Nombre de billets : 7
A l’ouest, rien de nouveau… une petite amélioration cependant, 7 billets ce mois-ci et toujours un certain nombre de passagers irréductibles et talentueux à bord… bienvenue aux nouveaux et merci à tous!
– Articulation du Voyage: Sur le fil de la vie qui coule… entre les CINQ ans de L’Oeil Ouvert au bord du monde, le fil d’une PROMESSE à venir, les frêles tiges du SENSIBLE, le VOYAGE intérieur au fil de soi, le TRACÉ de signes obscurs, la VOIE de l’arbre des possibles, l’aile tigrée prête à RECEVOIR la lumière …
A Nath de jouer en mots ailés, ce mois-ci ! Alain et Jean-Marie sont de la partie également! Merci à eux trois!
◊ « VOIE DE GARAGE« , un poème mis en musique et interprété par son complice Jean-Marie Djibedjan. .
Merci et Bravo Nath pour ce merveilleux VOYAGE sur le TRACE tout en douceur et finesse de ces notes de ce mois où les images comme une belle page d’écriture ont suscité les mots SENSIBLES que nous avons pu lire ; résultat de CINQ années de rêves dont Ossiane est l’auteur persévérante et admirable, nous conduisant de notes en notes sur les VOIES ascensionnelles de la poésie. Images, mots, calligrammes, autant de PROMESSES pour enfin RECEVOIR au prix de patience et d’espoir toute la lumière du printemps dans l’œil et le cœur ouverts à la Beauté.Merci à Alain et son ami pour nous avoir invités en musique à faire ce voyage et assister à ce travelling au travers des beautés de ce monde. Bravo, joli, j’ai aimé.
Merci Ossiane Merci Monique
Biz
Alain
Merci Monique et bravo aussi à Alain et Jean-Marie.
Merci encore à ossiane de publier ces belles notes etde laisser un grande liberté.
Bonjour à vous, je m’interroge et ai besoin de savoir … arrivez-vous à déposer des commentaires car cela est apparemment impossible pour certains? Faites-moi signe ici ou par mail… bon week-end avec ou sans cloches, je vous embrasse et vous souhaite du soleil !
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Essai
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Cela fonctionne !
Comme quoi, la Belgique, c’est pas le fin fond de la brousse…
Clin d’oeil et biz à tous.
–
arrivera arrivera pas….
merci à Nath pour cette fresque de mots
et aux complices…pour tous les poeme en musique
voyons voir si ça fonctionne
./..-/.-././-.-/.-
-.-./.-
–/.-/.-./-.-./…./. !!!
Essais pour Monique…
Très bizarre pour envoyer un commentaire sur les conseils de valérie, un petit système D, puisqu’elle avait le même problème que moi sur son ordi.
Pour avoir le curseur pour le nom, cliquer sur obligatoire
pour avoir le curseur pour le Mail , cliquer sur obligatoire
et pour avoir le curseur dans la case des commentaires, utiliser la touche de tabulation sur le clavier…. étrange non ?
et pas tout à fait logique, est-ce que Phil alba, Thierry, Bourrache et Marc ont eu des difficultés ou non ?
Ce serait dommage que ces petits ennuis entravent la venue sur ce site pour dire à Nath combien son sommaire est joliment composé .
J’envoie ce petit roman pour voir car c’est étrange comme façon de procéder.
Merci à tous pour vos écoutes et commentaires !
Et bravo pour la qualité de ce site !
Jean-Marie
Il était une fois dans, un pays appelé « l’Oeil ouvert »,des dizaines de matelots qui avaient pris l’habitude d’embarquer sur le même bâteau.
Certains se retrouvaient depuis plusieurs années . Quelques uns s’étaient éclipsés au fil des ans mais d’autres étaient venus enrichir ce merveilleux équipage.
A la barre le capitaine Charlie-Ossiane officiait sans discontinuer.
Elle sentait ses forces diminuer de jour en jour tant ce voyage lui demandait de l’énergie, de l’imagination, de la réflexion, de la diplomatie, du courage et du temps.
Bientôt le temps lui manqua et elle sentit poindre le moment ou elle ne pourrait plus maintenir le cap si elle ne faisait pas une longue escale pour recharger les batteries.
Les matelots comprirent fort bien les motifs du capitaine. Ils l’encouragèrent à prendre du recul. Au cours d’une escale ils l’a déposèrent à la clinique « Au bon repos » ou elle avait déjà séjourné il y a un peu plus d’un an à la suite suite d’un fort choc émotionnel.
Au revoir Charlie-Ossiane clamèrent ils en choeur.
Personne ne vit le léger tremblement sur les lèvres du capitaine. Elle avait le sentiment d’abandonner un peu ses enfants. Elle s’y était tellement attachée au fil des années et des voyages !
La traversée continua mais le dynamisme s’en ressentit profondément. La joie de vivre avait disparu.
Le capitaine partit, c’était un peu l’âme du bateau qui disparaissait.
Certains prirent un peu de recul afin de méditer sur le sens de la vie, d’autres tenaient la barre vaille que vaille résistant aux bourrasques et aléas de la vie.
Le matelot « Toto » se sentait triste et déprimée. Plus personne pour se chamailler avec elle, pour l’asticoter sur son champignon hallucinogène. Elle se sentait en manque de capitaine, en manque de bêtise. Monique tentait tant bien que mal de lui remonter le moral mais rien n’y faisait.
Un jour, Monique retrouva la Toto inconsciente sur le pont. Contre vents et marées elle appela du secours et la Toto fut transportée à l’hôpital le plus proche.
Alors docteur ! Qu’est-ce qu’elle a notre Toto ? Interrogea Monique
C’est le coeur répondit le médecin. Il est fatigué et il va falloir faire une transplantation de toute urgence. On a l’impression que c’est une personne qui a beaucoup donné
Pensez donc fit remarquer Monique. Elle a toujours eu un coeur gros comme ça fit elle en mimant un coeur de la taille d’une voiture. C’est la bonté et la générosité même not’Toto !
Alors il va falloir trouver un donneur au plus vite sinon le pronostic vital risque d’être engagé.
Monique réfléchit un moment et demanda au professeur :
Et s’il y avait plusieurs donneurs ! Ça pourrait fonctionner ?
J’ai peur que vous n’ayez pas bien compris ma chère Madame. Pour donner son coeur il faut avoir trépassé ! rendu l’âme si vous préférez ! En un mot comme en cents être capoute de chez capoute. Vous en connaissez beaucoup des donneurs volontaires en bonne santé vous ?
Il y a méprise mon ami le rabroua Monique. Je me demandais si plusieurs volontaires consentaient à donner un bout de leur coeur ! Ça pourrait aller ?
Un coeur en patchwork si je vous suis bien !
Exactement !
Il est vrai que la science a fait des progrès considérables au cours de ses derniers mois. Ma foi ! Pourquoi pas !
Vous me promettez que not’Toto a une chance de s’en sortir ?
Promis ma p’tite dame !
Youpi ! Exulta Monique
En un temps record elle contacta les compagnons de voyage aux Etats-Unis, au Brésil, en Belgique, et en France.
Tout le monde sans exception répondit présent sans l’ombre d’une hésitation.
Bientôt tous débarquèrent sur le petit aéroport de « Coeur d’Artichaut ».
La Lou s’enthousiasmait. On est un peu des « coeurs à prendre » si je comprends bien. Et elle partit dans un grand éclat de rire. Monique la regarda avec reproche mais Lou lui dit bien vite.
Ne t’inquiète pas ma petite Monique. Je connais la gravité de la situation mais j’ai besoin de rire lorsque je suis très stressée. J’ai d’ailleurs amené mon ballet pour me changer les idées.
Aussitôt dit aussitôt fait elle epousseta monique des pieds à la tête.
Monique leva les yeux au ciel et tenta de garder son calme.
Moi je donne un peu de mon coeur et celui de mon cheval préféré prévint Christineeeee.. Je ne peux lui faire plus beau cadeau. Cela lui portera bonheur j’en suis sûre.
Alors ma petite dame je vous en mets combien des coeurs aujourd’hui ? Criaient les deux Bourrache
Deux ça m’arrangerait répondit Arletteart
C’est pour consommer frais en salade et c’est pour les faire cuire
Que nenni mes bonnes dames c’est pour une transplantation !
Et toutes les trois partirent dans de grands éclats de rire.
Chacun se retrouvait, chahutait, se disputait, s’amusait, riait comme au bon vieux temps.
Soudain, un grand silence se fit lorsqu’ils aperçurent Charlie-Ossiane. Elle aussi avait tenu à donner une partie d’elle même pour rendre la vie à la Toto.
Bientôt le grand jour arriva. Chacun fut dispatché dans une chambre et les opérations commencèrent. 45 morceaux de coeurs furent transplantés dans la Toto.
Chacun se demandait avec anxiété s’il reverrait un jour la Toto telle qu’en elle même.
Deux jours plus tard le médecin les appela. Devant sa mine défaite ils s’attendirent au pire.
Mesdames, Messieurs, j’ai le regret de vous dire que malgré tous nos efforts nous n’avons rien pu faire !
Mais ce n’est pas possible Docteur intervint le capitaine
Poisson d’avril hurla le médecin. Ha ha ha ! Je vous ai bien eu ! Je la referais l’année prochaine celle-là. Entre nous c’est un sacré phénomène votre Toto. La première chose qu’elle nous a réclamé c’est une sandale !
Les matelots se regardèrent avec étonnement puis s’élancèrent tous ensemble dans la salle de réanimation.
Messieurs Dames ! Doucement intervint l’infirmier
La Toto était allongée sur le lit. Elle adressa un clin d’oeil complice à tous ses camarades de jeux, balança ses orteils de bas en haut et entonna :
ET YOUP’S LA SANDALE !!!!!!!!
Youpi crièrent les autres ! VIVE LA TOTO !
Bravo à Nath pour ce sommaire de mars et merci à monique pour ses précieux conseils pour publier. Sans elle je n’y serais pas arrivée.
Hello Monique,
Je n’ai rencontré aucun problème et n’en rencontre toujours pas
que j’écrive en morse (ce qui reste des caractères ici) ou en alpha…
à 16 h 46, j’ai tout simplement écrit : « Eureka ca marche »… sans cédille et sans accent… of corse !
Il est si gros si gros ton poisson d’avril Rachel, j’ai bien envie d’en faire une bouillabaisse, il est si drôle si drôle que j’en souris encore, elle est si belle, si belle ton histoire, parce qu’elle est vrai de vrai au fond et c’est ce qui soude l’équipage si fidèlement autour de son capitaine, qui pendant ce mois de mars nous a offert une série de notes d’une grande beauté, d’une grande finesse et d’une sensibilité à fleur de coeur.
Restent quelques problèmes quant à l’utilisation du blog!! il semble que Rachel rencontre les mêmes problèmes.
merci Phil alba, nous ne sommes donc pas tous logés à la même enseigne, car ce problème n’a rien à voir avec mon matériel à priori, Valérie a rencontré le même problème que moi.
Merci à tous pour la qualité de vos écrits.
Bonne journée
Un gros souci pour poster , effectivement !
ça ne marche plus
Bonnes fêtes de Pâques pour tous, c’est galère, il faut jongler, ne pas faire de fautes car impossible de revenir en arrière sauf en partant de la fin, bonjour si la faute est en première ligne, on efface tout et on recommence , quant au copier-coller, inutile d’y penser, impossible sur tout le blog d’ailleurs, ça s’appelle comment ça déjà ? c’est d’actualité !!! Allez passez de bonnes fêtes quand même. Ossiane ne t’en fais pas, pas grave, il y a toujours des solutions à tout. Ce n’est pas vital.
Bonjour à vous!
Bravo rachel, tu m’as bien fait rire moi aussi;-)
Je reviens à mes moutons… il y a des problèmes techniques sur le blog pour déposer des commentaires. Pour élucider le mystère, j’ai besoin de connaître votre démarche dans le détail. Rachel m’a décrit la sienne, je vous la livre.
» si on se mets sur le nom, sur le mail ou dans le cadre pour écrire avec la souris le curseur n’apparait pas et on ne peut rien écrire. »
Dites-moi s’il vous arrive la même chose ou pas. Si c’est un problème de cuseur, cela a à voir avec le javascript et c’est l’affaire du Monde auquel, j’enverrai un mail. Si c’est autre chose, décrivez-le moi. UN conseil, videz votre cache pour remettre les compteurs à zéro. Bises
Des cils mouillés sourires, rachel, des petits yeux phares lumineux devant les mots crépitants de douceurs.
Bon je me lance à envoyer,
à vous lire cette planète est devenu un paradis hors du commun, fortement sécurisé…SOURIRE!
je tente d’envoyer….
et cela marche,
je vous relis ce soir,
mais déjà comme c’est beau Nath, sur ce sommaire de Mars,
Alain et Jean Marie j attends d avoir du son, pour vous entendre….
BRAVO OSSIANE!
je vous tends ma menotte pas fort chaude,
il fait un avant Pâques glacial avec un vent d’Ouest qui souffle très fort!
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Toujours aucun problème depuis la Belgique.
Tout fonctionne impec’.
Avec bonnet, écharpe, gants et grosse doudoune, joyeuses fêtes à toutes les cloches.
Oh, pardon !
Joyeuses fêtes des cloches à tous.
–
(oui, bon, je sais…)
–
^_^ et biz.
–
en effet si on se met sur Nom, Mail ou cadre de commentaire avec la souris, le curseur n’apparaît pas et l’on ne peut pas écrire, si ce n’est ce moyen découvert en cliquant sur Nom à droite du cadre, sur Mail à droite du cadre et la touche tabulation pour le cadre des commentaires, mais je me répète, aucune correction possible, aucune possibilité de copier-coller, ni d’effacement sauf en fin d’écrit, pas nom plus de barre de navigation à droite du cadre commentaire, ce qui ne permet pas de relire l’écrit. je ne sais pas si j’ai bien expliqué, c’est pour toi Ossiane afin que tu saches ce qui se passe comme tu nous l’as demandé.
Sur l’ensemble du blog, vouloir par exemple reprendre un écrit est impossible.
Pâques ici s’annonce bien gris et bien maussade, alors j’ai fait une grande table toute jaune pour simuler le soleil. Bonnes fêtes à tous.
Hello captain, équipage et voyageurs du bateau d’O.
Le sourire dans la goutte de pluie et le rire garanti par Rachel , on continue en net oyant le pont … merci Nath et Alain.
Bon lundi à tous et que l’air vous soit doux 😉
Bonjour à tous, joyeuses Pâques!
Bienvenue à Karine! Bonjour Lou d’Amérique, il faut continuer à nettoyer car je rame toujours;-) Le pont n’a jamais été aussi propre!
Le problème pour rentrer les commentaires est réglé. Pour faire un copier coller de vos textes, utilisez la combinaison Ctrl C.
Bonne après-midi!
Des rayons de poésie
un chemin où montent les couleurs
de chaque page
Goûter le privilège
de l’amitié
Crever c’est pas rêver
Rêver c’est s’envoler
Dans son pays joli
Où la vie tendre douce
Câline berce l’âme
Et emporte le corps
Dans un joli ballet
Qui rime en vérité
Dans le pur de la vie
A être de bel vivant
Au pays de son âme
Au pays de son corps
Au pays de son coeur
Si fort de fort
Ensemble
C’est grand d’être vivant
Et de toute humilité
De remercier tellement
La vie qui offre autant
Merci Nath, pour tes mots,
ils sont bels essentiels,
car parfois la vie rude,
se fait bien trop entendre,
et ne pas arrêter de rêver,
c’est se garder vivant,
et puis tenir l’espoir,
de la vie de la vie,
au bout de ses petits doigts,
à déguster belle bonne,
pour boire à la santé,
en entendant chanter,
et toucher cette vie si belle,
à fleur de peaux, tellement,
qui nous ressemble.
La vie parfois ses gouffres
A se briser dedans
Alors ouvrir ses ailes
Décoller ses gluants
De vie bien trop épaisses
Et s’envoler léger
Se la saisir la vie
Dans son bel
Dans son pur
Dans ses beautés certaines
Si pas de vérités
Dans ce monde bizare
La beauté partagée
Est une vraie de vraie
Une mer si jolie
Qui se donne à nager
Sans jamais se noyer
Un voyage bel sensible….que la voie du recevoir…le tracé tendre joli d’une promesse de vie….les cinq sens en émois….se vibrent le coeur battant….le cil s’ouvre et se ferme….pour la remercier la vie…les mots restent muets… tout est tellement de tant…la main en arc en ciel vénère ce Printemps…l’oreille se fait silence pour vivre sa présence….le palais se prépare pour un festin des simples, des essentiels de vie, dans la douceur d’aimer….
Merci à vous Nath, pour cette charmante rêverie, à la fois drôle et à porteur d’ un beau message, donner un bout de soi à l’autre et tous ensemble réchauffer et faire battre son coeur.
Bonsoir à tout l’équipage !
PS. aucun souci pour moi pour publier
« Un voyage bel sensible…… » un joli texte Annick sur les « cinq sens » qui font apprécier la vie dans son essence même, un petit texte passé sans que je le vis et qui ce matin se découvre avec la même joie qu’un petit chocolat resté caché dans le jardin au lendemain du passage des cloches de Pâques;-)
comme c’est joli, Monique,
tu vois, moi ce qui me craquote tendre douce,
c’est quand en ouvrant un tiroir, je trouve un paquet de chocolat oublié, caché en jeune age car mon fils autiste trop gourmand, et il fallait cacher vite et la tête si pleine,
à présent, il m’arrive de penser avoir tout manger, les barres dans ma cache secrète et quand…..une barre encore…je la savoure en temps, tellement avec douceurs, en appréciant chaque éclat de noisettes,
belle journée, Monique et chacun, à se pépiller un bel souvenir en friandise, un truc de vrai de l’instant si bon quand il passe! Bises..
La tendresse, l’essence de la vie, la vie!
Merci de vos mots echos …
Bises et bonne journée
il m arrive de penser avoir tout mangé…
merci d’être indulgent avec mes fautes émotives…