Lecture du Haïku Calligramme: centre, haut, bas
l’ange rouge
l’âme du papillon
sur le fil de la nuit
◊ « LE PORTE-PLUME« , un poème écrit par Alain, mis en musique et interprété par Jean-Marie Djibedjan. Merci à eux deux!
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: centre, haut, bas
l’ange rouge
l’âme du papillon
sur le fil de la nuit
◊ « LE PORTE-PLUME« , un poème écrit par Alain, mis en musique et interprété par Jean-Marie Djibedjan. Merci à eux deux!
L’ ange bouge
L’âme de l’oisillon
Sur le Phil est la Nuit
Cela tombe bien dit le poète
En voyant l’âme du papillon
Avec elle je m’envolerai
Sur les ailes d’un ange
Vers d’autres horizons
Dans un rayon de lune
Et le silence des étoiles
Messager passagé
J’aimerais
Être
Papillon
D’obsidienne,
Guerrier
Solaire,
Assoiffé
A qui tu donnerais
à boire
ton nectar,
Désiré
un soir,
tard!
chenille ravageuse,
j’aimerais
que tu sois mienne,
contente
un jour,une nuit,
une vie,
et puis te laisserais
légère
inconstante,
heureuse
filer tes fils
de soie.
Je redeviendrais
Esprit voyageur
solitaire,
larve en son cocon,
Ma dernière demeure.
J’aimerais
qu’entre toi et moi
il n’y ait pas la peur
que juste volète
l’émoi,
je te voudrais
mutine
taquine,
avide
que je butine
tes lèvres rouges
que ton sexe bouge
Hélas,je ne suis pas Ovide
Papillons de toutes les couleurs :
http://www.youtube.com/watch?v=oc2XE4gnGVY
http://www.paroles-musique.com/paroles-Jean-Jacques_Goldman-Envole-moi-lyrics,p2593
Une âme s’est envolée
dans le ciel s’est dessinée
en lettres de pensée
…
magnifique ! belle Ossiane
Avec un petit retard ….mais très émue de vos réactions au suget des plagiats !!!
Cela revient régulièrement et pour mes peintures aussi …que faire??on s’expose toujours
Bravo de le signaler vivement Bonjour Ossiane , et amis par intermittence mais profondément sincère
Le papillon se prend pour une fleur
et la fleur amoureuse d’une étoile
Se rencontreront – il jamais???
Arlette
Sur le fil de sa vie
Le papillon se vole
Retenu bel vivant
Récit du lézard
Pour cause d’amour Protractile
un papillon est mort
Le caméléon
A gobé le papillon
Un rêve meurt
Une fleur
Une strélitzie
Jolie
S Ȏpanouit,
Oiseau de paradis
Gorgée de sève.
Ainsi surgit
La poésie
Amie.
bon dimanche à tous
après une semaine sans internet
petit séjour à la Roque d’Anthéron
et petit détour à Lourmarin et aussi le Le Colorado Provençal de Rustrel
dont Ossiane tu nous avais offert quelques notes superbes
et bien d’autres endroits
merci pour de m’avoir souhaité ma fête
que de remous en mon abscence
mais je vois que les choses se sont arrangées
et que de nouveau visiteurs sont parmi nous je leurs souhaite la bienvenue
annick j’espère que l’orage en autisme est passé
——-
une papillon aimait une chenille
et rêvait d’un cocon soyeux!
il veillait d’un regard duveteux
et la voyait ôter ses guenilles!
chrysalide elle devint,
nimphe des airs et des fleurs!
lui, virevoltait de bonheur!
mais au soir il s’éteint,
quand elle pu s’envoler.
elle resplendissait de beauté,
mais yeux satinées de tristesse ,
éclipsait cette nouvelle ivresse!
Photos pleines de poésie! J’espère faire de même sur mon petit blog 🙂
A vous d’en juger !
http://alamodedegitte.over-blog.com/
++
Vole dans la profondeur
des ténèbres.
Oublie l’infamie
de la toile des peurs.
Dans ce ciel,
le sang des vies
La soif du vide
sur la page
Epines du passé
à peine
délivré
– un temps rêvé.
es.
Comme un puzzle…
Mon coucou fait tic-tac
Danse et pépie sa folie
Jamais un couac
Répète-t-il à l’envi
Pour un beau coléoptère
Il serait prêt
A faire la guerre
A sortir son couperet
Le papillon prit en chasse
Zigzague dans les airs
L’attaque est rapace
Son heure passe
Lors de vos promenades
De salon en forêt enchantée
Méfiez-vous maintenant
De celui qui fait « coucou ».
Là, je m’assieds et je contemple…
Silence… image profonde…
Je pars en voyage… au dedans…
Papillon de jour, papillon de nuit…
Quel est le mystère qui fait l’image belle ?
Prête-moi cette image, je t’en prie…
Que je m’en rassasie…
Mais y aura-t’il une fin pour ma faim ?
Je t’en prie… Ne coupe pas le fil…
Ou alors prends mon sang…
Rouge pour la vie…
Noir, s’il a séché…
Pour que demeure l’image
Bien après mon voyage…
merci Marc pour tes bons mots attentionnés,
c’est mieux depuis mercredi matin, ce n’était pas ma dernière heure,
une huitaine si rude, après déjà un fin de mi mars depuis mi mars rude,
mais c’est passé,
sans attendre le prochain orage!
Chacun est différent
Chacun son libre
D’être de chair
Ou rien qu’en âme
Alors quand parfois
On triture sa tête
Pour se changer
Quitter sa peau
Retrouver l’autre
Et qu’on reste sur un quai
Trahi de promesse
Il faut du temps
Et puis c’est nostalgique
Que de se serrer soi
Sa beauté intérieure
En papillon ses ailes
Son âme jolis froufrous
Tous au plus près d’aimer
Sans rien abîmer de l’autre
Ailes délicates et pures
Sur le fil de sa vie
Si déroutant parfois
Que l’éthique sauve encore
En corps
Amitiés à toi marc, j’espère que tu as aimé ce voyage coloré;-) C’est une superbe région et tu l’as vue à la bonne époque!!
Courage, Annick, mes meilleures pensées, le meilleur est à venir maintenant.
Bienvenue à Gitte, à la belle plume d’Hirondelle, à Nath revenue, à Neyde qui j’espère reprend un peu de souffle et bien sûr à tous les passagers nomades ou sédentaires;-) Bonne soirée!
… Rouge Baiser
…. La forme ailée
du baiser de tes lèvres
….. un papillon
.. Alain
Sur le fil de sa vie
Ses ailes pétrifiées
Dans des laves secètes
D’un volcan en son âme
Le papillon est mort
Dans des coins de quelquepart
Naïf bien trop confiant
Ne s’est pas protégé
Et ses antennes à lui
Tenaient tant des promesses
Croyant tant celui devant
Mais la vie c’est pas cela
C’est souvent des mensonges
Des rêves tendus de faux
Et quand on n’y croit plus
On est à moitié mort
Dans ce monde inconscient
Qui parle à tous vents
Des mots c’est du sacré
Aussi haut qu’un cantique
Les mots de l’âme tellement
Méritent de parler juste
Pour se garder vivant
Papillon de nuit,
attiré par la lumière
brule ses ailes
dans la sphère
de la chandelle…
Bonne journée à tous
comme c’est joli, Alain,
pour commencer ce lundi…
BELLE JOURNEE POUR CHACUN!
Magique, Jo.S,
allez youps, direction la navette dans peu de temps….
La main fleure à peine les pétales
Et le fil se murmure
Belles ondes silencieuses
Que seul le doigt ressent
Là en tout Là en dedans
Instant marqué bel rouge
D’un passionné moment
belle journée!
Le fil rouge
Toute œuvre d’art est le fruit d’une passion
Une réponse donnée aux interrogations
Une traduction dans la matière ou par les sons
De nos émois une interprétation
Tous les travers humains servent de toile de fond
Chez l’homme âgé souvent le sang est à l’honneur
Chez les plus jeunes ce sont les ailes de papillons
Qui servent de fil rouge
Alain
C’est joli, Alain,
de bels mots, en ce matin de Printemps froid à l’Ouest, les bouts de doigts gelés en séjour.
Les ailes saisies
Son être
Se vivent en tout dedans
Dans la beauté belle grâce
Qui ne laisse rien saisir
La dévoile c’est risqué
Se protéger c’est vital
Pour conserver ses ailes
Toute sa vie pendant
Son être
–
Pays qu’Alice connaît.
Aux corolles fuschia
oreilles de lapin
petit bonnet d’âne
pas mis au coin
mais au coeur du rêve.
Là-bas, là-haut
derrière le rideau
dans le ciel vert
j’entends les crépitations
des feux d’artifices
d’un monde à l’envers.
Et sur ma page blanche
le messager ailé
l’ange sans merveille
une goutte de sang
a posé.
–
Message
Bien plus me plaît le sein des femmes gonflé de lait
Qui attire les mains des hommes tatillons
Comme le calice des fleurs empli d’un suc épais
Voit se presser les ailes des jolis papillons
Que l’or rayonnant qui découle des astres
Ou que celui sonnant qui tombe des palais
Qui fait des hommes sensés des ânes ou des valets
Et est la cause sur terre d’innombrables désastres
Alain
Merci Annick !
Message in a bottle
some butterfly
that push the throttle
Red in hand
red in out
ready to send
no dark angel
J’ai fait taire les mots
De peur qu’ils chantent faux
Sur les cordes des anges
Messagers mélancoliques
Des abysses de mon âme
Froides et ténébreuses
Ne retenez que l’écho
J’ai le blues,blues…..
c’est fort joli, Monique,
tes mots sont mes pensées de ce matin.
BELLE JOURNEE POUR CHACUN.
Quelle vraie et miraculeuse beauté, avons-nous la chance de contempler ici !
Grand merci Ossiane.
Savez-vous que « Tout ce qui vole n’a pas toujours des ailes ? »
http://emmacollages.over-blog.com/article-c-est-trop-d-la-balle-41886380.html
Bonne journée,
eMmA
Un poème
Dès que souffle l’esprit je songe à voyager
Je plie et je déplie mes ailes vagabondes
De tous les cœurs épris je suis le messager
J’emporte les écrits partout autour du monde
Sur un tapis de feuilles je suis le passager
Alain
Messager de son temps
Le fil pose ses ailes
Et glisse quelques mots
_____
Papillons des quatre vents agrippés au bout des branches
Aujourd’hui remuent leurs ailes dans le vent qui les malmène.
Papillons verts qui ne volent qu’en automne
Pour aller mourir et nourrir la terre de l’hiver
Verrez-vous grandir vos ailes, connaîtrez-vous l’été
Dans le vent qui souffle plus qu’il ne frissonne
En bourrasques dans le printemps du mois de mai.
_____
Papillon bel
Son délicat
Pose toi tendre
Le fil de vous
Papillons
comme des coquelicots parmi les champs de blés
Comme se croisent et s’entrelacent les rubans
ils flottent au gré du vent en remuant les ailes
Comme on plante une épingle au travers un tissu
Pour fixer un ruban au rebord d’une veste
C’est une décoration dont les fleurs font réclame
Quand il embrasse une fleur c’est pour goûter son suc
Comme on ferme une bouche au moyen d’un bâillon
Quand il agite ses ailes recouvertes d’écailles
Comme sort un mouchoir pour écraser des pleurs
C’est un appel discret comme un sourire canaille
Un signe de ralliement à la cause des fleurs
Comme un rouge baiser à la base du cou
Dans un bruit de succion laisse une marque rouge
Il passe du bon temps auprès des jolies fleurs
Où il vient s’appuyer les ailes repliés
Alain
Au chemin de la lande
Sphinx, Cuivrés,
Hespéries, Azurées,
Volètent dans l’air tendre
Sylvains, Nymphales égaillent la campagne
Vanesses, Écailles souvent les accompagnent
Apollons, Satyres, Porte-Queue
Rodent dans l’herbe bleue
Mars et Géomètres, Noctuelles et Damiers,
Processionnaires survolent le sentier.
messager d’Icare
dans la nuit arc-en-ciel
flèche incandescente
******************************************************************************************************
Image en résonance…
Que seraient les créateurs sans droits d’auteur ? Qui écrirait ce rêve sur l’âme des papillons – ci-dessous l’Utetheisa pulchella – comme la plume de Frédéric Clément penchée sur sa fabuleuse collection d’ailes ?
« Des mots me brûlent les lèvres. Braise. Charbon de bois. Pourquoi ?
De dos, un homme dessine à même le mur un cadre, des volutes, des ronds, des traits, des points, des étoiles autour d’un minuscule miroir,
pendu à un clou.
Dedans, une femme peint sa bouche.
Rouge braise.
Je vois. Au-dessus des volutes, l’homme aux doigts de charbon de bois dessine deux colombes. Entre les deux becs, il écrit Lola. Lola pique un oeillet dans ses cheveux de velours lourd. Voilà le tableau. (…). »
Frédéric Clément
(Muséum, Petite collection d’ailes et d’âmes trouvées sur l’Amazone,
Ed. Ipomée – Albin Michel)
Papillon blanc
par la brise légère
virevolte sur un champ de lavande
Papillon jaune
par le duvet de ses antennes
caresse les hibiscus rouges
Papillon d’or
par un battement d’ailes
rafraichit les bougainvilliers
Papillon rouge
par le blog d’Ossiane
murmure des mots tendres.
C’est toujours avec le même plaisir que je visite ton blog. Un véritable régal !
Chère Ossiane
à propos de la réutilisation des images issues d’Internet
j’ai trouvé ce jour un article dans la revue archimag N° 223 d’avril 2010
intitulé « droit: réutiliser des images issues d’internet…prudence!
qui sous la plume de didier Frochot nous explique la situation légale actuelle
à partir de l’examen du contexte, des acteurs et de leurs droits.
Est cité en bibliographie une décision d ela cour d’appel , 4éme chambre du 14 mars 2007 : http://www.legalis.net/jurisprudence-decision.php3?id_article=1926#
Bref une petite contribution au débat de l’autre jour
Un coeur rouge fendu
Déguisé en papillon
Funambule le fil
Stoppé dans ses élans
Il s’est figé l’instant
Sans se brûler les ailes
Ce sage bel muet
A l’oeil ouvert
Tellement
Un fil bel embrassé
De rouge petit pot
Qu’on applique au pinceau
Tout au bord de ses lèvres
Le fil syncope un peu
Puis il s’évanouit
Parcouru de belles ondes
Bonne nuit
____
Sur un air de jazz
Souvenir des longues nuits
Un noeud papillon
Sur la branche se balance
Un vestige de nostalgie
___
Au terme d’un voyage qui lui avait semblé interminable,
le Minuscule avait enfin trouvé un endroit où se lover
… et s’implanter
Un paysage théâtral et grandiose
autour de lui un royaume incandescent
de taffetas et velours pourpre
chatoiement et douceur
l’atmosphère protectrice était presque palpable
au loin, un bruit étouffé, rythme … par moments plus saccadé …
Petite âme rouge dans l’aube naissante
papillon rose si frêle et si espéré
Etre minuscule … miracle de vie
Chère Ossiane,
je me permets de copier coller mon texte qui était destiné à illustrer « le messager » …. j’avais dû me tromper ! je rectifie 😉
Pas de souci Hirondelle, fais comme chez toi;-)
Il aurait voulu soulager mille maux
et porter tout au long ces maîtres mots
il n’en fut pas capable s’en était trop
il était intarissable comme source de savoir
et savait bien montrer où étaient les devoirs
il portait au loin la parole magique
et tissait sans fin des liens poétiques
il avait faite sienne la maïeutique
et partait dans des questions sans fin
ce messager peu ordinaire n’avait pas son pareil
pour annoncer et avancer
oh jamais des billevesées
puisque dans l’écoute était versé
mais pour tendre des nouvelles
il devait rechercher la moindre parcelle
de vérité dans ses voyages
Ses chevilles ailées faisaient de lui un serviteur zélé
au pays des zélotes ils touchait aussi les ilotes
car ceux qui voulaient tout renverser
pouvaient par une lecture être transportés
le fait de venir de loin donner du soin
prouvait que la poussière du voyage
n’altérait point la force du message
les distances n’abolissaient pas le temps
et les stances ranimées trouvaient vigueur
devait il pour autant ménager sa monture
pour sa destination atteindre à coup sûr
mille périls et embuches le guettaient
qu’ils lui fallaient à tout prix éviter
mais sa récompense était grande
quand arrivé il pouvait enfin délivrer
ces nuages de mots qui remplissaient
la nuit du silence et son obscurité
jettant cette belle lumière sur les visages
Les papillons ne se posent jamais
Au même endroit n’est pas ?
Et savez-vous pourquoi ?
Ils n’ont pas le temps !
Chaque battement d’ailes les rapproche du néant.
Ils butinent, ils voyagent
Sans penser à hier
Et jamais à demain
Ils prennent le meilleur,
Délaissant le passable,
Tels des ogres affamés de bonheur.
Ils délivrent leurs multiples couleurs
A nos yeux émerveillés.
Ils goutent tous les parfums exquis
Qui peut-être prolongeront la vie.
Que ne suis-je pas un papillon ?
Une vie de quelques heures,
Sans répéter les erreurs,
Sans rêves inassouvis
Libre comme l’air
Absorbant la lumière
Ignorant les frontières
Sans ennemi.
Ah Bouddha si tu m’entends !
Tu sais ce qu’il te reste à faire !
Au chemin de la lande
Sphinx, Cuivrés
Hespéries, Azurés
Volètent dans l’air tendre
Sylvains, Nymphales, égaillent la campagne
Vanesses, Écailles souvent les accompagnent
Apollons, Satyres, Portes-queues
Rodent dans l’herbe bleues
Mars et Géomètres, Noctuelles et Damiers
Processionnaires survolent le sentier.
Bouddha, Agis!
» Certains papillons sont des âmes » : dans un coffret de bois vert – « Museum. Petite collection d’ailes et d’âmes trouvées sur l’Amazonie « , Frédéric Clément, le poète entomologiste, met en scène douze papillons de sa collection en douze âmes de personnages.
Aurait-il vu « Le messager » de l’image ? En tout cas, le Cymothoe coccinata dans sa robe écarlate lui évoque une « Nuit noire sur la mer Rouge » :
« … Port de Moka. Anko, onze ans, onze heures et onze cents sacs de café à charger dans la cle du cargo Dumbea Fox.(…) Je vois. Une femme fume. Belle. Immobile sur la passerelle. Elle. Un long. Un long. Deux courts filets de fumée sortent de sa bouche. Sa robe bouge. Rouge autour d’elle. Aile. Anko ferme les yeux, ferme la cage sur l’oiseau rouge aux longues jambes, blanches de Nil et de Nylon. »
dans la cale du cargo Dumbea Fox.
A peine croyable…
Cette fois je n’a pas repris les commentaires du début à la fin.
Je viens de le faire bien après avoir envoyé celui d’aujourd’hui, et je vois une autre citation de Frédéric Clément dans Muséum. Ah ! Quelqu’un m’a précédée dans l’âme des papillons !
Cela m’aurait fait plaisir. Mais oh surprise, c’était encore ma signature le 4 mai 2010…
Cela vaut vraiment le coup d’oeil de remonter dans le temps…
Désolée encore d’une saisie sans relire.
Je n’ai pas repris etc.