souffle du large
course folle des oiseaux
voile de la nuit
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breath from sea
mad flight of birds
veil of night
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
souffle du large
course folle des oiseaux
voile de la nuit
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breath from sea
mad flight of birds
veil of night
Le phare est son éteint
Il se met en veilleuse
C’est si dur de guider
Des jours des jours leurs vies
Quand elles breloquent leurs fils
Se noient se réaniment
Et pourtant garder cap
Reste son essentiel
Luciole rallume toi
Sois la veilleuse amie
Qui nous prend dans ses bras
Quand des temps difficiles
Serre serre plus fort
Donne ta lumière encore
Veille réveille nous
Dans le noir son silence
Mets y de belles couleurs
Les senteurs de la vie
Aux goûts de la palpite
D’un coeur chaud son amour
Aimer garde vivant
Aimons tout simplement
Sans perdre ce goût doux
D’aimer du bord des lèvres
D’une main réconfort
La plume éclats de perles
Qui muette dans ses flashs
Des parfums à donner
Pour éclairer le monde
Ce monde devenu fou
Il a besoin d’amours
Il a besoin de lumières
Il a besoin d’espoirs
C’est dedans l’oeil ouvert
Q’un feu brille pour tous
Pour ne pas se mourir
Sa luciole perdue
En pleine mer de vie
Le soleil qui se couche
Tend rayon allumette
Pour rallumer la flamme
Qui guide les destins
Chaque soir électrochoc
Pour ce phare mouillé
Il réagit de suite
Et éclaire la mer
Qui de suite remercie
Par ses doux clapotis
Le peintre sur la rive
Saisit l’instant magique
Des yeus du phare qui vit
Sous la flamme de l’amour
des yeux avec un x,c’est chouette aussi…
Là , c’est un vrai coup de maître !
Le sujet par lui même est parfaitement réussi .
Mais ce qui m’éblouit le plus , ce sont ces nuances discrètes des couleurs .
Magique !
Appel de phare
les oiseaux en émoi
la mer éblouie
Il n’y a pas de croisement
pas non plus de connaissement
pas de cargaison à décharger
mais juste des rais obliques
à distinguer dans le frôlement des ailes
pas question de se faire la belle
sans cligner et aligner les niveaux
dégauchir et défléchir les reflets
C’est un appel à l’évasion, à la rêverie, à la réflexion l’image est lumineuse, félicitation Ossiane c’est beau.
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« l’infini n’est autre
Que ce va-et-vient
Entre ce qui s’offre
Et ce qui se cherche…. » F.Cheng
Ainsi volent les oiseaux
Dans cet espace hors du temps
Aux couleurs de métal précieux
Seul demeure le phare
Comme un noyau central
Autour duquel la beauté
gravite sans frontières
Dans un monde de silence,
de poésie et de féerie
Entre ciel et mer.
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La Mer résumée en une seule photo !
superbe dans les 2 langues
A l’appel les phares répondent
les lentilles freinent, elles
mais tout ce mouvement
de balayage s’accèlère
attendre la vague
en turgescence mordorée
pour en vol toutes
J’étais si bien
La lumière était si belle
J’aurais aimé
Qu’elle fut celle d’un matin
Et non celle du soir
Celle qui va vers la clarté
Et non celle qui se meurt dans la nuit
J’aurai voulu ralentir le rythme des heures
Pour quelques instants de bonheur en plus
Inventer un soleil, éteindre le phare
Voir couler le jaune sur les eaux de la mer
Etre maître du jour et de la nuit
Dans un monde où le temps ne nous appartient pas.
Viens
Guide moi
Je suis perdue
La mer si grande
Une vie si forte
Telle puissance
Enlace moi
De tes baisers
Lucioles précieuses
Que j’aime serrer
Elle est retrouvée
Ciel et Mer, Fusion Dorée
Mon éternité !
Aimons tout simplement (Annick 15.11.12- 17h29)
Le soleil qui se couche (Annick 15.11.12- 17h35)
C’est un vrai coup de maître (Jeancouleurs 15.11.12- 17h58)
Les oiseaux en émoi (Jeandler 15.11.12- 18h31)
Dans le frôlement des ailes (Thierry 15.11.12- 19h50)
Ainsi volent les oiseaux (Monique 15.11.12- 23h12)
Mais tout ce mouvement (Thierry 16.11.12- 19h15)
Turgescence mordorée (Regard 16.11.12- 22h49)
Ne nous appartient pas.(Monique 16.11.12- 23h54)
Ah leïla, Alléluia , allez Lou y a
la vergeture naissante de l’onde qui marque l’enfantement de la vague
ou le gonflement momentanée qui déforme la surface
rien de tout cela ne nous laisse de marbre
on a vu ce pylône qui se dresse
non sur un polygone mais un socle rocheux
des haut fonds remontés pour qu’il s’aima fort
certains lieux sont fortifiés et fortifiants
une rasade de ratafia pour des ruffians
quel bel assemblage patchwork
tu excelles
et Ossiane nous transporte
dans une lumière surprenante
qui nous déroute
et nous emporte
Amarre, amer, mais pas à mort
on ne perd pas le nord
ainsi scandent les navires
avant que de mordre ou se tordre
qui de loin se repèrent
sans jamais se perdre
depuis ce tertre
il n’est pas question de faire relâche
on tirerait plutôt sur les aussières
cela n’a rien d’austère
mais on n’aborde pas …ces sujets là
HéhÔ, capitaine, les matelots ont la pêche, hein?
CELA FAIT PLAISIR DE VOUS LIRE!
c’est une belle idée, la fusion de nos mots, merci Leila,
ah si le monde, mot dans la quenotte du mot suivant,
avec l’action de faire en amour sa petite vie,
ce serait une belle boule de mots, de mains, de têtes,
D’HUMAINS.
Le phare en a vu des passages
Des bateaux, des gens, des oiseaux
Il reste fier son droit
Se Tient debout sa force
Tranquillement apaisé
Il en verra bien d’autres
En attendant il voit
Ce que le jour lui donne
Et c’est tout simplement
Déjà beaucoup d’entendre
bel week, à vous de chacun, chacun de vous, vous, toi, lui, elle,
la vie c’est un énorme bateau, où on partage ses petits instants,
pensant aider, se soulager, faire rire très fort, ou bien pleurer,
LA VIE CETTE EMOTION VIVANTE LIBRE QUI TANGUE CHANCELLE ET REANIME!
C’est la houle qui déboule et défoule sans refouler
c’est la valse des mots de guingois sur le petit cacatois
c’est à la une que l’on monte dans la hune pour regarder le monde
est on seul sur le pont pour une manoeuvre concertée
alors capitole du capitaine tant aimé qui file à Delphes
sans rugir il a aidé l’os quand les vagues ont mugi
qui demandera merci de se rendre à terre
sans jamais être largué on perdre de vue la côte
merci annick de nous entraîner dans ton sillage
loin du rivage
Un petit tour sur le pont pour souhaiter à tous un bon week-end, contente de mêler nos mots dans un même sillage, sous l’oeil ouvert et attentif d’Ossiane que j’embrasse.
____
L’océan couvert d’une mélancolique lumière
Laisse les oiseaux voler autour du sémaphore
S’ébattre et crier dans une dernière valse
L’extinction progressive des reflets solaires est magique
Spectacle éphémère, unique et grandiose
Avant que s’éclaire la petite lanterne du phare
Les oiseaux évoluent avec grâce et légèreté
Mouvements rituels lents et majestueux
Dans l’expression symbolique d’un adieu
Cérémonial du crépuscule comme une offrande à la vie
C’est alors que dans le cœur des hommes quand vient le soir
Une petite lampe s’allume qui veille sur nous
Laisse danser les mots, fleurir les rêves en attendant l’aurore.
_____
Ce soir les eaux resteront grises sans doute, aucun reflet d’or sur les vagues au crépuscule d’un jour pluvieux, cherchons la lumière ailleurs dans les coeurs peut-être …
C’est un gardien sans gardien
qui est là pour faire le bien
fini le temps des naufrageurs
qui pillaient sur des coins de côte
il est son propre prisonnier
mais il assume sans sourciller
ses tâches utiles à longueur d’année
on n’entend piailler que les oiseaux
alors bien sûr il y a du guano
pas de quoi se mettre en apnée
mais l’abandon, la déshérence
de ces lieux de sauvetage
ne nous rend telle pas otages
de souvenirs au point de faire venir
avec la marée l’acné en plus de l’acmé
…
la-haut
voit dans son oeil
cette κ ο ́ ρ η
fond noir
d’où grand Ouvert
l’éclat s’échappe
enfant d’ Ἶρις
tel arc-en-ciel:
messagère des dieux?
« Il y a dans nos têtes un infini fragile,
Poupée de porcelaine… »
La lumière était changeante
il y avait tant de reflets
l’ombre du phare ne risquait
pas de se découper
mais telle une obélisque
elle veillait aux risques
tous feux éteints
la vague avançait à couvert
une mer veilleuse sommeillait encore
L’oeil ouvert se pépite
Devant les beautés de vie
Le bon qui donne vie
*levivre son coeur aimant
Sa chandelle s’allume
Le regard ébloui
Et la cire se coule
Tout tendrement son temps
L’aile douce balaie les cendres
Et garde le squelette
De l’âme sa roucoule
Qui aime faire du bien
En se faisant du bien
–
Rêve infini d’orpailleur
Quelques trop rares paillettes
Et ce fragile équilibre sur ligne d’horizon
Iris et pupille emportent l’air du ciel
Silence de la mer ?
–
Clin d’oeil à un prof’ de grec et à tous vous autres.
Bon dimanche (très, très pluvieux chez moi).
–
Appel de dard, de cette piqure de rappel qui sauve
de ce bloc emblématique qui sur une mer reluisante
oppose la verticalité à l’horizontalité
passer de la version alitée mais pas oblitérée
à la silhouette sombre mais rassurante qui en impose
pas dans la grandeur mais dans la sécurité de la vigie
ici ne gisent point trop de reliquats
par bonheur la fonction est préservée sans l’emploi
mais les récifs signalés on s’en éloigne
pas besoin alors de marins qui se soignent
de tombes qui se creusent
et de vareuses qui se mouillent
seuls les ferrures rouillent aux embruns
Je tourbillonne
Souffles déjantés
Garder son centre
Un phare dans du brouillard : Une musique et une voix http://www.auboutdufil.com/index.php?id=455
Je tourbillonne
Souffles déjantés
Garder son centre
Un phare dans le brouillard : une belle musique et quelle voix http://www.auboutdufil.com/index.php?id=455
Je tourbillonne
Souffles déjantés
Garder son centre
Un phare dans le brouillard : une belle musique et quelle voix !http://www.auboutdufil.com/index.php?id=455
4ème essai pour écrire …
Une explication ? Je pense qu’il y a un lien qui ne veut pas passer et je ne sais pas pourquoi alors que je souhaitais juste partager un morceau …
Tant pis
Je tourbillonne
Souffles déjantés
Garder son centre
De la part de Nath
Un phare dans du brouillard : Une musique et une voix http://www.auboutdufil.com/index.php?id=455
Ces dernières photos sont superbes, les couleurs si belles de transparence et légèreté!!
Bravo!!
Le bleu puis le jaune
Des couleurs tout en douceur
Le jeu des nuances
Avis aux passagers,
Avis aux matelots
Avis au Capitaine :
Suivre le phare
Sa lumière nous appelle
Pour se retrouver
Cette lumière me fait penser à cette note que je suis allée revisiter,
Vous savez,…
Celle où l’on avait bien déliré !
Un souvenir que je ne suis pas prête d’oublier !
Vous avez deviné ?
TOPAZE !
J’encourage les nouveaux à aller y faire un tour, histoire de bien commencer la journée.
Pour le retrouver, il faut aller se balader dans l’album « An 4 » – note 603
Biseeeeeeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeeeeeee
Bravo Christineeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee Excellent flashback pour flash of light !!!
Topaze
Un bon film aussi avec de grands acteurs
et pas seulement le minéral N° 8 sur l’échelle de dureté de Mohs
mais oui ça avait déliré mais pas très mince, mens sana qu’il disait mais sans thorium
heu? please!
pas d’énergies en neurones,
peux tu me dire ce qu est AN4 note 603,
merci Christineeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee?
car toujours encombre par cette sinusite terrestre, deuxièpe antbio et scanner dans un mois, *alors please de désemcombrer mes neurones!
je vous embrasse!
Bonjour Annick :
Pour répondre à ta question, il faut cliquer sur l’ALBUM en colonne de gauche. Là, tu retrouves toutes les photos d’Ossiane, classées par année (An 4) et numérotées !
Et ne me dit pas que tu ne te souviens pas de cette « épopée » !
Bon rétablissement… qui j’espère viendra rapidement.
Biseeeeeeeeeees à toi
Il pointe du doigt
Ce qu’il faut garder en vue
Le pêcheur le sait bien
Sur sa ligne de vie
Tu connais le code
mais je la mets en veilleuse
les signaux se ramassent à l’appel
une jolie compo toute lumineuse.
Quand la mer dore sous dehors bougeant, mouvant, changeant
c’est le reflet du joyaux sur lequel notre terre océan repose largement
et si le Casanova de Fellini n’est pas loin alors c’est le gemme que j’aime à dire
au pays des souvenirs, e la nave va ! qui narrera mieux sans faire relâche
que celui qui ose affronter les flots dans l’amer grondant