Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas
Un peu beaucoup
robe blanche et boléro
des mots d’amour
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas
Un peu beaucoup
robe blanche et boléro
des mots d’amour
youh, comme c’est joli de me border de ces fleurs avant d’aller me dormir, elles sont splendides ces photos….BISES de nuit.
Elles sont jolies, j aime un peu beaucoup à la folie……mmmmhhhh….
Quand Clématite, la vieille dame que Monique connait bien, (cf p. précedente) avait 17 ans, elle adorait jouer à la marguerite. Non loin de la porte d’entrée de la maison où elle vivait avec sa famille, il y avait un grand bosquet dont elle coupait tous les jours une fleur sur son passage. Elle s’enfermait dans sa chambre et devenait cette fleur, les pétales étaient ces vêtements qu’elle retirait. A chaque pièce, elle se disait que quelqu’un l’aimait, un peu, beaucoup… Elle s’effeuillait comme elle disait, pour voir à quel point on l’aimait. Si elle était légèrement vêtue et que son énumération risquait de s’éteindre trop vite, elle enfilait à la hâte des bracelets, des colliers… pour aller jusqu’au bout de son jeu qui devait se terminer irrémédiablement sur « je t’aime ». Et ainsi jamais elle n’obtenait autre chose que le verdict enchanteur. Alors bien sûr parfois, forte de ces je t’aime, elle sortait vêtue de sa seule chevelure…
C’est ainsi qu’on la traita de Lhassa apso (vous connaissez la suite de son histoire …)
μαργαρίτης
mille lettres de pétales
……………………………………. m’aime-t-elle?
fines fleurs en pavane
……………………………………. follement?
perles fines farandoles
……………………………………. à foison?
Des lumières en colliers
……………………………………. guère?
Tarentelle menuets
……………………………………. point du tout?
Ritournelle composée
……………………………………. m’aime-t-elle?
Pour toi ces mots effeuillés
……………………………………. à l’infini?
Air de fêtes à la ronde
……………………………………. tout plein?
Entrechats et mazurka
……………………………………. rarement?
Pas de deux et puis voilà
…………………………………… c’est fini?
Un coeur à la dérobée
……………………………………. m’aime-t-elle?
Bat la gigue et la polka
…………………………………… à la fureur
Chatons d’or à la volée
…………………………………… ardemment?
Bague au doigt et bracelet
…………………………………… moins que rien?
Un diamant pour un ballet
……………………………………
Vite au bal, à la gambille
………………………………….. m’aime-t-elle?
Si java, si java pas
………………………………….. aveuglément?
Cheminer aux pâquerettes
………………………………….. tant qu’on veut?
Valse tendre, amourette
………………………………….. une miette?
Danse neige dans ma tête
………………………………….. *.¨.*.*¨¨.*.*.*.*¨*.*.*μαργαρίτης
http://www.youtube.com/watch?v=anIkwFNHVvc
en secret…
μαργαρίτης
mille lettres de pétales
……………………………………. m’aime-t-elle?
fines fleurs en pavane
……………………………………. follement?
perles fines farandoles
……………………………………. à foison?
En colliers de lumière
……………………………………. guère?
Tarentelle menuet
……………………………………. point du tout?
Ritournelle composée
……………………………………. m’aime-t-elle?
Pour toi ces mots effeuillés
……………………………………. à l’infini?
Air de fêtes à la ronde
……………………………………. tout plein?
Entrechats et mazurka
……………………………………. rarement?
Pas de deux et puis voilà
…………………………………… c’est fini?
Un coeur à la dérobée
……………………………………. m’aime-t-elle?
Bat la gigue et la polka
…………………………………… à la fureur
Chatons d’or à la volée
…………………………………… ardemment?
Bague au doigt et bracelet
…………………………………… moins que rien?
Un diamant pour un ballet
…………………………………… en secret?
Vite au bal, à la gambille
………………………………….. m’aime-t-elle?
Si java, si java pas
………………………………….. aveuglément?
Cheminer aux pâquerettes
………………………………….. tant qu’on veut?
Valse tendre, amourette
………………………………….. une miette?
Danse neige dans ma tête
………………………………….. *.¨.*.*¨¨.***********μαργαρίτης
http://www.youtube.com/watch?v=anIkwFNHVvc
Oui! oui! je t’aime!
Mais laisse mes pétales là où ils sont!
Ô Combien de factions, combien de gardes de nuit
Ai-je passsé avec ma guérite jolie…
Pardon ?
C’est Marguerite et pas Ma guérite ?
Désolé…
Blanche au coeur d’or
Les sentiments s’étiolent
Pensées envolées
Fleurs trop sages
dans l’ombre du paradis
elles s’effeuillent endormies
illusion Psyché
aux coeurs d’or et soleils blancs
conter fleurette
C’est ravissant si tendre en cueillette d’oeil.
cela fait du bien, en ce matin de ciel couvert de gris.
Sa robe parfaitement- parfaite d’un grand couturier où des marguerites en guirlande brodées parfaitement sur son épaule …il ya là ! un défaut il manque un pétale immaculé !!
Et c’est justement cela qui en fait son grand prix ………
l »la dame » de Lou mais au fait c’est peut -être Elle avait cette si belle
robe ???
Pensées à tous, un peu ,beaucoup ………………..AA
Et Magritte alors , tu l’aimes comment?
Pluie de pétales
au matin chagrin
au soir espoir
Pas à pas
Tu m’as construit une belle parure
Je fus princesse de ton palais
Jour après jour
J’ai accepté tes présents
Tu fus prince des sables
Un à un
Tu arraches mes pétales
Suis-je toujours tienne ?
Mot sans mot
Je te laisse me dépouiller
Seras tu convaincu ?
Amour Amour
Un peu, beaucoup, à la folie, pas du tout…
As-tu besoin de preuve ?
L’Amour bilatéral n’existe pas
Simple illusion et jeux d’Hommes
Que dis tu là maître Hormone?
La Vie n’est qu’un jeu
Où les absents ont toujours tord…
Que veux tu dire petit frère?
Seconde après seconde
J’écoute et je réfléchis
Comment accepter ça ?
Faudrait peut être
Qu’un ange passe
Et m’apprenne les règles du jeu…
Un ange?
Mais …
Je n’y crois pas…
En réponse à Bernard…un seul et unique mot de plus ajouté à ses mots: (il) pour remplacer (elle) à quelques erreurs près…ce n’était pas un défi poétique facile…
Mille pétales pavane(nt)
……………………………………………..m’aime-t-il?
Farandoles de fleurs
……………………………………………..follement?
Lettres en perles fines
………………………………………………à foison?
Fines pâquerettes
………………………………………………. vite en miettes?
Pour toi, un diamant
……………………………………………….. rarement?
Plein à l’infini
………………………………………………… un coeur danse?
Au bal, bague au doigt
…………………………………………………. m’aime-t-il?
Colliers d’or et neige,
……………………………………….. bracelet?
Pas de tarentelle,
………………………………………… valse tendre?
Gambille, ritournelle
………………………………………… tant qu’on veut?
Ronde et mazurka
………………………………………… la polka?
Ces mots ardemment
………………………………………… dans ma tête?
Une gigue, un ballet
…………………………………………. menuets ?
Si java bat
…………………………………………. deux entrechats?
A la dérobée
………………………………………….. m’aime-t-il?
Moins que java
…………………………………………… pas en secret?
Fêtes effeuillées
……………………………………………. amourette?
m’aime-t-il?
…………………………………………….. point du tout!
Cheminer tout
……………………………………………… aveuglément?
A la fureur, voilà
………………………………………………… composée?
Si à la volée
………………………………………………… rien et guère?
Air pour des Chatons
…………………………………………………. aux lumières?
à la … à la μαργαρίτης
……………………………………………………. c’est fini?
Toi, petite fleur, dans la mousse verte
Je t’ai découverte, flirtant dans les champs
Tu étais si belle dans ta robe de dentelle
Qu’un amant te couvrirait de diamants!
Marguerite, tu t’appelles, toi, au doux nom que j’aime
Mon regard fiévreux posé sur ton coeur de jouvencelle
T’a fait tressauter d’un si vif et ardent émoi
Que je t’ai cueillie à l’orée du bois, enivré de joie
Toi, ma tendre colombine, j’ai effleuré ta taille fine,
Pour gagner tes faveurs, je t’ai ouvert mon coeur
Mots doux glissés et chuchotés, tendres secrets
Que seuls les papillons furtifs, sur tes pétales d’organdi
Ont entendus, dans la douce pénombre de la nuit
Pour toi, Marguerite, j’inventerai des mots sucrés
Des mots ensoleillés, des mots aux accents désuets,
Ensemble, nous danserons ce boléro effréné
Un, deux, trois, trois petits pas vers moi…et ton coeur
Mille feuilles de bonheur!
à la boutonnière
je l’emmène au bois joli
croquez mes yeux verts
ceci n’est pas une margueritte.
fantastic photos all over your blog. excellent work
Devant toute éblouie
La photo de ses belles
Je les laisse chuchoter
Respirer mon silence
Se frissonner l’absence
De ma douce présence
Salade :
nom d’une pipe ! (dixit Capitaine Haddock)
nom d’une « ceci n’est pas une pipe » (dixit Magritte)
… un anthémis (ou argyranthemum) … mais appelée aussi … Marguerite.
_
Cin d’oeil !
_
Merci pour le nom, bourache, impossible de déchiffonner ma mémoire, j’ai un bouquet d’anthémis dans mon petit jardin, j’en avais aussi dans le massif du nord,
le marguerites c’est plus haut sur pattes, plus gros de fleurs…
En robes légères
Les jeunes filles en fleur
dansent dans les champs
Un champ de fleurs , quoi de plus banal en somme ; et pourtant
geste délicat de pétales sous le vent,où l’aurore pourrait naître
sans impatience. L’ondée , au matin, quelques gouttes de rosée
Un bouquet formulé avec des doigts d’enfant qui dit
l’instant fugace , le sourire partagé , et cette soudaine flamme au coeur
Un bouquet de fleurs blanches comme autant de poèmes.
http://www.dailymotion.com/relevance/search/marguerite/video/x1rfto_marguerite_family
Et puis celle-ci que j’adore
***
La marguerite
Georges Brassens
La petite
Marguerite
Est tombée
Singulière
Du bréviaire
De l’abbé
Trois pétales
De scandale
Sur l’autel
Indiscrète
Pâquerette
D’où vient-ell’
Dans l’enceinte
Sacro-sainte
Quel émoi
Quelle affaire
Oui, ma chère
Croyez-moi
La frivole
Fleur qui vole
Arrive en
Contrebande
Des plat’s-bandes
Du couvent
Notre Père
Qui, j’espère
Etes aux cieux
N’ayez cure
Des murmures
Malicieux
La légère
Fleur, peuchère
Ne vient pas
De nonnettes
De cornettes
En sabbat
Sachez, diantre
Qu’un jour, entre
Deux ave
Sur la pierre
D’un calvaire
Il l’a trouvée
Et l’a mise
Chose admise
Par le ciel
Sans ambages
Dans les pages
Du missel
Que ces messes
Basses cessent
Je vous en prie
Non, le prêtre
N’est pas traître
A Marie
Que personne
Ne soupçonne
Puis jamais
La petite
Marguerite
Ah ! ça mais…
Les assemblages les plus simples et les plus naturels sont souvent les plus réussis.
Et voila le son
http://www.dailymotion.com/relevance/search/le%2Bma%25C3%25AEtre%2Bet%2Bmarguerite/video/x1j49b_brassens-la-marguerite_music
Et ainsi elle Duras qui était Marguerite
Quatre-vingt deux années et même bien au delà
Ces Marguerite nom ne se fanent pas vite
Voyez la Marguerite qu’on appelait Yourcenar
Quatre-vingt quatre printemps avant le corbillard
Ces fleurs vivent encore bien après la cueillette
Qui n’a pas lu noue l’autre parfois dans son pré vert 😉
Deux fois Tonton Georges en deux jours! Merci Rachel, merci Maria.
Je me régale toujours…
Amitiés, Bernard
Et merci aussi Leïla d’avoir osé prendre ces mots et de les avoir fait danser à ta façon. j’aime beaucoup ce genre de jeu; nous devrions nous y essayer plus souvent…
Qui en a marre des guérites ? Sans planton elles se portent bien.
Mais il y a eu aussi la vache et le prisonnier, dans une transhumance
pleine de tendresse et de clins d’oeil.
Et puis qui n’a oublié l’intelligente Marguerite d’Angoulème dont la cité a gardé le souvenir à travers de délicieux chocolats mis dans une forme adéquate, allez donc chez Geslin !
Quand à la reine Margot, ne mégottons pas, malgré la saint Barthélémy, elle a bien donné à la poésie.
Qui n’aime pas la margarita, pourtant c’est l’aventura et pas le datura, encore qu’à forte dose !
marguerit e – je t’aime
margueri t – un peu
marguer i – beaucoup
margue r – passionnément
margu e – à la folie
marg u – pas du tout
mar g – je t’aime
ma r – un peu
m a – beaucoup
m – passionnément
Yes ! Yes ! Yes !
Joliment effeuillé ce nom de marguerite !
J’ai connu le temps où coulent les enfances,
Tout doucement, au début de la vie.
Le temps de l’école, le temps de l’innocence
Et du chagrin, et du bonheur aussi.
J’ai laissé passer le temps qui va trop vite.
Si j’ai tout vu pendant quelques années,
Je n’ai pas connu le temps des marguerites.
Feuillues sont nées, feuillues se sont fanées.
Puis est arrivé le temps de mes ivresses,
De mes alcools aux mauvais souvenirs
Et les yeux gonflés, le temps de la paresse
Où l’on se tue à force de dormir
Et je suis resté, en attendant la suite,
Dans une vie de vide enrubannée.
Je n’ai pas connu le temps des marguerites.
Feuillues sont nées, feuillues se sont fanées.
J’ai connu le temps de la désespérance
Où l’on s’enlise un peu plus chaque jour,
Où, les yeux ouverts, on n’attend de la chance
Plus que la mort si ne vient pas l’amour.
Si, dans l’avenir, on vante mes mérites,
Ne croyez pas ce que les gens diront.
Je n’ai pas connu le temps des marguerites.
Feuillues naîtront, feuillues se faneront.
Maxime Leforestier / La Ballade des marguerites
Et parce qu’il le vaut bien :
http://fr.youtube.com/watch?v=XINh1P1L0qA
Des mots, et des mots d’amour, dit moi encore des mots d’amour, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, je les aiment….
Bonsoir tout le monde !
Un peu en retard…
pour rendre ma copie du jour !
***********************************
Aujourd’hui souffle
Un vent de panique
Dans le champ fleuri
Des blanches marguerites :
« Alerte, aux abris !
Cachez vos têtes,
L’arracheur de pétales
Est passé par là,
Et ça fait mal ! »
D’ailleurs le revoilà
Aux bras de sa compagne…
Chaque marguerite penche la tête :
« Pourvu qu’il ne me voit pas ! »
C’est la petite au bout là bas
Qui fut désignée ce jour là :
D’un coup elle fut coupée
Et élevée à une hauteur…
Incalculable !
JE T’AIME….
Bon, un pétale, ça va !
UN PEU…
Deux pétales, passe encore !…
BEAUCOUP…
Trois pétales, aie ,aie aie !
PASSIONNEMENT…
Quatre pétales, il y va un peu trop fort !
A LA FOLIE….
Cinq pétales, ouh là là, !
PAS DU TOUT …
Ouf, fini ?
JE T’AIME…
Diable, il continue !
UN PEU…
(me reste quelques pétales….)
BEAUCOUP…
Je commence à avoir mal au crâne …. !
PASSIONNEMENT
T’as pas bientôt fini ?
A LA FOLIE…
Folie toi-même !
PAS DU TOUT…
Va-t-il se calmer enfin ?
JE T’AIME…
Un peu…
Beaucoup…
A LA FOLIE !!!!!!!!
Plus de pétale….
Petite Marguerite
Complètement déplumée
Doucement est retombée
Petit cœur jaune
Perdu au milieu
Des fleurs….
(sortez vos mouchoirs, fin de l’histoire)
***********************************
____
http://www.soupedelespace.fr/leblog/wp-content/uploads/2008/06/marguerite1.jpg
___
snif !
Biseeeeeeees de Christineeeeeeeee
J’ai connu le temps où roulent les cerceaux
Enfance dans l’immense attrait de ma vie
Le temps des romans, fleur et eau de rose
Le temps qui revient dire qu’il est passé
Trop vite, pas assez vécu un passé
Quand heureux l’ami, j’avais sans souci
Des sourires joyeux et des chants d’amis.
Au temps de l’ivresse, coulaient de ma vie
Des gouttes de pluie, sur des heures offertes
A la marguerite, à la rose blanche
Au parfum des roses, jardin des vingts ans
Aux heures de l’ennui, qui ne m’aime me suit
A pas nonchalants, errant dans la ville
Aux champs de printemps, j’ai vu des vingts ans
Aimer des baisers, des regards aussi
Aux champs de l’été, une marguerite
A poussé dans l’aire où je me plantais
Pour rêver d’amour, au cieux de l’oubli
Alors marguerite je regarderais
Tes pétales éclôts, mais n’effeuillerais plus
Que du bout du coeur sans m^me m’arrêter
Le tour du bouton tout immaculé
Car je sais, souvent, je vole au dessus
De mon coeur heureux, qui a bien compté
Et s’est arrêté sur passionnèment.
Quelle étrange bonheur quand on aime, fou
De croire qu’un amour devient plus clément
A s’être posé dans une marguerite au sein du hasard
Au creux d’un je t’aime, un peu voire beaucoup
De « Je t’aime » rêveurs jusqu’à la folie.
Ah ! je ris de me voir
Si belle en ce miroir !
Est-ce toi, Marguerite ?
Réponds-moi, réponds vite !
(Faust – Gounod)
Qui sur la marge hérite …de tant de pétales jamais sales
qui en groupes denses s’agitent …de toutes parts comme dans un rite
de tes longues tiges… tu balances nonchalament
quêtant un nouvel amant… qui voudra bien t’effeuiller
qui te nargue sans prendre le large… est vraiment barge
qui choisit une pleine brassée… sans barguigner
ne va pas baragouiner un quelconque sabir
au moment de te nommer
tu portes le sourire et appelle l’amour
tu contes à floraison pour une livraison
directe de déclarations sous couvert de déclamations
qui voudrait porter réclamation se couvrirait d’exclamations
tu tournes les têtes et montres avantageusement la tienne
on n’aime pas trop de fouler de peur d’être refoulé
mais avec toi l’artihmétique de l’amour
prend des tournants frénétiques
et les décomptes des combinaisons
n’est jamais pathétique
moins encombrante que le girassol
tu as une taille humaine
et reflête du temps
notre conceptions amène
même si on te presse de te rendre
à de totales évidences
tu n’est pas prête
à ébaucher ta danse
à n’importe quel prix
ni sous quelque prétexte
mon coeur est une marguerite
et chaque jour une pétale
un jour je sais il sera mis à nu…
mais j’epère que ce sera à la folie
p
Faust – Gounod ….
C’est la Castafiore qui chante….
Encore et toujours… !!
Clin d’oeil jeandler !
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http://kis90bd.free.fr/les_zamignoufs/pages/dvd/tintin/details/dvd_tintin_17_01.jpg
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Pierre : … un écho ? …
http://kis90bd.free.fr/les_zamignoufs/pages/dvd/tintin/details/dvd_tintin_17_01.jpg
_
Vite, Bourrache, j’ai la suite !!!!:
___
http://folk.uio.no/gunnahh/pix/Castafiore.jpg
___
hi hi hi !!!
oh … Christineeeee … l’échooooooooo … génial !
Ca marche très fort en effet !
…. j’ai pas trouvé la suite… et toi ?
la première qui trouve a gagné !
Christineeeee … tu m’as coupé la marguerite sous les pieds …
sé pas zuste !
http://blogmarie.b.l.pic.centerblog.net/nimslsfq.gif
Quelle belle page toute fraiche pleine de vie belle en beautés d’être, de jolies vidéos, des mots si tendres, comme cela fait du bien,
car il y a des jours, des soirs ou des matins,
et ce fut ce matin, et puis ce soir en apprenant un lymphome pour un voisin grand ami du nord, alors l’émotion vive, elle se cueille des brouettes de marguerites et les envoie dans les veines et les secoue en l’air et se nage avec espoir, avec la foi en devant,
et je vous embrasse, chacun,
je vais relire vos beaux textes.
Marguerite
Si belle
En chant
Je t’aime
De vrai
Car tu es simple
Pétales blancs
Ton coeur de jaune
Sur ton pied vert
J’arrive tard et trouve sur mon bureau un superbe bouquet de marguerites qui disent tout et et son contraire au hasard des pétales, il en est de l’amour …mais là c’est une autre histoire….
Pour Lou de Marguerite Yourcenar
« Tout grand amour est un jardin entouré de murailles » voir photoOssiane
Pour l’oeuvre de Marguerite Yourcenar, je dirai : »tout est bon chez elle , ya rien à jeter, sur l’île déserte il faut tout emporter » Brassens
Bonne fin de soirée à tous et bonne nuit
Alors ce soir, c’est ma tournée des nids, sous les ailes des tonnes de marguerites et mon bec en dépose une sur chaque plume sur la couette de vos rêveries, et n’oublie pas de s’en poser une sur sa taie d’oreiller de plumes, pour se dormir sa nuit, les yeux pleins des petites étoiles marguerites jolies lucioles belles de bonnes.
Salut à Toi matin de ce jour
J’ai marché cette nuit sur un tapis de pâquerettes et de rosée
Je viens piller les fleurs de vos mots de poètes
Sourire et rire souvent ,triste aussi
tout cela s’épanouit dans mon coeur
Un peu , beaucoup ….. intensément
AA
petit cadeau du matin
certain vont aimer
http://www.dailymotion.com/video/xkavb_georges-brassens-une-jolie-fleur
et un autre
celle là n’était pas vache
http://img.ozap.com/photo/00792718.jpg
Bisou à vos matins et bonne journée à tous
Monique, de quelle photo d’Ossiane parlais-tu?
___ ___ ___
Les marguerites s’en vont en groupes en unités
Peupler quelque autre terre ou la perversité
De ces doigts qui s’agitent pouvait être évitée
Quelle idée d’effeuiller nos pétales un à un
Disaient-elles du vieux rite cruel et bien commun
Pourquoi n’effeuillent-ils les cosmos* aux jardins
Pour s’offrir des soleils un peu loin de nos coeurs
Ces doigts qui s’approchant s’entrouvrent en sécateurs
Ne savent contempler sans dommage et sans heurt
Elles manquaient donc de chance ces pauvres paquerettes
Partout où elles allaient sous pretexte d’amourettes
On leur coupait les ailes sans que son elles n’émettent
Et puis ne restait d’elles que le sou rutilant
Que l’on jette dans l’oubli après l’amusement
Elle se mirent en grève jaunets aussi vraiment
Depuis les mains préfèrent effeuiller l’artichaut
Ce met tout nécessaire qui se déguste chaud
Et dont le coeur s’accorde à l’amour et ses mots
* pour le sourire
Merci Marc pour ces cadeaux du matin… j’aime beaucoup beaucoup
mais quand je pense que la chanson de Brassens fut écrite pour Nadine de Rothschild…. (…) … là … j’aime la Marguerite de Fernandel qui me fit pleurer lorsque j’étais enfant
merci pour ces sourires en mots chantés ou posés, mon petit cadeau aussi,
Une
Je la cueille celle
Qui m’attire
Comme ça
Et je te l’offre
A toi
Pour saluer ton jour
Qu’il t’aime et te vive
De tout de bon
Pour toi
Lou Je parlais de la première photo où il y a un mur d’enceinte avec d’un côté les marguerites de l’autre, graminées et fleurs sauvages, à chacun de se placer d’un côté ou de l’autre de ce joli muret en pierre sèche pour y situer le jardin du grand amour. Bisou .
Tapis tout vert
En oeil de jaune
Couronne blanche
je vous envoie des rayons du soleil qui brille ici, la paix ressource abondamment en vitamines grâcieuses, bouquet de baisers bien tendres.
Beau parterre de fleurs, jolis mots d’amour, dans la fraicheur matinale de l’automne, soleil mais petit vent frisquet ! Bonjour amies et amis
___
Fatiguées du noir de la nuit
Les étoiles du ciel
Se sont posées dans le jardin
Vêtues de « robe blanche et boléro »
Elles ont recouvert le sol
D’un tapis de lumière
Ignorant tout des humains
Elles se sont faites dépouiller
Sans vergogne et sans égard
Au nom de l’amour
Je t’aime, un peu ….
En dépit de leur beauté.
**********************************************************************
******petites étoiles qui êtes aux cieux, restez-y…*******
***********************************************************************
« et nous nous resterons sur la terre
Qui est quelquefois si jolie » Prévert
–
Un instant de lumière
Entre… un peu… beaucoup
Les fleurs sont éphémères
sur leur tapis de jeu
On fermera les yeux
sur le…. passionnément
D’une connivence coquine
les bouquets se fâneront
Au dernier jour
toujours
Par soif du matin.
–
Et la main coquine, ne résiste pas, elle caresse ce doux tapis, et elle amire ce si joli, et puis les fleurs douces se frissonnent sous le câlin du temps, mon oeil en cueille une sans la cueillir, juste du regard, et mes yeux se tournent vers toi, pour te l’offrir tendresse en amour délicatesse, mon amour, sur le joli tapis fleuri de vie.
Marre
Guérite du temps
Rite et folie
Passionnément
Un peu beaucoup de maux
Et puis s’en vont…
Je t’emporte
Je ne t’emporte pas
Je t’emporte
Je ne t’emporte pas
Je t’emporte
Je ne t’emporte pas
Je t’emporte
Je ne t’emporte pas
Je t’emporte
Je ne t’emporte pas
Je t’emporte
Je ne t’emporte pas
Je t’emporte
Je ne t’emporte pas
Je t’emporte
Je ne t’emporte pas
Il n’y a plus de pétale!!!!!!
J’en recolle un
ça ne se verra pas.
le poète dit « j’aime les fleurs »
Mais reste muet devant elles
Il s’en impreigne
Il aime les regarder
les contempler
Il s’immerge dans leur beauté
Véritable bain de jouvence
Le plaisir est charnel
La poésie est intense
Dans le silence des mots
faute à corriger merci : imprègne
Got it monique 😉 merci
adorable reine des champs
aux fines boucles d’or
A la colerette de neige
je n’ose te cueillir
de peur que tu fannes
sous mes doigts maladroit.
j’ai retrouvé une photo de champs de marguerites
http://img5.allocine.fr/acmedia/medias/nmedia/18/36/10/54/18857722.jpg
très bonne soirée
faut-il dame blanche croire ton coeur d’or
pour prétendre aux amours
faut-il effeuiller le temps pour coucher dans les prés
rêver aux doux étés de tes pensées sauvages
rien n’est plus sûr
ton rire de marguerite s’égraine dans tes hautes herbes
perdues aux bords des fossés
tu songes
à l’amour volage
qui caresse
de sa main agile
les feuilles vertes
de ta vie éphémère et volontaire…
rire si doux
de tes lèvres
dame blanche aux champs parfumés des étés…tendres baisers si bien partagés…
La marge irrite mais quand le mage regrette
c’est dommage, même beau dommage
de ne pouvoir plus et mieux inscrire
dans la marge.
Et si moi je te tirais les poils pour savoir si elle m’aime ou comment elle m’aime, chanterais-tu la même chanson ?
Eh ! poète amoureux, as-tu déjà entendu le cri de la marguerite ou le cri de la pâquerette torturée au nom de l’amour justement ?
Imagine : la tête que tu ferais après arrachage du trois millionième poil, ou cheveux, notamment ceux qui servent à protéger les zones sensibles !
Pobrecita ! Animal, fleur, nature, enfin création ; que ne puis-je me contenter de te regarder, t’admirer, te contempler, te laisser libre !
Que mes mains se fassent caresses ! pour que tout soit liberté !
Bourrache, tu aurais pu nous mettre au courant! Heureusement que j’ai gardé mes archives de la Tribune de Bruxelles (n°113, p. 36, 24/02/2005)…
(http://www.tbx.be/fr/ArchiveArticle/2907/app.rvb)
extrait:
« Marinette et le bon génie
Le monde de Marinette avait trois pôles: les Bégonias où elle travaillait et retrouvait Marguerite, la grotte où elles se rendaient périodiquement, et son petit appartement du bas de la rue Esseghem, au-dessus du salon de coiffure où elle avait longtemps travaillé comme shampouineuse. »
Les Bégonias: tout le monde s’en souvient. François le Jardinier nous l’a confirmé: c’était la Blanche du 19 septembre.
La shampouineuse, bon sang mais c’est bien sûr: la CheVeLuRe, Lhassa apso, du 22 septembre; et Marinette avait de quoi faire!
Par contre, la grotte, cela reste une énigme. Après le pôle Sud et le pôle Nord où nous avons cru perdre la boule, ce serait le troisième; en quelque sorte le pôle magnétique qui attire régulièrement Marinette et Marguerite… mais pour quoi faire? Y rencontrer le bon génie?
Remonter le temps nous mettrait-il sur la piste?
https://blog.ossiane.photo/2008/06/13/grotte/
j ai du mal à tout suivre, mais je vous suis.. SOURIRE.
Moi aussi j’ai du mal à tout suivre, il me semble parfois avoir loupé des épisodes…pô grave c’est toujours un plaisir de vous lire et d’improviser au clavier selon les clichés ossianesques.
On s’égare, on s’égare dans les champs de Marguerite ou de Marinette ou de Clématite, en fait tout le monde cherche Ossiane , elle s’est peut-être cachée derrière le mur de clôture du côté de la liberté et des fleurs sauvages pour nous laisser rêver au milieu du champ de marguerites, au fait, il est à qui ce champ de marguerite ? à Ossiane, à Marguerite ? à Marinette ou à Clématite ? Bon je vais me coucher et vous souhaites à tous une bonne nuit et bonjour à Lou et à ceux pour qui ce n’est pas l’heure de dormir.
je souhaite sans « s » je m’égare, je m’égare …ou relâche l’attention!!!
Bisou Monique
Il fait nuit il fait jour
Marguerites voient l’amour
Et en blancs capitules
S’inscrit l’éternité
un peu grivois
Marguerite
Donne-moi les clefs
Ma t’it marguerite
Donne-moi les clefs
Les clefs d’la guérite
Pour montrer si t’ose
Le bourgeon d’ta rose
Pour y voir l’cosmos
En parfaite osmose
Ouv’vite ta guérite
Ma t’ite marguerite
J’ ai souvent pensé
mais n’osait l’rêver
D’ôter tes pétales
voir ton beau sépale
rien qu’d’y penser
J’ai l’coeur étoilé
N’allons pas trop vite
Ma p’tit marguerite
Ho ma belle de nuit
Attendons minuit
Sous la blanche lune
Pour posé ma plume !
Ma verge d’or dressée
Dans ton giroflée !
Donne-moi les clefs
Ma t’it marguerite
Donne-moi les clefs
Les clefs d’la guérite
Pour montrer si t’ose
Le bourgeon d’ta rose
Pour y voir l’cosmos
En parfaite osmose
le temps passe si vite
ma ‘tite marguerite
ça fait bien longtemps
presque deux printemps
Ha, la clef des champs
Tu m’la plus donnée
Que c’est long le temps
Moi qui t’ai aimée
je chante sans fin
la gloire du matin
ou tu t ‘es donnée
je t’ai tant rêvée
Mon petit coquelicot
J’ai rien vu d’si beau.
Depuis tout c’temps là
Je ne pense qu’a toi
Ma p’tite marguerite
Ma p’tite marguerite
Redonne moi les clefs
Les clefs d’la guérite
Pour montrer si t’ose
Le bourgeon d’ta rose
Pour y voir l’cosmos
En parfaite osmose
mmhh, c’est tendre, Marc, sourire.
Ca pétille ! Le jaune te va bien, et j’ai le sourire aux lèvres.
Me vient en tête le titre d’un de ses films assez improbable « de l’influence des rayons gamma sur le comportement des marguerites » Paul Newman lui même, au regard bleu acier, en était le « director » une manière de saluer un poète de la pellicule et qui n’avait pas peur des pistes de grande vitesse.
Un acteur charismatique, vrai philanthrope , poète de la pellicule ( comme vous dites ) et quel regard !
La dernière fois que je l’ai vu au cinéma , il donnait la réplique à Tom Hanks dans un film très noir de Sam Mendès » Les Sentiers de la perdition »
Bonne soirée
Oui Perline c’est un film rouge noir mais dans cette fuite haletante il n’y a pas…de déperdition de chaleur humaine, mais un triste phénomène qui veut que les liens filiaux priment tout.
très bonne soirée 😉
îlot vert …
bouton de vie
aux ailes de soie …
l’or de ton coeur …
La vie d’une fleur est une caresse tressée d’enchantement
dans chaque brin d’herbe … la main du jardinier
Chère Ossiane, je vous remercie pour les fleurs merveilleuses de ce mois … Un mois de grâce et de beauté, un mois de rêve …
Bonsoir Merciel;-)
Toujours autant de délicatesse dans vos mots; c’ets un grand plaisir de vous retrouver;-) Septembre fut fleuri et parfumé, sans doute un désir inconscient de faire reculer l’automne pour prolonger l’été qu’on n’a pa eu;-)
Bonne nuit, à bientôt!
C’est beau, attendrissant et immensément poétique.
>obni:
Bonsoir et bienvenue obni;-) Touchée par tes mots, je t’invite à nous rejoindre. Amicalement
Et elle penche son nez dedans
Et il flirte l’amour de plein
Et elle s’en frictionne
Et il la désire de tant
Et elle s’abandonne
Niet !! Elle résiste en bon petit soldat.
or recueillie au bout de la tige cornue
élixir de vie au fond de ses pétales
concentré jaune en sa robe blanche
substance blottie de l’alchimiste fleur
processus magique de l’amour
Et froisse la fleur de ses bottes
Heureuse que crisse sous son pas
L’ennemi en habit de notes
Au loin! vertiges, montagnes russes
Où hurlerait désespéré
Un coeur à peine guéri.
Au loin! vos colliers d’ivoire
Des corps sans visages, un miroir pour refléter des illusions
Mais j’ai déjà flirté sur le sable
L’Afrique épouse, maîtresse, au diable
Les pétales des marguerites blanches.
Au diable l’amour
Sanglez les cris de ma chair
Bridez vos fantasmes éloquents
S’il reste une marguerite à effeuiller
J’irai prier dans un couvent pour mettre un voile
Entre vos lèvres et mes paupières.
Et si vous deveniez mon chat? Moi la souris sous vos ronrons
Je m’endormirais de plaisir et glisserais sous vos poils longs
Et si je vous provoquais à mettre mes pattes dans le plat? vous mangeriez paisiblement heureux d’avoir une fée dans vos pâtes?
J’ai croqué toute la marguerite et mis le bouton en paillettes à sécher dans une pipette.
Je soufflerai ces grains de fête quand j’effleurerais vos baisers.
http://fr.youtube.com/watch?v=SHKYPiqOH4g
mmmh, comme c’est joli!
Mes pensées de vie
Toi que je courtise de loin
Sans te côtoyer.
Au bout du chemin
De gourmandises et d’épines
L’offrande de la vie.
Au bout du chemin
Plume d’acier et encre brune
Le temps en lacets.
Au bout des volcans
Une herbe qui pousse sur les pentes
La voiE adoucie.
Au bout d’un coeur mort
Leïla m’a jeté un sort
Sur tapis d’Amour.
Au bout de l’Amour
Des coquillages dans la mer
Balancent en ressac.
Au bord de la mer
Des pas qui trempent dans la vague
Mon coeur Océan
Au bord de mon coeur
Un prince en habit de gueux
La lumière m’emporte.
Quel joli rappel de cette page que j’aime…