crépuscule
tapis d’herbes douces
voile des illusions
• • • •
twilight
carpet of soft grass
veil of illusions
˙·•●✿♥✿●•·˙ … un peu de mal à y croire … 7 ans déjà … et toujours là … l’oeil en pointillés dans la brume du temps qui passe … touchée que tu l’aies rappelé avec ton grand coeur, Bourrache … et un grand merci aussi à vous, passagers de la première heure, de rester fidèlement accrochés au bastingage malgré les quelques avaries du voyage … je vous embrasse fort …
L’âge de raison comme l’a rappelé notre fidèle Bourrache, bel anniversaire ; un beau voyage, de belles escales et du bonheur tout au long du chemin.
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Même dans la brume
A l’horizon qui se voile
Au large vont les rêves.
j’ai sept ans révolu
ce n’est pas la révolution
je suis sidérale mais pas inconsidérée
le boréale est à l’ellébore
ce que l’hélléne est à la myrrhe
j »ai du mal avec l »irréalité
pas en poésie certes
Malgré la brume et les coups de vent, tu continues de tenir la barre montrant le chemin. Je te suis de près dans ce sillage si généreusement ouvert. Bon voyage encore à l’Oeil Ouvert.
Et comme autrefois, je t’embrasse.
Pierre2 (tu t’en souviens, c’est toi qui avait fait le baptème ?)
La brume se lève un peu
Mon amour
Regarde cette lumière
L’eau se frémit ses êtres
Et le gazon son vert
Eternue son brin d’herbe
Viens
Asseois toi l’oeil ouvert
Ferme le pour entendre
Ce qui ne se voit pas
Ou se voit pour si peu
Je t’embrasse mon coeur
Caresse moi la nuque
Quand l’irréalité s’incruste dans le monde réel par la magie, le mensonge, l’hallucination, la drogue… le monde s’en trouve déstabilisé si la raison et la sagesse ne parviennent pas à rétablir la vérité , elle appartient au domaine du rêve et de l’imaginaire le temps d’un soupir, d’un souffle, une évasion parfois si douce lorsqu’elle est sagement maîtrisée, un trompe-l’oeil en quelque sorte qui rend la vie plus belle.
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l’irréel s’avère
Seulement le locataire
De l’imaginaire
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Belle nuit dans le monde irréel de vos rêves.
Crie! crie crie
L’écho n’a pas d’âge
Petite ombre,grand personnage
Crie! crie crie
Ouvre ton poitrail
Que te traverse les ondes
Les chants du monde
Les chants, camail de la fraternité lacérée
Là, là, as-tu effacé l’avenir, résigné dans ton passé?
Crie! crie crie
Les herbes dansent, les herbes chantent
Tout ce silence un élément
Et ton désir médicament
Crie! Crie!Là
Car je sais
Tout un chacun a des racines
Éparpillées à l’horizon
Reviendrais-je?De cette prison où je danse papillon
Reviendrais-je de ces ombres qui habitent mes silences
La mer s’est fracassée, c’était de l’eau en colère
C’était l’encre et les pleurs
Ô Reste là, reste là, enfant, reste là
Le temps n’est pas… encore tes rêves
Pour murmurer tes insolences
Encore tes rires pour gambader
Révérence du Printemps à l’Hiver
Crie, crie, crie,la fumée se mêle à mes brumes
Elle a brûlé ses souvenirs, que pouvais-dire?
Son crépuscule mêlé à ma quête
Ô mère, mer, le grand silence, vagues, par vagues
S’endort blotti dans mes nuages
Rêvais-je?dans la lumière qui s’éteint
Tout souvenir est un poème
Et les blessures comme anathèmes
Crie! crie crie…écris.
il voudrait tant que se dissipent les brumes des songes
et puis il y a au fond de lui ce doute qui le ronge
nul n’est pourtant devin en son pays
et ce sont souvent les sabotiers les plus mal chaussés
mais qui sinon lui même pourra enfin le déciller
après que de fausse certitudes le firent vaciller
il avait cru pour son bien changer de registre
mais il s’est tourné du côté sinistre
ah la réalité est un appel puissant
à l’immersion et à l’action
il sait maintenant que les billevesées
soignent la bile mais ne donnent de visée
il a deviser non avec des mauvais génie
mais s’est engagé sur des routes floues
alors il a donné un grand coup de pieds
pour envoyer tout cela dinguer
et ce recentrer sur l’immédiat et le tangible
acte de résistance à la fuite éperdue
le présent n’est pas toujours beau
mais il est prometteur
à condition d’en être pleinement acteur
Joyeux anniversaire Ossiane à ton merveilleux blog!
L’Oeil Ouvert d’ Ossiane
Depuis sept ans , c’est réel!
Voyage en images
Superbe photo ! Et que diriez vous d’un haïkuiste américain pour vous inspirer :
http://poesie-et-racbouni.over-blog.com/categorie-11842153.html
Tout semblait irréel
La machine infernale
S’était mise en route
Rien ne pouvait l’arrêter
Un cauchemar démentiel
L’épouvante faisant place
A la douleur viscérale
Jusqu’au jour, long à venir
Où la raison reprend ses droits
Il faut se mettre à l’évidence
Regarder la vérité en face
Cesser de dire « ce n’est pas possible ! »
Pour vouloir s’en convaincre
Découvrir dans ce qui semblait irréalité
Un mirage hélas bien réel.
Le monde est fait d’illusions en tous sens
Où rien ne semble pouvoir nous atteindre
Il n’en est rien, l’espoir est illusoire
Personne n’est à l’abri de rien.
Les fleurs continueront de fleurir
Les enfants continueront à chanter
Et nous-mêmes à rire, ainsi va la vie.
Irréalité…j’avais écrit cela il y a quelques années, je pense que ça peut aller avec cette page d’Ossiane:
La toile
Entrer dans un labyrinthe de pages écrites sans apparent ordonnancement, certaines des impasses où l’on ne s’attarde pas,d’autres des chemins ouvrant vers d’autres chemins qui eux-mêmes ouvrent sur d’autres paysages et ainsi de suite, si bien qu’on perd le fil de la pensée du départ.
Encore des pages, puis des liens morts puis des humains puis des tarés, puis des malheureux puis des connectés et des déconnectés.
Tout un chacun y met du sien, ses joies, ses peines, ses cris, son art, son opinion, son sérieux, sa légèreté.Il y a ceux qui tuent, ceux qui violent, ceux qui volent cachés derrière un paravent.
Il y a ceux qu’on aime, croisés au hasard des écritures du bout des doigts, des bouts de coeurs à leur offrir.Il y a des tas de pseudonymes, comme des hommes aveugles, préférant le noir pour plus de sécurité, pour éviter les mauvaises rencontres, les ruses qui rapprochent, un bourreau de l’enfant, le violent qui apostrophe le doux.
Internet, labyrinthe complexe, fourre-tout d’une jeune femme dans le vent, cartable d’universitaire, chambre d’adolescent, prospectus, bibliothèque du savoir et de l’infâmie, jardin paisible où écrire assis sur un nuage, découvrir le chaos dans le chaos dans le chaos dans le chaos et parfois des coins reculés, secrets où on s’attarde pour flâner, sourire échanger, converser amicalement .
Voilà.C’est mon intime sentiment sur l’ordre et le désordre de ce labyrinthe qu’est internet.Des Humains en marche dans un cerveau planétaire qui filtre leurs pensées.Chacun y contribue.Mais quoiqu’on écrive plus belle est LA VRAIE VIE à fouler le sol, à respirer l’air d’une forêt qui s’éveille, en regardant des enfants grimper sur les troncs couchés, sourire à une grand-mère sur le pas de sa porte et déposer dans ses bras le pain posé par le boulanger ambulant sur le bord de sa fenêtre et la voir sourire. Voilà c’est la vraie vie que j’aime.
Et je rajouterai
Qu’à l’irréel du partage des écritures avec des êtres que je ne connais pas et que j’apprécie énormément, j’aurais préféré des réunions sympathiques, ateliers d’écritures avec de vrais gens avec qui on partage un café un thé, un biscuit entre deux écritures à échanger.Voilà.on ne peut pas tout avoir.
on the stage at the age of stone
whisper the wind of despair
climbing the stairs of chimeric dreams
L’irréalité n’est elle qu’une impression
fausse basée sur des apparences et des constats peu cohérents
et si des fils secrets reliaient entre eux les choses
de manière peu intelligible au premier abord
résistaient au premier regard qui s’égare
ne voit pas les détails et le travail du détective
qui lui redonne causalité et cohérence à des scenarii improbables
parce que le diable est dans les détails
et que trop nous fait dérailler
nous avions déjà travaillé sur l’illusion, d’optique ou pas
mais le point de vue d’où l’on se place joue bien un rôle dans
ce qui permet de classer, d’ordonner, de reconnaître
des éléments et leur assemblage comme cohérente et vraisemblable
l’affubler de réel
le virtuel c’est de la réalité étendue et un zeste d »irréel , selon moi
je sais que ça ce discute, c’est ma manière elliptique de formuler la chose
ce que je ne vois pas , je l’imagine et le façonne à ma convenance
la rencontre se chargera bien de me déciller
pour le reste c’est peut être mieux comme ça on reste sur nos illusions
et on risque souvent d’être déçus car les mots sont plus que nous même, ils sont notre conception du monde et une reconstruction fantasmatique;
comme j’entends tes mots, Leïla…
la vie vraie, sa chaleur humaine,
un visage, des formes,
du réel à s’approcher se vivre,
la vie, comme elle est et se donne…
Le voile de brume
Se lève ses coquetteries
Et le brin d’herbe
Se donne à voir
Les gazouillis de la vie
Rassurent Là dorlotent l’âme
De son pas tendre
Le souffle de paix revient
Bonjour Leïla, Thierry et Annick j’ai trouvé intéressant vos commentaires. Tant de sujets y sont abordés, et notamment sur l’écriture, la recherche de vérité, (j’ai bien aimé le détective de Thierry ! le monde virtuel, et cette façon de nous connaître tout en discrétion, finalement j’aime bien cette façon de communiquer qui ne s’embarrasse de rien d’autre que des mots et des échanges et qui n’entravent en rien cet élan vers l’autre, à défaut de partager un coin de table avec toi Leïla je partage avec un réel plaisir ce coin de page avec toi sur l’écran- 😉 avec « un zeste d’irréel »dixit Thierry mais il est certain que rien ne pourra jamais remplacer la vraie rencontre avec l’autre comme le sous entendent si bien Annick et Leïla.
____
Réel ou irréel
Illusion ou désillusion
Perception ou interprétation
…………
Des mots, des motifs, des émotifs, des émotions, des motus ou bouches cousues
Vue ou pas vue derrière les mots la vérité, la réalité
Elle cherche et trouve l’écoute, la vraie, celle qui fait écho
Qu’en est-il de l’écho ?
…………..
Réel ou irréel
Illusion ou désillusion
Perception ou interprétation ?
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Les mots cristallisent nos pensées
N’ont rien à faire de nos gueules
Ils vont de l’âme au cœur de l’autre
Ils sont vérité, cris de joies ou de douleurs
Crus, sans artifices, expression
Les graffitis de nos états d’âme
Lus, compris ou incompris
Ils disent, soulagent, informent
Ils savent pourquoi ils sont
Avant même peut-être que nous sachions
Pourquoi nous les écrivons.
et si ça posait la question des sens et la manière dont ils nous trompent et réarrangent à leur sauce la réalité , la vision et sa capacité d’anticipation surprenante qui prévoit parfois un futur statistique et qui n’a pas lieu , le langage et son mode aléatoire de recherche des mots dans le champs sémantique et ses balbutiements qui donnent des lapsus erreurs pas paradoxales mais statistique.
un vaste sujet de réflexion à la croisé de la neurobiologie et des sciences cognitives…
Un mot c’est une pépite de l’oeil
Le souffle de l’âme en respire
Son être vrai de son coeur soi
Cet authentique de bel Humain
Qui s’accepte défauts impuissance
Consonnes et voyelles véhiculent
L’essentiel en partage de vie
Celle qui vit tous ses états
Au plus près de *levivre tel
Bande de gazon vert
Tend son cours à la brume
Qui d’un filet son tendre
Lui mumure des mots
Ceux dans le creux de l’oreille
Ou dans sa nuque douce
L’eau se brille un peu plus
Sous ce rayon ravit
L’amour si bel son coeur
Remplit l’âme se vit
youps, pas rattrapé…
alors je glisse…
Lui muRmure des mots
désolée…
ET MERCI POUR VOS MOTS!
« L’oeil en pointillés…dans la brume du temps qui passe.. »…et les pages de soie grise…qui se soulèvent doucement…comme un coeur qui palpite…une jupe qui s’envole….un baiser dessiné… »Tapis d’herbe douce »…entre les vagues…et les temps…et les mots qui hésitent…et la nuit qui s’invite….sous les ombres légères…et le sol décalé…L’oeil en pointillés…les années dépassées…et ces mots que l’on serre…en rêvant sur les toits…des jardins suspendus…et des vagues étrangères…
comme c’est joli, pierre.b,
comme c’est joli…merci…
Bon anniversaire Ossiane.
7 ans, c’est un bel âge. J’espère qu’il y aura d’autres bougies à souffler. J’ai découvert ton joli blog au début de l’année 2006. Il était dans les favoris du Monde. Désolée mais ne sachant pas écrire de la poésie, je reste dans l’ombre.
Bonjour Laetitia,
j’étais en train de lire des mots sur des pages,
beinvenue à vous.
Des paroles qu’on déguise, assise au bord du gouffre
À parler du soleil et de l’herbe verte,
En tremblant d’émotion, les larmes retenues,
À s’inventer des rêves en couleur,
À crier mais pas trop fort de peur de réveiller le mauvais sort
Et la réalité trop brutale qui bouscule les jolis mots
Et sonne faux dans l’harmonie d’un poème
Parce que la vérité est cruelle et a son franc parler,
Parce la poésie a la saveur sucrée de la beauté
Pour compenser l’amertume et l’âcreté de la vie
Mais qu’elle n’est pas la vie.
Elle est refuge et j’ai le blues.
Brumes
Voile du silence
Au loin, au loin, au loin, est
Au loin est…quelqu’une.
Splendide ce dernier texte Monique!
Ce sera tout pour ce soir…je suis collée avec une bonne fièvre, pas grand chose39.8.Au dodo!
Je voulais quand m^me écrire ceci avant de m’endormir à propos de « Entre le réel et l’irréel…quand tu croises de « vrais gens », (bien que vous soyez vrais !!!quand m^me ): ) tu as un mot pour chacun, tu as l’expression des visages les sourires les mimiques, la tristesse des uns et des autres, tu échanges en temps réel.Les mots ont un terrible pouvoir,ils laissent aussi libre court à l’interprétation de nos écrits par le lecteur.Et parfois, il se plante, et parfois il voit juste mais je dirais que celui qui écrit-surtout la poésie- devrait ajouter »Je décline toute responsabilité quant à l’interprétation que vous faites de mes écrits, non?
Oh là! là je devrais aller me coucher moi, je ne suis pas sage!
Tout ça parce que je partais de l’idée que j’avais dit à Monique que j’appréciais fortement son dernier écrit mais j’estimais à postériori n’avoir pas dit aux autres que je les appréciais tout autant et que parfois je ne dis rien ou parfois je suis volubile.
Mes amis poètes ne devraient pas prendre ombrage du fait que parfois je ne commente pas leurs écrits-Je lis dans mon coin-.
Je ne sais pas si tout ce charabia est clair…Merci à Ossiane de « me supporter » ou de me transporter sur son navireeeee, allez zooouuuuu, je ne tiens plus.
Tes mots sont clairs, et je les entends fort,
c’est un peu de tout cela, écrire…
Ecrire sans jamais avoir la certitude d’avoir été lu, entendu,
lire sans jamais avoir la certitude d’avoir lu, entendu.
Peut être qu’en vrai de vrai, on peut se faire plus lire, entendre,
peut être, mais ce n’est pas certain, des regards ne voient pas, ou tout à côté, ou ce qui n’est pas à voir.
C’est ien juste des mots sur la vie, et ses difficultés pour partager, communiquer,se vivre.
j’espère que tu vas mieux Leïla,
moi aussi, je n’écris pas toujours pour surcharger quand j’aime des mots lus, appréciés ou qui tapent Là…alors écrire, c’est déjà ne pas oublier, qu’en soi il y atous les mots pas écrits, pour diverses raisons, ahlala d’existence! sourire! et belle journée de mercredi pour chacun!
alors, parfois, par peur d’être incompris, on se tait, et c’est peut être pire que tout, pire que dire avec ses mots maladroits, gigotés tant par l’émotion que les doigts les couchent avec maladresse sur la page blanche de l’instant de vie de l’instant, et puis peut on tout dire, sans être son impudique, et une vie c’est sacré…
Je t’embrasse, Ossiane, et chaque matelot du navire, et chacun de passage en mots ou en silence.
–
– tenter le pardon –
dedans l’imbroglio ouaté
les mots bleus se taisent
(*)
–
(*) « Je décline toute responsabilité quant à l’interprétation que vous faites de mes écrits »
Excellente idée, Leïla !!!
Sur ce, un p’tit coup de pouce ? :
http://fabienne-yerno.suite101.fr/10-recettes-de-grandmeres-contre-la-grippe-a5758
Allez, clin d’oeil, sourire et bonne journée à tous.
–
– tenter le pardon –
dedans l’imbroglio ouaté
les mots bleus se taisent
Et ces trois vers de Bourrache ce n’est pas magnifique????
Raconte-nous les mots rouges, les mots noirs, les mots arc-en-ciel… Bourrache, que diraient-ils en haïkus?
ça va, ça va Annick, y a pire.Bisou):
Passagère intermittente, qui monte de temps à autre dans le bateau… mais qui revient pour y remonter… Espace de paix, de beauté et d’amitié, si précieux, donc…
Pensées douces
Personne mieux que moi ne peut savoir le secret que j’exécute.
Ce que je me propose dans mes textes aux rythmes mystérieux c’est de retrouver quelque chose d’essentiel dans cette langue.
Le procédé pour donner vie à mes écrits est crée en même temps que la conception poétique de ma pensée.
Je suis un amoureux de la nature. Je cherche en elle son coté poétique, la symphonie de la forêt, du primitif. Je cherche l’expression pure.
J’élimine tout ce qui n’est pas ce que je veux exprimer.
Je prétends que le toucher, l’ouïe, la vue, l’odorat sont transmissibles dans l’agencement de mots : l’alpha et le bêta.
Je ne sais pas écrire et je ne veux pas savoir comment écrire.
J’interprète sur le papier mes rêves et mes sentiments.
toujours aussi beau …
pensées …
–
legs sur testament
en secret noir-lai(t)d recette
gâteau chocolat
–
^_^
–
–
tapis tapis rouge
pomme de reinette et pomme d’api
tapis tapis gris
–
heu … j’avoue … ça, c’est pas de moi, c’est un copion !
–
copion = http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/copion/19115
Sur ce, suis allée voir la définition du mot « antisèche » … parce que je n’ai jamais entendu ce mot-là !!!
Si j’avais dû donner, au pif, une définition, j’aurais dit : « moyen de ne plus fumer ».
Vrai de vrai.
PENSEES A VOUS TOUS,
bonjour Sophie,
et vous me faites rire, Bourrache et Leïla,
allez cap redehors, il fait si bon, la vie sa douce,
quelle belle matinée de *levivre son sourire reviendu…
Le coulis de vert
Et la brume son ciel
Sandwiche la lumière
comment resté en suspension,
par l’envie soudaine de profiter du soleil du dehors,
que je viens d’envoyer…
puis je vous lis, jean de la lune, nigra,
avant de ressortir,
Ô que oui la Nature, jean de la lune…
douxjour!
heu?
sandwicheNT la lumière! merci d’avoir rectifié!
Merci merci pour tous vos commentaires, je ne m’attendais pas à ce que cette « irréalité » fasse couler tant d’encre et sur cette voie là:) L’occasion d’échanger vos différents points de vue en tout cas sur le réel/virtuel. J’étais pour ma part partie dans le domaine de l’imaginaire:)
Merci de vous être manifestée, Laetitia, je suis touchée et j’ose à peine croire que vous êtes restée silencieuse depuis tout ce temps:) Aucun problème si vous avez envie de vous exprimer autrement qu’avec des mots de poésie, vraiment:) Je compte sur vous!!
Plus de sélections sur la Une du Monde désormais, le journal semble avoir changé de politique au sujet de leurs blogs hébergés.
Un clin d’oeil amical à Pierre2 que je n’oublié pas puisqu’on a fait nos armes sur ce paquebot presque en même temps et que nous sommes toujours à flot… bon anniversaire à toi aussi, je suis ravie que tu aies repris la barre du Monde malgré les nombreuses avaries:)
Un mot pour Mathilde, il y a effectivement un problème dû à la plateforme du Monde pour le partage sur facebook. Une erreur technique que je ne vois pas comment corriger vu que je ne sais plus comment les contacter … je vais réfléchir à une solution.
Bon après-midi avec les quelques signes du printemps!
crépu et pas en majuscule
pas fumé pourtant
vivement que le voile se déchire
simple sieste
Il y a sur ce Blog…des mots qui se posent…à l’envers…à l’endroit….sur le dos…sur les toits…Ce sont des mots qui chantent…qui vous prennent par le coeur…vous entraînent…et chuchotent les couleurs…le ciel et ses heures…les secrets et les douceurs…Il y a sur ce Blog…des mots … »gigotés par l’émotion »…que l’on saisit avec précaution…tant ils sont fragiles…par peur de les froisser….Ce sont des mots qui ont des ailes…des courbes…la douceur de l’enfance..qui se glissent sur la peau…sur les vagues…et offrent aux jours…des envies du « mieux vivre »….Merci Annick………
Mais comme l’écrit très justement Leïla…..j’apprécie tout autant…les écrits d’autres visiteurs…sourire…mais on ne peut pas tout dire…tout écrire….
merci pierre.b,
et mes mots chuchotés par votre plume,
cela est émouvant! Là!
merci! de leur donner à se vivre deux fois…
mes petits mots de moi…SOURIRE…
C’est si joli la poésie, si tendre son doux, si palpitant son Là, si heureux d’être né, si vibrant de se secouer ses perles de vie, sa vie, sur le blanc d’une page, avec sa plume de soi, humble mais de son tout petit soi, et c’est pas rien quand même, que d’exister son temps…