la terre nue
juste qiuelques fils
le vide
• • • •
bare earth
just a few wires
void
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
la terre nue
juste qiuelques fils
le vide
• • • •
bare earth
just a few wires
void
Rien ne vient troubler le bel ordonnancement
il y a les travées de sillon avant l’ensemencement
le choc des socs n’a pu définir que de droites lignes
mais à l’intersection il y a comme une projection
ce n’est pas du Vasarely en guise d’hyperboles
ces reflets qui apparaissent comme ça à même le sol
et cette curieuse croix de malte
au creux des sillons
envol
en tiers inclus
des contradictions
en orthogonalité signifiée
RIEN le mot fait peur
Vide, si loin du presque rien
Dénuement, absence
Sur la terre vierge
Nue comme une feuille blanche
Les mots du silence
Mais…
» Ne manquez pas ce jour du printemps »
disait Jankélévitcch. C’est ce je ne sais quoi
Qui transforme le rien en un presque rien
C’est un chemin qui s’ouvre sur une terre en jachère
Et trace les sillons d’un avenir possible
Le « Rien » s’assimile à une mort certaine
Le presque rien y suffit pour une renaissance
Quand les fils tendus au-dessus du vide
Attendent les funambules de l’espoir.
Le vide…
La poésie autrement en classe pour dédramatiser la langue avec des timides.
Donner ce texte et demander à l’enfant-l’adulte peut s’amuser à ça aussi- de s’exercer durant une semaine devant son miroir à la diction de ce texte jouant deux personnages.Celui qui questionne a la voix nasillarde(se pincer le nez pour ça!) et l’autre, qui répond, possède une voix graaaaaaaaaaave.Le dernier vers sera prononcé comme si la bouche était gonflée d’air.C’est presque RIEN, mine de RIEN de sourire,mais l’air de RIEN, c’est si dure de rire…au quotidien.Bon amusement!
La môme Néant
Quoi qu’a dit ?
– A dit rin.
Quoi qu’a fait ?
– A fait rin.
A quoi qu’a pense ?
– A pense à rin.
Pourquoi qu’a dit rin ?
Pourquoi qu’a fait rin ?
Pourquoi qu’a pense à rin ?
– A’ xiste pas.
J’oubliais…le texte est de Jean Tardieu.
–
« J’allais oublier
l’éphémère beauté
de compter jusqu’à un
pour celui qui n’a RIEN. »
–
(phrase lue sur les murs de votre métro à Paris, il y a qlqs années).
–
Un fil à l’endroit…un fil à l’envers…un fil sur un toit…un fil que l’on serre…défile la terre…sous un ciel de soie… »Rien…nothing.. »…Pull Over….que l’on tisse et tire…une maille à l’endroit..le coeur à l’envers…Mais vraiment rien derrière…?…juste un vide planétaire…?..Pas même une pensée…des mots qui se terrent…un baiser oublié…la douceur de l’air..?
C’est pas rien
Vous de chacun
C’est Tellement
De la vie
Au plus près
En partages
Rien que la terre nue , rien que le ciel perdu
des lignes parallèles ,des lignes électriques ,des lignes magnétiques
au milieu de ces lignes,
j’ai écrit quelques lignes, entre le nu , le vide
Merci Ossiane au milieu de rien on est personne et je n’ai mot pour nemo
bravo Monique ces mots de Jankélévitch tombent à point nommé
de rien dit on en guise de réponse polie quand on vous remercie pour quelque chose
une manière de ne pas valoriser outre mesure ce qu’on a fait qui pourtant représente bien
quelque chose, une contribution, une aide, un support, un plus et pas un zéro pointé
et puis il y a ces manières outrées de considérer des gens et de les rabaisser, ces moins que rien comme si c’était possible
ah oui souvenir et anecdote, quand je voulais savoir si j’aurais un cadeau étant enfant on me parlait parfois d’un petit rien bordé de jaune, je ne suis toujours pas sur d’avoir bien compris de quoi il s’agissait, un mystère presque…
enfin il y a dans la remarque « ce n’est pas rien » le constat que c’est signifiant, que ça veut dire quelques chose, que ça montre, indique, compte
alors avec trois fois rien on fait des bouts de choses et ça ce n’est pas rien
ils sont magnifiques de vrai, Monique,
les mots partagés de Jankélévitch,
oui, il suffit de juste un peu,
pour que le rien, devienne, déjà…
son un peu plus que le vide, le rien…
et le juste un peu plus,
peut sauver Tellement, de sa chaleur Humaine…
Elle nous parla de RIEn et l’on écrivit l’Homme
Neyde sema quelques mots, offrant de son royaume
La chaleur du Brésil et ses quelques arômes.
Elle nous parla de l’Art des jardins de Milan
Visiter les plantes rares ou rester sur le pont.?:)
Petit jardin de Toile; petit jardin fécond
Elle ouvrit tous les champs de ces plaines dépouillées
Sur des nuances d’ardoise et des perles de gris
Nous courûmes sur des vers, et nous poussâmes des cris
Carmin de nos douleurs et lavande lorsqu’on prie
Elle déroula les terres comme un tapis de laine
Nous sillonnâmes de vers, allant au bout de soi
Courant à perdre haleine, riant les bras en croix
Sous les nuages des peines, l’éclat de nos domaines
Paysage intérieur, de chaleur et de froid
Elle raconta les arbres, souveraine des lumières
Qui s’inclinaient au parc pour mieux la saluer
Les saisons un tableau racontaient ses photos
La photo un message, dialogue imaginaire
Ou discours de nos vers avec l’Humanité?
Elle créait des images, à la plume des couleurs
La clarté une peinture, et son art une photo
Point de vue, prise de vue, image vue et revue
Une petite boîte à rêves, poésies en écho
Au fin fond des chaumières, des joies et des douleurs
Elle nous parla de RIEn, le poème enchanteur
Et de ses petits rien on a fait du Beaucoup
C’est dans la chambre noire, que s’écrivent les histoires
C’est dans la chambre bleue que scintillent les miroirs
C’est dan un œil ouvert qu’on peut lire tout l’Amour
Les rêves, ces galaxies… du cœur…Ossiane.
très joli, Leila,
c’est vraiment très joli…
« Rien n’est jamais acquis à l’homme » Louis Aragon
« Je n’ai besoin de rien, mais rien ne me suffirait » Jean Rostand
______
Faire le vide en soi, n’est pas rien, ni facile
C’est vouloir dormir sur l’aile d’un papillon pour se sentir léger
C’est fermer les yeux, s’installer hors du temps sur un lit de plume
C’est faire de chaque pensée un nuage qui glisse dans le ciel bleu
C’est parvenir à se dépouiller des entraves du quotidien,
C’est vouloir se libérer des fardeaux inutiles
Être soi, être vrai, être bien, se sentir prête à accueillir
Et pouvoir enfin remplir sa vie.
____
Je partage avec vous ce poème de François Cheng que j’aime beaucoup
« Entrer dans la quiétude
Pour qu’en toi
renaisse la rythmique
Entrer dans le silence
pour que de loin
te revienne la musique
Que nostalgie
ne soit plus déchirure
Qu’espérance
ne soit plus attente
Que la vie perdue devienne
Un coeur qui bat
au fin fond de ton corps
Plus que les saisons intransigeantes
souverain »
François Cheng (Le livre du vide médian)
Délire
Tout cousu de fil blanc je tisserai un paradis
Une longue toile qui s’étire nue et blanche
Trame du vide raccommodant le ciel et la terre
En un rêve qui s’étire et recouvre le monde
Un tapis roulant vers un bonheur sans fin
Sans coutures, sans surjets ni rejets ni déchirures
Reflétant la lumière se jouant des reflets
Enveloppant la terre dans un drap immaculé
Juste teinté de bleu des réverbérations du ciel
Tel un champ de lin qui s’étalerait au loin
Strié comme les bandelettes des momies égyptiennes
Pour envelopper mes élucubrations cousues de fil blanc.
c’était un » rien » délirant-;)
Pour une image que je trouve belle, à la frontière de l’irréel et que seul l’oeil d’Ossiane sait saisir pour un faire un réel chef d’oeuvre.
déchirer son lin
pour aller
fils blancs au vent offerts
vers le rien des obligations feintes
revenir en arrière
s’évertuer à reprendre le point de croix
reflet inoculé
de l’immaculé
peser le crispé des mots
contre le chambranle
couvert d’araignes filoches
comme pour de rire
calmer la soif
pour s’entendre dire
le son grave
des remontrances passées de mise
d’échancrures béantes
la vie coule
batifolage serein
le long des sentes odorantes
tu me tances
je te danse
je romance
et ne ramasse
que les petits cailloux
sur le chemin poucet
de mes poches trouées
se suivre
toutes les nuits
sous le dais des étoiles de l’été
hommes et femmes
aux cheveux défaits
vers la remontée du champ
tout près
des calmes pensées
c’est là qu’y y’a
Même avec un RIEN,
L’AS DE CARREAU
Ne nous laisse pas de marbre !
L’apercevez-vous,
Se dessinant au loin…
Jouant avec les verticales ?
Biseeeeeeeeees de Christineeeeeeeeeeee
Dans ‘rien’, il y a ‘nier’ … Je n’aime pas …
Être entièrement soi-même : si on est fragile, ne pas cacher sa fragilité. Alors on réalise que rien ne peut nous arriver, parce que nous n’attendons rien. Quand on vit ainsi, on est toujours accepté par les autres. Le fait de s’assumer pleinement fait que les gens se disent : « Ah oui, moi aussi je puis être ce que je suis ».
Le vrai mensonge, c’est essayer de passer pour ce qu’on n’est pas.
(Henri Gougaud, Parole d’Atelier)
On peut jouer aussi avec ce mot et puis les peitis riens … qui font du bien
Les petites gouttes font des rivières
Un petit rien je te suggère …
Un sourire sur un visage
Un petit rien, pas un mirage
Un petit rien qui fait du bien
Une main sur une épaule
La présence du chat qui miaule
Un petit rien qui fait du bien
Prendre le temps d’une pause
Savourer le goût des choses
Le parfum, la couleur des roses
Des petits riens qui font du bien
Détourner les habitudes
Habiter la solitude
Prendre une autre amplitude
Un petit rien, quatre fois rien …
Ecouter son silence, le son de soi
Aller au bout de ses choix
Un petit rien, quatre fois rien …
L’insolite qui se profile
Aux frontières de l’indicible
Une averse de possibles
L’odeur de la saine terre
S’affirmer, ne pas se taire
Un petit rien, quatre fois rien …
Les couleurs de l’arc en ciel
Apprécier le goût du miel
Un petit rien qui fait du bien
Dans la tempête de la tourmente
Des petits riens qui se lamentent
Le simple et doux d’un petit rien
Doit triompher des lendemains.
27/10/11
« Ce n’est rien
Tu le sais bien
Le temps passe
Ce n’est rien
Tu sais bien
Elles s’en vont comme les bateaux
Et soudain
Ca prévient
Comme un bateau qui revient
Et soudain
Il y a mille sirènes de joie
Sur ton chemin
Qui résonnent et c’est très bien »
Julien CLERC
si je peux me permettre, car tant est superbe, Ossiane de toi,
une petite erreur de frappe pour QUELQUES sous l image,
bises!
C’est pas rien
Quand on commence
A savoir un peu
Le monde tel qu il est
On reste bouche cousue
L’envie de se couetter
Ce qui reste
C’est tout l’Amour donné reçu
Cela c’est une valeur certaine
C’est du vrai
Car aimer ne s’apprend pas
Mais aimer c’est se vivre
Au plus près
Une page pleine de petits riens!
Mais si profonde, qu’il faut la lire et la relire!
Des très beaux messages!
Merci Leila, tous dans ton poème : Ossiane, moi, tous et toutes.
On sème des mots ici, ils poussent en fleurs, en idées, en rêves.
– – – – – – – – – – – – – – –
C’est difficile à croire,
mais les parallèles
que marchent seules
se rencontrent…
à l’infini.
C’est comme toi et moi,
l’un à la mort,
l’autre à la vie,
on va se rencontrer …
au paradis.
Bonsoir à tous, merci pour tous ces mots qui au fil des jours tissent ces liens qui nous unissent.
______
Rayée en tous sens comme une vitre
Sous les balafres des griffes du chat
La peau témoin des affres du temps
Offre ses rides au regard du monde
Une histoire gravée sur l’épiderme
Les traits de la vieillesse, âge certain
Où la vie a laissé ses empreintes
Un passage sans faux semblants
D’une vie bien remplie de l’être
Les pictogrammes de l’âge s’inscrivent
Dans le respect sur le visage
Les fronces du sourire à peine inoculées
Les tranchées du malheur sur les fronts de la peur
Et ces petites rides au coin des yeux, tendresse
Le visage de la terre aux sillons profonds
Sous les caprices du temps et des saisons
J’aime la beauté au crépuscule des jours
Du livre de la vie aux pages froissées
Aux tranches usées et râpées par les ans
___
Bonne nuit et jolis rêves, suivez les petits cailloux sur le chemin du Petit Poucet, ils mènent forcément quelque part.
comme c’est doux à lire, Monique, j’aime beaucoup…
Il suffit parfois
D’un moins quel rien
Pour que la vie bascule
Alors c’est bien de le savoir
Qu’un rien
Peut acter Tellement
Et de le regarder le rien
Avec belle attention sa grande
Il y a
Le mal et le bien,
Chat et chien,
Les modernes et les anciens
Les vides et les pleins.
Le tout ou le rien.
Il y a
Inspiration
Illusions
Calme extérieur
Vide de tout, plein de rien.
Il y a
Redoutable
Partie de rien
Frayant son chemin
Inéluctable
Rongeuse intérieure
Juste se taire
Rien à faire.
« Il suffirait de presque rien
Peut-être dix années de moins
Pour que je te dise « Je t’aime »
Que je te prenne par la main
Pour t’emmener à Saint-Germain
T’offrir un autre café-crème
Mais pourquoi faire du cinéma
Fillette allons regarde-moi
Et vois les rides qui nous séparent
A quoi bon jouer la comédie
Du vieil amant qui rajeunit
Toi même ferais semblant d’y croire
Vraiment de quoi aurions-nous l’air
J’entends déjà les commentaires
« Elle est jolie, comment peut-il encore lui plaire
Elle au printemps, lui en hiver » »
Serge Réggiani
Dans ces fils passent la vie
mots invisibles que seul entend celui qui aime
Rien est Tout
elle est triste cette histoire, Jo.S…
J’aime arletteart, ton RIEN EST TOUT, c’est si vrai!
bises à chacun!
Il suffirait peut être d’un simple rien
Pour que ton bel équilibre te bascule
Mon amour mon fils autiste
Alors me taire me terrer trembler
Attendre avoir peur au cas où
Et puis non, mon amour
Tu sais comme j’aime la vie me vivre
Alors pleine d’espérances à te voir
Aujourd’hui
Mes forces vives sont là
Pour toi pour moi
A *LEVIVRE au plus près
Ce fameux temps sur terre
Tant qu’à faire
Temps qu’à faire
Ô TEMPS LE VIVRE LE VIVRE
En amour de *levivre
« Rien est Tout » nous dit Arletteart, Annick a raison de souligner ces mots, car il se pourrait bien que cela soit là le secret d’un grand mystère.
____
La beauté d’une grande étendue de terre
Qui porte le regard jusqu’au vide du voir
Qui promène les yeux sur les lignes de terre
Epousant la forme du relief du sol
Le charme de ces grands champs déserts
Prêts à recevoir la semence en son sein
Ronds comme le ventre d’une mère
A l’approche de la venue d’un enfant
Qui donne au corps la beauté de l’amour
Instant privilégié d’un passage merveilleux
Instant inoubliable de la naissance
Sur le corps nu, sur la terre nue
Miracle de la création, de la venue sur terre
Et si Créer c’est fabriquer à partir de rien
Ce rien devient alors tout puisqu’il est Amour
Et c’est pourquoi l’homme assez humble sait
Qu’on ne peut tout comprendre
Et qu’il accepte au nom de cette beauté de la vie
Le mystère et la magnificence de la naissance.
_______
Bonsoir à tous, bon week-end dans la douceur printanière.
ils sont splendides, tes mots, Monique,
La vie je te salue
Ô de toi ma petite
Tu es entre mes doigts
Tu peux t’échapper vite
Tu peux te creuser un nid
Ma vie fais comme chez toi
Tu es mon rien mon tout
Et tout ce qui me reste
C’est toi
Ma petite vie d’amours
C’est l’amour qui donne vie
Sans amour on est rien
Exister partager c’est un bien bel ouvrage
Jamais son achevé jamais son déjà vu
Chaque jour donne à voir
Des riens et dans ceux ci
Il y a tant à voir
Pour qui peut se poser
Apprécier juste un peu
Rien qu’un peu
Une perle une bulle sa précieuse de vie
Si belle respiration
j oubliais, bonsoir Monique, chacun,
ici il faisit plus forid ce soir…
DEMAIN VERRA SON ON VERRA!
Ses mains n ont pas de métier
Pas d’étiquette de tête
Sa vie c’est juste l’aimer
Et ceux qu’elle aime d’amour
Alors c’est son ouvrage
D’aimer jour après jour
Et ce bien plus encore
Quand parfois c’est si dur
Aimer
Tout sauf facile
Un Rien qui demande Tellement
Mais c’est bien bon d’aimer
De se sauver son être
D’une existence vide
AIMER REMPLIT TELLEMENT
De riens bels invisibles
Les frissons sont jolis
L’oeil vivant se sourit
Aimer avant de mourir
Un projet de vie sur terre
Qu’il est bon de *levivre
heu? ici il faisait plus froid ce soir…
Ahhhh quand mes doigts s’emballent vite, des chevaux au galop, je ne peux les retenir, ils décident du chemin, tracent et se cabriolent, se secouent des sueurs, puis se couettent l’encrier, avant de se lancer avec leur carriole sur un autre chemin,
la vie ses jours ses nuits, chacun suit son avant, mais c’est fort différent…
Et je te lis Annick messagère de la puissance et de l’importance de l’ Amour sans lequel on ne peut Rien ou si peu. Merci Annick je t’embrasse.
J’ai pris un chloro-scaphe
Pour hendéca-télé,
Mais la xylo-sepsie
Orama-dendro-cène
Ne cherchez pas le chromato-caryo-dia-lithe
Car des chiro-psych-rrhée
Hypno-trans-zygo-phyte
Préfixe,Ô mon Suffixe, quel est ce biblio-saure?
ça n’veut RIEN relater
Circum-logo-graphie,
Le poème des suffixes
Perd sa géographie!
Ah leïla comme on te retrouve , c’est intéressant et savant
ça vente dans les oreilles et ça passe par les yeux
j’en suis tout esbaudi !
non rien ne t’arrête, au contraire il te libère toute
mais où diable es tu allée chercher tout ça 🙂
Alors je te raconte Thierry, c’est tout bête:
Hier une petite élève feuilletait un petit dictionnaire en classe, je le consulte avec elle et il y avait une rubrique préfixes-suffixes, mes yeux passent d’une syllabes à l’autre et voilà l’idée du poème des préfixes-suffixes née c’est aussi simple que ça.Mais ça ne veut RIEN dire ,RIEN de RIEN…bon je file continuer mon poème de la note suivante):
héhé Leila!
Héhé Annick! Mine de RIEN j’ai passé beaucoup de temps à écrire aujourd’hui!
Je ne crains RIEN. Je n’espère RIEN. Je suis libre. Nikos Kazantzakis
Je vous fais partager ma page Face de Bouc où je dépose des musiques.La musique c’est juste le tout qui embellit le rien, non? http://www.facebook.com/profile.php?id=100002077297913,
Sur ce, bonne soirée à tous.
et j’étais passée au dessus de tes mots, Leila,
je viendrai bien écouter tes musiques, mais c’est bête d’encrier son âge, j’ai une réticence à m’inscrire sur facebook, mais c’est d’une idiotie, certainement…
et comme mon évaporée me plane souvent,
j’oubliais de te remercier, Monique, tes mots de 23H05 m’ont émue…
» Chanter Ce n’est pas ce qu’on vous proclame… Chanter Il faut s’y jeter à tue-tête… A bras le cœur à fendre l’âme… Avec un seul point au programme…. Celui de n’être sûr de RIEN… Celui de n’être sûr de RIEN …Mais si ces propos vous irritent… Dans leur sombre réalité… Vous allez les jeter bien vite… Et n’en faire qu’à votre idée… Si vous sentez du fond de l’âme… Et du ventre jusqu’à vos mains… Brûler cette petite flamme… Contre laquelle on ne peut RIEN… Dans l’allégresse ou la démence… Vous partirez un beau matin…En suivant le chemin d’errance… Des saltimbanques musiciens… Que vous soit belle la bohème… Que soit clément votre destin… Il faut vivre ce que l’on aime… En payant le prix qui convient … »
Jean Ferrat
qui me retrouveNT, HEU!?