108 réflexions sur « gOuttes »

  1. ___

    Gouttes, goûte,
    Coeur à corps,
    Tic-tac.

    Complices.

    Dans la nuit,
    Une histoire.

    Soleil se lève.

    S’assèche un mystère.

    J’entends encore le cri…
    ___

  2. Deux phares dans la nuit
    sont tes yeux, mon amour,
    Sont les rêves du passé.
    Je laisse le champ de l’imaginaire
    et je viens pour la realité:
    Tes yeux se sont allés
    pour toujours…
    la pluie cumplice
    témoin de mon suplice
    nettoye les larmes
    que glissent par mon visage.

  3. La pluie qui tombe, les phrases de la voiture au loin, mais les amoureux marchants s’embrassent en se donnant la main, sans regarder le temps, ni la distance.

  4. Gouttelettes dans mes yeux rougis
    Cet enfant avait “deux trous rouges au côté droit”

    Pluie amère dans mes yeux rougis
    Leurs pleurs vains, leurs cris de colère d’être des proies!

    Triste guerre dans mes yeux rougis
    Envoyer des enfants tuer d’autres enfants de sang-froid !

    Insoutenable enfer dans mes yeux rougis
    Quand fera-t-on la lumière sur tous ces mômes que l’on broie?

  5. les embruns collés sur son rouge à lèvres,
    après nos baisers
    j’en ai pleuré
    ce sont mes larmes dans la buée au sommet du phare
    un soir de tempête
    quand elle a pris mes lèvres
    pour y mettre son rouge coeur

  6. Si tu t’imagines
    si tu t’imagines
    fillette fillette
    si tu t’imagines
    xa va xa va xa
    va durer toujours
    la saison des za
    la saison des za
    saison des amours
    ce que tu te goures
    fillette fillette
    ce que tu te goures
    (…)
    Raymond Queneau, L’instant fatal.

  7. __
    Dislocation de l’eau immobile
    Haricots
    Opium
    Explosion
    Le signal des flûtes godille
    A mes pieds
    Biscornus dans le pli de son hiéroglyphe
    Enceinte
    ébréchée
    Maison
    Magiques enclos de pluie
    De tous côtés horizontal
    Née
    La méthode à embrasser
    Néant.

    Francis Picabia / Cinquantes -deux miroirs

  8. D’où vient qu’un pare-brise ouvre la porte au rêve
    Tout comme un paravent fait naître le désir
    Un pare-brise, en soi, n’a rien qui nous élève
    Un paravent, en soie, est source de plaisir

    Mais si la pluie se fait complice du pare-brise
    Qu’elle l’occulte juste assez de motifs délicats
    Alors se crée un lien pour l’âme déjà conquise
    Qu’y a t-il, au-delà, que l’oeil ne voit pas

    La sagesse commande de mettre les essuie-glace
    En un tour de main elle met fin à la grâce
    L’imaginaire se tait, laisse place au quotidien
    Et le pied, par réflexe, touche la pédale de frein

  9. Goutte, goutte à goutte perlent tes larmes de joie
    Sur nos corps frissonnants, tendres caresses, doux émois
    Rouge, rouge carmin, fragrance sucrée du jasmin
    Tes lèvres pulpeuses s’embrasent sous l’abat-jour
    Les coeurs rassasiés de tendresse dénient les mauvais jours
    La pluie qui dégouline sur les vitres de mon coeur
    C’est l’étincelle de l’amour qui ruisselle, sans détours
    Tendre complice, mélodie qui se glisse à la porte du bonheur

    Bel haïku..et calligramme, Ossiane
    Belle journée…sous la pluie dans le midi..

  10. exterieur nuit

    le nez à la fenêtre
    dehors la nuit bat la campagne
    le vent malmène la pluie
    entre les vagues ruisselantes
    je suis un cheminement

    les yeux à la vitre
    dehors la nuit bat le pavé
    l’atmosphère scotche la pluie
    entre les appels de phares
    je suis les lumières rouges

    les yeux à l’objectif
    dehors la nuit bat la chamade
    l’air et l’eau font des vagues
    sous l’aile des oiseaux
    ils sont deux qui s’embrassent

    andrée wizem

  11. une petite goutte, sur mes joues, une larme, au départ, une simple larme, qui petit à petit, de goutte en goutte, se transforme en un véritable torrent …

  12. dehors, une pluie torrentielle tombe, mais peut m’inporte, car mon coeur, lui ruissele de tendresse pour toi …

  13. Paroles La Romance De La Pluie Georges Brassens

    Artiste: Georges Brassens
    Chanson: La Romance De La Pluie

    J’adore entendre le gai flic-flac,
    Le son joyeux de la goutte d’eau
    Qui tombe et qui claqu’,
    Ce clapotis qu’en pizzicato
    Font les petit’s flaqu’s,
    C’est la romance de la pluie…

    Si quand il pleut mon cour fait tic-tac,
    C’est que le jour où je t’ai connu
    L’eau tombait en vrac
    Aussi depuis j’ai mieux retenu
    Qu’un air d’Offenbach
    Cette romance de la pluie…

    Quand elle nous arrose
    La rose fleurit
    Donc, moi je suppose
    Qu’elle fait s’épanouir notre amour aussi

    Voilà pourquoi j’aime le flic-clac
    Le son joyeux de la goutte d’eau
    Qui tombe et qui claqu’
    Puisque mon cour fait comme un duo
    Avec le tic-tac
    De la romance de la pluie…
    Paroles Mania

  14. Les gouttes de pluie
    Baignent ton visage
    Du ciel assombri
    L’eau avec les larmes
    Se mêle et désarme
    Ton cœur qui s’ennuie
    Un triste jour gris
    Quand tonne l’orage

    Les gouttes de pluie
    Bercent ta tristesse
    Douce mélancolie
    Amère tendresse
    D’amour et de bruit
    Où l’âme en détresse
    Se plaît et se blesse
    Sans trouver l’oubli

    Les gouttes de pluie
    Mouillent tes cheveux
    Et tes lèvres sèches
    Redevenues fraîches
    Offrirons leurs fruits
    De baisers d’aveux
    L’absence est souffrance
    L’espoir délivrance

    Les gouttes de pluie
    Laveront ta peine
    Oublie ta douleur
    Le sang dans les veines
    Et le temps qui fuie
    Sècheront tes pleurs
    Le mauvais temps finira
    Et l’arc-en-ciel se lèvera

  15. Bonjour à tous,

    Je me fais rare, mais je passe parfois … je me sens mieux, mais l’écriture n’est pas encore au rendez-vous. Puis le théâtre me prend pas mal de temps …avec 5 représentations …

    Les phares …m’ont rappelé un beau texte de F.Pessoa. J’avais joué ce passage au théâtre, il y a 2 ans.
    Bises à tous.

    Extrait de Faust (la désillusion de Faust) – Fernando Pessoa

    (MARIE)
    Te t’aime comme l’amour aime.
    Je ne connais d’autre raison pour t’aimer que celle de t’aimer.
    Que veux-tu que je te dise de plus que te dire que je t’aime,
    Puisque je veux seulement te dire que je t’aime?
    Ne cherche pas dans mon cœur…
    Quand je te parle, cela me fait mal que tu répondes
    A mes paroles et non à mon amour.
    Quand l’amour est là, on ne badine pas :
    On aime, et la parole n’est qu’un sentiment de plus.
    Je peux t’écouter me disant que tu m’aimes,
    Sans que tu me le dises, si je sens que tu m’aimes.
    Mais tu lances des mots tout alourdis de sens
    Et tu m’oublies; même quand tu ne parles
    Que de moi, tu ne te souviens plus que je t’aime.
    Ah, ne me demande rien; parle-moi plutôt
    Au point que si j’étais sourde
    Je t’écouterais avec mon cœur, entièrement.
    Si je te vois je ne sais plus qui je suis: j’aime.
    Si tu me manques (…)
    Mais tu fais en sorte, mon amour, de me manquer
    Même lorsque tu es avec moi, car tu questionnes toujours
    Alors que tu ne dois qu’aimer.
    Si tu n’éprouves aucun amour,
    Montre-toi indifférent, cesse de me vouloir,
    Mais tu es comme personne n’a jamais été,
    Tu poursuis l’amour pour ne pas aimer,
    Et si tu me recherches, c’est comme si j’étais
    Quelqu’un à qui parler de qui tu aimes.
    Dis-moi pourquoi l’amour te rend tellement triste?
    Je te fatigue? Comment le pourrais-je si tu m’aimes ?
    Personne au monde jamais n’a aimé comme tu aimes.
    Je sens bien que tu m’aimes et que tu n’aimes rien,
    Et je ne comprends rien à ce que je ressens.
    Dis-moi un mot quelconque plus vrai
    Que ces mots que tu cherches comme si tu les avais perdus,
    Pour ne trouver que des cendres.
    Quand je t’ai vu, je savais t’aimer depuis longtemps.
    Je t’ai retrouvé quand je t’ai rencontré.
    Je suis née pour toi avant que soit le monde.
    Il n’est aucune chose heureuse, aucune heure joyeuse,
    Que j’ai possédée cette vie durant
    Qui ait été étrangère à ta venue,
    Car tu dormais en elle, toi, mon futur.
    Et guidée par ce bonheur et cette joie
    J’en suis venue à t’aimer.
    Quand, enfant, Je jouais à avoir un mari, il ne me manquait
    Que d’être assez grande, et je ne le sentais pas,
    Car ce qui me comblait c’était déjà toi.
    Et je ne l’ai su qu’après, quand je t’ai vu,
    Et tout a pris pour moi un plus juste sens,
    Et mon passé est devenu une route
    Illuminée devant moi, comme lorsqu’une voiture
    Avec ses lanternes amorce le tournant
    Du chemin et que la nuit est déjà toute humaine.

    As-tu un secret? Dis-le moi, car je sais tout
    De toi, quand bien même tu ne me le dirais qu’avec l’âme
    Ou qu’avec des mots étranges que je comprendrais
    Uniquement parce que je t’aime.
    Si ton secret est triste, je saurai avec toi
    Pleurer jusqu’à ce que tout s’efface.
    Si tu ne peux dire ton secret, dis que tu m’aimes,
    Et moi, sans même le chercher, je le sentirai.

    Quand j’étais petite fille, je sens qu’alors
    Je t’aimais déjà aujourd’hui, mais de loin
    Comme les choses peuvent être devinées de loin,
    Au point d’être heureuse rien qu’en pensant
    A ce rendez-vous où l’on n’est pas encore arrivé.

    Mon amour, dis quelque chose, que je puisse entendre ta présence.

  16. Zut, il pleut !

    Petites gouttes,
    Grosses gouttes,
    Goutte après goutte
    Le ciel se tombe en gouttes
    Les gouttes gouttent
    Sur la route,
    L’oreille à l’écoute,
    Plus aucun doute,
    Le son des gouttes
    Qui s’égouttent
    Hypnotise les sens :
    Et la vue en déroute
    Aperçoit, chose étrange,
    Un drôle de rond rouge
    Et son double qui bouge !

    Biseeeees dédoubléeeeeeees

  17. Flic floc, la pluie
    Tambourine à la vitre
    Viens vite me rejoindre
    Petite sauvageonne!
    Mon amour aspire à ton soleil
    Goûte mes lèvres de miel
    Tes yeux pétillent de gourmandise
    Tes baisers rouge cerise
    Embrasent mon ciel!
    Tes yeux phare de braise
    Petit coquelicot,
    Aux senteurs mousse fraîche
    Ont émoustillé mes sens
    En d’exquises friandises
    Il ne pleure plus dans mon coeur
    Des goutellettes de pluie
    Ton amour, ta langueur
    Ont fleuri dans ma vie

  18. une goutte d’eau, oui, mais, la goutte d’eau du bonheur. Car une goutte d’eau de bonheur, dans ta vie, je voudrais être…

  19. Une route déserte ;
    Seulement éclairée par la lune.
    Autour la forêt sombre et inquiétante.
    La derrière ville que j’ai traversé est à une dizaine de kilomètre.
    Et cette voiture qui est en panne sous cette pluie battante.
    Pour couronner le tout mon téléphone portable ne capte plus.
    Et Camille qui doit s’impatienter au restaurant.
    Et M….
    Juste le jour ou je devais lui faire ma demande en mariage.
    Et la pluie qui se met à faire des allégories.
    Allégorie de l’amour.
    Elle vient de je ne sais ou ;
    il peut en pleuvoir de l’amour
    Et même depuis la nuit des temps ; .
    Il est là à tomber au hasard sur moi sur vous.
    Ici et ailleurs en même temps.
    La nuit le jour.
    Dans la réalité dans les rêves.
    Dans les images dans les livres ;
    Un vrai déluge.
    Et elle continue la pluie.
    Elle continue son allégorie ; là devant moi sur ce pare brise.
    Sur ce pare brise ou je ne vois que l’amour.
    Rencontre, Association, fusion,
    Et puis elle continue leurs chemins ensemble les gouttes,
    Un petit bout de chemin, ou alors parfois jusqu’au bout du chemin ;
    Parfois il y a d’autre rencontre ; celle elle brise tout ;
    Au hasard ; sur ce chemin de la Vie ;
    séparation, explosion, désunion,
    et ça recommence
    pluie douce et chaude
    froide voire glaciale !
    Deux phares illuminèrent le pare brise.
    Je quittais mes pensées et sortie comme une tornade
    Sous la pluie diluvienne.
    Levant les bras au-dessus de la tête
    En faisant des mouvements de balancier.
    La voiture freina et glissa sur l’asphalte mouillé.
    J’eu à peine le temps de sauter dans le fossé.
    En me relevant je vis Camille le sourire aux lèvres,
    Heureuse de m’avoir retrouvé ;
    Je souris à mon tour comme peut le faire une serpillière.
    Elle s’avança et nous nous embrassâmes comme deux gouttes d’eau.

  20. marre, marre, y’en marre, c’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase… Monsieur et ses voitures,tout un poéme!!!

  21. La pluie supplice qui perle et imbibe
    dans la moiteur on entend des bribes
    deux doigts rouges, est passé le scribe

  22. Jolis passages tout le monde! le bel printemps d’Annick manque à la danse sous la pluie.

    Eclats de lave, boules de lave
    qui flottent au fond de l’océan
    L’ombre d’un faiseau se profile
    Lumière dans les profondeurs

    Bisous à tous. Vos écrits constituent vraiment une belle lumière.

  23. c’est l’histoire de deux petites voitures, deux cabriolets, l’une fait des appels de phares à l’autre, et les voila toutes deux parties pour de nouvelles aventures. Mais le temps se gâte, les premieres gouttes d’eau ruisselent sur la carrrosserie, et nos cabriolets sont bien malheureux, ils doivent, à toute vitesse, regagner le garage, car la capote, d’une des deux voitures ne fonctionne pas , impossible de la remonter, galére… Mais la prochaine fois, promis, ils seront plus prudent et passerons faire une petite révision chez le garagiste avant de vouloir partir vers de nouvelles aventures… donc un seul conseil, ne jamais oublier de sortir couvert, car la pluie peut toujours nous jouer des tours….

  24. J’ai mal et je crie
    Je pleure et me noie
    Dans les larmes du ciel
    Qui coulent sur ma vie

    Mon cœur arraché
    Se lamente et explose
    Contre la vitre du temps
    Si froide et si bleue

    Je pleure et je crie
    J’ai mal à ma vie
    Mon cœur crache rouge
    Aux tempes de la nuit

  25. Bon allez Maria, allons plutôt danser avec Sabine sous la pluie. Ca remonte le moral, quelqu’un plus haut a même mis de la musique. Toutes ces voitures éteindront leurs phares et les conducteurs et conductrices nous rejoindront. On a la chance d’être en vie!

  26. champ de la pluie
    ou
    chant de la pluie?

    « La pluie fait des claquettes sur le trottoir minuit… »

  27. Oui Anne, du Nougaro plutôt, c’est bien ce qu’il nous faut ou du Sinatra peut-être avec « singing in the rain » !

  28. Remarque si c’est moi qui chante ces chansons, ce ne sera plus des goutelettes, la pluie va redoubler et on risque bien d’être COMPLETEMENT trempés!! ))

  29. Superbe Nathalie !!!

    Je conaissais déja,
    Mais par toi, de le relire…
    Ouh…..

    Il fait chaud la ! pour tout le monde!!
    Merci à toi Ossiane , pour les clins d’oieils  » musicaux  » de 68!!!

  30. il a mis les pleins phares car la route et sombre, il pleut, des milliers de gouttes d’eau ruisselent le long de son pare-brise, mais malgré tout, il roule à toute vitesse, et sur une flaque d’eau, le contrôle de sa voiture, il perd. Mais pourquoi donc aprés son café, a t’il pris en plus, une petite goutte… boire ou conduire, il faut choisir!!!

  31. la pluie de Georges Brassens
    Paroles: A.Hornez. Musique: J.Stern, J.Meskiel

    J’adore entendre le gai flic-flac,
    Le son joyeux de la goutte d’eau
    Qui tombe et qui claqu’,
    Ce clapotis qu’en pizzicato
    Font les petit’s flaqu’s,
    C’est la romance de la pluie…

    Si quand il pleut mon cour fait tic-tac,
    C’est que le jour où je t’ai connu
    L’eau tombait en vrac
    Aussi depuis j’ai mieux retenu
    Qu’un air d’Offenbach
    Cette romance de la pluie…

    Quand elle nous arrose
    La rose fleurit
    Donc, moi je suppose
    Qu’elle fait s’épanouir notre amour aussi

    Voilà pourquoi j’aime le flic-clac
    Le son joyeux de la goutte d’eau
    Qui tombe et qui claqu’
    Puisque mon cour fait comme un duo
    Avec le tic-tac
    De la romance de la pluie…

  32. Sabine,
    à coup sûr, c’était une voiture à roulettes,
    un modèle russe, très certainement,
    dès qu’il pleut ça ne vaut pas cent balles,
    l’auto et son chauffeur sont tombés dans la Volga…
    http://images.google.com/imgres?imgurl=http://blog.arnaudcornu.com/images/Volga_1.jpg&imgrefurl=http://blog.arnaudcornu.com/&h=300&w=400&sz=49&hl=fr&start=7&um=1&tbnid=FYynUnRNuYx-HM:&tbnh=93&tbnw=124&prev=/images%3Fq%3Dvolga%26um%3D1%26hl%3Dfr%26lr%3D%26sa%3DX

  33. Sabine,
    c’était un modèle à roulette,
    une marque russe, très probablement cette auto…et pan…
    …, ça ne vaut pas cent balles…, ces engins là… premier virage, première pluie, dernière goutte, et au fond de la Volga…

  34. Maria, merci pour le clip, j’adore ! Surtout la dernière séquence quand Gene Kelly danse dans les flaques et que l’agent se pointe.
    Sabine, c’est qui encore que tu nous a mis à l’hopital? Il n’y a plus de paix nulle part, même sur un beau blog de rêve comme celui d’Ossiane. Bon ben tu te débrouilles pour remettre cette personne sur pieds, Aspe peut t’aider qui l’a carrement envoyé dans la Volga !

  35. « que tu aS mis à l’hôpital »… » envoyéE » (je corrige juste pour pas qu’on me retire ma licence d’écriture 😉
    Bisous à tous et bonne nuit

  36. Sous les mots de l’amour la pluie s’est arrêtée
    Et elle a dit bonjour comment va la santé
    C’est toujours ce qu’elle dit quand elle ne sait quoi faire
    Elle reste suspendue comme dans l’atmosphère

    Et puis elle s’enhardit et se pose sur ses yeux
    Pour faire couler des larmes qui sont parfois de feu
    Elle caresse son visage qui est tout endormi
    Et insère dans ses songes les couleurs de sa mie

    Et quand il se réveille l’oreiller est mouillé
    Il aura rêvé d’elle, la vue est bien brouillée
    Voilà encore des vitres parebrise à essuyer

    Mais il est efficace et efface sa trace
    D’une serviette d’un chiffon que toute cette eau embrasse
    Quant à la pluie elle court elle s’arrête et elle passe

    Doucement ou en trombe et même parfois rêvasse

  37. Le monde vu d’en haut…sans objectif précis…juste un regard…pas de réglage…mais un peu d’attente…Des îles eau….qui voyagent sur la glace…qui fusionnent au gré du hasard…qui emportent nos larmes et flirtent avec le temps… Des rêves en transparence…fragiles et éphémères…qui laissent passer l’imaginaire…et éveillent nos sens….Des perles de pluie…qui se glissent dans une voile….que le vent emporte et que la main….doucement retient..

  38. La pluie si pure de gouttes
    Bienheureuses se posent
    Puis la main les essuie
    D’un revers de sa vie
    Alors il apparaît
    Une vue claire de vie
    La pluie la vue s’apaise
    Et amènent la vie

    bonjour pour ton coucou, Lou, bonjour à chacun, belle journée.

  39. La pluie si pure de gouttes
    Bienheureuses se posent
    Puis la main les essuie
    D’un revers de sa vie
    Alors il apparaît
    Une vue claire de vie
    La pluie la vue s’apaisent
    Et amènent la vie

    c’est mieux ainsi, mais on ne change pas, l’espace d un week, la tapuille des doigts qui n’en fait qu’à sa tête, se souciant peu d’accords, contraintes et lois écrites, ah la plume de moi, tu me fais sourire déjà…

  40. Tiens! on a remis cette belle chanson, merci Marc ! Annick, heureuse de te revoir. Tu as une jolie couronne de paix sur la tête.
    Dites, si on allait à l’hôpital, il faut aller y ressusciter un chauffeur dont la voiture a été repêchée dans la Volga.
    Aussitôt dit aussitôt fait, ils allèrent donc tous à l’hôpital et y déposèrent leurs gouttes de pluie, ça faisait mille bises autour de lui. ( N’oublions pas qu’ils avaient écouté tant de chansons sous la pluie et chanté eux-même si fort qu’ils étaient trempés de la tête aux pieds ! ;)) Le chauffeur comme une blanche neige par magie se réveilla et sortit chanter avec tout le monde sous une pluie battante mais battante… et Ossiane qui avait oublié de distribuer les cirés jaunes… Mais bon elle a trop à faire, on n’allait pas lui en vouloir 😉
    Bisou de conte de fée à tous.

  41. dis donc les mots sont au compte goutte ce matin!
    ne les débranchez pas!
    je pense que qu’il ont encore de beau jour devant eux!
    c’est juste un état passagé
    rien de bien grave!
    en général après un moment de repos il reparte de plus belle!

    annick, Lou , fugitive , pierre et tous les autres
    bonne journée avant l’orage

  42. bonjour Lou, Marc,
    mes mots en suspension, car des temps de lecture, et puis je flotte toute douce, mes mots ils s’évaporent, comme une pluie d’été séchée par le soleil qui se met à briller, les gouttes une fois posées, et laissent des fleurs bien belles abreuvées suffisance, les gouttes de vie si bonnes quand elles laissent la beauté, bienheureuse la pluie qui goutte sa vie dedans….

    Et puis c’est tellement bon de se danser la pluie, plutôt que se lamenter à chaque goutte qui tombe, alors chanter la pluie, se la danser si belle, cela pousse des ailes, qui envolent en plein ciel…

    et puis j apprécie max le vide dans lequel je me vole, tant de rencontres, de partages, de tables bien fort pleines, d’êtres si nombreux rencontrés dans le ‘chair’ nord de France, en appréciant si fort, qu’ensuite chaque goutte de silence bien plein se saisit sa seconde, à déguster nectar…les oiseaux chantent, le coucou, plus loin un coq en forme, et les feuilles se dansent invitées par la bise, il fait juste tout de bon, pas trop chaud, ventilé, c’est bon, c’est tendre fort, alors je me plane chance….

  43. chutttt
    pas de bruit
    deux gouttes de vie
    se palpitent
    sous les gouttes
    de pluie
    et leurs coeurs
    se serrent fort
    ces gouttes
    sont pleines de vie
    chutttt
    écoutez les donc
    vivre

  44. Oui Marc, bien vrai )
    Aspe le clip est très sympa! Connais-tu « Naturally Seven », un peu le même genre mais sans instruments. Ils étaient de passage ici la semaine dernière, un plaisir.
    A ne pas rater s’ils arrivent chez vous.

  45. °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
    «  » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » »

    PLUIeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !

    «  » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » »

    °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°

  46. G
    GO
    GO
    GOut
    GOuttes
    GOutttttes
    GOutttteeees
    GOutttttteeees
    GOuttttteeeeeees
    GOuttttteeeeeees
    GOuttttteeeeeees
    GOuttttteeeeeees
    GOuttttteeeeee
    GOuttttteeeee
    GOuttttteee
    GOuttttte
    GOutttt
    GOu
    GO
    G
    O
    O
    0
    0
    °
    °
    °
    °
    °
    Flic !

    G
    GO
    GO
    GOut
    GOuttes
    GOutttttes
    GOutttteeees
    GOutttttteeees
    GOuttttteeeeeees
    GOuttttteeeeeees
    GOuttttteeeeeees
    GOuttttteeeeeees
    GOuttttteeeeee
    GOuttttteeeee
    GOuttttteee
    GOuttttte
    GOutttt
    GOu
    GO
    G
    O
    O
    0
    0
    °
    °
    °
    °
    °
    Floc !

  47. Ça me fait penser qu’il faut que j’installe le système « goutte à goutte » pour arroser le peu de fleurs que je viens de planter, pour économiser l’eau ! Eh, oui, ici, il commence à faire chaud !

    Ooooooooooooooooooooo

    2 phares dans la nuit ?
    Mais non !

    2 cerises sous la pluie !

    oooooooooooooooooooooo

    Ici, elles commencent à mûrir, je m’en vais vous en cueillir un panier qu’on pourra grignoter quand Lou sera réveillée !

    Biseeeeees de Christineeeeeeee

  48. Annick goûte quelques gouttes de pluie, moi j’ai trouvé le fil dans la chanson de Brel, « il peut pleuvoir sur les trottoirs… »

  49. Si Christine, j’y goûte avec plaisir et elles sont délicieuses.
    J’ai trouvé le fil dans ce texte aussi, que vous connaissez de l’enfance sans doute et qui célèbre la pluie

    La pluie fine a mouillé toutes choses, très doucement, et en silence. Il pleut encore un peu. Je vais sortir sous les arbres. Pieds nus, pour ne pas tacher mes chaussures.

    La pluie au printemps est délicieuse. Les branches chargées de fleurs mouillées ont un parfum qui m’étourdit. On voit briller au soleil la peau délicate des écorces.

    Hélas ! que de fleurs sur la terre ! Ayez pitié des fleurs tombées. Il ne faut pas les balayer et les mêler dans la boue ; mais les conserver aux abeilles.

    Les scarabées et les limaces traversent le chemin entre les flaques d’eau ; je ne veux pas marcher sur eux, ni effrayer ce lézard doré qui s’étire et cligne des paupières.

    Pierre Louÿs

  50. Allez il est 8h20 du matin ici, heure que j’aille travailler.
    Bisous à tous, ou plutôt gouttes de pluie ;))

  51. C’est vrai qu’il pleut à Londres
    et que les ponts s’ennuient

    Le ciel mourant est hypocondre
    aux nuages noués de suie

    à Londres il pleut à Londres
    paillettes de la pluie

    On voyait la ville se fondre
    comme irréelle comme enfuie

    un peuple imprécis correspondre
    sous les dômes des parapluies

    Nos ombres allaient se confondre
    dans l’ombre grise de la pluie

    C’est vrai qu’il pleut à Londres
    et que je t’ai suivie *

    * Louis Calaferte / Ragtime

  52. MERCI Lou, il est très beau ce texte, je le lis à l instant, et dans une coupure d’instants d’avant…

    Elle descend avec son éponge nettoyer les sièges et la table pour manger dehors, il a plu des grosses gouttes avant de partir vers la gare, des coups de tonnerre au loin, et finalement juste quelques gouttes mouillées, le linge sec retité à temps, et puis, l’éponge reste posée, le gazon se savoure, le pied se balance les brins d’herbe, l’oeil flirte des feuilles mouillées, deux roses un peu entr’ouvertes perlent une goutte, la jupe se mouille avec une branche, les plants de tomates sont beaux, des coulées d’escargots, c’est reposant si frais un jardin qui se sèche après une pluie de bel, il fait doux, les oiseaux chantent, c’est bon l’instant douce présence, si bel envol, de liberté entre les gouttes, en doux bel ciel, et le jardin si petit se respire délicat plus encore, chaque petite motte de terre précieuse, les brins d’herbe en semences, c’est bon de se vivre tendresse de vie, dans ses gouttes si pures.

    merci pierre louys, merci lou.

  53. La pluie a cessé
    La bise s’est tue
    Restent le gazon
    mouillé
    Le souffle de ton
    baiser
    Mon temps je
    te le donne
    Ô présent
    Mon amour

  54. Les gouttes coalescent mais pas à désirer
    les gouttes roulent mais pas sans respirer
    les gouttes glissent mais sans réglisse
    les gouttes comptent mais s’arrêtent vite
    les gouttes se suivent et se ressemblent tant
    les gouttes suintent et même parfois chuintent
    les gouttes humectent et chassent les insectes
    les gouttes tremblotent et même chuchotent
    les gouttes aspirent à une autre ration
    les gouttes inspirent la plus vive affectation
    les gouttes pourtant jamais ne nous dégoutent
    les gouttes ont le goût du ciel et la couleur du support
    les gouttes ne savent jamais si elles vont arriver à bon port
    les gouttes parfois rebondissent ou éclatent en couronne
    les gouttes tapissent et même rapetissent…sur les bords
    les gouttes salissent mais lessivent et balisent
    les gouttes salivent mais tombent des solives
    les gouttes laides se cachent pour nourrir
    les gouttes raides se retiennent dans la pente
    les gouttes goulues se dégustent à la sauvette
    les gouttes en train se laissent aller sur des rails
    les gouttes attendent toujours la rainure pour s’écouler
    les gouttes aiment plonger des gargouilles
    les gouttes collées font un film à elles seules
    les gouttes sont des quanta pas décantées
    les gouttes raniment de leur ferveur fraîche
    les gouttes tambourinent de leur hauteur

    goutte que goutte il me faut vous quitter

  55. ___

    Soleil, pluie.
    Coup de couteau.
    Mon coeur s’inonde.

    Perles d’eau.
    Mots de sans.
    Sang immonde.

    Je sens.
    Je ris.
    A la folie.
    ___

  56. Goutte ma perle de larme
    Vois comme tu es chaude
    Ta tendresse m’émeut
    Petite larme d’amour
    Si douloureux d’aimer
    Quand on aime son jour

  57. un petit coucou, Aspe, heureuse de te revoir, Lou merçi pour tes mots … bonne soirée à vous tous.

  58. Y’a des choses qui se pensent
    Mais ne se disent pas.

    J’vous glisse quand même à l’oreille :
    « j’en ai marre de mon aujourd’hui ! »

    Sur ce, biz à tous et à demain…

  59. Et elle a tant pleuré
    Son visage fâné
    Reste son coeur tout rouge
    Pour attendrir sa peau
    En palpites d’amour
    Qui font la peau si douce

  60. Le soleil et la pluie jouaient à cache cache dans la garrigue, sur les pétales de fleurs, les larmes du printemps…. le ciel bleu nuit en fin d’après midi…..
    ___

    Perles de cristal
    Eclatantes de lumière
    Les bulles de pluie

    Pétales du ciel
    Fraîches larmes du printemps
    Aux couleurs de nuit

    Deux coquelicots
    Dans un rayon de lune
    Quelques gouttes d’eau

    ___

    Bravo à Christine, l’artiste

  61. En va t-il, chère madame, de vos mots comme du reste
    Que je ne connais pas et que je m’imagine
    Lequel se trouve cacher, comme par une toile de Nîmes
    Le plus beau des portraits, le plus fin palimpseste

    J’ai lu avec passion, nous étions le douze mai
    Et j’ai recommencé, une journée après,
    J’ai bu avec délice vos écrits, goutte à goutte
    De votre beauté d’âme, je n’ai plus aucun doute

    Acceptez donc, madame, un assez court instant,
    Que bien modestement je vous fasse compliment
    Avec quelques mots, fort simples au demeurant,
    Vous m’avez transporté et suis au firmament

    Que cette nuit soit douce
    Pour tous

  62. Bourrache
    Ne t’inquiète pas la page d’aujourd’hui est bientôt tournée, demain sera une page toute blanche sur laquelle viendront danser des mots heureux, j’ai pensé à toi aujourd’hui en voyant une bourrache en fleur dans un vieux jardin merveilleux, je t’en envoie un bouquet hélas virtuel.

  63. http://www.guycotten.com/accueil/les-produits/loisirs/var/lang/FR/rub/19.html
    pour la référence des « cirés »…
    souvenir d’un soir sombre
    pas très loin d’ AUDIERNE…(http://www.audierne.fr/)…
    777777777777777777777700000777777777

    goutte
    d’ombre
    tirée
    des nombres
    dans ta paupière
    le lierre comme à la pierre
    douce prière
    quand tes lèvres
    donnent
    vie
    à mes lèvres
    gouttes
    d’ombres
    dans la pénombre
    tu le vis
    ce doux envie
    sur
    tes lèvres
    gouttes
    de vie
    au loin
    la pluie

  64. Quelques guttes d’ eau et me voilà j’ allume faut voir avec toute cette eau.
    Toute la journée le soleil bien présent,mais le type de la METEO et on replonge
    Mais en lisant plaisirde te reconnaitre Aspe tu sais je ne vais tjs pas plus vite je sais que tu me comprend.Tu dois aimer Audierneet le bateau de l’ ile de Sein .Nostalgie coupez dira Thierry mais c’ est vrai j’ ai de bon souvenirs et pour la santée je me les rapelle.Voila la on est au bout du monde sinon il faut partir Mais l’ Amérique cela est loinReste la nage mais les jeux de Pekin je ne veut pas les complexer.Non mais Audierne et te voila ala Pte du Raz ,la baie des Trépassés avec son vent quand il y a se la tempeteCe que je peut aimer ces bodrs de mer.Et revenir quand la lune brillesur la mer.N’oublie pas La Torche pour faire de la planche quel dommage de ne memepas pouvoir aller clapoter un brinfroide je la supporte .Bonsoir aux éveillés Noisette.

  65. Merci pour toutes ces belles histoires de gouttes malgré le grand beau temps 😉 J en epouvais pas prévoir la météo pour cette note. Pardon pour mon retour tardif.

    >bourrache :
    Tes poèmes sont superbes en ce moment 😉 Et si tu en as marre de ton aujourd’hui, il faut passer à demain 😉 Merci beaucoup.

    >neyde :
    Magnifique poème émouvant ! Bravo neyde !

    >Poète Olivier :
    Evocation de belles images de film qui font rêver 😉 Merci à vous.

    >lou :
    Entre yeux rougis et pluie, tes deux poèmes sont splendides. Tes mots ruissellent eux aussi 😉

    >Aspe :
    Grande beauté sensuelle de tes deux poèmes ! Bravo à toi ! Merci pour brassens.

    >pierre :
    Beaux poèmes sur la pluie. J’aime beaucoup celui sur la belle de nuit 😉 Très amusant le poème de Queneau. Un grand merci vers Orléans 😉

    >perline :
    Quelle contribution picturale et poétique originale ! je me demand ecomment Pïcabia aurait peint ces gouttes de pluie 😉 Merci à vous !

    >phil :
    Subtil, original, une autre façon délicate de découvrir ces gouttes ! J’aime beaucoup ce parallèle entre pare-brise et paravent.
    Touchée par votre dernier poème cher monsieur 😉 Merci pour les compliments et votre fidélité;-)
    Belle inspiration, Phil ; merci à toi.

    >claudie :
    Sensualité top niveau ;-)) Tes poèmes sont splendides. Que de talents sur ce blog ! merci pour Brassens.

    >andrée :
    Un très beau poème d’amour en atmosphère nuit. Merci andrée.

    >sabine :
    J’aime beaucoup tous ces ruisselets de mots tendres qui s’échappent de ton cœur 😉 C afait pas mal de gouttes 😉 Merci sabine.

    >amichel :
    Magnifique poème qui démarre tout en mélancolie pour continuer en ressourcement et renaissance ! Merci pour la grande beauté de tes mots et images.

    >nath :
    Coucou nath, je suis contente d’apprendre que tu vas mieux 😉 Reste là où tu te sens bien et bonne chance pour ces représentations. Très beau poème d’amour de Pessoa. J’aurais bien aimé te voir le déclamer 😉 Un grand merci de ta visite et de tes nouvelles. Take care of you !

    >Christineeeeee :
    Quel canard ;-)) J’entends les gouttes tomber dans tes poèmes ; c’est réussi 😉 Quels jolis dessins de mots 😉 Réserve-moi deux cerises bien mûres, toi qui es la spécialiste des fruits rouges ;-)) Bises.

    >Pascal :
    Joli haïku mélancolique. Beaucoup d’approches différentes autour de ces deux cercles rouges 😉 Merci beaucoup.

    >marc :
    Un vrai scénario de film ! C’est très réussi, bravo marc, merci pour ta belle inspiration.

    >sylvie :
    Bien vu cette allusion au phare en guise d’amer ! Encore une nouvelle approche ! Merci Sylvie, prends soin de toi.

    >Thierry :
    J’ai bien fait de mettre la photo aux deux points rouges. Bien vu aussi ce nouvel angle de vue ! Quant au poème sur les gouttes, tes mots dégoulinent de joie 😉

    >maria :
    Cette note semble particulièrement t’inspirer 😉 Tes évocations sont superbes et émouvantes. Le rouge appelle la douleur et la blessure. Merci à toi.

    @nn@ :
    Hé oui anna, vous avez raison, je n’avais pensé à ces deux sens 😉 Le chant est très important aussi 😉

    >fauki :
    Un petit coucou vers toi 😉

    >pierre b :
    Tu t’es laissé embarquer tout en transparence dans un beau paysage en mouvement composé d’îles d’eau qui invitent au voyage et au rêve. Tes mots sont sont d’ne grande fluidité et douceur. Merci Pierre, bonne nuit.

    >fugitive :
    Deux yeux rouges de loup, il fallait y penser 😉 Une nuit fantastique dign de la petite fugitive que tu es 😉

    >annick :
    Des larmes de bonheur et de mots, tu verses 😉 Bonjour Annick et bon retour parmi nous après ce beau week-end;-) Merci pour tes doux morceaux d’écriture en prose dans lesquels tu inventes tout plein de mots 😉 Bonne nuit.

    >Ulysse :
    N’hésitez pas à plonger 😉 Merci à vous.

    >Hélène :
    Merci Hélène pour la découverte de ce beau poème de Calaferte. Bonne nuit à vous.

    >pam :
    Bonsoir chère Pam 😉 C’est un peu ça oui 😉 Le grand trou noir sans repères lumineux 😉 Je connais un peu 😉 Bises vers toi, tout va bien 😉

    >monique:
    Superbe, cette idée de coquelicots ! Je n’ai pas compté mais il y a une quantité incroyable d’interprétations différentes sur les deux cercles rouges. Bravo à tous pour votr eimagination sans limites ! Bises à toi.

    >noisette :
    Bonsoir Noisette, je vois que tu n’es pas en reste sur ces gouttes qui t’évoquent la bretagne 😉 De très beaux endroits tu évoques. Je t’embrasse et te souhaite une bonne nuit.

  66. Bonsoir à vous l’équipage,
    Merci Aspe pour les cirés )) Je crois qu’on en aura plus besoin!
    Vous avez rafraîchi mon coeur par vos gentillesses. Merci encore. Mais elle a raison Bourrache de vouloir aller dormir; on veut tourner la page et on ne peut le faire que sur le sourire de tout le monde . Thierry, je sens sourdre en toi de la colère contenue. Je sais ce que c’est d’en vouloir à la terre entière ou juste à des lopins pour une raison ou pour une autre . (J’ai pensé un jour que tu m’en voulais) Bref, ce qu’il faut à ces moments là, c’est trouver au fond de soi non pas la haine mais la beauté. Les deux existent en chacun de nous. On peut choisir. Je ne donne pas de leçon, je parle juste par expérience. J’ai crié, tempêté, ragé dans le passé et ça ne sert qu’à s’énerver davantage, qu’à être malheureux. Par contre quand j’ai réussi à m’attacher à ce qui vaut le coup qu’on s’y attache ( parfois c’est juste un sourire ou la vue d’un oiseau ) alors mon coeur se sent léger et je peux continuer ma route.
    Un jour, on s’est croisé à Triangle, tu te souviens, tu m’a battu à plate couture… Il faudra que je reprenne ma revanche !!
    Allez si c’est un sourire que j’entrevois, c’est que ce soir, c’est moi qui gagne la bataille des rois !
    Bisous à tous , ou plutôt… gouttes de pluie à tous. ( pour rester dans le thème et qu’Ossiane ne nous en veuille pas pour le hors sujet ;)) )

    PS: je ne corrigerai pas les fautes d’orthographe s’il y en a . Wow, quelle victoire sur moi-même ))

  67. Ah tiens Le capitaine est passé, merci Capitaine, on s’est croisé. Gouttes de pluies à vous.
    Matelot Lou.

  68. Et mon dieu des fautes il y en!! Je me demande comment j’arrive à ne pas les voir avant d’envoyer ))

  69. Oh, encore autre chose, que je me dis souvent et dont je viens de réaliser l’importance: il faut avoir en soi la force de pardonner. Défendre la citadelle, c’est plus que beau, mais il ne faut pas pour cela y perdre sa gaieté . D’ailleurs, si on les appelle des citadelles, c’est parce qu’elles ont la plus grande force qui soit, et une force pleine de beauté et de douceur encore (cela ne peut que désarmer !)
    Grosses bises et à nos nouveaux challenges pour que paix règne.
    Humble matelot Lou ( et stagiaire encore!)

  70. Il me souvient de quand j’étais « petite » … je chantais cela :
    _

    Gouttes gouttelettes de pluie
    Mon chapeau se mouille
    Gouttes gouttelettes de pluie
    Mes souliers aussi
    Je marche sur la route
    Je connais le chemin
    Je passe à travers gouttes
    En leur chantant ce gai refrain
    Gouttes gouttelettes de pluie
    Mon chapeau se mouille
    Gouttes gouttelettes de pluie
    Mes souliers aussi
    Je marche dans la boue
    J’en ai jusqu’au menton
    J’en ai même sur les joues
    Et pourtant je fais attention
    Gouttes gouttelettes de pluie
    Mon chapeau se mouille
    Gouttes gouttelettes de pluie
    Mes souliers aussi
    Mais derrière les nuages
    Le soleil s’est levé
    Il sèche le village
    Et mon chapeau et mes souliers
    Gouttes gouttelettes de pluie
    Adieu les nuages
    Gouttes gouttelettes de pluie
    L’averse est finie.
    _

    De gros orages sont annoncés chez moi pour fin de l’après-midi vient de dire le monsieur dans mon poste de radio.
    Mais faut pas perdre espoir !…

  71. Merci Bourrache pour la chanson: J’étais matelot stagiaire et réalise que la mer n’est au fond pas pour moi. Je n’avais pas tout vu, mais des choses partiellement m’étaient apparues. Peu importe en tous cas. Je crois que je vais aller sur mes terres et y rester.
    Bises à tous.
    Ne perdez pas l’envie de rire ;)) C’est le plus beau.

  72. >Lou :
    Pas de problème pour le hors sujet, on peut s’en autoriser de temps en temps 😉

    >bourrache :
    Ttes orages sont arrivés chez moi aujourd’hui 😉 Merci pour le patage avec ta chanson d’enfance que je ne connaissais pas.

  73. Gouttes de chagrin, perles de vie, une voisine amie si proche a pris des médicaments est tombée ily a quinze jours est dans un coma médical provoqué est entre la vie et la mort depuis ce week, j ai du chagrin ce soir, l amour il fait partie de la vie….avec ses perles de pluie qui ruiselle les joues de chair.

  74. Ce soir Annick je ne savais pas ta peine,je viens un peu pres de toi .
    Face à la mort nous sommesdémunies même les croyants ne sont pas exclus de douleur s’il on Aun espoir apres la vie que nous quittons j’ avoue que cela me rassuure .Personnelement que pouvons nous pour celui qui perds un être cher..Dire tu sais je suis là .J’ ai eut l’ occasion souvent de perdre des amis ,que cela fait mal.Moi je n’ ai aucune idée de l’ apres,tout s’ arrete là et souvent c’ est tout simplement mortifiant .Je pense a celui qui part !!!
    Je t’ embrasse et suis pas loin .Noisette.

  75. merci Noisette, j ai même une insomnie, viens de me réveiller à ce sujet, je ne me réveille jamais une fois endormie,
    entre elle et moi, on a beaucoup partagé et tant déjà ses soucis big de santé et autres….incomprise par sa famille…
    cela fait mal,
    et quand je demande à son époux si je lui envoie un courrier, il me dit qu elle n entend plus d après les médecins, alors je lui ai demandé de lui dire que je pense à elle si fort,
    et tour à tour, je me dis que le destin est incroyable, car j ai déménagé, et il m aurait été si impossible de vivre en face d’elle décédée….
    je n ai rien laissé en regrets, j ai partagé tout ce qu’il m’était possible, alors c’est une consolation.
    je t’embrasse Noisette, merci de ta présence, je vais me recoucher…
    la vie est telle, mais 55 ans c’est si peu…

  76. Annick l’âme de ta vieille amie ne meurt pas.
    Les âmes restent vives dans les coeurs.
    C’est d’ailleurs le plus bel endroit où l’on puisse les garder.
    Elles restent là en paix pour toujours.

  77. oui, c’est vrai, mon réveil fut doux…
    mais dans cette histoire de vie, c’est la surprise, le je ne m’y attendais pas, qui choque sur le coup, et faut refaire surface vite…même la sachant gravement malade et condannée, je lui ai donné de la vie dès que c’était possible, je n’oublie pas les deux restaus à nous deux, avant mon départ, j’espère qu’ils lui sont revenus avant d’être plongée dans le coma, ainsi que nos thés et face à face à nos boîtes ux lettres l’une devant l’autre..voisines de face à face, la voisine amie avec qui il s’est passé beaucoup d’échanges sur ce bout de dix huit ans et demi…
    et puis, la vie lui était devenu insupportable, si douloureuse physiquement et moralement, alors, c’est bien ainsi, je souhaite son coma le plus bref possible….

    oui, les âmes ne meurent jamais, et encore moins ceux qu’on aime tellement de profondément, sans forcément l’avoir cherché.

  78. oui, c’est vrai, mon réveil fut doux…
    mais dans cette histoire de vie, c’est la surprise, le je ne m’y attendais pas, qui choque sur le coup, et faut refaire surface vite…même la sachant gravement malade et condannée, je lui ai donné de la vie dès que c’était possible, je n’oublie pas les deux restaus à nous deux, avant mon départ, j’espère qu’ils lui sont revenus avant d’être plongée dans le coma, ainsi que nos thés et face à face à nos boîtes ux lettres l’une devant l’autre..voisines de face à face, la voisine amie avec qui il s’est passé beaucoup d’échanges sur ce bout de dix huit ans et demi…
    et puis, la vie lui était devenu insupportable, si douloureuse physiquement et moralement, alors, c’est bien ainsi, je souhaite son coma le plus bref possible….pour qu’elle soit soulagée de cette vie sur terre, elle a une grande âme qui sera en Paix…

    oui, les âmes ne meurent jamais, et encore moins ceux qu’on aime tellement de profondément, sans forcément l’avoir cherché.

  79. merci Bourrache, ne vous inquiétez pas, cela va,
    c’est la meilleure des choses qu’elle se souhaitait, s’endormir paisiblement, hors souffrances, toute sa famille l’a abandonnée, alors ce coma provoqué l’aide déjà, je me fixe sur son bonheur pour elle, et je suis joyeuse pour elle ce matin,
    me reste son dernier appel joyeux car elle avait trouvé sa tenue pour le mariage de son fils en septembre, et m’avait demandé mes coordonnées de coiffeur, et tout cela je sais tellement que cela lui demandait des efforts immenses, elle était épuisée de vie…
    cela va!
    place à la vie! je vais reprendre un second café avec le soleil en face en face, les feuilles brillent, c’est beau!

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