Pergola

Pergola

l’ombre de la treille

le chemin des entrelacs

O d’avril

54 réflexions sur « Pergola »

  1. Welcome back Nath!!
    Bon rétablissemnt, Thierry; ce n’est qu’un mauvais momen à passer!
    Merci pour ce beau déroulé de mots en légèreté, Pierreb!
    Merci de votre intérêt et bienvenue Misu-Me;)

    Un grand merci à tous!!

  2. l’Intime parcours
    Qui pourrait être un chez soi
    Que l’on offre à tous

    Il devient alors charmant
    Un délice, une faveur.


  3. A Thierry : vus les nombreux voeux de prompt rétablissement reçus, tu dois déjà être aux 3/4 debout.
    Alors … que te souhaiter pour le 1/4 qu’il reste ? … Peut-être, pour la rééducation, une gentille kiné … mains de fer dans gants de velours … (parce que pour ré-éduquer un homme, faut beaucoup de volonté et c’est pas pari gagné !).
    Heu … ça n’engage que moi, bien sûr.
    Allez … immense clin d’oeil, hein !

    A tous, belle soirée et douce nuit.

  4. Bourrache, Avec la corde du pendu, le lieu devient déjà un peu moins charmant, mais c’est pour rire, les glycines ça n’arrête pas de se tordre de rire on le sait bien ! même que des fois elles s’emmêlent tellement qu’elles n’arrivent d’ailleurs pas à se démêler-;)
    Bonne soirée et bonne nuit à toi aussi et à tous.

  5. Bonsoir à toute la compagnie. J’ai bien aimé tout vos poèmes que je reprends plasir à vous lire après une longue absence. Vous me manquez beaucoup. Je vous souhaite que du bonheur et beaucoup de joies.

  6. Quel joli ô qui s’apparente à un lasso avec lequel nous attraperons le bonheur à moins que cela soit un cerceau dans lequel nous pénétrerons dans un monde meilleur.

  7. Que les anges protègent vos belles plumes magiques. Bonne nuit et faites de doux rêves cher capitaine de ce magnifique paquebot de mots de luxes. Bisous à tous.

  8. Gola j’adore pas comme un goléador
    qui rigola aux rayons chauds
    un long couloir dont on ne sortira
    que par le combat contre soi même
    chasser encore et toujours
    ces mêmes démons archaîques
    alors avoir un but, s’en sortir
    la tête haute et la jambe moins raide

    désolé mais hier pas en état

  9. Bonjour la Compagnie !

    Pardonnez-moi : j’avais loupé un épisode :
    Je rattrape le coup en souhaitant un bon rétablissement à Thierry, qui va avoir bien du temps pour écrire encore plus !

    La glycine inspirée
    Avait écrit,
    Tout au fond de l’allée
    Un O tout rond,
    Et bien formé !

    Je regarde encore une fois
    Cherchant dans tous les endroits
    Où elle aurait encore caché
    Quelques eeeeeeeeee disséminés !

    Suis sûre qu’il y en a
    Mais ils sont bien cachés !

    La glycine n’a pas encore terminé…
    De nous étonner !

    Biseeeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeee

    Et un coucou spécial pour Bourrache !

  10. Le destin est son tel
    Et quand la corde au cou
    Peut étouffer bien trop
    C’est bon de s’aérer
    De marcher de flâner
    Amoureux son en corps
    C’est si bon d’exister
    Même si le chemin
    N’offre pas des faciles
    Que de la vie à sauver
    Empêche de se pouvoir être
    Le temps avance son cours
    C’est bon de garder espoir
    Patience courage et vie
    Malgré ses malgré tous

    Quand on aime
    On ne compte pas
    Les efforts à fournir
    On marche on se repose
    Et se serrer d’aimer
    C’est un bel cap visé

    tu me fais sourire Bourrache,
    contente de retrouver des absents!
    ce grand partage d’ici…

  11. La glycine sa grâce
    A tendu son filet
    Elle espère bien qu’un jour
    Un amoureux se marche
    Dessous cette pergola
    Où le temps arrêté
    Permet de se respirer
    De la voir sa petite vie
    De larguer corde au cou
    Obligations bien trop

    Car un jour Ô bel jour
    La liberté permet
    De se retrouver jolis
    La beauté c’est d’aimer

  12. L’oeil ouvert
    Se glisse dans l’Ô
    Des tiges pour voir
    Un peu plus loin
    Qu’avant d’entendre
    Le regard
    Celui qui partage
    Et fait du bien

  13. Une image énigmatique,
    c’est resserré, c’est enserré,
    le besoin d’O2 manque,
    celui qui donne le vivre,
    expirer inspirer aspirer
    à de la paix des bonheurs d’être
    Ensemble…

  14. Prendre la vie par son collier
    Evite l’étouffement
    Coûte que coûte lutter
    Oser se dégager se respirer
    Viser trouver sa liberté
    Encore encore
    Son goût de *le vivre
    L’instant
    C’est vivant
    Qu’on se donne de vivre
    Pour aimer bel tout simplement

    La lumière
    La lumière à marcher
    Celle qui fait du bien
    Où passent ses ondes
    Amoureuses

    C’est si bon d’être en vie

  15. deux logiques confrontées

    celle qui glisse en interne et externe
    turbulence végétale
    en une glossolalie éternellement enchanteresse
    pour être nature pleine

    celle de la ligne droite et de l’orthogonalité
    du besogneusement humain
    en sa soif de légitimité et de parure
    pour ne pas se perdre

    le tout
    offert
    en ligne de fuite
    vers le mystère
    grappe perlée
    du jardin d’Apollon

    être le bout de la lorgnette
    de l’oeil unique

  16. Père Gola, quand viendras tu m’aider à monter sur tes larges épaules afin de pouvoir me diriger , ton support m’est si précieux , quelque soit le bois dont tu es fait.
    ah tes colonnes comme celles d’un hercule font que j’avance sans obstacles réels.
    an après an on tique un peu mais tu tiens la forme, et de ces ombrages qui sans ambages mais pas sans jambages sont délicieux, je peux couvrir sans retard tes pieux.

  17. merci à jeandler, bourrache et christine, camarades de récit, la plume est vacillante malgré tout mais l’aplomb revient; même si la verticale alitée est familière, j’ai hâte de me tenir droit et de vous faire honneur.

    merci ossiane de ces mots doux qui font de l’effet comme un baume

  18. Il appert de cette vision idyllique
    que des racines au tronc
    sans qu’il y ait de presse,
    s’enroule en longues tresse
    ces plante qui ne veulent dire leurs noms
    et ce violet si tendre
    qui sait si bien se faire attendre
    comment pourra t il nous faire comprendre
    ce que nous attendons de lui
    avant même la prochaine pluie

  19. shame on me , en relisant, que de fautes, comment me faire pardonner
    trop pressé !

    bonne soirée à tous

  20. Espère Thierry pour toi que l’aide du Père Gola te sera d’un grand soulagement ne sachant pas vraiment ce qui t’arrive, te souhaite un prompt rétablissement.
    ____

    Le long du mur de pierre il est un endroit dont je me souviens : les petites serres du jardin, lieu précieux sur lequel veillait mon père. Tout un cérémonial entourait cet endroit ; nous n’y avions accès, enfants, qu’autorisés et accompagnés pour suivre l’évolution de petits miracles de la nature qui se produisaient à l’intérieur sous les doigts avisés et passionnés de mon père, jardinier remarquable.
    Dans la maison de mon enfance, il y avait trois endroits où nous pénétrions religieusement comme dans trois chapelles interdites: le grenier, la cave et la serre.
    Les vitres de la serre étaient soulevées selon tout un rite pour aérer et maintenir la chaleur à la bonne température. Tout le jardin semblait dépendre de ce lieu, là était toute la genèse des merveilles qui devaient prendre place au bord des allées ou dans les platebandes, semis toutes catégories, plantes fragiles ou rares, expériences de toutes sortes qui devaient donner naissance à des splendeurs futures, ou par des boutures maintenir des espèces particulières.
    C’est beau une serre construite avec amour dans des proportions respectant l’intimité d’un jardin, point de chaleur et de lumière, lieu de naissance et de vie. Elle était belle la serre du jardin de mon père.
    _____

    Bonne soirée à tous et tout particulièrement à toi Thierry.

  21. Merci Monique , en bref rupture du tendon rotulien gauche, et luxation de l’épaule gauche, c’est loin déjà, 6 semaines, mais parfois douloureux, (j’aime pas m’étaler sur mon cas , là ce fut le cas)
    immobilisation totale au lit pendant 3 semaines, depuis débuts en chaise roulante, puis déambulateur, pied qui commence à se poser, marche impossible, rééducation pour fléchir l’articulation…stop
    progrès réels mais bien lents !

    tu m’espantes chaque fois un peu plus par ta capacité narrative formidable

    j’essaie de participer mais l’inspiration fait un peu défaut

    bises à toi et aux voyageurs

  22. Ô lala que cela me fait peur ce genre de *truc, Thierry,
    j’ai tant besoin de mes pieds pour marcher, monter l’escalier, suivre un vécu d’autisme, poufdeouf en ce début d’après midi, car son idée Fixe en tête, même en ciné, alors youpsdehoplaboum ma sandale parfois un peu écrabouillée qui a réussi à se gicler en belles brasses de vie, et TENIR, dans l’intenable, parfois!

    bel rétablissement!

    oui, ta plume Monique est si jolie à lire!
    comme vos plumes ici!
    je manque de précieux temps en, ce moment et cela pourrait m agacer,
    mais autant me dire que c’est juste un passage obligé plus à être dedans,
    c’est ainsi fait de vie telle!

    Prends moi dans ton lasso
    Ma jolie pergola
    Apaise moi bien fort
    Que mes vertiges suivent
    Tu sais les bles les bons
    Ceux qui donnent des ailes

    je vous embrasse, tendre équipage, de bels souvenirs passés, Aujourd’hui son présent, c’est d’un rare de vie! merci!

  23. mais non c’est un truc peu courant qui arrive dans le cas de chocs forts au rugby mais ce ne fut point le cas, surprenant ça vous met à terre et ça vous atterre ensuite c’est force et longueur de temps plutôt que force ni que rage et ça apprend la persévérance et le progrès lent.
    Tout va bien malgré les nerfs à rude épreuve ce week end !
    oui c’est bête comme les pieds mais un fauteuil c’est déjà bien, on faire plein de choses.
    aller sous une Pergola et écouter du Pergolése.

    allez à demain et vive l’oeil ouvert, espace prodigieux de liberté et de partage, de création aussi.

  24. bon, cela va, je ne jour pas au rugby…
    quoique…ma tête dans des sacrés mêlées cet aprem de vie, parfois, avec le Tenir à le garder fermement, comme un ballon précieux qu’on ne lâche pas ou juste pour l’envoyer bien loin dans le filet qui gagne, son bel défi de vie…

  25. Ca chuchote sous la pergola
    Et l’on se rassure sur le pont
    Des essences de glycine
    Et mille autres fleurs
    Viendront-elles à bout
    De toutes ces douleurs
    Oui car il y a le rêve
    Et les images qui défilent
    L’armature des mots
    Point d’appui de nos misères
    Canne et déambulateurs
    De ces âmes affaiblies
    De tourments et d’ennuis
    Ca chuchote sous la pergola
    Et le soleil cette fois s’en mêle
    L’hiver lisse les écorces
    Des troncs qui s’emmêlent
    Quand la sève monte
    Nourrit l’imbroglio de branches
    En gestation de clochettes fleuries
    Viendra le moment
    Où tout sera comme il faut
    La vie aura sa revanche
    D’efforts et de courage
    Qui jamais ne sont vains
    Ca chuchote sous la pergola
    Mais jamais les mots
    Ne laisseront faiblir
    Nos envies de crier, de rire
    De chanter et d’aimer
    C’est comme ça
    Sous la pergola !


  26. « Faut se dire qu’on n’rajeunit pas , ma p’tite Dame ! »
    m’a dit un Doc’ à sa consultation d’hier au soir.

    (çui-là, j’le vois qu’une fois par an :
    c’est vrai qu’il avait pris un p’tit coup de vieux.
    Mais moi pas ! j’ai toujours 30 ans … 40 max …
    – y’a pas de miroir chez les Docteurs -)


    Je ne vais pas déroger à mon ancienne habitude,
    celle qui me fait du bien :

    Bon Anniversaire à tous les « Verseau »

    et sourire à tous les autres.

  27. Merci Bourrache, tu n’as pas manqué à tes bonnes habitudes, et ça fait rudement plaisir, car à quelques jours près, il me souvient qu’ils sont nombreux ici mais qui parle d’âge ? Il n’est question que de lever son verre et de se souhaiter bon anniversaire dans les jours qui viennent, aux premiers, deuxièmes ou troisièmes décans, un verseau est un verseau voilà tout ! Et ce n’est pas rien un verseau ! Il n’y a pas mieux ! enfin….. je n’en suis pas très sûre…. mais cela vaut bien une seule et grosse et belle bougie pour que tout le monde soit content !


  28. Monique : merci pour la bougie.
    Aussi ténue soit-elle, on a toujours besoin d’une petite flamme…

  29. Plafond d’entrelacs d’un vase clos
    Image confuse du cerveau
    Où la lumière s’infiltre
    Dans l’insistance de l’ombre
    Les yeux perdus au milieu des branches
    Cherchant appui et orientation
    Un sens à donner à tout cela
    Une colonne vertébrale à l’imaginaire
    Un fil directeur pour démêler
    L’embrouillamini de la vie
    je cherche….

  30. Prompt rétablissement Thierry!
    Belle histoire Monique sur les serres de ton enfance!
    Toujours plaisir à lire tes poèmes si optimistes Annick!

    A l’écart de tout,
    Oh, les mots entrelassés!
    Petits coins secrets.

  31. ouvre toi, ouvre toi à l’étranger qui ne connais ni le jasmin médicinal, ni les bougainvillées, ni les lilas
    que l’entrée soit parfaite pour amener ce nez sans assener de fragrances complexes et garder le fruité, le mielleux,

    ouvre toi, ouvre toi d’une manière unique et laisse voler foulards et graminées sans égaler les passions sérieuses

    que la montée de sève soit juste et assurée, que le ruban d’effluve soit un fleuve parfumé

  32. Merci Jos on a failli se téléscoper, hélas des complications vont retarder la guérison, des avatars
    pour un zigoto aux abatis numérotés et pas ôtés
    Monique nous invite à un travail de re-souvenance des temps de l’enfance, qu’attendons nous ?
    annick est gaie comme un pinson et formidablement positive
    quand à bourrache elle nous manquait fort

  33. héhé!

    C’est bon
    Si bon de bon
    Quand le pont
    Il se danse
    Car c’est si bon
    De bon
    De se laisser aller
    La douce pergola
    Ouvrir son nez aux fleurs
    Fermer ses yeux rêver
    Ô comme c’est bon *levivre
    Sur ses joues de bel rouge
    En émotions de vie

  34. Bonsoir les amis que votre nuit soit douce sous le ciel étoilé. Chaque étoile brille pour ton coeur mon cher capitaine. Je vous embrasse et vous souhaite une agréable soirée.

  35. ergot là mais pas de seigle et analogie frumentaire
    lingot dort en guise d’argumentaire
    imper qui protège et passe les couleurs des saisons
    habit et habitus, pour une coulée verte
    le feuillage en saison procurera
    l’ombrage nécessaire
    mais dans le dénudé las et passif
    on n’occulte nul massif
    erg ola en guise de marques
    des cailloux tombés du ciel
    pour animer le réel
    et une vague ondoyante
    dans les claies du miracle
    qui détient la clé du chemin

  36. Le ciel est blanc comme une feuille de papier
    Les arbres s’inscrivent en arabesques
    Les oiseaux sautent de signes en signes
    Les lignes de la page d’écriture sont remplies
    Reste dans la marge un espace pour dire bonjour.
    Il règne un grand silence dans le jardin
    Le soleil tarde à se lever, dort-il encore ?
    Les enfants sont à l’école, les rues sont vides.
    Sur une page de leur cahier ils recopient
    Une poésie qu’ils devront apprendre
    Elle est jolie la voici :

    « J’écris des mots bizarres
    J’écris de longues histoires
    J’écris juste pour rire
    Des choses qui ne veulent rien dire

    Ecrire c’est jouer

    J’écris le soleil
    J’écris les étoiles
    J’invente des merveilles
    Et des bateaux à voiles

    Ecrire c’est rêver

    J’écris pour toi
    J’écris pour moi
    J’écris pour ceux qui liront
    J’écris pour ceux qui ne liront pas

    Ecrire c’est aimer

    J’écris pour ceux d’ici
    J’écris pour ceux qui sont loin
    Pour les gens d’aujourd’hui
    Et pour ceux de demain

    Ecrire c’est vivre. »

    C’est une poésie de Geneviève Rousseau
    Je l’ai trouvée sur le cahier de poésie de mon petit fils toute décorée d’écritures faites de soleil, de ballon, d’étoiles, de bateaux et de rêves.

  37. J’ai tourné la page, le soleil est arrivé
    Les rues se sont animées
    Les oiseaux se sont mis à chanter
    Cela ressemblait presque au printemps
    Sur la page du cahier j’ai même vu
    Des petites fleurs sur un buisson
    Elle étaient tout de rose colorées
    Au milieu de mon jardin d’hiver
    Cela semble discordant mais ne l’est pas
    Sous la pergola règne le silence
    Et dans la salle de classe les enfants lisent.

  38. J’ai refermé le cahier à la nuit tombée
    Le ciel est noir les rues se sont vidées
    J’avais oublié mon buvard
    Il y a donc une grosse tache d’encre
    Des mots qui se sont entassés
    Ils n’ont pas su dire le fond de leur pensée
    Les enfants sont rentrés chez eux
    Ils ont fait leurs devoirs, le jardin est noir
    Sous la pergola les branches se sont endormies
    Et la corde du pendu est restée vide
    Au dos du cahier j’ai eu le temps de dire bonsoir.
    Ne m’en voulez pas j’écris pour m’amuser
    Les enfants l’ont récité cet après-midi.

  39. au bout du chaos
    la liane fugitive
    dans sa bulle d’air

    ******************************************************************************************
    Bien jolis et touchants, Monique, la serre de ton enfance, le cahier d’écolier et tes pas feutrés sous la pergola.

    Bonne et douce nuit.

  40. Merci Jacline bonne et douce nuit à toi aussi, (bien entamée il est vrai)
    Tout ce qui touche à mon enfance, voir à ma jeunesse, prend à travers mes mots tout le ressenti que j’en garde, qu’il soit bon ou mauvais, il reste intact. Il me semble ainsi pouvoir en parler assez aisément.

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