Lecture du Haïku Calligramme: bas, haut
Deux phares dans la nuit
champ de l’imaginaire
la pluie complice
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: bas, haut
Deux phares dans la nuit
champ de l’imaginaire
la pluie complice
___
Gouttes, goûte,
Coeur à corps,
Tic-tac.
Complices.
Dans la nuit,
Une histoire.
Soleil se lève.
S’assèche un mystère.
J’entends encore le cri…
___
Deux phares dans la nuit
sont tes yeux, mon amour,
Sont les rêves du passé.
Je laisse le champ de l’imaginaire
et je viens pour la realité:
Tes yeux se sont allés
pour toujours…
la pluie cumplice
témoin de mon suplice
nettoye les larmes
que glissent par mon visage.
La pluie qui tombe, les phrases de la voiture au loin, mais les amoureux marchants s’embrassent en se donnant la main, sans regarder le temps, ni la distance.
Gouttelettes dans mes yeux rougis
Cet enfant avait “deux trous rouges au côté droit”
Pluie amère dans mes yeux rougis
Leurs pleurs vains, leurs cris de colère d’être des proies!
Triste guerre dans mes yeux rougis
Envoyer des enfants tuer d’autres enfants de sang-froid !
Insoutenable enfer dans mes yeux rougis
Quand fera-t-on la lumière sur tous ces mômes que l’on broie?
les embruns collés sur son rouge à lèvres,
après nos baisers
j’en ai pleuré
ce sont mes larmes dans la buée au sommet du phare
un soir de tempête
quand elle a pris mes lèvres
pour y mettre son rouge coeur
Dans la nuit
c’est inouï
avec la pluie
elle s’épanouit
près du puits
le belle-de-nuit
Si tu t’imagines
si tu t’imagines
fillette fillette
si tu t’imagines
xa va xa va xa
va durer toujours
la saison des za
la saison des za
saison des amours
ce que tu te goures
fillette fillette
ce que tu te goures
(…)
Raymond Queneau, L’instant fatal.
le temps
goutte à goutte
s’écoule
et d’un revers de main
tu effaces
ce gribouillage
sur l’ardoise
__
Dislocation de l’eau immobile
Haricots
Opium
Explosion
Le signal des flûtes godille
A mes pieds
Biscornus dans le pli de son hiéroglyphe
Enceinte
ébréchée
Maison
Magiques enclos de pluie
De tous côtés horizontal
Née
La méthode à embrasser
Néant.
–
Francis Picabia / Cinquantes -deux miroirs
D’où vient qu’un pare-brise ouvre la porte au rêve
Tout comme un paravent fait naître le désir
Un pare-brise, en soi, n’a rien qui nous élève
Un paravent, en soie, est source de plaisir
Mais si la pluie se fait complice du pare-brise
Qu’elle l’occulte juste assez de motifs délicats
Alors se crée un lien pour l’âme déjà conquise
Qu’y a t-il, au-delà, que l’oeil ne voit pas
La sagesse commande de mettre les essuie-glace
En un tour de main elle met fin à la grâce
L’imaginaire se tait, laisse place au quotidien
Et le pied, par réflexe, touche la pédale de frein
Goutte, goutte à goutte perlent tes larmes de joie
Sur nos corps frissonnants, tendres caresses, doux émois
Rouge, rouge carmin, fragrance sucrée du jasmin
Tes lèvres pulpeuses s’embrasent sous l’abat-jour
Les coeurs rassasiés de tendresse dénient les mauvais jours
La pluie qui dégouline sur les vitres de mon coeur
C’est l’étincelle de l’amour qui ruisselle, sans détours
Tendre complice, mélodie qui se glisse à la porte du bonheur
Bel haïku..et calligramme, Ossiane
Belle journée…sous la pluie dans le midi..
exterieur nuit
le nez à la fenêtre
dehors la nuit bat la campagne
le vent malmène la pluie
entre les vagues ruisselantes
je suis un cheminement
les yeux à la vitre
dehors la nuit bat le pavé
l’atmosphère scotche la pluie
entre les appels de phares
je suis les lumières rouges
les yeux à l’objectif
dehors la nuit bat la chamade
l’air et l’eau font des vagues
sous l’aile des oiseaux
ils sont deux qui s’embrassent
andrée wizem
goutte, goutte d’eau, douce sensation, sur la peau, le matin, sous la douche…
une petite goutte, sur mes joues, une larme, au départ, une simple larme, qui petit à petit, de goutte en goutte, se transforme en un véritable torrent …
dehors, une pluie torrentielle tombe, mais peut m’inporte, car mon coeur, lui ruissele de tendresse pour toi …
Paroles La Romance De La Pluie Georges Brassens
Artiste: Georges Brassens
Chanson: La Romance De La Pluie
J’adore entendre le gai flic-flac,
Le son joyeux de la goutte d’eau
Qui tombe et qui claqu’,
Ce clapotis qu’en pizzicato
Font les petit’s flaqu’s,
C’est la romance de la pluie…
Si quand il pleut mon cour fait tic-tac,
C’est que le jour où je t’ai connu
L’eau tombait en vrac
Aussi depuis j’ai mieux retenu
Qu’un air d’Offenbach
Cette romance de la pluie…
Quand elle nous arrose
La rose fleurit
Donc, moi je suppose
Qu’elle fait s’épanouir notre amour aussi
Voilà pourquoi j’aime le flic-clac
Le son joyeux de la goutte d’eau
Qui tombe et qui claqu’
Puisque mon cour fait comme un duo
Avec le tic-tac
De la romance de la pluie…
Paroles Mania
Les gouttes de pluie
Baignent ton visage
Du ciel assombri
L’eau avec les larmes
Se mêle et désarme
Ton cœur qui s’ennuie
Un triste jour gris
Quand tonne l’orage
Les gouttes de pluie
Bercent ta tristesse
Douce mélancolie
Amère tendresse
D’amour et de bruit
Où l’âme en détresse
Se plaît et se blesse
Sans trouver l’oubli
Les gouttes de pluie
Mouillent tes cheveux
Et tes lèvres sèches
Redevenues fraîches
Offrirons leurs fruits
De baisers d’aveux
L’absence est souffrance
L’espoir délivrance
Les gouttes de pluie
Laveront ta peine
Oublie ta douleur
Le sang dans les veines
Et le temps qui fuie
Sècheront tes pleurs
Le mauvais temps finira
Et l’arc-en-ciel se lèvera
Bonjour à tous,
Je me fais rare, mais je passe parfois … je me sens mieux, mais l’écriture n’est pas encore au rendez-vous. Puis le théâtre me prend pas mal de temps …avec 5 représentations …
Les phares …m’ont rappelé un beau texte de F.Pessoa. J’avais joué ce passage au théâtre, il y a 2 ans.
Bises à tous.
Extrait de Faust (la désillusion de Faust) – Fernando Pessoa
(MARIE)
Te t’aime comme l’amour aime.
Je ne connais d’autre raison pour t’aimer que celle de t’aimer.
Que veux-tu que je te dise de plus que te dire que je t’aime,
Puisque je veux seulement te dire que je t’aime?
Ne cherche pas dans mon cœur…
Quand je te parle, cela me fait mal que tu répondes
A mes paroles et non à mon amour.
Quand l’amour est là, on ne badine pas :
On aime, et la parole n’est qu’un sentiment de plus.
Je peux t’écouter me disant que tu m’aimes,
Sans que tu me le dises, si je sens que tu m’aimes.
Mais tu lances des mots tout alourdis de sens
Et tu m’oublies; même quand tu ne parles
Que de moi, tu ne te souviens plus que je t’aime.
Ah, ne me demande rien; parle-moi plutôt
Au point que si j’étais sourde
Je t’écouterais avec mon cœur, entièrement.
Si je te vois je ne sais plus qui je suis: j’aime.
Si tu me manques (…)
Mais tu fais en sorte, mon amour, de me manquer
Même lorsque tu es avec moi, car tu questionnes toujours
Alors que tu ne dois qu’aimer.
Si tu n’éprouves aucun amour,
Montre-toi indifférent, cesse de me vouloir,
Mais tu es comme personne n’a jamais été,
Tu poursuis l’amour pour ne pas aimer,
Et si tu me recherches, c’est comme si j’étais
Quelqu’un à qui parler de qui tu aimes.
Dis-moi pourquoi l’amour te rend tellement triste?
Je te fatigue? Comment le pourrais-je si tu m’aimes ?
Personne au monde jamais n’a aimé comme tu aimes.
Je sens bien que tu m’aimes et que tu n’aimes rien,
Et je ne comprends rien à ce que je ressens.
Dis-moi un mot quelconque plus vrai
Que ces mots que tu cherches comme si tu les avais perdus,
Pour ne trouver que des cendres.
Quand je t’ai vu, je savais t’aimer depuis longtemps.
Je t’ai retrouvé quand je t’ai rencontré.
Je suis née pour toi avant que soit le monde.
Il n’est aucune chose heureuse, aucune heure joyeuse,
Que j’ai possédée cette vie durant
Qui ait été étrangère à ta venue,
Car tu dormais en elle, toi, mon futur.
Et guidée par ce bonheur et cette joie
J’en suis venue à t’aimer.
Quand, enfant, Je jouais à avoir un mari, il ne me manquait
Que d’être assez grande, et je ne le sentais pas,
Car ce qui me comblait c’était déjà toi.
Et je ne l’ai su qu’après, quand je t’ai vu,
Et tout a pris pour moi un plus juste sens,
Et mon passé est devenu une route
Illuminée devant moi, comme lorsqu’une voiture
Avec ses lanternes amorce le tournant
Du chemin et que la nuit est déjà toute humaine.
As-tu un secret? Dis-le moi, car je sais tout
De toi, quand bien même tu ne me le dirais qu’avec l’âme
Ou qu’avec des mots étranges que je comprendrais
Uniquement parce que je t’aime.
Si ton secret est triste, je saurai avec toi
Pleurer jusqu’à ce que tout s’efface.
Si tu ne peux dire ton secret, dis que tu m’aimes,
Et moi, sans même le chercher, je le sentirai.
Quand j’étais petite fille, je sens qu’alors
Je t’aimais déjà aujourd’hui, mais de loin
Comme les choses peuvent être devinées de loin,
Au point d’être heureuse rien qu’en pensant
A ce rendez-vous où l’on n’est pas encore arrivé.
Mon amour, dis quelque chose, que je puisse entendre ta présence.
Heu….
Je vais faire « plus court » !
En voilà un temps à mettre un canard dehors !
___
http://pics.centerblog.net/pic/coxilanddu26/jl0bq6sj.gif
___
J’espère que Bourrache a retrouvé un peu de printemps et non ce temps de cochon !
Biseeeeeees mouilléeeeeeees
Zut, il pleut !
Petites gouttes,
Grosses gouttes,
Goutte après goutte
Le ciel se tombe en gouttes
Les gouttes gouttent
Sur la route,
L’oreille à l’écoute,
Plus aucun doute,
Le son des gouttes
Qui s’égouttent
Hypnotise les sens :
Et la vue en déroute
Aperçoit, chose étrange,
Un drôle de rond rouge
Et son double qui bouge !
Biseeeees dédoubléeeeeeees
Flic floc, la pluie
Tambourine à la vitre
Viens vite me rejoindre
Petite sauvageonne!
Mon amour aspire à ton soleil
Goûte mes lèvres de miel
Tes yeux pétillent de gourmandise
Tes baisers rouge cerise
Embrasent mon ciel!
Tes yeux phare de braise
Petit coquelicot,
Aux senteurs mousse fraîche
Ont émoustillé mes sens
En d’exquises friandises
Il ne pleure plus dans mon coeur
Des goutellettes de pluie
Ton amour, ta langueur
Ont fleuri dans ma vie
et maintenant… dansons sous la pluie!!!
quelques notes de musique,
flic, flac, floc, flac, flic, floc..
une goutte d’eau, oui, mais, la goutte d’eau du bonheur. Car une goutte d’eau de bonheur, dans ta vie, je voudrais être…
Il pleut
Tes phares s’éloignent
Tristes lucioles
gouttes, gouttes d’eau,
Attention, aux éclaboussures …
Une route déserte ;
Seulement éclairée par la lune.
Autour la forêt sombre et inquiétante.
La derrière ville que j’ai traversé est à une dizaine de kilomètre.
Et cette voiture qui est en panne sous cette pluie battante.
Pour couronner le tout mon téléphone portable ne capte plus.
Et Camille qui doit s’impatienter au restaurant.
Et M….
Juste le jour ou je devais lui faire ma demande en mariage.
Et la pluie qui se met à faire des allégories.
Allégorie de l’amour.
Elle vient de je ne sais ou ;
il peut en pleuvoir de l’amour
Et même depuis la nuit des temps ; .
Il est là à tomber au hasard sur moi sur vous.
Ici et ailleurs en même temps.
La nuit le jour.
Dans la réalité dans les rêves.
Dans les images dans les livres ;
Un vrai déluge.
Et elle continue la pluie.
Elle continue son allégorie ; là devant moi sur ce pare brise.
Sur ce pare brise ou je ne vois que l’amour.
Rencontre, Association, fusion,
Et puis elle continue leurs chemins ensemble les gouttes,
Un petit bout de chemin, ou alors parfois jusqu’au bout du chemin ;
Parfois il y a d’autre rencontre ; celle elle brise tout ;
Au hasard ; sur ce chemin de la Vie ;
séparation, explosion, désunion,
et ça recommence
pluie douce et chaude
froide voire glaciale !
Deux phares illuminèrent le pare brise.
Je quittais mes pensées et sortie comme une tornade
Sous la pluie diluvienne.
Levant les bras au-dessus de la tête
En faisant des mouvements de balancier.
La voiture freina et glissa sur l’asphalte mouillé.
J’eu à peine le temps de sauter dans le fossé.
En me relevant je vis Camille le sourire aux lèvres,
Heureuse de m’avoir retrouvé ;
Je souris à mon tour comme peut le faire une serpillière.
Elle s’avança et nous nous embrassâmes comme deux gouttes d’eau.
marre, marre, y’en marre, c’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase… Monsieur et ses voitures,tout un poéme!!!
…
le phare au loin
l’empêchait de se perdre
la tempête grondait
…
La pluie supplice qui perle et imbibe
dans la moiteur on entend des bribes
deux doigts rouges, est passé le scribe
Jolis passages tout le monde! le bel printemps d’Annick manque à la danse sous la pluie.
Eclats de lave, boules de lave
qui flottent au fond de l’océan
L’ombre d’un faiseau se profile
Lumière dans les profondeurs
Bisous à tous. Vos écrits constituent vraiment une belle lumière.
Mon dieu, toutes ces victimes en Chine… quel désastre!
c’est l’histoire de deux petites voitures, deux cabriolets, l’une fait des appels de phares à l’autre, et les voila toutes deux parties pour de nouvelles aventures. Mais le temps se gâte, les premieres gouttes d’eau ruisselent sur la carrrosserie, et nos cabriolets sont bien malheureux, ils doivent, à toute vitesse, regagner le garage, car la capote, d’une des deux voitures ne fonctionne pas , impossible de la remonter, galére… Mais la prochaine fois, promis, ils seront plus prudent et passerons faire une petite révision chez le garagiste avant de vouloir partir vers de nouvelles aventures… donc un seul conseil, ne jamais oublier de sortir couvert, car la pluie peut toujours nous jouer des tours….
Larmes de nuit bleue
S’égouttent et ruissellent
En gouttes de sang
***
J’aime beaucoup… belle soirée
« Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. »
Voila ce qui m’est venu en premier à la vue de tes photos
La pluie s’éclate
Et pleure de tout son corps
Blessure rouge
J’ai mal et je crie
Je pleure et me noie
Dans les larmes du ciel
Qui coulent sur ma vie
Mon cœur arraché
Se lamente et explose
Contre la vitre du temps
Si froide et si bleue
Je pleure et je crie
J’ai mal à ma vie
Mon cœur crache rouge
Aux tempes de la nuit
Bon allez Maria, allons plutôt danser avec Sabine sous la pluie. Ca remonte le moral, quelqu’un plus haut a même mis de la musique. Toutes ces voitures éteindront leurs phares et les conducteurs et conductrices nous rejoindront. On a la chance d’être en vie!
champ de la pluie
ou
chant de la pluie?
« La pluie fait des claquettes sur le trottoir minuit… »
Oui Anne, du Nougaro plutôt, c’est bien ce qu’il nous faut ou du Sinatra peut-être avec « singing in the rain » !
Remarque si c’est moi qui chante ces chansons, ce ne sera plus des goutelettes, la pluie va redoubler et on risque bien d’être COMPLETEMENT trempés!! ))
Superbe Nathalie !!!
Je conaissais déja,
Mais par toi, de le relire…
Ouh…..
Il fait chaud la ! pour tout le monde!!
Merci à toi Ossiane , pour les clins d’oieils » musicaux » de 68!!!
Pour Lou… allons danser puisque tu le veux … je te suis
http://fr.youtube.com/watch?v=bkEvy-9yVyQ
dans sa chambre d’hôpital, lentement, le goutte à goutte, en vie le maintient…
il a mis les pleins phares car la route et sombre, il pleut, des milliers de gouttes d’eau ruisselent le long de son pare-brise, mais malgré tout, il roule à toute vitesse, et sur une flaque d’eau, le contrôle de sa voiture, il perd. Mais pourquoi donc aprés son café, a t’il pris en plus, une petite goutte… boire ou conduire, il faut choisir!!!
la pluie de Georges Brassens
Paroles: A.Hornez. Musique: J.Stern, J.Meskiel
J’adore entendre le gai flic-flac,
Le son joyeux de la goutte d’eau
Qui tombe et qui claqu’,
Ce clapotis qu’en pizzicato
Font les petit’s flaqu’s,
C’est la romance de la pluie…
Si quand il pleut mon cour fait tic-tac,
C’est que le jour où je t’ai connu
L’eau tombait en vrac
Aussi depuis j’ai mieux retenu
Qu’un air d’Offenbach
Cette romance de la pluie…
Quand elle nous arrose
La rose fleurit
Donc, moi je suppose
Qu’elle fait s’épanouir notre amour aussi
Voilà pourquoi j’aime le flic-clac
Le son joyeux de la goutte d’eau
Qui tombe et qui claqu’
Puisque mon cour fait comme un duo
Avec le tic-tac
De la romance de la pluie…
Sabine,
à coup sûr, c’était une voiture à roulettes,
un modèle russe, très certainement,
dès qu’il pleut ça ne vaut pas cent balles,
l’auto et son chauffeur sont tombés dans la Volga…
http://images.google.com/imgres?imgurl=http://blog.arnaudcornu.com/images/Volga_1.jpg&imgrefurl=http://blog.arnaudcornu.com/&h=300&w=400&sz=49&hl=fr&start=7&um=1&tbnid=FYynUnRNuYx-HM:&tbnh=93&tbnw=124&prev=/images%3Fq%3Dvolga%26um%3D1%26hl%3Dfr%26lr%3D%26sa%3DX
Sabine,
c’était un modèle à roulette,
une marque russe, très probablement cette auto…et pan…
…, ça ne vaut pas cent balles…, ces engins là… premier virage, première pluie, dernière goutte, et au fond de la Volga…
Maria, merci pour le clip, j’adore ! Surtout la dernière séquence quand Gene Kelly danse dans les flaques et que l’agent se pointe.
Sabine, c’est qui encore que tu nous a mis à l’hopital? Il n’y a plus de paix nulle part, même sur un beau blog de rêve comme celui d’Ossiane. Bon ben tu te débrouilles pour remettre cette personne sur pieds, Aspe peut t’aider qui l’a carrement envoyé dans la Volga !
« que tu aS mis à l’hôpital »… » envoyéE » (je corrige juste pour pas qu’on me retire ma licence d’écriture 😉
Bisous à tous et bonne nuit
Sous les mots de l’amour la pluie s’est arrêtée
Et elle a dit bonjour comment va la santé
C’est toujours ce qu’elle dit quand elle ne sait quoi faire
Elle reste suspendue comme dans l’atmosphère
Et puis elle s’enhardit et se pose sur ses yeux
Pour faire couler des larmes qui sont parfois de feu
Elle caresse son visage qui est tout endormi
Et insère dans ses songes les couleurs de sa mie
Et quand il se réveille l’oreiller est mouillé
Il aura rêvé d’elle, la vue est bien brouillée
Voilà encore des vitres parebrise à essuyer
Mais il est efficace et efface sa trace
D’une serviette d’un chiffon que toute cette eau embrasse
Quant à la pluie elle court elle s’arrête et elle passe
Doucement ou en trombe et même parfois rêvasse
Le monde vu d’en haut…sans objectif précis…juste un regard…pas de réglage…mais un peu d’attente…Des îles eau….qui voyagent sur la glace…qui fusionnent au gré du hasard…qui emportent nos larmes et flirtent avec le temps… Des rêves en transparence…fragiles et éphémères…qui laissent passer l’imaginaire…et éveillent nos sens….Des perles de pluie…qui se glissent dans une voile….que le vent emporte et que la main….doucement retient..
Au loup !
Dans la tempête
Revit la nuit
La pluie si pure de gouttes
Bienheureuses se posent
Puis la main les essuie
D’un revers de sa vie
Alors il apparaît
Une vue claire de vie
La pluie la vue s’apaise
Et amènent la vie
bonjour pour ton coucou, Lou, bonjour à chacun, belle journée.
La pluie si pure de gouttes
Bienheureuses se posent
Puis la main les essuie
D’un revers de sa vie
Alors il apparaît
Une vue claire de vie
La pluie la vue s’apaisent
Et amènent la vie
c’est mieux ainsi, mais on ne change pas, l’espace d un week, la tapuille des doigts qui n’en fait qu’à sa tête, se souciant peu d’accords, contraintes et lois écrites, ah la plume de moi, tu me fais sourire déjà…
pour le plaisir
http://www.youtube.com/watch?v=bkEvy-9yVyQ
Tiens! on a remis cette belle chanson, merci Marc ! Annick, heureuse de te revoir. Tu as une jolie couronne de paix sur la tête.
Dites, si on allait à l’hôpital, il faut aller y ressusciter un chauffeur dont la voiture a été repêchée dans la Volga.
Aussitôt dit aussitôt fait, ils allèrent donc tous à l’hôpital et y déposèrent leurs gouttes de pluie, ça faisait mille bises autour de lui. ( N’oublions pas qu’ils avaient écouté tant de chansons sous la pluie et chanté eux-même si fort qu’ils étaient trempés de la tête aux pieds ! ;)) Le chauffeur comme une blanche neige par magie se réveilla et sortit chanter avec tout le monde sous une pluie battante mais battante… et Ossiane qui avait oublié de distribuer les cirés jaunes… Mais bon elle a trop à faire, on n’allait pas lui en vouloir 😉
Bisou de conte de fée à tous.
dis donc les mots sont au compte goutte ce matin!
ne les débranchez pas!
je pense que qu’il ont encore de beau jour devant eux!
c’est juste un état passagé
rien de bien grave!
en général après un moment de repos il reparte de plus belle!
annick, Lou , fugitive , pierre et tous les autres
bonne journée avant l’orage
bonjour Lou, Marc,
mes mots en suspension, car des temps de lecture, et puis je flotte toute douce, mes mots ils s’évaporent, comme une pluie d’été séchée par le soleil qui se met à briller, les gouttes une fois posées, et laissent des fleurs bien belles abreuvées suffisance, les gouttes de vie si bonnes quand elles laissent la beauté, bienheureuse la pluie qui goutte sa vie dedans….
Et puis c’est tellement bon de se danser la pluie, plutôt que se lamenter à chaque goutte qui tombe, alors chanter la pluie, se la danser si belle, cela pousse des ailes, qui envolent en plein ciel…
et puis j apprécie max le vide dans lequel je me vole, tant de rencontres, de partages, de tables bien fort pleines, d’êtres si nombreux rencontrés dans le ‘chair’ nord de France, en appréciant si fort, qu’ensuite chaque goutte de silence bien plein se saisit sa seconde, à déguster nectar…les oiseaux chantent, le coucou, plus loin un coq en forme, et les feuilles se dansent invitées par la bise, il fait juste tout de bon, pas trop chaud, ventilé, c’est bon, c’est tendre fort, alors je me plane chance….
chutttt
pas de bruit
deux gouttes de vie
se palpitent
sous les gouttes
de pluie
et leurs coeurs
se serrent fort
ces gouttes
sont pleines de vie
chutttt
écoutez les donc
vivre
Oui Marc, bien vrai )
Aspe le clip est très sympa! Connais-tu « Naturally Seven », un peu le même genre mais sans instruments. Ils étaient de passage ici la semaine dernière, un plaisir.
A ne pas rater s’ils arrivent chez vous.
Oh Annick, je me tais !
Oh ! quelle belle eau !
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PLUIeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !
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G
GO
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GOut
GOuttes
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GOutttteeees
GOutttttteeees
GOuttttteeeeeees
GOuttttteeeeeees
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Flic !
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Floc !
je suis pliée. ;))
Ça me fait penser qu’il faut que j’installe le système « goutte à goutte » pour arroser le peu de fleurs que je viens de planter, pour économiser l’eau ! Eh, oui, ici, il commence à faire chaud !
Ooooooooooooooooooooo
2 phares dans la nuit ?
Mais non !
2 cerises sous la pluie !
oooooooooooooooooooooo
Ici, elles commencent à mûrir, je m’en vais vous en cueillir un panier qu’on pourra grignoter quand Lou sera réveillée !
Biseeeeees de Christineeeeeeee
Tiens, t’es réveillée ? Il me semble qu’on s’est croisée en chemin !
t’es trop Christine !!
mais où donc est passé le Phil? pardon le fil de la chanson 😉
christineeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee et loOooOoOOooOOOoou, bonjour!
Dans l’air du temps
En suspension
Deux flammes
Se balladent
Douces complices
Annick goûte quelques gouttes de pluie, moi j’ai trouvé le fil dans la chanson de Brel, « il peut pleuvoir sur les trottoirs… »
Vous ne voulez pas goûter à mes cerises, elles sont bien « lavées » ?
Si Christine, j’y goûte avec plaisir et elles sont délicieuses.
J’ai trouvé le fil dans ce texte aussi, que vous connaissez de l’enfance sans doute et qui célèbre la pluie
La pluie fine a mouillé toutes choses, très doucement, et en silence. Il pleut encore un peu. Je vais sortir sous les arbres. Pieds nus, pour ne pas tacher mes chaussures.
La pluie au printemps est délicieuse. Les branches chargées de fleurs mouillées ont un parfum qui m’étourdit. On voit briller au soleil la peau délicate des écorces.
Hélas ! que de fleurs sur la terre ! Ayez pitié des fleurs tombées. Il ne faut pas les balayer et les mêler dans la boue ; mais les conserver aux abeilles.
Les scarabées et les limaces traversent le chemin entre les flaques d’eau ; je ne veux pas marcher sur eux, ni effrayer ce lézard doré qui s’étire et cligne des paupières.
Pierre Louÿs
Allez il est 8h20 du matin ici, heure que j’aille travailler.
Bisous à tous, ou plutôt gouttes de pluie ;))
C’est vrai qu’il pleut à Londres
et que les ponts s’ennuient
Le ciel mourant est hypocondre
aux nuages noués de suie
à Londres il pleut à Londres
paillettes de la pluie
On voyait la ville se fondre
comme irréelle comme enfuie
un peuple imprécis correspondre
sous les dômes des parapluies
Nos ombres allaient se confondre
dans l’ombre grise de la pluie
C’est vrai qu’il pleut à Londres
et que je t’ai suivie *
* Louis Calaferte / Ragtime
MERCI Lou, il est très beau ce texte, je le lis à l instant, et dans une coupure d’instants d’avant…
Elle descend avec son éponge nettoyer les sièges et la table pour manger dehors, il a plu des grosses gouttes avant de partir vers la gare, des coups de tonnerre au loin, et finalement juste quelques gouttes mouillées, le linge sec retité à temps, et puis, l’éponge reste posée, le gazon se savoure, le pied se balance les brins d’herbe, l’oeil flirte des feuilles mouillées, deux roses un peu entr’ouvertes perlent une goutte, la jupe se mouille avec une branche, les plants de tomates sont beaux, des coulées d’escargots, c’est reposant si frais un jardin qui se sèche après une pluie de bel, il fait doux, les oiseaux chantent, c’est bon l’instant douce présence, si bel envol, de liberté entre les gouttes, en doux bel ciel, et le jardin si petit se respire délicat plus encore, chaque petite motte de terre précieuse, les brins d’herbe en semences, c’est bon de se vivre tendresse de vie, dans ses gouttes si pures.
merci pierre louys, merci lou.
La pluie a cessé
La bise s’est tue
Restent le gazon
mouillé
Le souffle de ton
baiser
Mon temps je
te le donne
Ô présent
Mon amour
Deux phares dans la nuit
puis plus rien
Oups !
Les gouttes coalescent mais pas à désirer
les gouttes roulent mais pas sans respirer
les gouttes glissent mais sans réglisse
les gouttes comptent mais s’arrêtent vite
les gouttes se suivent et se ressemblent tant
les gouttes suintent et même parfois chuintent
les gouttes humectent et chassent les insectes
les gouttes tremblotent et même chuchotent
les gouttes aspirent à une autre ration
les gouttes inspirent la plus vive affectation
les gouttes pourtant jamais ne nous dégoutent
les gouttes ont le goût du ciel et la couleur du support
les gouttes ne savent jamais si elles vont arriver à bon port
les gouttes parfois rebondissent ou éclatent en couronne
les gouttes tapissent et même rapetissent…sur les bords
les gouttes salissent mais lessivent et balisent
les gouttes salivent mais tombent des solives
les gouttes laides se cachent pour nourrir
les gouttes raides se retiennent dans la pente
les gouttes goulues se dégustent à la sauvette
les gouttes en train se laissent aller sur des rails
les gouttes attendent toujours la rainure pour s’écouler
les gouttes aiment plonger des gargouilles
les gouttes collées font un film à elles seules
les gouttes sont des quanta pas décantées
les gouttes raniment de leur ferveur fraîche
les gouttes tambourinent de leur hauteur
goutte que goutte il me faut vous quitter
___
Soleil, pluie.
Coup de couteau.
Mon coeur s’inonde.
Perles d’eau.
Mots de sans.
Sang immonde.
Je sens.
Je ris.
A la folie.
___
Goutte ma perle de larme
Vois comme tu es chaude
Ta tendresse m’émeut
Petite larme d’amour
Si douloureux d’aimer
Quand on aime son jour
un petit coucou, Aspe, heureuse de te revoir, Lou merçi pour tes mots … bonne soirée à vous tous.
Y’a des choses qui se pensent
Mais ne se disent pas.
J’vous glisse quand même à l’oreille :
« j’en ai marre de mon aujourd’hui ! »
Sur ce, biz à tous et à demain…
Et elle a tant pleuré
Son visage fâné
Reste son coeur tout rouge
Pour attendrir sa peau
En palpites d’amour
Qui font la peau si douce
Le soleil et la pluie jouaient à cache cache dans la garrigue, sur les pétales de fleurs, les larmes du printemps…. le ciel bleu nuit en fin d’après midi…..
___
Perles de cristal
Eclatantes de lumière
Les bulles de pluie
Pétales du ciel
Fraîches larmes du printemps
Aux couleurs de nuit
Deux coquelicots
Dans un rayon de lune
Quelques gouttes d’eau
___
Bravo à Christine, l’artiste
En va t-il, chère madame, de vos mots comme du reste
Que je ne connais pas et que je m’imagine
Lequel se trouve cacher, comme par une toile de Nîmes
Le plus beau des portraits, le plus fin palimpseste
J’ai lu avec passion, nous étions le douze mai
Et j’ai recommencé, une journée après,
J’ai bu avec délice vos écrits, goutte à goutte
De votre beauté d’âme, je n’ai plus aucun doute
Acceptez donc, madame, un assez court instant,
Que bien modestement je vous fasse compliment
Avec quelques mots, fort simples au demeurant,
Vous m’avez transporté et suis au firmament
Que cette nuit soit douce
Pour tous
Bourrache
Ne t’inquiète pas la page d’aujourd’hui est bientôt tournée, demain sera une page toute blanche sur laquelle viendront danser des mots heureux, j’ai pensé à toi aujourd’hui en voyant une bourrache en fleur dans un vieux jardin merveilleux, je t’en envoie un bouquet hélas virtuel.
http://www.guycotten.com/accueil/les-produits/loisirs/var/lang/FR/rub/19.html
pour la référence des « cirés »…
souvenir d’un soir sombre
pas très loin d’ AUDIERNE…(http://www.audierne.fr/)…
777777777777777777777700000777777777
goutte
d’ombre
tirée
des nombres
dans ta paupière
le lierre comme à la pierre
douce prière
quand tes lèvres
donnent
vie
à mes lèvres
gouttes
d’ombres
dans la pénombre
tu le vis
ce doux envie
sur
tes lèvres
gouttes
de vie
au loin
la pluie
Quelques guttes d’ eau et me voilà j’ allume faut voir avec toute cette eau.
Toute la journée le soleil bien présent,mais le type de la METEO et on replonge
Mais en lisant plaisirde te reconnaitre Aspe tu sais je ne vais tjs pas plus vite je sais que tu me comprend.Tu dois aimer Audierneet le bateau de l’ ile de Sein .Nostalgie coupez dira Thierry mais c’ est vrai j’ ai de bon souvenirs et pour la santée je me les rapelle.Voila la on est au bout du monde sinon il faut partir Mais l’ Amérique cela est loinReste la nage mais les jeux de Pekin je ne veut pas les complexer.Non mais Audierne et te voila ala Pte du Raz ,la baie des Trépassés avec son vent quand il y a se la tempeteCe que je peut aimer ces bodrs de mer.Et revenir quand la lune brillesur la mer.N’oublie pas La Torche pour faire de la planche quel dommage de ne memepas pouvoir aller clapoter un brinfroide je la supporte .Bonsoir aux éveillés Noisette.
Merci pour toutes ces belles histoires de gouttes malgré le grand beau temps 😉 J en epouvais pas prévoir la météo pour cette note. Pardon pour mon retour tardif.
>bourrache :
Tes poèmes sont superbes en ce moment 😉 Et si tu en as marre de ton aujourd’hui, il faut passer à demain 😉 Merci beaucoup.
>neyde :
Magnifique poème émouvant ! Bravo neyde !
>Poète Olivier :
Evocation de belles images de film qui font rêver 😉 Merci à vous.
>lou :
Entre yeux rougis et pluie, tes deux poèmes sont splendides. Tes mots ruissellent eux aussi 😉
>Aspe :
Grande beauté sensuelle de tes deux poèmes ! Bravo à toi ! Merci pour brassens.
>pierre :
Beaux poèmes sur la pluie. J’aime beaucoup celui sur la belle de nuit 😉 Très amusant le poème de Queneau. Un grand merci vers Orléans 😉
>perline :
Quelle contribution picturale et poétique originale ! je me demand ecomment Pïcabia aurait peint ces gouttes de pluie 😉 Merci à vous !
>phil :
Subtil, original, une autre façon délicate de découvrir ces gouttes ! J’aime beaucoup ce parallèle entre pare-brise et paravent.
Touchée par votre dernier poème cher monsieur 😉 Merci pour les compliments et votre fidélité;-)
Belle inspiration, Phil ; merci à toi.
>claudie :
Sensualité top niveau ;-)) Tes poèmes sont splendides. Que de talents sur ce blog ! merci pour Brassens.
>andrée :
Un très beau poème d’amour en atmosphère nuit. Merci andrée.
>sabine :
J’aime beaucoup tous ces ruisselets de mots tendres qui s’échappent de ton cœur 😉 C afait pas mal de gouttes 😉 Merci sabine.
>amichel :
Magnifique poème qui démarre tout en mélancolie pour continuer en ressourcement et renaissance ! Merci pour la grande beauté de tes mots et images.
>nath :
Coucou nath, je suis contente d’apprendre que tu vas mieux 😉 Reste là où tu te sens bien et bonne chance pour ces représentations. Très beau poème d’amour de Pessoa. J’aurais bien aimé te voir le déclamer 😉 Un grand merci de ta visite et de tes nouvelles. Take care of you !
>Christineeeeee :
Quel canard ;-)) J’entends les gouttes tomber dans tes poèmes ; c’est réussi 😉 Quels jolis dessins de mots 😉 Réserve-moi deux cerises bien mûres, toi qui es la spécialiste des fruits rouges ;-)) Bises.
>Pascal :
Joli haïku mélancolique. Beaucoup d’approches différentes autour de ces deux cercles rouges 😉 Merci beaucoup.
>marc :
Un vrai scénario de film ! C’est très réussi, bravo marc, merci pour ta belle inspiration.
>sylvie :
Bien vu cette allusion au phare en guise d’amer ! Encore une nouvelle approche ! Merci Sylvie, prends soin de toi.
>Thierry :
J’ai bien fait de mettre la photo aux deux points rouges. Bien vu aussi ce nouvel angle de vue ! Quant au poème sur les gouttes, tes mots dégoulinent de joie 😉
>maria :
Cette note semble particulièrement t’inspirer 😉 Tes évocations sont superbes et émouvantes. Le rouge appelle la douleur et la blessure. Merci à toi.
@nn@ :
Hé oui anna, vous avez raison, je n’avais pensé à ces deux sens 😉 Le chant est très important aussi 😉
>fauki :
Un petit coucou vers toi 😉
>pierre b :
Tu t’es laissé embarquer tout en transparence dans un beau paysage en mouvement composé d’îles d’eau qui invitent au voyage et au rêve. Tes mots sont sont d’ne grande fluidité et douceur. Merci Pierre, bonne nuit.
>fugitive :
Deux yeux rouges de loup, il fallait y penser 😉 Une nuit fantastique dign de la petite fugitive que tu es 😉
>annick :
Des larmes de bonheur et de mots, tu verses 😉 Bonjour Annick et bon retour parmi nous après ce beau week-end;-) Merci pour tes doux morceaux d’écriture en prose dans lesquels tu inventes tout plein de mots 😉 Bonne nuit.
>Ulysse :
N’hésitez pas à plonger 😉 Merci à vous.
>Hélène :
Merci Hélène pour la découverte de ce beau poème de Calaferte. Bonne nuit à vous.
>pam :
Bonsoir chère Pam 😉 C’est un peu ça oui 😉 Le grand trou noir sans repères lumineux 😉 Je connais un peu 😉 Bises vers toi, tout va bien 😉
>monique:
Superbe, cette idée de coquelicots ! Je n’ai pas compté mais il y a une quantité incroyable d’interprétations différentes sur les deux cercles rouges. Bravo à tous pour votr eimagination sans limites ! Bises à toi.
>noisette :
Bonsoir Noisette, je vois que tu n’es pas en reste sur ces gouttes qui t’évoquent la bretagne 😉 De très beaux endroits tu évoques. Je t’embrasse et te souhaite une bonne nuit.
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Bonsoir à vous l’équipage,
Merci Aspe pour les cirés )) Je crois qu’on en aura plus besoin!
Vous avez rafraîchi mon coeur par vos gentillesses. Merci encore. Mais elle a raison Bourrache de vouloir aller dormir; on veut tourner la page et on ne peut le faire que sur le sourire de tout le monde . Thierry, je sens sourdre en toi de la colère contenue. Je sais ce que c’est d’en vouloir à la terre entière ou juste à des lopins pour une raison ou pour une autre . (J’ai pensé un jour que tu m’en voulais) Bref, ce qu’il faut à ces moments là, c’est trouver au fond de soi non pas la haine mais la beauté. Les deux existent en chacun de nous. On peut choisir. Je ne donne pas de leçon, je parle juste par expérience. J’ai crié, tempêté, ragé dans le passé et ça ne sert qu’à s’énerver davantage, qu’à être malheureux. Par contre quand j’ai réussi à m’attacher à ce qui vaut le coup qu’on s’y attache ( parfois c’est juste un sourire ou la vue d’un oiseau ) alors mon coeur se sent léger et je peux continuer ma route.
Un jour, on s’est croisé à Triangle, tu te souviens, tu m’a battu à plate couture… Il faudra que je reprenne ma revanche !!
Allez si c’est un sourire que j’entrevois, c’est que ce soir, c’est moi qui gagne la bataille des rois !
Bisous à tous , ou plutôt… gouttes de pluie à tous. ( pour rester dans le thème et qu’Ossiane ne nous en veuille pas pour le hors sujet ;)) )
PS: je ne corrigerai pas les fautes d’orthographe s’il y en a . Wow, quelle victoire sur moi-même ))
Ah tiens Le capitaine est passé, merci Capitaine, on s’est croisé. Gouttes de pluies à vous.
Matelot Lou.
Et mon dieu des fautes il y en!! Je me demande comment j’arrive à ne pas les voir avant d’envoyer ))
Oh, encore autre chose, que je me dis souvent et dont je viens de réaliser l’importance: il faut avoir en soi la force de pardonner. Défendre la citadelle, c’est plus que beau, mais il ne faut pas pour cela y perdre sa gaieté . D’ailleurs, si on les appelle des citadelles, c’est parce qu’elles ont la plus grande force qui soit, et une force pleine de beauté et de douceur encore (cela ne peut que désarmer !)
Grosses bises et à nos nouveaux challenges pour que paix règne.
Humble matelot Lou ( et stagiaire encore!)
Il me souvient de quand j’étais « petite » … je chantais cela :
_
Gouttes gouttelettes de pluie
Mon chapeau se mouille
Gouttes gouttelettes de pluie
Mes souliers aussi
Je marche sur la route
Je connais le chemin
Je passe à travers gouttes
En leur chantant ce gai refrain
Gouttes gouttelettes de pluie
Mon chapeau se mouille
Gouttes gouttelettes de pluie
Mes souliers aussi
Je marche dans la boue
J’en ai jusqu’au menton
J’en ai même sur les joues
Et pourtant je fais attention
Gouttes gouttelettes de pluie
Mon chapeau se mouille
Gouttes gouttelettes de pluie
Mes souliers aussi
Mais derrière les nuages
Le soleil s’est levé
Il sèche le village
Et mon chapeau et mes souliers
Gouttes gouttelettes de pluie
Adieu les nuages
Gouttes gouttelettes de pluie
L’averse est finie.
_
De gros orages sont annoncés chez moi pour fin de l’après-midi vient de dire le monsieur dans mon poste de radio.
Mais faut pas perdre espoir !…
Merci Bourrache pour la chanson: J’étais matelot stagiaire et réalise que la mer n’est au fond pas pour moi. Je n’avais pas tout vu, mais des choses partiellement m’étaient apparues. Peu importe en tous cas. Je crois que je vais aller sur mes terres et y rester.
Bises à tous.
Ne perdez pas l’envie de rire ;)) C’est le plus beau.
>Lou :
Pas de problème pour le hors sujet, on peut s’en autoriser de temps en temps 😉
>bourrache :
Ttes orages sont arrivés chez moi aujourd’hui 😉 Merci pour le patage avec ta chanson d’enfance que je ne connaissais pas.
Gouttes de chagrin, perles de vie, une voisine amie si proche a pris des médicaments est tombée ily a quinze jours est dans un coma médical provoqué est entre la vie et la mort depuis ce week, j ai du chagrin ce soir, l amour il fait partie de la vie….avec ses perles de pluie qui ruiselle les joues de chair.
Ce soir Annick je ne savais pas ta peine,je viens un peu pres de toi .
Face à la mort nous sommesdémunies même les croyants ne sont pas exclus de douleur s’il on Aun espoir apres la vie que nous quittons j’ avoue que cela me rassuure .Personnelement que pouvons nous pour celui qui perds un être cher..Dire tu sais je suis là .J’ ai eut l’ occasion souvent de perdre des amis ,que cela fait mal.Moi je n’ ai aucune idée de l’ apres,tout s’ arrete là et souvent c’ est tout simplement mortifiant .Je pense a celui qui part !!!
Je t’ embrasse et suis pas loin .Noisette.
merci Noisette, j ai même une insomnie, viens de me réveiller à ce sujet, je ne me réveille jamais une fois endormie,
entre elle et moi, on a beaucoup partagé et tant déjà ses soucis big de santé et autres….incomprise par sa famille…
cela fait mal,
et quand je demande à son époux si je lui envoie un courrier, il me dit qu elle n entend plus d après les médecins, alors je lui ai demandé de lui dire que je pense à elle si fort,
et tour à tour, je me dis que le destin est incroyable, car j ai déménagé, et il m aurait été si impossible de vivre en face d’elle décédée….
je n ai rien laissé en regrets, j ai partagé tout ce qu’il m’était possible, alors c’est une consolation.
je t’embrasse Noisette, merci de ta présence, je vais me recoucher…
la vie est telle, mais 55 ans c’est si peu…
Annick l’âme de ta vieille amie ne meurt pas.
Les âmes restent vives dans les coeurs.
C’est d’ailleurs le plus bel endroit où l’on puisse les garder.
Elles restent là en paix pour toujours.
Pensées tendres vers toi, Annick.
oui, c’est vrai, mon réveil fut doux…
mais dans cette histoire de vie, c’est la surprise, le je ne m’y attendais pas, qui choque sur le coup, et faut refaire surface vite…même la sachant gravement malade et condannée, je lui ai donné de la vie dès que c’était possible, je n’oublie pas les deux restaus à nous deux, avant mon départ, j’espère qu’ils lui sont revenus avant d’être plongée dans le coma, ainsi que nos thés et face à face à nos boîtes ux lettres l’une devant l’autre..voisines de face à face, la voisine amie avec qui il s’est passé beaucoup d’échanges sur ce bout de dix huit ans et demi…
et puis, la vie lui était devenu insupportable, si douloureuse physiquement et moralement, alors, c’est bien ainsi, je souhaite son coma le plus bref possible….
oui, les âmes ne meurent jamais, et encore moins ceux qu’on aime tellement de profondément, sans forcément l’avoir cherché.
oui, c’est vrai, mon réveil fut doux…
mais dans cette histoire de vie, c’est la surprise, le je ne m’y attendais pas, qui choque sur le coup, et faut refaire surface vite…même la sachant gravement malade et condannée, je lui ai donné de la vie dès que c’était possible, je n’oublie pas les deux restaus à nous deux, avant mon départ, j’espère qu’ils lui sont revenus avant d’être plongée dans le coma, ainsi que nos thés et face à face à nos boîtes ux lettres l’une devant l’autre..voisines de face à face, la voisine amie avec qui il s’est passé beaucoup d’échanges sur ce bout de dix huit ans et demi…
et puis, la vie lui était devenu insupportable, si douloureuse physiquement et moralement, alors, c’est bien ainsi, je souhaite son coma le plus bref possible….pour qu’elle soit soulagée de cette vie sur terre, elle a une grande âme qui sera en Paix…
oui, les âmes ne meurent jamais, et encore moins ceux qu’on aime tellement de profondément, sans forcément l’avoir cherché.
merci Bourrache, ne vous inquiétez pas, cela va,
c’est la meilleure des choses qu’elle se souhaitait, s’endormir paisiblement, hors souffrances, toute sa famille l’a abandonnée, alors ce coma provoqué l’aide déjà, je me fixe sur son bonheur pour elle, et je suis joyeuse pour elle ce matin,
me reste son dernier appel joyeux car elle avait trouvé sa tenue pour le mariage de son fils en septembre, et m’avait demandé mes coordonnées de coiffeur, et tout cela je sais tellement que cela lui demandait des efforts immenses, elle était épuisée de vie…
cela va!
place à la vie! je vais reprendre un second café avec le soleil en face en face, les feuilles brillent, c’est beau!