Lecture du Haïku Calligramme: de bas en haut
Du grand au petit
opulence et dénuement
air indéfini
◊ Les bords de Marne.
♥ Vous avez jusqu’au 20 décembre pour m’envoyer vos deux Coups de Coeur Photo et Calligramme de l’année 2008 (référez-vous à la note “Coups de Coeur” pour avoir les modalités).
Quand vous choisissez votre CALLIGRAMME PRÉFÉRÉ, il faut tenir compte non seulement du HAïKU mais aussi de l’IMAGE sur laquelle les mots sont intégrés. Pour moi, le calligramme est un tout. Si certains d’entre vous l’ont choisi en ne faisant attention qu’au texte et qu’ils veuelent changer leur choix, il est possible de me proposer autre chose jusqu’au 20 décembre.
Aidez-vous de L’Album pour vous plonger dans les images à partir de la note Caravane de l’an 03. Tout le monde est invité à participer, qu’on soit poète ou simple passant, visiteur volubile ou silencieux …
tends la main et vois
au dialogue des deux brindilles
le ciel blanc et rose
sous le feuillage
point de terre à l’horizon
juste, l’élévation
Silence de soie
Bruissement de ronds dans l’eau
Infiniment beau
***
J’aime,,, c’est très beau … merci
dans le miroir de l’eau
de la beauté aérienne
autre profondeur
Lettres folle à lier….pour des larmes de couleurs…des cris de papier….des mots sans douleur….Des paroles sans l’air…une respiration…étrange atmosphère…pour une création…
C’est un air indéfini…une chanson sans histoire….la dérive d’un miroir….entre rives et délit…C’est un murmure que l’on file…des mains qui s’enlacent…le regard de deux cils…et les souvenirs d’en face…C’est une pensée que l’on glisse…sur des lèvres devinées..un parfum de réglisse…dans l’enfance oubliée…C’est un matin d’hiver..entre rêve et réalité….pour quelques mots à l’envers…et des airs égarés…
C’est le sable dans la mer…et une mère regrettée…une douce atmosphère…et des lettres déliées…
Je l’avais bien dit qu’Ossiane allait bouffer le cygne…
Il est plus là. 🙂
au commencement…
dialogue entre Deux
Infiniment précieux
une onde géante s’invite
un nouveau Un
dialogue entre Un et un des Deux
Infiniment amoureux
mais, Deux et Deux
Ne peuvent faire Trois
au final….
il ne reste qu’un nouveau Deux
le Un restant doit faire son deuil
Deux et Deux
font Deux
CQFD
___
L’écriture verte
Pose ses feuilles
Sur les rides
De l’onde
Sans cris
En chuchotements
Une chanson
Dans l’air
Se meurt
Taches-fleurs
Mauves
Souvenirs-fleuves
En deuil
L’arbre,
A l’eau,
Confie
Ses os
___
……………………………….
des ondes et sonars
sous marins dans les nuages
poème acoustique
…………………………………
andrée wizem
sous l’alcôve de silence
tapissée de ciel et de feuilles d’acanthes
la nature semble endormi!
pourtant un monde invisible et infini
fourmille dans l’intimité de l’air et la terre
belle journée à chacun
beaucou de douceur…enfin presque…toutefois les cygnes savent t’il prendre les photo
-Père, pourquoi ce dos courbé?…-J’ai plié sous l’infiniment profond en soi…-Père, et le long de ta tige,ces bourrelets noircis?…-La vie, mon petit!… -Derrière toi, onde d’eau va te pencher vers moi!…-Ce sera mon baiser Petit, sous le frêne, des lampions de feuillage, ombre divine, recueillement de cygne…Écoute la nature, elle murmure à nos cœurs toute sa bonté.
éternellement
l’écho bleu
réverbère.
C’est joli, de la rêverie, des fleurs fort belles se coulent des jours heureux au bord de l’eau qui s’écoule son jour…
Sancho, Quichotte
jetés en noir contrepoint,
à la lisière
du plat miroir gris mouvant,
comme des ambassadeurs
de la chanson des arbres,
bloquant, regardant
la très lente glissade
de la masse d’eau
Miroir de l’eau , reflet des mots …
.
* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * *
.
De petites précisions à propos de votre deuxième coup de coeur :
Quand vous choisissez votre CALLIGRAMME PRÉFÉRÉ, il faut tenir compte non seulement du HAÏKU mais aussi de l’IMAGE sur laquelle les mots sont intégrés.
Dans mon esprit, le CALLIGRAMME est un TOUT.
Si certains d’entre vous l’ont choisi en ne faisant attention qu’au texte et qu’ils veulent changer leur choix, il est possible de me proposer autre chose jusqu’au 20 décembre.
Vos coups de coeur continuent d’arriver petit à petit;-)
Merci de votre attention;-) Vous pouvez reprendre vos activités;-)
A tout à l’heure pour mes commentaires!
Ossiane
.
* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * *
.
Avant de partir, je te lis, Ossiane,
je suis étonnée de ce choix de calligramme,
je pensais avoir compris qu’il fallait choisir une image et un haiku….
ou alors, effectivement si le calligramme choisi pour image, je partage avec toi, le haiku étant inséré en écriture, c’est un tout…
et puis, je redis, que c’est impossible de choisir, depuis le choix, tant de belles images encore et tant de beals haikus, et puis tant d’autre, des dix et dix sur cette année, et chaque année passée..
un choix c’est tellement impossible, c’est tellement déjà deuiller les autres, et c’est dur de deuiller quand tout est tellement beau…
Bel après midi, je t’envoie du grand soleil, et à chacun…BISES.
Glissant dans l’onde comme un songe
De la branche du frêne surplombant l’eau
La couleuvre déroule sa plonge …
Fera-t-elle surface à la menthe pouillot
ou entre ces bouts de bois piqués plus haut ?
Elle aime
Infiniment
C’est son péché
Mignon
Qui la guide
Son être
.
>Petite mise au point rapide pour qu’il n’y ait pas de confusion, Annick…
Il fallait choisir en coup de coeur n° 1 une PHOTO ORIGINALE
Il fallait choisir en coup de coeur n° 2 un CALLIGRAMME travaillé à partir d’une photo que j’appelle une IMAGE
As-tu bien compris ?
.
Dans une eau cristalline
Des nuages de blancs
Tamponnent la surface
Et caressent belles ondes
Il est là délicat
Et elle approche son nez
Tout doucement
Et leurs brindilles du temps
S’enlacent belle promesse
C’est si tendre
De ne pas couler
Dans les gouttes d’eau de vie
Mais de s’en gorger paisible
Pour se vivre vivant
4) Je précise à nouveau ce que j’entends par “PHOTO”. Il ne faut pas que ce soit une photo retravaillée et ni qu’elle comporte des mots comme le calligramme. Il faut chosir sa PHOTO ORIGINALE préférée.
5) Si jamais, vous voulez faire des modifications ou ajouter des choses, c’est toujours possible jusqu’au 20 décembre.
Voilà les p’tits loups, c’est tout pour l’instant;-)
Ossiane
.
**************************************************************************************
.
Rédigé par : ossiane | le Lundi 08 décembre 2008 à 19h37 | Alerter
je pense ne pas avoir compris, Ossiane, je suis allée retrouver tes mots…..
et dans mon choix envoyé ( mais quel choix en vérité car tant est si beau! ), j ai envoyé un premier choix d image originale, et un deuxième choix d’image originale aussi, travaillée ou pas travaillée, c’est pas simple de le voir en lecture avec mon oeil…bon, je suis juste certaine, de ne pas avoir envoyé de calligramme…
Et j ai bien envoyé un premier choix de haiku et un second…
bon, en cet instant, je dois partir avec mon fils, je reviendrai ce soir…et comme tu as accepté mon choix, je pense avoir répondu en respectant la rêgle deu je’u’…tu me dis, si encore, je suis étourdie…
Il t’a laissé sous vent
venir à la dérive…
T’échapper du feuillage, des fraîches solitudes,
à saisir l’oeuvre grêle,
l’ascension souveraine,
la rose salicaire.
Vouloir fondre le flou
de verdures ourlées.
Être nue dans tes songes
et fourrures radieuses.
Voir signes aux nuées,
encor ivre de l’onde
dont les cercles s’estompent…
Il reste le bois mort,
fiché où le soir tombe.
Immense.
Certitude!
Ossiane, t’es pas encore sortie de l’auberge…
Si t’essayais les pictogrammes ?
http://www.bleu-outremer.net/images/ecrituremethodes/pictogrammes.jpg
_
Je ris et ça fait du bien.
Clin d’oeil, hein !
_
Bernard : « certitude » est un mot que j’ai appris à manier avec beaucoup de précaution … je préfère le laisser dans son dictionnaire.
Il me fait penser au verglas (qui règne sur quelques provinces de mon pays – météo du jour). Il brille et on ne s’en méfie pas. Le « mot-sûr-de-lui » ose l’aventure … glisse … et se retrouve dans le décor … toutes tôles froissées.
_
Souvent la solitude
A de l’ombre en feuillage
L’eau fraîche où glisse songe
De rêveries en cercles
S’évase et rétrécit
A la base des roseaux
Et des brindilles mourantes
S’ourlent de mousse un jour d’hiver pluvieux.
Pour Vincent avec toute ma sympathie:
Domino bourrage
Domino d’effroi
Domino courage
Domino ménage
Pour mieux partager.
Domino sans vie
De crâne apaisé
Aucune obsession
La force est en toi
Des points à briser pour
LA PAIX de toi.
TOC-TOC-TOC fit le cygne à la surface de l’eau à l’aplomb d’un rocher, les lettres s’envolent
Le T cassé, Le O pressé Le C en coeur heureux…infiniment.
Coucou du mercredi !
Hourra, j’ai vu un rayon de soleil en fin de matinée !
eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
Nouvelle activité
Des poissons de la Marne !
Tirage à la courte paille
Une courte, une longue
Sous la surface du miroir
Vision de deux pailles
De la même taille !
Laquelle est la longue ?
Laquelle est la courte ?
Se disait le poisson,
En faisant des bulles
Tout en tournant en rond
Puis finalement,
Il prit sa décision
Et tira sur celle de droite
Qui s’enfonça
Infiniment lentement,
Et coula
Définitivement
Le poisson, très content,
Continua sa tournée
A la recherche
D’autres brins de paille
Ou de brindilles
Pour fabriquer son nid
Car c’est bien connu,
Les poissons font leurs nids
En tirant à la courte paille !
eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
Bulleeeeeeees de Biseeeeeeeeeeeeees
une onde de paix
je rentre d un fort bel après midi, dehors, et je me pouffe, Bourrache,
t’inquiète pas, Ossiane, je vais reprendre zen…..sourire!
mais faut m’avouer que suis pas fortiche pour voir les photos tavaillées, pas toujours…c’est parfois si subtile…
Bernard, j’ai lu ce matin, tes mots, et pour moi aussi, certitude c’est un mot dont je me méfie, bien plus encore que le flou…je préfère dire que je ne suis pas trop incertaine, à je suis certaine…car un micronchouya fait de vie, et tout peut basculer…
clin d’oeil de douceurs d ouest…
et même les pictogrammes, Bourrache, je suis pas certaine de les lire au plus juste….SOURIRE d’AnnicK
tout va bien, je garde mon choix,
enfin presque car quelquepart de bouts de moi, tant d’autres photos me plaisent et idem pour les calligrammes, mais bon, puisqu’il faut, j’ai fait ce choix, car j’aime….
Le soleil se baigne dans l’eau
Tout nu en bel déshabillé
Et les brindilles confuses
Se regardent les joues rouges
.
Bonjour l’équipage, je passe en coup de vent pour vous remercier INFINIMENT pour toutes les belles choses écrites depuis ce matin.
>Superbes haîkus regard !
>maria, tu t’es fait griller la place cette nuit;-)
>pierre, je sens que tu aimes l’eau aussi avec l’ami bachelard en toile de fond….
>Petit coucou spécial sans respiration à Pierre b, notre poseur de mots et d’arômes délicats qu’il fait bon lire et sentir.
>Je t’ai bien eu, bonbonze ;-)) A delicious swan !
>Nigra, tu es la reine des dialogues à deux ; je ne mens pas 😉
>Bourrache, grande beauté de ton poème, tu as bien vu une partie de ce que j’ai voulu dire 😉
Pictogrammes et pourquoi pas 😉
Désolée d’avoir semé le doute dans certains esprits mais j’ai eu le cas avec un coup de cœur que j’ai reçu ce matin. J’ai préféré réexpliquer 😉
>Coucou amical à Andrée et ses mots de abysses 😉
>leila, tu connais les histoires de grands et petits avec ton métier 😉
>salade, superbe poème en trois mots seulement pour dire ton essentiel !
>annick, je ne veux pas te pertrurber du tout, je suis sûre que tu as bien répondu. Je vais vérifier et je t’envoie un petit cygne d’apaisement par mail. Keep zen.
>brigitte, superbement senti comme d’habitude… comment fais-tu pour te mettre en état de poétesse 😉
>hello bruno, ami de l’eau, des mots et de bachelard comme pierre 😉 J’espère que tu vas bien dans ton nord 😉
>jean, très beau poème original, bravo !
>même chose pour toi bernard, on glisse le long des photos au fil de tes mots. Au plus près des images…
>christineeeeee, tu as de ces idées toujours amusantes, pétillantes et inattendues 😉
>véronique, ce que je montre en ce moment n’est pas très violent mais c’est ce que je préfère 😉
La bise chaleureuse vers vous, allez je retourne au travail avec ma petite tasse de thé…
Ossiane.
.
Je les aime…c’est une certitude…mais je préfère laisser le mot entre deux pages…pour ne pas les froisser…
Dans l’infinie attente, le 8 s’est couché
pas deux 0 superposés,
et dans ces extrêmes qui s’ignorent,
un minimum de confort
la distance et la tension sont telles
deux mondes que tout sépare
une incommuncabilité intacte
entre mépris et dédain
le vous souverain
le je mesquin
la peur de rien
Pierre b. : entre deux pages de papier de soi(e)…
_
Sourire…Bourrache…Si certitude rime avec tendresse..c’est déja moins « glacant »..
Ossiane…
je suis passée très tard… c’était prévisible… et je n’ai point l’esprit de compétition 😉 Bises bises
>Je sais Maria, juste un peiti clin d’oeil de ma part;-)
Infiniment,
A la folie,
Passionnément,
ils sont jolis
Amoureus’ment
Je les délie
Je les aime tant…
Mes bigoudis !
Des fois je me dis Rachel t’es vraiment trop drôle mais le problème c’est qu’il y a que toi que ça fait rire (sourire et encore sourire car c’est trop triste les journées en ce moment)
Les feuilles abondantes se penchent, et se couchent sur l’eau, tranquillement et tendrement et balaient la surface en ondes délicieuses qui papotent délicates, un moustique se pose et son onde petite se donne, une libellule rase la surface et sa couleur un mirage bleue, tout est calme, le temps est doux posé, la vie dans son essence, une petite mouche bulle tranquille, l’arbre regarde, se vit, ses racines dans la terre, et ses feuilles dans l’eau, et entre les gouttes et le ciel tout là haut, ce temps paisible fait du bien,
elle reste là, sans bouger, son coeur palpite doucement, il est bon ce bel temps qui la repose en faim de vie qu’elle aime, elle aime, ah oui, elle aime, c’est son grain de naissance que de vivre et d’aimer.
Coucou Rachel, je t’envoie des rayons de soleil, je sais pas quoi dire pour te faire sourire, et mes mots du dessus, j’espère te feront du bien. Bises.
Rachel : j’aime bien tes petites histoires du soir … qui me font aussi sourire.
(P.S. : cheveux trop courts pour jouer avec toi aux bigoudis).
Vous avez dit cheveux?
Un ch’veu pour ces m’dames!
Le chauve et le poilu
Au royaume de l’alopécie
Le chauve est un roi sans couronne
Le poil n’est plus qu’un vague treillage
D’une tempe à l’autre la mèche s’allonge
Dans un élan de résistance
A la chute du moindre cheveu
Tombé avant d’être poivre et sel.
Faut-il penser à la moumoute
A la perruque, à ce toupet
Qui préfère prendre son envol
Juste quand on s’y attend le moins?
L’un a recours au chirurgien
Transplante sur son cuir chevelu
Sa chevelure réinventée
L’autre arbore son crâne à la face
De ceux qui rêvent d’y glisser
Ou cette peau lisse caresser
Mais au final le chauve peut être
Dégarni mais toujours poilu
Voili-voilou!!
Suspendu, linge blanc
Un coeur sombre entre deux brindilles
Soleil, l’âme s’aère.
Bonne soirée à tous, moi vais me coucher.
Le regard glisse infiniment et se perd dans les ondes concentriques
Devant l’indéfini ..
ville engloutie
vestiges d’un vertige
Tristesse
AA
Depuis la nuit des temps
Elle attend
A la fois lumineuse
Et aussi triste Ô temps
C’est un travail
D’attendre que la vie
Se donne dans ses bras
Comme elle aime
Car tout de vrai
Elle aime
Et les retrouvailles
Et les serrailles
Dans le tricotage
Aux points cousus or
Dans l’habit de lumière
Infiniment, l’infini ne ment pas, il s’ouvre tellement, en au delà, bien au dessus de tant, haut, plus haut encore, au delà des nuages, quand le regard se perd dans des bels songes de vie qui donnent vie à la vie de tellement infiniment.
> Bourrache…
Merci de ne pas avoir trouvé l’auteur du poème d’hier soir! Sourire…
Ce soir, je ne suis plus certain que le soir tombe! Je « me » doute mais pourtant…
Aussi pour toi Annick!
Je vous le confirme,
parole d’évangile!
Je n’ai pas la foi, ignore les dogmes.
En réalité, j’en ai l’espérance, mais pas la croyance,
que la connaissance soit une assurance…
vers la vérité.
C’est une opinion, une conviction!
Mais à l’évidence,
Qui est infaillible?
Pour plus de clarté ou de netteté, voire de sûreté,
questionnez vous-même, avec fermeté,
votre autorité!
Mon regard sous les feuillages
Cherche ton image,
Tu as fui, quel dommage !
Mon regard alors hagard
Sur la surface de l’eau s’égare
Il croise avec égard
Fleurs et ronds dans l’eau
Jusqu’au détail rigolo
Deux bois sortant de l’eau
Petite séquence télescopique
Infiniment romantique
Infiniment nostalgique
Infiniment….
Infiniment….
Tout simplement
Pour passer d’un bord à l’autre
Pour passer d’une image à l’autre
D’une pensée vers une autre
……….
Un nouveau plan
Sur ce plan d’eau!
Sur lequel on s’accroche
Une nouvelle approche
Bernard : Victor Hugo.
Enfin, p’têt…
_
c’est bon de lire tes mots Annick : douceur et encore douceur. Je les prends tous les rayons de soleil en ce moment. Tu me fais rire Leila avec ton histoire.
Proverbe trouvé sur le site de Bonbonze :
Qui rit le dernier, pense le moins vite
(il est tout bête mais il me fait rire)
Bonne nuit à l’équipage
Moi aussi, il me fait bien rire !
Le site de Bonbonze
est une mine à proverbes…
et bien d’autres choses encore !
A signaler aussi
Ses superbes photos
Sans parler des 3D,
Ses acolytes en profitent
Et c’est le plein délire !
Rebiseeeeeeeeeeeeeeeeeeees
Bonne nuit Monique, Bourrache, Bernard, Rachel et chacun..
Elle dépose à jenous
Un baiser tendre doux
Son onde se propage
Rejoint l’autre rivage
Bonne nuit aussi, Christineee, je vais jeter un oil sur le site de Bonbonze, je suis bien trop sérieuse, souvent… SOURIRE….
un petit ‘oeil’ plein d’oil à rires…
Ton calligramme, Ossiane, pourrait être une aquarelle de Pierre (Champ)
Aquarelle
Saison de frilosité et de doute
Calligramme d’amour pour l’aimé
Trempe l’œil dans un cercle de cygne
Palme l’oiseau, au fil de l’eau mon cœur serein.
Rivage sous les arbres qui penchent
Leurs solitudes pour s’abreuver
Du murmure de l’eau, une caresse
Un baiser doux, conte d’herbes mouillées.
Passage vers la douceur diffuse
Vers la lumière, aube nouvelle
Elle pense si vite la goutte d’eau
Si vite que la voilà ailleurs
Entre mon cœur et l’estuaire.
Plan d’eau miroir aux nostalgies
Dont les échos se noient au vent
Vent derrière la brume, mes nuages
Reflets de ton ciel inconstant.
Sur le rivage, assis l’enfant
Avec une brindille, un bâton
Il creuse le sol de cercles, rend
Le bord du lac des écritures.
Voilà un bois fiché au fond
Après ce bruit, une tempête
Pour les fantômes de ces lieux
Voilà un autre bois qui se penche,
Une révérence au lac dormant.
Suspendu, linge blanc
Un coeur sombre entre deux brindilles
Soleil, l’âme s’aère.
C’est l’heure où s’endorment les roseaux
Le corps dressé, les pieds dans l’eau
Palpite contre leur courage la vie
Entre opulence et dénuement.
Songe d’hiver, espoir de vie
La lumière étole de mailles claires
Pour tout le vert des bords de cœur
Ô temps de l’Amour incompris
Temps de l’innocence d’un enfant
Passe les grues et les amants,
Amusés de voir ses gravures
C’était l’enfant de l’eau rêvant
infiniment
Infiniment
Infiniment
Infiniment.
Insomnie, au vert
La berge de mes eaux tranquilles
Reflet de lumière.
toc toc toc
amicalement l’infini ment
quand on a la fibre d’apprendre
vivre en amour !
la clef de tous les instants
qui ouvre la porte de l’infini
belle journée vincent, leila, anne, marie, Ossiane, annick….
et tous les passagers du passé et de l’avenir
Des baisers sous flocons de neige
Quoi de plus doux pour nos sourires
Fraîcheur d’un bonheur tendre et roux
Comme écureuil, fourrure, tout doux
Le bonheur..mon cheval, au pas,
Trop de galop, à la lisière
D’un manège de vie… sans arrêt.
Tombera neige dans nos allées
De la pluie au fond des vallées
Corps fous, coeurs amoureux jaloux
Et de la tempête prisonnière… ton âme.
Tout doux, tout doux, amoureux fou
Il y a une mesure à toute chose
Il y a un temps pour la douceur.
Sous le givre, page blanche du temps.
Fondent les mots, qu’efface le vent
D’un revers d’eau, onde de pensées
En cercles d’eau, entre deux brindilles
Dans l’ambre des yeux, souvenir
Comme le poète, l’infini ment
Pour que Noël soit beau souvent.
entre nos deux fibres
don à la ronde des ondes
l’infinie passion
Il faut voir le monde de loin
l’horizon et le ciel se confondent
infiniment il est un art du vent
qui s’appelle le silence obstinément
Alors semons à deux mains
un peu de sagesse et d’humanité
un peu de douceur et générosité
pour récolter quelques étoiles
et des lendemains plus clairs
à l’infini de l’hiver
Bonne journée à tous
_
http://fr.youtube.com/watch?v=NwP6mkoImkM
_
de toi à moi, sois
babiole de l’auréole
un enfantement
De vie, de joie
babiole de soi
Soie sur la peau
Pot de fer blanc
Blanc horizon.
De toi à moi de Toit en ciel
Ciel étoilé
Cheval ailé
Aile de velours
Pour doux amour.
babioles en cercles
nos souffles en chuchotement
sur les rides du vent
Rides en eau douce
Douceur de vivre
Un bref hiver, chuchotement
De la neige qui crisse
Espiègle
Au suivant…
des murmures en pluie
aux commissures de nos mots doux
deux brindilles légères
bel bonjour, Marc,
mmhh, elle est belle cette vidéo, Bourrache si belle de vie…
sont tendres tes mots, Hélène..
et tendre de tant, Duboisaymé..
***Infiniment, ma bise tendre voyage son temps et se murmure tes lèvres, infiniment….***
Infiniment l’oiseau s’éprend d’une brindille
De nid d’ange il tisse un abri pour mes mots
Murmure de lèvres exquises, mots suspendus
Entre deux roseaux.
le calame du monde
franchie notre frontière
d’une goutte vagabonde
d’une onde lovée
au nid de brindilles exquises
s’échappe l’infini
yaouh, comme sont tendres vos mots, comme vous êtes tendres, leila, duboisaymé..
Les mots de douces brindilles
Au fil du temps
Tricotent un bel doux nid
Tout délicat
Et sur les deux petites branches
Dans l’eau paisible
Un ‘je’
Et puis un ‘t’aime’
Des deux brindilles liées
Infiniment
Un coucou rapide…. !
Je vous aimeeeeeeeeeeeeeeee
Tous
INFINIMENT !!!
Infiniment de biseeeeeeeeeeeeees
Au galooooooooooop les eeeeeeeeeee de Christine
Tout doux…. tout doux… encore des cases de chocolat!!!
Avant l’avent t’auras du vent
Au pas de trop trop de galop,
Infiniment de bels doux nids pour les mâles au cœur en sursis.
Ah vous dirais-je tendre maman
Combien de cerceaux traces dans l’eau?
Un rond dans l’eau à chaque saison
Une saison à chaque souvenir et la raison et la raison aura les rênes de mes soupirs.
le vent souffle son froid
la neige s’empilent en cerceau
sur la peau gelée
pluies en gouttes sonores
les feuilles s’ourlent en anneaux
de flaques dispersées
l’oued asséché
le soleil là comme une orbe
aveuglante courbe
l’air s’embut de désirs
bourgeonnements concentriques
des sèves liquoreuses
Un fini ment, rien n’est jamais achevé
et toujours devant nous le travail de la nature
montre sa quasi perfection mais pourtant
il reste ce petit rien, ce je ne sais quoi
indéfinissable qui fait qu’on cherche plus loin
plus bas aux bouts de cette échelle
du temps et de l’espace
Les échelles se retirent, le vide nous apparaît
cette incommensurable étendue sans borne
est là devant nous avec des tailles et des distances
que nous avons toujours un mal fou à nous représenter
et pour paraphraser un de mes amis
« du grand tout au petit rien »
la démesure nous envahit
l’angoisse nous habite soudain
pourtant il faut bien situer le curseur
les roseaux de l’infinie douleur
les nuages de l’infinie joie
se donnent parfois signe de vie
à la lisière de l’onde
_
http://fr.youtube.com/watch?v=17ESC7b9iuE&feature=related
_
Infiniment le vent
au diapason de deux brindilles
chante ses notes graves et aigües
quand tu es là tout devient flou
le monde s’évanoui sous ton charme
et les fleurs autrefois si belles, fanent
quand tu poses sur tes baisers si doux;
bonne soirée à chacun
_
http://fr.youtube.com/watch?v=9Lbt2QyCsNA
_
dans l’eau déridée
l’ infini n’en fini pas
de faire ses ronrons
Clin d’oeil à Bourrache que je remercie pour ses liens qui me plaisent bien !
Une ronde de fleurs
Tourbillonne en valsant
Une fleur doucement
S’échappe,
Virevolte au vent
Et,
Infiniment
Doucement,
Touche
Du bout de ses pétales
L’onde de l’étang
En faisant…
Des ronds dans l’eau !
Biseeeeeeeeeeeeeeeeeeees rondeeeeeeees
roseau et vent
valsent à en perdre haleine
sur un lac de peine
_
http://fr.youtube.com/watch?v=gcznvlBTQFk
_
_
L’infini sans thé finiT avec T.
Et une rondelle de citron.
_
deux joncs qu’un vent pli
sémaphorent par signes tendres
d’infinie adieux
… et ça dis-jonc-te …
Bon, l’est temps que j’aille nourrir mes zanimaux. Quel carnaval, dirait Saint Saens … surtout quand on n’a pas la clé …
J’en profiterai pour préparer une aspirine pour Ossiane…
Rides, ondes, vagues
tout se dissipe dans l’éther
tout divague dans l’éternité
et ces branches qui éffleurent
et se baignent
et ces doigts qui surgissent
et désignent
infinitude, à l’eau posée de platitude
oui ça dis-jonc-te Bourrache
propositions ou jugements disjonctifs: ceux qui sont composés de deux relations, dont chacune n’est affirmée que si l’autre est niée; ex. A est B ou C; si A n’est pas C, il est B, si A n’est pas B il est C.
d’une hauteur d’une taille
un bout s’arrache d’une brindille
l’air indéfini
quand cela fume trop pour moi, je m’envole.. SOURIRE…
De la verdure
Un courant d’eau
Des oiseaux
Ta main dans ma main
C’est le bonheur
et tu vas rire, Bourrache, mais je viens de comprendre qu’à l instant, ta story de thé…parfois, je m en vais si loin en lectures, que je lis ce qu’il m’est possible de lire dans ma tête à moi…
et c’est fort tendre ce que tu as écrit, Bourrache…
l’un fini le thé
et l’infini l’autre thé
sans Thé avec T
Et une rondelle de citron pour Bourrache que j’aime bien
_
Et si Cyssée (dont la fille s’appelait Hécube) avait été abbée, pardon, abbesse, cela donnerait (A + B)² = à deux + deux abbés + B²
Suis-tu, mon jeune enfant ???
__
Je prépare une seconde aspirine pour Ossiane…
_
dans le palais des mille et une nuit
nos corps à l’infini des jours s’enlassent
au milieu de la galerie des glaces
nos corps enlassés se répondent à l’infini
un petit t pour changé m’irais très bien
.
Impossible d’intervenir pour l’instant!
Merci de veiller sur moi Bourrache ! Il va y avoir un sacré tas d’asprines pour moi à la fin de la soirée. Suis pas très forte avec les racines carré. Je suis hors course et vous laisse vous débrouiller entre vous;-)
Dernière recommandation, pas de violence surtout !
Ossiane.
.
pour moi, Bourrache ce sera le labo d’aspirines….sourire géant!
et je te lis Marc et souris, coucou Ossiane…
Alors élégante
Elle repose son thé
Ses lèvres au bord de la tasse
Et ses siennes
Au milieu de ses joues
Et elle lui tend la tasse
Et sa bouche rosé l’embrasse
Avec le bon goût
D’un thé grec
Corsé et ombragé
Venu du haut des cimes
Des plus hauts sommets
Aux neiges éternelles
Sous un soleil radieux
alors pour vous, c’est combien d’aspirines…
Heu j avais oublié, en admettant qu’ il soit nécessaire de faire mille fois le tour de la terre de grimper ces sommets des cent fois et de les descendre des dix fois, il faut combien de temps pour le boire ce bel thé? juste le temps de la patience voluptueuse en attente d’un thé rare et raffiné précieux dans ses croquants si mielleux…
sourire éverest!
Ossiane : pas de tracas.
Me suis retrouvée dans mon bac à sable.
Sans épines ou flèches à tirer.
M’en vais dans les bras de Morphée.
Belle, bonne, douce nuit à tous.
_
Le thé fume tout seul
Leurs coupes à moitié pleines
Tendrement enlacés
Dans leur breuvage intime
Le temps n’a plus de poids
Ils sont à leur instant
Qui se donne et reçoit
.
Qu’est-ce cette histoire de thé ??? Tu peux m’expliquer Annick, tu m’as l’air au courant;-)
.
Le jeune enfant tente de comprendre mais il lui manque quelque cases.
si 6C=AB(sse) alors elle n’a pas d’enfant
(A+B)= à deux+deux abbés+B² ça fait quand même beaucoup de monde mais je suis partant.
Et Hécube dans l’affaire? Avec les carrés les cubes ça ne fait pas forcément bon ménage. Je pense que c’est une histoire de famille sinon tu ne serais pas ma mère.
Donc si Cissée est la mére d’Hécube femme de Priam alors elle est la grand mère d’Hector, Paris et Cassandre. CQFD
Belle tendre et douce bonne nuit Bourrache et à celui celle qui va dormir…
Cela fait longtemps qu’elle est assise là, dans le rideau des feuilles, elle somnole, ouvre les yeux, rêve et médite, le temps graine sa Paix et elle regarde s’écouler cette sérénité devant elle, elle est fort étonnée que ce temps lui arrive, elle referme les yeux devant cet écran vert, et le bleu de l’eau douce s’infiltre sous ses paupières, elle sursaute, c’est rien, juste un moustique qui a râté son aterrissage en douceurs sur l’eau.
_
Et si
Sur Terre
Sans T
J’erre
J’avoue :
j’aime le café…
–
une brassée de mauves
éclats d’eau à contre-jour
l’interpellation
entre nuage et eau
des bouchots en mal d’huitres
signent de mauve, le ciel
si tu te terres sans te taire
Sans T tu erres sans air
et je comprends ta préférence pour le cas fait
en verticalité
les mauves et brindilles
brouillent les pistes
jusqu’au rose ciel
venu subrepticement
colorer nos lèvres
je ne vois ton message qu’à présent, Ossiane, désolée, on a écrit à trois à présent…
tes images parlent d’amour, elles sont si belles, doux recueillement, tendresse, paix savoureuse, volupté, perle à l’oeil, c’est si beau…
c’est comme la préparation du thé qui demande des bels instants, pour penser offrir un breuvage délicieux à l’aimé,
c’est aussi pareil pour le café, à préparer avec amour,
le thé, le café, bien avant d’être bus, ils ont été cultivés,récoltés, cueillis, séchés, doucement empaquetés, en travail d’Homme en patience, avec les mains d’amour dedans…
et puis en tête à tête, si doux breuvage dans l’intimité d’être soi…en amour…
et c’est bon le thé, et le café, et l’amour…
.
Merci Annick, me voilà rassurée;-) Je suis très thé aussi mais sans té; pas très forte en géométrie ni en mathématiques;-)
Noël approche; je suis en plein bouclage de boulot, je ne vais pas pouvoir intervenir. Mais j’ai pris le temps de lire vos messages et je vous remercie pour toute cette belle douceur poétique déposée sur mes pages.
Bises à vous tous. Clin d’oeil à bourrache pour la remercier pour ses aspirines à rêver;-)
.
http://imagecache2.allposters.com/images/pic/APG/136-22621~Tea-Time-Center-Panel-Posters.jpg
.
Très thé mais sans le petit doigt en l’air, vraiment en toute simplicité, marc ;-))
Bises à toi.
.
_
http://fr.youtube.com/watch?v=Gv1-b0UVlHs&feature=related
_
Le peintre a hésité
Il a tenu son pinceau
Haut fort haut
Et puis il l’a trempé
Dans le bleu de l’eau
Pour la créer la goutte
La belle bulle d’oOo
Et puis sans se démonter
Il a pressé un peu de jaune
Sur les poils tous bleus de son Ô
Et la verdure en a jailli
Du bout de ses doigts en pinceau
Quelques touches de jaune plus encore
Pour le vert de l’autre rivage
Il se recule sourit
Son carré blanc de vie
Avec ses couleurs toutes à lui
Il aime
Il l’aime infiniment de lui
Annick : c’est bÔ.
Si on peut choisir ce sera une bière pour moi le café c’est au petit déjeuner avec du lait et la solitude c’est tous le temps snif.
_
http://fr.youtube.com/watch?v=h3MuEyMZu7g
_
merci Bourrache,
je ressors des paroles de Barbara,
c’est bÔ de vie aussi, mais cela me perle un peu, c’est si fort de vérité…
et je viens d’écouter, al petite cantate, ahlala…..
_
http://fr.youtube.com/watch?v=cLgZUmbDFo4
_
http://fr.youtube.com/watch?v=XvbDEY9jQ78
Et puis les mots de Brel encore…
MERCI.
Et cette fois, belle, bonne et douce nuit pour chacun, merci pour ce partage ‘ensemble’.
http://www.youtube.com/watch?v=KKvo5oZudwU
_
A trop occuper
L’espace
Je sais …
cela lasse.
Vous laisse donc
La place
Pour ces jours, à venir.
Qu’aux pieds de votre sapin
Il n’y ait point d’épines.
Et que
Dans vos souliers,
Là,
Posés,
Vous trouverez
Un brin
De vos rêves
Offert…
_
_
Quel foutoir mon truc là au-dessus …
Un sapin n’a qu’un pied …
(donc veuillez supprimer le « x » et le « s »
à l’endroit adéquat)
Et la concordance des temps…
(trouviez à la place de …)
Oh, zut ! … j’crois que j’ai cassé tous vos rêves, là…
_
Me reste plus qu’une biz à vous envoyer …
__
_
… et vous serrer dans mes bras
à cette heure
où tout se tait
où tout « sais-tu ? »
ce qu’est mon rêve …
_
Je ne sais pas ce qu’en pense l’hôtesse de ce lieu,
mais en ce qui me concerne, tu ne me lasses pas, Bourrache, je t’embrasse, ils sont forts de vie, tes mots du centre de la nuit….
Les grains piquent au passé
les fleurs qui l’interpellent
et en rond espacés
dansent deux bouts
les aiguilles de la montre
l’imagination file l’eau
pour déchiffrer l’instant
il est l’heure de laisser
bruire les feuilles
pour ne pas gaspiller le temps
bisou Annick, oui jolis mots Bourrache
T partages très sympa et ton café aussi )
Une pensée tendre, Vivien..
Il y avait la nature à profusion
Les fleurs en abondance
La joie et la beauté
Il ne reste QUE
deux brins
Dépassant lamentablement
D’une eau trop calme
Que s’est-il donc passé?
Quelle tragédie aurait
Infiniment
Boulversé,
le cours de l’histoire?
>Belle imagination, JO.S, merci d’être là en partage;-)