83 réflexions sur « CHeVeLuRe »

  1. Hello
    Toute ébouriffée du sommeil de la nuit
    J’arrive de mon lointain pays : Lhassa Apso
    Comme un léger frimas à la blanche chevelure
    Blessée par la blessure d’amour
    Le suc de cette fleur posé sur les paupières endormies
    Vous rendra follement amoureux …………..
    pour ce jour
    AA

  2. Pochettes de bal en suspension….intime désordre au creux de la douceur..plumes légères et caressantes…nos secrets offerts…Premières figures esquissées…quelques pas de danse sur ta joue…se noyer dans les larmes d’un cygne…pour une matinée ou une amante…

  3. Elle se secoue sa tête
    Soulève une petite mêche
    S’écarquille ses petits yeux
    Elle l’embrasse sa vie

  4. « ne me secouez pas, je suis pleins de larmes »
    Henri calet

    j’ai le coeur tout effiloché
    il me faudrait un perruquier
    avant que s’installe la calvitie

  5. La citation du jour Evene.fr :
    _

    « C’est d’âme qu’il faut changer, non de climat. »

    (Sénèque – Extrait des Lettres à Lucilius)
    _

    Brumes matinales évaporées, mon ciel se révèle gris…

    Bonne journée à tous.

  6. Boule tendresse
    Sous ton pelage étouffant
    Chiot adorable

    Feux-follets dansant
    Une armada de soierie
    La vie en plumes

    Belle journée empanachée à tous!! Bises vers toi, Ossiane..

  7. Tendresse des cheveux blancs
    Que le temps porte joli
    Les années sont passées
    A se vivre se souvenir
    Avancer sur la route
    Pendant qu’il en est temps

  8. Par une belle après midi ensoleillée, je me promenais dans le parc. Je laissais mes pensées flâner sur la route des vacances passées. Le rire des enfants embaumait l’air d’un parfum de nostalgie. Des voiliers, poussés par le vent rugissant de septembre, fendaient l’eau du bassin. Dans les flaques d’eau gisaient les sentinelles de l’automne, tombées sous les rafales répétées d’éole. Le ciel prenait la teinte blanche d’un malade et les arbres se couvraient d’un manteau de laine aux couleurs chamarrées. Mon regard fût happé par la marche gracieuse d’une femme. Son corps effilé semblait flotter dans l’air. Chacun de ses pas soulevait sa jupe translucide. L’ombre de ses jambes gracile se dessinait au travers de la lumière. J’étais comme hypnotisé Incapable de détaché mon regard. Tout à coup elle s’arrêta. Elle semblait avoir senti le poids de mes œillades sur son corps animal. Et, comme une méduse que l’on approche d’un peu trop près Son regard toisa le mien et me paralysa. Mon cœur s’accéléra. Ma peau rougit. Mes jambes semblaient se disloquer sous l’effet de cette piqûre. J’essayais par des mots malhabiles et hybrides de m’excuser de cette impudicité. Ma tentative désastreuse d’échapper à son courroux la fît sourire. Je l’accompagnais d’un sourire grotesque. Mon visage passa par toutes les couleurs de l’arc en ciel. Le silence s’installa et les regards se firent plus doux. Elle accepta que je l’accompagne un moment. Nous marchâmes longtemps cote à cote. J’osais à peine la regarder de peur d’être piquer à nouveau. Nous nous quittâmes à l’orée du soir. Nous avons échangés nos numéros de téléphone, Et je l’ai regardé s’éloigné. Son corps valsant dans le courant tiède et limpide de l’air automnal.

    bonne journée à chacun

  9. Hello !

    Atelier tricot :

    Et pour votre écharpe rigolote
    Il vous faudra, chère Madame,
    Cinq ou six jolies pelotes
    En fils de nerf, couleur nature,
    Assorties à votre chevelure !

    Biseeeeeeees de Christineeeeeee

    PS /
    Petit jeu (Lou aime bien les petits jeux !)
    Dans quelle note d’Ossiane se trouve… l’écharpe étoilée, tricotée de main de maître par votre dévouée… christineeeee !

  10. Bravo Marc , je suis là bas au milieu de la photo ,bien vu
    et en l’honneur d’Ossiane je m’offre une barbe à papa pareille à cette ébouriffée de Lhassa aspo
    AA

  11. Quand vient l’automne,
    Descends vers le lac,
    Arrête-toi près de la haie
    Qui borde le chemin,
    Attends le soleil du soir
    Et tu verras à quoi ressemble
    La chevelure d’un ange
    Tu la trouveras si belle
    Si vaporeuse, si lumineuse
    Que tous les soirs
    Tu reviendras et tu espèreras
    Que l’automne, dure longtemps.

  12. Sous ma chevelure
    Quelques écorchures

    Et sous ma tignasse
    Bien souvent filasse

    Un petit pois chiche
    Dessous la postiche

    Et sous la toison
    Me disait suzon ?

    « T’a un beau feuillage
    Tu fais moins ton âge »

  13. Mon inspiration est au zéro pointé mais je passe quand même vous lire et puis sourire.
    C’est mignon et rigolo Ossiane et ça me rappelle les chèvres sur les arganiers ( pour de vrai celles-là)
    Marc, ta photo de groupe est réussie. Tu as même pensé à inclure notre lhassa apso ( et je dois remonter la page pour retrouver ce nom qui n’est pas facile à retenir !)
    Christineeeeeeeeee, pour le jeu, bingo du premier coup: il s’agit de Triangle, tant d’étoiles à tricoter sur l’eau ce jour là !
    Bisou à tous et bonne journée

  14. Ces photos et ce blog sont trop !
    Après les avoirs vus il faut manquer de lucidité pour continuer à écrire ou photographier. heureusement il n’a plus de pellicules et de papier gâchés seulement des bits qui circulent sur nos lignes.

  15. Lhassa apso
    lassé
    des lazzi
    laissa ses lassos
    à Lucie
    la luciole

    La lucide
    lissa
    la laisse
    du Lhassa
    Et l’as de l’os
    S’assit

    moralité : à l ‘assaut du lhassa
    le ver s’illumine et tout devient serein
    pourvu que l’on soit libre

  16. Un premier BRAVO pour :
    MARC :
    je croyais que c’était ta photo d’école, style « copains d’avant » !
    Mais j’aime bien quand tu nous fais rire !

    Un deuxième BRAVO pour :
    LOU :
    Tu connais bien ton blog ! Je m’étais bien amusée ce jour là !

    Un troisième BRAVO pour :
    PIERRE /
    Le flou dans les neurones à brosser ou à démêler, trop fort !

    Un quatrième BRAVO pour :
    PHIL ALBA
    Enlevez tous les S et tous les A… reste… pas grand chose !

    Et j’allais oublier RACHEL…
    Qui m’a bien fait rire aussi !

    Et puis MONIQUE, toujours fidèle à elle-même, et toujours très beau…
    Et tous les autres, ARLETTEART, THIERRY, BONBONZE, BOURRACHE,…
    ANNIC, MARIA, SALADE, CLAUDIE, PIERRE B,….

    BRAVO !

    EH ! OSSIANE ??!!
    T’es dans le coin, par là, ???

    Biseeeeeeeees à vous tous

  17. Phil alba
    Sans être sophistiqué, juste susurré, surtout pas censuré, c’est sûr, c’est si serein, ceci suscite et nécessite un BRAVO

  18. > Christineeeee, je connais quelqu’un qui va être ravie de ton tour de piste.
    Merci pour les bravos.

    Avec Ossiane, voici mon quarto:

    Perruques blanches
    en vitrine en solde
    blondes s’abstenir

  19. En fils de fleurs je tisserai mes mots
    Ils auront la couleur de l’été qui s’efface
    Mais la chaleur des couleurs de l’automne.
    Je les offrirai au vent de la plaine
    Pour qu’il les emporte
    Sur les rebords de ton coeur
    Ils seront doux comme la soie
    Chauds comme la laine
    Caressants comme les poils de lhassa apso
    Légers comme des pétales de fleurs
    Onctueux comme les plumes d’un oisillon
    Ils auront le parfum d’une infinie tendresse
    Et les nerfs de la pelote s’en trouveront démêlés
    Comme une CHeVeluRe sous la brosse du vent
    Et nom plus ReVeCHe !

  20. Décidément tout le monde se transforme en Bonbonze dans le blog ;))
    Mais c’est Ossiane qui aura commencé ! 😉

    Tout l’équipage sur un arbre perché
    portait sur le tête un plumage
    blonde ou blanche qu’importe
    lhasso apso * leur tint à peu près ce langage
    Que vous êtes jolis, que vous me semblez beaux
    Sans mentir, si votre ramage
    Se rapporte à votre langage ,
    Vous êtes les phénix des hôtes de ces bois
    Ils se mirent à japer à tûe-tête
    Et ça ne lui plut pas !!
    Morale de l’histoire: il vaut mieux rester soi-même **!!

    * j’ai dû retourner vérifier le nom qui fait plus penser à une boisson qu’à un chien et qui est décidément bien difficile à retenir après tous les l’ A C que vous avez introduits
    * Il fallait abréger j’ai une tonne de travail

  21. Aujourd hui, ma tête un peu comme sur l’image, la fatigue me cotonne, toute échevelée, j’ai du mal à suivre ce jour, pensées vers bruno et son déménagement, penser partir de ce lieu déhanche mes neurones qui perdent la boule, et puis, il me reste, mon essentiel quand m’aime, un peu, beaucoup, à la folie, bises à chacun, jolie bande de mots charnels..

  22. La fatigue doit être bien dense, car j ai eu un peu peur devant ces fleurs pas coiffées ce matin, moins devant les cotons de la seconde image, et ce soir déjà, ces hirsutes me font sourire…

  23. En fin de vie
    C’est un noël
    Tout de blanc
    Le silence
    Le cheveu
    La chair
    La sève est coupée
    Un arrêt sur image
    Alors en attendant
    La vie dans ses couleurs
    A se barboter son arc
    Pour se vivre son ciel
    Sur terre où on est né

  24. Ipso facto
    Lhassa apso
    même in peto
    C’est rigolo
    Y’a pas photo…
    Quant à Zorro…

    Mais si, mais si justement, y a la photo !!!

    Comme quoi, même dans des moments difficiles, ce blog incroyable
    permet de mettre la tête hors de l’eau (ce blog et tous ceux qui le font vivre)
    Au passage, encore merci à la petite abeille.
    Et comme disais un copain, quand il avait un peu abusé de la poire :
     » Ho ! je vous aime à tous bien ! » Et ça c’est sûr !
    Bon ! Salut les poteaux !

  25. Et tant que vous y êtes mettez donc 2 « t » à petto.
    Ce qui donne après correction et pour le même prix :
    Ipso facto
    Lhassa apso
    même in petto
    C’est rigolo
    Y’a pas photo…
    Quant à Zorro…

    Bon ! et comme disait…
    La suite : vous savez quoi !

  26. Bonjour à tous

    Ce matin des gros beaux nuages blancs et gris pâle, festonnés dorés sur fond de ciel bleu, belle journée qui s’annonce. Avant de jeter l’ancre sur ma journée, je vais rendre visite aux oiseaux du lac et respirer l’air frais du matin, regarder le niveau du Rhône, et peut-être voir passer une péniche sur le fleuve. Rencontrer qui sait un petit Lhasa apso, crinière au vent . A bientôt

  27. La clématite sauvage
    A troqué ses fleurs mauves
    Pour des plumets d’argent.
    Au rendez-vous sur le chemin,
    Têtes poilues derrière la haie,
    Les yeux cachés sous leur ramure,
    Silencieuses, immobiles,
    Cheveux au vent
    Dans la fraicheur du matin,
    Elles avoisinent le chèvrefeuille
    Encore en fleur couleur soleil,
    La vigne vierge aux rameaux rouges
    Offrant ses grappes de grains noirs.
    La haie se fait palette
    Les yeux se font pinceaux
    Le coeur, une toile de fleurs .

  28. «  »Mon inspiration est au zéro pointé mais je passe quand même vous lire et puis sourire » ». LOU

    « je suis un peu comme LOU, …, je suis plus « paysage » : cascades, CORSE, BRETAGNE, Val de LOIRE, jeux de lumières, …Que ces fleurs énigmatiques… »
    mais les images restent, et les mots comme des pétales…

  29. Bernard : après avoir signé, l’a encore trouvé de la place pour coller un timbre sur sa mini-carte notre Ossiane-Marinette ???

  30. http://www.youtube.com/watch?v=BBVMz5T7hsw

    Rendez-nous Ossiane-Marinette ! ATTENTION ATTENTION
    AVIS DE RECHERCHE
    La dénommée Ossiane-Marinette a déserté le navire. On sait peu de choses sur elle à part qu’elle aime faire les vidanges. Signe particulier : a souvent un appareil photo à la main. Forte récompense promise à celui ou celle qui nous enverra un indice.

  31. .
    Allo allo allo, matelots, ici Ossiane Marinette la timbrée (copyright bernard le boute-en-train) … bonne fréquence retrouvée… ma voix lointaine en provenance d’une autre dimension… départ précipité il y a deux jours… je serai en mesure d’atterrir bientôt … en parachute… beaucoup de fil à retordre mes fleurs vous ont donné… je vous ai un peu désarçonnés mais je n’ai vu que du chien dans ces boules duveteuses … un petit brin de folie et de fantaisie inattentu dans les poèmes… du coton … dans les oreilles… des anges pleins de douceur sont apparus… des exercices de prononciation pas coton du tout les ont rejoints, n’est-ce pas Phil le poteau ? 😉 … des commentatrices bien inspirées aussi (cf christine) … un quarto partagé dans le jardin anglais avec pierre… des tissages de mots tout doux (copyright monique et annick) … les blondes montrées du doigt et l’amazone alix qui demande des comptes… une lou et un aspe déboussolés… une rachel qui fait des couacs… une bourrache qui se laisse porter…. sans doute à cause de son indéflectible adoré… une hélène qui est restée sous la tonnelle à rêver… un navire qui tangue et son capitaine qui barre par télépathie …une créature végétale rampante à identifier d’urgence avant que les passagers ne deviennent tous fous…
    Bienvenue à dessilas, à lobita, corinne ; merci pour votre passage ! Ne vous inquiétez pas de nos délires, tout va vien, vvous pouvez vous joindre à nous;-)
    Bises à tous et bonne soirée !
    Ossiane.
    .

  32. … reste plus qu’à espérer que, quand Ossiane-Marinette quittera son coin, elle ne perde pas la boule … de son Nord …

  33. Ben voilà … jongleuse hors pair , Ossiane garde toujours l’équilibre !

    Biz à toi (à tous) et heureuse de te retrouver.

  34. >bourrache:
    Merci pour le bon accueil, bourrache, fidèle gardienne de l’oeil;-) Contente de pouvoir te dire quelques mots de vive voix même si je suis timbrée et si j’ai perdu la boule;-))

  35. je ne sais pas si je suis dans la lune
    mais Je pense avoir reconnu des cousins
    de Dupont et Dupont dans « On a marché sur la lune »
    les bulles en moins et la couleur verte aussi.

    Dégoulinants mais pas façon sic… transit,
    prêts pour le transat
    ils se cachaient comme des acrobates.

    Je vous salue tous et j’embrasse Ossiane …que je n’ai pas reconnu ;)))

  36. Le chauve et le poilu

    Au royaume de l’alopécie
    Le chauve est un roi sans couronne
    Le poil n’est plus qu’un vague treillage
    D’une tempe à l’autre la mèche s’allonge
    Dans un élan de résistance
    A la chute du moindre cheveu
    Tombé avant d’être poivre et sel.

    Faut-il penser à la moumoute
    A la perruque, à ce toupet
    Qui préfère prendre son envol
    Juste quand on s’y attend le moins?

    L’un a recours au chirurgien
    Transplante sur son cuir chevelu
    Sa chevelure réinventée
    L’autre arbore son crâne à la face
    De ceux qui rêvent d’y glisser
    Ou cette peau lisse caresser
    Mais au final le chauve peut être
    Dégarni mais toujours poilu
    Voili-voilou!!

  37. Christinoeud!
    Je suis bien d’accord avec toi à part la couleur:
    « Intuitivement, on peut se représenter une sphère recouverte de cheveux souples et pas frisés, chaque point de la sphère étant la racine d’un cheveu. On considère la projection du cheveu sur le plan tangent à la sphère au point où le cheveu pousse : l’ensemble de ces projections donne une bonne idée d’un champ de vecteurs tangents sur la sphère. On cherche alors à coiffer ces cheveux en les aplatissant sur la surface de la boule, et en évitant les discontinuités: on ne fait pas de raie, on ne permet pas à des cheveux de changer brutalement de direction les uns par rapport aux autres. Le théorème dit que c’est impossible d’arriver à ce résultat. Quoi qu’on fasse, on va causer la formation d’au moins un épi, c’est à dire d’un endroit où un cheveu se dressera. »
    Je commence à voir où Marinette veut en venir! pas si folle que ça…
    (A suivre)

  38. Merci de bien vouloir m’ouvrir la porte marc;-)
    Pas reconnue ? J’ai mis la belle perruque de Christine;-)
    Tempête sous un crâne et analyse de la naissance de l’épi! Ouf Bernard, je commence à retrouver l’équilibre mais je suis encore toute ébourriffée;-)
    Et voilà leila avec son chauve;-) Quel toupet !
    Bises à tous les 6 !

  39. Je n’ai pas de blagues sur les blondes dans ma besace de consonnes et de voyelles mais une tite poésie sur la chevelure blonde…

    Nébuleuse, onde claire
    Rayonnant sur l’épaule
    Emergeait satinée
    Contour où vagabonde
    La chevelure, miroir
    Des rayons du matin
    pareille à un champ blond
    Attendait des semailles.

    Des barrettes en suspens
    Sur deux longues tresses dorées
    Semblaient des boeufs aux champs
    Sous un ciel indécis, immobiles
    Aux reflets d’un bocage
    Où glissaient sur les blés
    Un peigne en nacre rose.

    Puis sous l’averse tiède
    La blonde chevelure
    S’assombrit sous les eaux
    La flamme mouillée, savon
    Et corps luisant au bain.

    Chancelante chevelure
    Au rythme d’un jet d’eau
    Vapeur, caresse humide
    Peau douce, grains de beauté.

    Dans un tissu éponge
    Légèrement chauffé,
    La chevelure glissa
    Se noua dans le cou.

  40. Bigre, je me chauve!

    Ah! J’avais oublié de vous dire ce qui m’avait mis sur la piste de Marinette:
    Théorème de la boule chevelue — Si n est un entier pair au moins égal à 2, tout champ de vecteurs continu X sur la sphère réelle Sn s’annule en un point au moins : il existe v (dépendant de X) tel que : X(v) = 0.

    La chienne!

  41. Ce soir au coin de la rue une dame qu’on appelle Clématite pleurait. Ses amis toute la journée l’avaient traitée sans ménagement de Lhasa apso, apsolument insultant pour cette vieille dame aux cheveux grisonnants, elle alla rejoindre ses congénères dans les buissons du petit jardin en attendant demain. Que pouvait-elle faire de mieux ? !!!!!
    ___________________________!!!!!
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    ___________________________________________________!!!!!
    ________________________!!!!! Bonsoir, à demain et sans rancune nous dit la clématite sur son déclin.

  42. Monique, si elle avait aboyé moins , elle serait passée inaperçue mais les nerfs en boules à longueur de journée, les voisins ne la supportaient plus… Elle s’est tapie dans le jardin car on s’en lassa. « Ah psau me de la pénitence » ne cessait-elle de répéter!! Je crois qu’elle a perdu la boule aussi !

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