseeeee! – comme chante Nougaro… ah, tu portes un prénom qui m’est cher et très proche…;-) bonne soirée et pensées ensoleillées de la ville rose… à+!(sur mon blog…)
La réverbération des nuages
Sur les eaux tranquilles du lac
Jeu de lumière mirifique
Clair-obscur pictural
Dans cette aura de silence
Ou les mots se font couleur
Couleurs de pierres,
Couleurs de terre et d’eau
Un petit coin du monde
Où mon regard se pose
Eclaircie inattendue
Comme une aube soudaine
Qu’on peint du bout des yeux
Dans l’éphémère de l’instant
Jadis couleur de la résurrection et de la régénération, couleur de l’espérance. Ce n’est pas pour rien qu’ Osiris et Lazare ont le visage traditionnellement peint en vert. Le sinople, couleur de l’Ordre militaire et hospitalier de Saint-Lazare de Jérusalem.
Chromatisme ardent et vivant qui signale la photosynthèse n’est il pas une belle synthèse de l’équilibre dynamique des organismes qui se hissent à coup de lumières, et de chanter les végétaux qui rarement ne végètent quand tous les éléments nécessaires à leur croissance sont réunis.
La montagne aux pentes abruptes abrite non des espèces en rut mais fait descendre en longues franges son caparaçon et de cette ligne vitale le reflet signale au loin les intentions et la tonalité.
très jolis vos écrits,
si différents et si précieux de vos cœurs leurs vivants…
Après un long voyage
La repose fait du bien
Dans les câlins d’aimer
Ses précieux d’être en vie
Et *levivre étonne
Et *laimer belles ondes
La chance d’une vie
Entre rocs et duvets
Pentes et plats repos
Pas s’arrêter d’aimer
Refuser le pouvoir de l’argent
User des forces des sens de vie
C’est cela qui rend vivant
De l’Eau De Source à l’Eau de Jade
De la pierre et de l’eau absorbant sa couleur
Le Jade depuis l’âge de pierre
Offre sa splendeur et son éclat…
Objet de rêves et de croyances
Il est en Chine une pierre mythique
Sperme du Dragon vitrifié par la terre
Manifestation minérale de l’union
Entre le Dragon et l’élément terrestre
Union du grand Yang avec le grand Yin
Ces deux premiers hexagrammes
Où le yang se différencie par un rond de Jade
Il est considéré, semble-t-il en Chine,
Comme un des plus nobles minéraux
De par sa beauté qu’il acquiert quand on le cisèle
Le Jade rayonne d’un éclat intérieur
Une couleur verte fragmentée de vert émeraude
Il symboliserait la Pureté, la Sagesse, le Courage
Sa beauté inaltérable a fait croire
Qu’il était très certainement immortel
Et donné lieu à des utilisations dans les rituels funéraires
Et méritait d’être travaillé par les chinois en art décoratif
N’était-il pas en langage poétique
Comparé à la peau d’une belle femme
Egalement apprécié au Mexique
Une déesse de l’eau ne porte-t-elle pas
Le nom de « Celle qui a une jupe de Jade » ?
Il est grâce au regard d’Ossiane
Au cœur des paysages d’Ecosse
Dans un rayonnement intégral de bas en haut
De douceur, d’harmonie et propagateur de sérénité.
_____
Eléments recueillis dans le dictionnaire des mythes et des symboles
Les montagnes déclinèrent l’immensité de l’oeuvre
Sage restera le géant prosterné sous les cieux
Jusqu’aux signes de l’Heure.
Que demeure la beauté
Dans la clarté offerte des nuages
Que resplendisse la lumière
Sur les flans abruptes des monts
Et si le noir vous oppresse
Dans la partie cachée de l’ombre
Sachez attendre l’éclaircie
Qui bientôt balaiera cette noirceur
Tel un espoir à l’ombre du malheur
flancs abrupts
bug ou censure ?
Sachez monstres d’antan
que la plaie est ouverte
pour que le géant aux signes d’heures
se meure
prisonnier des efforts prodigués à
disjoindre le ciel d’avec la terre
Passez votre chemin
et jetez lui
ombres désabusées
sur la crête , découpées ,
les amples mascarades de l’illusion
dans le claquement des sombres oriflammes
se retrouver seul
le pain de vie à portée
du souffle de l’exil
rendre témoignage
de l’empreinte de ces contrées
en nos cœurs ceints de viridité
Cône tourmenté
aux pieds verts
sans abri venté
Ma part de jade
(…)
<>
Ainsi écrit François Cheng sur une de ses œuvres de calligraphie « Ma part de jade » dont on peut trouver les caractères en page 120 dans Et le souffle devient signe – Portrait d’une âme à l’encre de Chine ed° L’iconoclaste
Je remets une partie de mon commentaire envolé ?
« ma pièce de jade » ou « ma part de Jade. Pour un chinois, la pierre de jade représente la quintessence du don de l’être. Calligraphier ces deux caractères, c’est refuser le découragement, c’est rejoindre une intime tendresse initiale. La distance qui me séparait du miracle ne tenait qu’à un geste. Sa survenue m’a sans doute sauvé du désespoir. Mais cette pièce est restée unique : je n’ai jamais pu la refaire. Il fallait sans doute être acculé ; je devais connaître cet état de rage et d’humilité pour lui donner la vie. » F.Cheng
« Il faut savoir entendre ce qui n’est pas dit
Et discerner ce qui n’est pas montré. Histoire des Han
Page 120et 121 Portrait d’une âme à l’encre de chine François Cheng
il est fort joli cet Haiku que je relis, Ossiane,
merci aussi à chacun, pour ses mots, sa présence,
Des yeux regardent
L’âme se vibre
Palpitations
l’aisance n’est pas partout
ici je me ressource
je contemple et j’avance
j’aime bp lire tes mots, en ce matin, Thierry,
je pense aussi que l’aisance n’est pas partout,
et que ce lieu de notre chère Ossiane, me ressource,
que je contemple et que j’avance…
merci!
Oui annick mes mots sont sur le thème mais surtout sur le blog génial et inespéré d’Ossiane
qui m’a sauvé la vie !
Parfois un peu trop coucou, n’ayant pas encore eu la force d’e créer mon propre blog tant mes autres activités politiques, syndicales, associatives, caritatives, familiales et professionnelles me prenaient du moins de 2007 à 2012 !
Mais je vous annonce que dès que possible vous aurez un truc spécial avec des aquarelle tirées d’un carnet de croquis de 1917 à 1930 et quelques commentaires !
Merci Ossiane d’être là, ce que tu es, ce que tu fais et ce que tu donnes à voir et penser
ça panse quelques plaies et ça me plait tant que je suis resté accroc depuis octobre 2007
bientôt sept ans !!!
–
« Aujourd’hui , il signe encore d’un geste d’air l’animé et l’inanimé, car la pierre, les hommes ou l’eau battent des ailes jusqu’à l’ultime de la lumière. Il en naît ces images de solitude, de silence, dures comme les rêves et la réalité. »
–
Sylvie Fabre , Le Génie des rencontres , à la page 28 et aux éditions L’ Amourier (2003 )
http://www.m-e-l.fr/sylvie-fabre,ec,98
heinhein, c’est qu’elle est fortE, Ossiane, hein, Thierry!
je t’embrasse de belle journée,
il fait beau il fait chaud
les oiseaux chantent
sors dès que tu peux
cueillir leurs perles en sons
et tapissent tes fonds de chaussures de bels
yahouh,
c’est si bon de bel de fou de joli,
quand de la vie est sauvée….
UN TEL BEL SENS DE VIE QUE DE SAUVER une vie, deux, et plus…
DOUX JOUR PR CHACUN!
( et pss, ce que chacun sait déjà: ma vie a été sauvée plusieurs fois, dans ce lieu d’ici! )
Bises d’une moussaillonne!
Des partages, des confidences
Au balcon des échanges
Les yeux rivés sur la beauté
Le cœur ouvert sur les mots
Qu’une poésie transmue
En émotions et passions
Un bien délicieux voyage
Dans les vastes coins du monde
Dans tous les recoins des âmes
Pour des rencontres virtuelles
Plus vraies souvent plus profondes,
Incrustées dans la mémoire
Parce que riches et généreuses
Inespérées en ce siècle
D’égoïsme et d’indifférence
Il fallait être à bon port
Pour embarquer sur ce navire
D’amitié et d’intelligence
Pour rêver et tant apprendre
Un bravo au Capitaine.
@Ossiane, with due respect: c’est « jade water » = eau de jade, car « water jade » = jade d’eau, comme pour « spring water » = eau de source…:-)
amitiés respectueuses, Mélanie
bug
j’adossai ma réflexion à ce miroir
c’est vers le vert que je me tournais
il coulait et s’entassait en dépotoir
Bonjour les amis, de retour dans le virtuel en pleine forme!!!
Vous êtes fous de rester si attachés à cet espace depuis si longtemps alors que je fais souvent silence faute de pouvoir être partout à la fois !!!
Immensément touchée par vos mots et votre avalanche de commentaires incroyable!!! Cette ténacité que vous avez doit vous servir dans la vie!!!
Des poèmes tous aussi beaux les uns que les autres, des réflexions toutes aussi profondes les unes que les autres, des citations à défaillir !!! Un réconfortant flux de paix et de beauté coule sur ce blog grâce à vous !!!
Merci Monique pour cette citation très belle de Fabrice Midal et ces extraits de Cheng que je chéris; merci aux réflexions des amis qui ont suivi. Vous êtes des personnes adorables avec une belle âme, merci merci merci et heureuse si je peux apporter un peu de bonheur dans ces publications.
Un grand merci à Mélanie aussi pour ses commentaires et son oeil perspicace quant à cette faute d’anglais que je vais m’empresser de corriger de ce pas 🙂
Belle soirée à vous, j’espère que vous avez bien bu l’été à grandes gorgées, je vous embrasse fort !!!
mes quelques mots envolés,
ils souhaitaient juste dire MERCI à chacun pour ses partages.
et mes souhaits de tendre soir…
pas possible d’accéder au suivant ?
A quel suivant Thierry, je ne comprends pas ta demande ….
pas de connexions possibles
Pardonne-moi Thierry mais je ne comprends toujours pas ton problème, peux-tu être plus précis dans tes explications ?
Je pense que c’est parce que mes identifiants ne s’inscrivent plus automatiquement
que j’oublie de les remettre, insouciant que je suis, et que du coup les messages ne s’affichent logiquement pas, un peu perturbé en ce moment par divers problèmes
excuses mon inattention t le faux problème mentionné
bises tendres et chaleureuses
heu? je pense que je dois faire le même truc que toi, Thierry, qd mes mots pas affichés hier soir…heu? moi si étourdie…sourire!
Aucun moyen de mettre un commentaire sur « diffusion »
?????
Je ne comprends pas votre problème Monique et Thierry, je viens d’essayer et ça marche. Ca doit venir de votre ordi, videz votre cache pour voir si ça fait quelque chose…
heu?
avant d’éteindre je repassais,
et dire aussi, que par deux fois mon écrit sur diffusion, évaporé,
et la seconde fois, je suis certaine d’avoir mis mes coordonnées.
DOUCE NUIT.
Monique, Thierry et Annick, j’ai changé une option à mes risques et périls; réessayez de poster s’il vous plait…
Fern and Heather
Green and Peaceful Harmony
Not a Blink! Silence.
Un petit passage par ici… Je reste longtemps devant cette image qui m’apaise.
Merci!
Et puis le temps s’arrête un peu… je ferme les yeux un instant… C’est l’image de fougères qui m’apparaît. Pourtant les flancs de la montagne sont recouverts de… mousses? de bruyères? Pourquoi des fougères? Juste parce que ça rime avec vert?
Alors une phrase toute entière vient se dérouler dans ma tête, comme ramenée par la marée après s’être promenée très longtemps dans ma mémoire et je suis heureux de la retrouver. D’ailleurs je vais essayer de récupérer dans mon bazar le livre dont elle est tirée, pour le relire.
C’est une phrase d’André Breton qui parle de Nadja. Il dit : « J’ai vu ses yeux de fougère s’ouvrir le matin sur un monde où les battements d’ailes de l’espoir immense se distinguent à peine des autres bruits qui sont ceux de la terreur et, sur ce monde, je n’avais vu encore que des yeux se fermer. »…
Pourtant la photo est si paisible! J’aurais plutôt dû penser « Là tout n’est qu’ordre et beauté… »
Etrange association d’idées!
Pardon pour cette longue digression!
Merci encore pour cette si belle image!