98 réflexions sur « Pas »

  1. Sans cesse

    Et la fuite du jour et le soleil levant
    L’empreinte s’est faite ombre, la lumière rasante
    Blessures cicatrices
    Des destins qui se croisent, des vies se superposent
    Et des couleurs de rêves, un monde en noir et blanc

    Ecoute
    Tout près de l’aube oblique

    Le froissement de l’eau
    La marée d’Océan

    Entend
    La vague fraîche
    Effacement soyeux, les volants de sa robe
    Renouveau de l’écume

    Tu pourras sur la grève écrire tes poèmes

  2. > Bonjour Ossiane, avant de finir l’article que j’avais commencé sur le sujet, je m’associe sans réserve à votre réaction et à celle des autres blogueurs. Je réagis de même sur la publicité invasive qui apparait maintenant dans la bannière du haut des pages de nos blogs. Le fait qu’en plus elle soit contextuelle accroit son caractère inconvenant. Faudra-t-il utiliser notre arme fatale, le désabonnement ? Amicalement.

  3. >Bonjour matinal, Ossiane, as usual: je suis aussi un très vieux lecteur du monde et je vais me fendre d’une lettre au médiateur ce qui ne sera que justice parce que la publillusion qui pollue notre espace sacré ça énerve, ça remonte et vraiment ça commence à déborder et à faire déborder notre patience. Nous sommes entrés en résistance contre toutes ces formes d’agressions non souhaitées et ce côté invasif, envahissant quoi, à de tout temps provoqué des réactions légitimes d’auto défense. Bonne et belle journée Ossiane et que le sable fin décidément coule bien entre tes doigts.

    >Bernard: c’est si agréable de trouver une belle note comme la tienne ce matin, c’est revigorant à souhait , ça donne du tonus, bravo.

    Une marque sombre, brouillée, m’attire
    pas un appat ni même un piége
    juste un fouillis inextricable de pas

    jamais je ne tenterai de remonter leurs traces
    non pas qu’éphémères mais innombrables
    la multiplicité m’évoque à foison
    les poils sans nombre d’une toison
    les compterai je que ce serai
    alors la pamoison
    Les pas ne nous guident pas
    mais dans cette ornage haie…de pas
    je retrouve la cadence et la danse
    l’assemblage et la concordance
    je me perd mais suis je seul

    pas à pas j’avance
    pas en ligne droite
    pas en crabe non plus
    je distance et sautille
    je distille et boitille
    mais graduellement
    progressivement
    l’un après l’autre
    parfois de côté
    pour regarder
    la trace en léger
    différé je chemine
    les jalons et les marques
    simples témoins
    pour les parques
    du passage
    emprunté
    du couloir
    dégagé

  4. Liignes…

    Lignes tracées
    rectilignes
    sur le sable
    dans la diagonale
    des jours
    en une infinité
    de rives…

    Lignes poudreuses
    à la courbure du rêve
    qui se rejoignent
    en seul geste
    puis s’en vont
    vagabonder
    dans les artères
    d’impossibles villes

    lignes méandres
    dans nos têtes
    découpent
    nos pensées
    et nos rêves
    en une infinité
    de rives…

  5. La lumière…

    j’ai marché près de toi
    sur le sable du désert
    là où le soleil creuse les rides
    et rend la peau si brune

    J’entends
    quand je ferme les yeux
    chaque battement de tes pas
    dans le sillon des jours
    j’entends le vent
    qui souffle toujours
    et se cogne
    à chaque coin du monde

    Je sais
    le soleil est cruel
    les nuages inondent
    et le sable s’infiltre
    partout et toujours

    Mais la lumière
    même si tu ne la vois pas
    même si tu ne le sais pas
    lentement
    s’accroche à tes pas
    toujours…

  6. ben justement, sur ma plateforme gratuite, avec ses défauts, il n’y a pas de publicité, sauf si je le désire contre une petite rétribution.

    Mes pas dans les pas qui ont laissé leurs traces,
    mes yeux perdus vers l’avant
    où plus rien n’apparait,
    là très loin, cet ailleurs vers lequel ont filé
    les roues,
    leur sillage en blessure noire,
    et la frange soulevée,
    arriverais-je ?

  7. Il fait si lourd
    dans mes poèmes
    j’essaie pourtant

    pas à pas…

    de résister
    à la pensée pâle
    qui de la joie détourne
    au temps qui disperse
    à l’abandon qui s’insinue
    dans les moindres fissures

    pas à pas…

    j’essaie pourtant
    boussole détraquée
    de faire renaître
    ce chemin rouge
    qui circule
    dans nos veines

    pas à pas…

    je ne renonce pas
    malgré les dédales
    des retours sur soi
    les paroles sèches
    le temps qui presse
    à trouver le chemin

    qui ne divise pas…

  8. Pas un souffle
    ni brise
    ni tempête
    pas un regard
    ni braise
    ni reddition
    pas un geste
    ni recel
    ni emphase
    n’effaceront
    l’empreinte
    posée …là

  9. fusion charnelle des matières
    du corps et de la terre
    de la pensée et de l’air

    recherche de plénitude
    ou rêve de solitude
    sous le regard de Matuta.

    Vies croisées, sourires échangés
    des pas de nomades du passé
    Dans ce désert éphémère.

  10. Coucou, Ossiane

    Beau contraste entre ta photo en noir et blanc et ton haïku calligramme en couleur pastel.

    Empreintes de pas
    Fugaces dans le désert
    Itinérances

    Rêve étoilé
    Des paillettes essaimées
    Tracé lumineux

    Défilent mes pas
    La rêverie me grise
    Esquisse du temps

  11. Du doux rêve
    De notre fusion

    Ni concrétisation
    Ni aboutissement

    Reste la beauté
    De nos mots

    Reste la grandeur
    De notre attachement

    Reste la fougue
    De notre désir

    Reste les traces
    De nos pas

    Sans cœur et
    Sans merci

    Ils tentent d’effacer
    Nos empreintes…
    Posées là

  12. Des traces de pas
    Sur la grève
    Des esquisses de joie
    De nos rêves
    De nos émois d’autrefois
    Qui s’achèvent
    De nos ébats en écume
    Qui déferlent

    Nos chemins ont divagué
    Nos empreintes se sont effacées
    Nos rêves ont dévoyé

    Il ne reste plus sur la grève
    Qu’un parchemin de nos rêves
    Des étoiles de mer rutilantes
    Que la marée souveraine
    A, en ultimes je t’aime, déposées
    Comme éclats de nos rêves
    A jamais éclaboussés

  13. Dommage, Marc, ce ne sera pas pour aujourd’hui.

    Cette photo ne me fait pas penser à de jolis mots.

    L’homme s’atrophie. Il oublie qu’il a deux pieds pour marcher, se ballader, errer. Il assied son derrière sur un moyen de locomotion et se permet d’aller bousiller les traces de ceux qui aiment encore sentir le sable sous leurs pas.
    Et puis je pense aux motos, aux quads qui font trembler ma belle forêt et s’envoler mes oiseaux.
    Et puis j’écume de … rage en pensant à cet affreux oiseau blanc nommé A380. Que de milliards engloutis. Et puis il va avoir très soif pour aller polluer nos nuages. Et si je ne me trompe, l’est fabriqué en pièces détachées et que pour le rallier d’une usine à l’autre, l’a fallu élargir des routes et crevé quelques villages…
    Bon, j’arrête là.

    Je vais de ce pas, ma loque à poussières dans une main et la serpillière dans l’autre faire … enfin, vous savez bien.

    Que votre chemin soit doux en cet aujourd’hui.

  14. Sven, tu bégaies.

    C’est mon ordi qui déco..lle où c’est le monde.fr qui est pas content qu’on rouspète ?

    Je suis devant une page un peu bizarre.

  15. Bourrache, je viens de poster en effet par deux fois un petit poème de M. Haddadi qui ne s’inscrit pas à l’écran… mystère de l’informatique…mur du silence difficile à franchir…patience.

  16. Bonjour à tous
    Bonbonze tu es remarquable, j’ai éclaté de rire toute seule, j’ai beaucoup d’admiration pour ton humour, il me rappelle tant celui de mon père, souvenir dans la joie et la bonne humeur.
    __
    Comme une souillure
    Sur le sable immaculé
    C’est le grand pas sage !
    ___
    Je te redis bon courage Annick, et me sens bien impuissante pour te filer un petit coup de main. je t’embrasse.

  17. Il suffit de faire un pas
    pour se cogner le coeur

    Il suffit de faire un pas
    pour se briser l’aile

    Il suffit d’ouvrir les yeux
    pour voir qu’on nous marchande

    Il suffit d’ouvrir les yeux
    pour nous voir quémander

    Il suffit d’ouvrir les yeux
    pour voir à l’agonie
    tous ceux qui voudraient vivre…

    Mohamed HADDADI

  18. leur passage a laissé
    une marque grise s’élançant,
    par delà l’irisation,
    en longue courbe tendue,
    qui s’amenuise et s’assombrit,
    à l’assaut de l’ailleurs.
    Arrêtée sur son bord,
    j’hésite

  19. Le Monde fait semblant d’entendre les récriminations de ses blogueurs conte la pub, mais tu as toujours actuellement, Ossiane, une pub pour « JePoeme.com », en alternance avec « AdWords.google.fr » !…
    C’est contextuellement pas mal trouvé, mais c’est pas encore gagné !
    Merci pour cette lutte anti-pub.

  20. A 16 h 23 sur Firefox la publicité a déserté l’écran d’Ossiane, restons vigilants et gardons « l’Oeil Ouvert ».
    La lutte et la solidarité paient sur les blogs, mais avant de crier victoire attendons la suite des évènements, je crains que le vers ne soit dans le fruit.
    (vieil adage des jardins).
    F

  21. .
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    .
    >>>>Bonjour à tous,

    6 ème jour de contestation et un premier pas a été franchi de la part du Monde. Les liens publicitaires en haut de nos pages de blogs viennent tout juste de disparaître.

    Cependant, le mouvement continue. J’ai pour ma part écrit au responsable de la plateforme du Monde pour demander des éclaircissements sur leurs projets futurs concernant nos blogs.

    N’hésitez pas à me faire parvenir les nouvelles sur les nouveaux blogs en mouvement, les initaitives ou articles consacrés au sujet pour que je les mette en ligne.

    Je pense aussi aux poètes de ce blog qui sont sans doute un peu perturbés par ce tohu bohu qui me monopolise aussi. Je m’en excuse auprès d’eux et leur demande un peu de patience. J’espère que tout va rentrer dans l’ordre au plus vite.

    Bien à vous tous

    Ossiane
    .
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    >Bernard :
    Ton poème est somptueux. Tu évoques à la fois les cicatrices de la vie et la vague fraîche qui va laver toutes les blessures. C’est très beau et bien écrit. Merci, bel après-midi.

    >Philippe :
    Bonjour Philippe, merci de nous rejoindre dans ce mouvement avec ton article que j’ai signalé. Quelle arme utiliser… selon moi, le dialogue dans un premier temps pour faire valoir nos arguments de poids qui n’avaient peut-être pas été perçus par l’Equipe du Monde. Certains blogueurs sont déjà partis avant d’avoir une réponse, c’est vrai.
    Pour ma part, j’ai envie de faire bouger les choses de l’intérieur en continuant le mouvement jusqu’à ce qu’on obtienne des réponses, des propositions. Je crois que c’est possible. Je pense que c’est à chacun de décider de sa conduite à tenir. Bien à toi.

    >Sven :
    Tu es tout à fait à ton aise avec ce genre de photos poudreuse 😉 Tes poèmes sont splendides, ethérés, émouvants. Tu nous emmènes en poésie sur de belles rives et lignes pour mieux nous perdre et nous retrouver. Bises vers toi.

    >Pierre :
    On en revient à l’écriture, aux mots et aux lettres pour ma part mais chuuut 😉
    Tu as déposés de très beaux haïkus voyageurs à rêver. Merci Pierre, je t’embrasse.

    >Thierry :
    Merci de t’associer au mouvement, je vais rajouter ton nom.
    Tu as choisi de t’aventurer dans ces traces de pas plutôt que dans la traînée sableuse. Des allées et venues, des destins qui se croisent, indifférence et solitude, c’est hélas le risque de la foule et des jungles urbaines. Merci pour ta belle évocation.

    >brigetoun :
    Tu as de la chance 😉 Je ne suis pas contre payer un peu plus pour ne pas avoir de pub du tout.
    Tes ressentis sont toujours très justes et très beaux. J’ai remarqué que tu as abandonné les haïkus 😉 Bises.

    >feu roméo :
    Empreinte gravée à jamais dans le sable et dans les souvenirs peut-être. Je te sens très sûr de toi dans ton beau poème 😉 Bises.

    >bonbonze :
    Je vais finir par te mettre au piquet, Bonbonze ;-))

    >Marc :
    Je sens à travers tes mots que tu cherches à t’évader de la réalité brute pour aller rencontrer les sensations diffuses et les éléments. C’est bien parti et ce n’est pas si facile à faire.

    >Coucou Claudie :
    Oui, j’ai préféré m’évader en couleur de la réalité car la photo est presque une peinture abstraite. J’aurais eu du mal à aller plus loin.
    Tu es très bonne aussi pour t’immerger dans des univers imaginaires. Tes mots sont souvent émerveillés devant la beauté du monde et la beauté humaine. Ca fait du bien au moral. Merci pour la beauté de tes évocations. Bises.

    >Nigra :
    Beau aussi Nigra, mots simples, fraîcheur, silence, fluidité, émotion, j’aime beaucoup. Merci !

    >Bourrache :
    Désolée Bourrache que ton moral ne remonte pas 😉 Evade-toi des mauvais côtés de la réalité pour te projeter dans une autre dimension. Pense à la forme dessinée ou l’effet de matière par exemple et oublie les pneus 😉

    >Monique :
    Héhé, tu te lance dns les jeux de mots, Monique 😉 Merci à toi.

    >François :
    Hello Ami François, je crois que la première partie est gagnée !!!
    Sous mon Explorer, la bannière publicitaire a disparu ! Il ne faut jamais désespérer ; rien n’est impossible

    Maintenant, on entre dans la phase 2 avec l’attente d’une nouvelle réponse du responsable de la plateforme du Monde. J’espère que ce fichu ver ne va pas nous dévorer. Amitié solidaire et chaleureuse vers toi.

    >Annick :
    Tu fais de petits pas Annick comme si tu n’osais pas ajouter les tiens à ceux des autres. J’espère que ça va bien. Bises.

    >Cowboy :
    Bucolique certes mais toujours rebelle au formatage des idées;-) Ce premier pas semble abouti. Il est l’œuvre de tous ceux qui se sont engagés dans ce mouvement. Restons en contact 😉 Il faut maintenant avoir des propositions sur ce que Le Monde compte faire avec nos blogs. Patience, on attend des réponses.

  22. Belle images pour évoquer l’éphémère, si vain, si beau pourtant. Ce qui nous apparaît, nous traverse parfois et souvent gagne l’oubli. Ecrits de sable, pas mêlés, traces perdues…

  23. 2 ans déjà!!
    En avant
    ———-
    Que le ciel exauce tes souhaits
    Libre d’aller où ça te plait
    Chante si tu as le cœur gai
    Bonhomme

    Rois chevaliers bourgeois ou gueux
    Chacun sa route chacun son monde
    Aux uns le pire aux autres le mieux
    La vie la mort conduisent la ronde

    Tous les chemins mènent à Rome
    Mais qui dit qu’il y faut aller
    Ta route tu la peux trouver
    Sans la chercher en somme

    A droite à gauche au sud au nord
    Comment choisir où s’engager
    Faut-il jouer sa vie aux dés ?
    Va de l’avant et sans remord

    Au calvaire suis ton chemin
    Au compas de ton désir ardant
    N’aie point souci du lendemain
    Cueille les fleurs de l’instant

    Au clair de terre ou sous la lune
    Tu pourras dire tout ton amour
    A la dame blonde ou brune
    Pour qui tu t’ais fait troubadour

    Rien de nouveau sous le soleil
    A ce qu’on dit sans trop y croire
    Tant l’univers est sans pareil
    Et ses splendeurs pleines de gloire

    Partir rester au fond qu’importe
    C’est à toi de le décider
    Et si le monde frappe à ta porte
    Invite le de bon cœur à rentrer

    Que le ciel exauce tes souhaits
    Libre d’aller où ça te plait
    Chante si tu as le cœur gai
    Bonhomme

    (Mardi 6 décembre 2005)

  24. Et bien bravo, bravo,

    Comme quoi nos récriminations laissent des traces sur la plage que nous empruntons… A voir maintenant si avec le passage des marées elles demeureront ou ne serons plus que des souvenirs…

    J’aime beaucoup tes photos de plages:)

    Bravo aussi pour cette approche que tu as du monde!

  25. N’hésite pas
    Avance va pas à pas
    Sans peur de la vie au trépas
    Le temps perdu ne se retrouve pas
    Le bonheur est dans ton cœur ne cours pas
    Les oiseaux du ciel de demain ne se soucient pas
    Au rythme des saisons accorde bien ton pas
    Chacune a ses plaisirs ne l’oublie pas
    De l’impatience craint les faux-pas
    D’aimer ne te lasse pas
    Ne t’arrête pas

  26. >Jean-Luc :
    Désolée, je t’ai retrouvé dans mes spams 😉 Merci d’être toujours à nos côtés, il ne faut pas abandonner.

    >Fugitive :
    Comme c’est bien exprimé ! Cetet éphémérité a parfois plus de valeur que ce qui reste à jamais. En tous cas, c’est moins émouvant. Bises à toi et merci.

    >amichel :
    Deux ans déjà ? … que tu as écrit ce poème sur L’Oeil Ouvert ! Hé oui Michel, ça fait si longtemps que tu écris à mes côtés. Tu as bien fait de le remettre car il est beau. Je me souviens bien de cette autre série sur le sable dans une toute autre atmosphère. J’aime revenir sur ce thème. Quant à ton pas à pas, il ressemble à la pointe d’une flèche et qui dit flèche dit Amour et qui dit Amour dit « A » Avais-tu remarqué le A de mon calligramme ;-)) Merci pour ta belle écriture.

    >Chagrin :
    Bonsoir, j’ai signalé l’adresse de ton nouveau blog avec ce renvoi vers mon blog. Merci à toi et belle aventure là où tu es 😉

    >Alain du Mexique:
    Je te l’avais bien dit qu’on pouvait se rebeller en dialoguant dans un premier temps;-) Un bel élan de la part de tous ! Mais tout n’est pas gagné, il reste de grosses inconnues. On reste vigilants et mobilisés. Merci pour tes impressions, contente de te retrouver à mes côtés. La bise vers le Mexique !

  27. Tracés mais pas au cordeau
    enroulés comme des cerceaux
    entrelacés comme des cerneaux
    une griffure pas une rature
    une impression pas dégonflée
    un motif en extension
    y a de la pression

  28. pas après pas
    sur le chemin de la vie
    sinueux ou droit
    en avant ou en arrière
    ou bien encore à reculons,
    Le cœur et les yeux fermés.
    et dissimulé derrière tes peurs
    Pour ne pas faire d’erreur.
    Le trépas est devant toi.
    Quelque soit ta direction.

    alors avance pas à pas !
    tu peux suivre des chemins
    que d’autres ont balisés
    l’important est de voir
    ce que d’autres n’ont pas vu
    Et d’observer avec son propre coeur.

    ou encore pas après pas
    explorer défricher d’autres chemins
    et peux d’être de rester incompris.
    on peux se perdre , rebrousser chemin
    bifurquer, pourquoi pas renoncer à un chemin.
    l’important est de ne pas se perdre
    Au milieu de sa solitude.

  29. c’est beau amichel et marc..

    juste de la fatigue, Ossiane, merci de me secouer, car écrire m’envole, un mois si lourd trop terre à terre obligée incontournable…

    alors, je regarde la photo, le calligramme, son A et m’envole, merci à toi!

    Des chemins se sont croisés
    Des pas se sont serrés
    Et si tendrement la douceur
    S’enveloppe d’infinie chaleur
    Le souffle doux du vent
    Emporte dans ses beaux chants
    Le joli A d’Amour
    Celui qui vit son jour
    Lui donne tout son parfum
    D’une si belle faim
    En soif de se faire du bien
    En achetant le rien
    L’Amour se donne Amour
    Et se suffit son jour

    merci de m’avoir remuée un peu, Ossiane, mais telle pression ce mois, la décompression me laisse ko..cela va aller.

    il est fort beau ton calligramme en lettre A toute dorée, sur ce fond rose, merci de me prendre la tête en beautés d’Ossiane. Bises tendres.
    Et puis une photo de traces dans le sable, c’est si fort et beau, et profond…
    bonjour à chacun, je suis là, ne boude pas..sourire.. juste fatiguée et c’est normal, le punch va revenir.

  30. Suivre tes pas
    et apprendre à lire
    ta direction.
    Te montrer mes pas,
    le pas des autres
    et t’apprendre à lire
    comment les rejoindre,
    comment faire quelques pas à côté d’eux.
    Puis te foutre la paix,
    le temps d’un repos,
    le temps de te rassurer
    et recommencer tout doucement.
    L’apprentissage se fait pas à pas…

  31. Un jour
    Mon premier pas
    Et ce jour là
    Savait il celui là
    Qu’il y aurait des pas
    Et puis encore des las
    Là là et encore Là
    Pour avancer son pas
    Chaque jour

  32. Tendrement le soir
    Quand la lune si belle
    Comme la mer elle monte
    Depuis la nuit des temps
    L’écume vient lêcher
    Si doucement aimante
    En baiser de l’Amour
    Qui se vit son toujours
    Dans son instant présent
    Qui se retire encore
    Sans jamais abîmer
    Ce bel acte d’Aimer

  33. >Thierry :
    Oui, un signe très bizarre venu d’ailleurs 🙂 Merci pour ton poème.

    >Pierre :
    Tu es bien pessimiste, Pierre 😉 Je ne connaissais pas cette tactique 😉 Je crois au contraire qu’on peut faire avancer les choses dans le bon sens mais il va falloir être tenace te patient;-) Bises.

    >Marc :
    De bien belles réflexions sur ces trajectoires de pas qui jalonnent notre vies. J’aime la conclusion de ton poème ; c’est très vrai. Bises.

    >Brigetoun :
    Ne vendons pas la peau de l’ours del’avoir tué. C’est un bon premier pas mais il faut obtenir donner des garanties et des propositions. Merci pour ton soutien.

    >Annick :
    Non, non, Annick, ne te secoue pas… tu as sans doute besoin de te reposer. On ne peut pas toujours vivre à cent à l’heure. Laisse faire; ça reviendra tout seul.
    Ce « A » ne t’a pas échappé, je doutais qu’il te plairait 😉 Merci pour la chaleur de tes mots. Bises vers toi.

    >le sid :
    Déjà Noël ;-)) Tu peux participer, c’est gratuit 😉

    >Catherine :
    Le fruit du hasard, les derniers titres de mes notes t’interpellent forcément. Dans le cas qui te concerne, tu sais exactement ce que signifie un pas et l’énergie qu’il fallu déployer pour le voir s’exécuter. Mais sans doute quelle joie au bout qui redonne la force de continuer. Merci pour tes mots et ton combat émouvant. Je sens de la rage en toi. Je t’embrasse.

  34. Mon amour
    Ton regard je te vis
    Déjà ton premier jour
    Mon amour
    Et chaque perle de vie
    Si durement enfilée
    Mon amour
    Te font un collier lourd
    Si pesant de vie dedans
    Mon amour
    Que cèdent peu à peu
    Tes chaînes qui t’enfermaient
    Mon amour
    Nos pas usants, tuants, décapitants
    Mais temps de vie dedans
    Mon amour
    Merci
    D’être là
    Mon amour
    Ton collier aile ton cou
    Et je suis ton envol
    Mon amour

  35. Bonsoir et bonne nuit à chacun
    _
    Le regard nouveau
    Du bêta qui n’a pas vu
    Le tracé Alpha
    _
    Bientôt la marée l’eût effacé sans que je le visse!

  36. j ai oublié de remercier ta pensée douce, Monique, excuse moi, un peu dans le gaz cet aprem, c’est mieux ce soi, mais je vais dormir pour enlever la fatigue..bonne nuit.

  37. -Qui va là?
    masqué et sans épée?
    -la nuit croît,mon prince
    je ne puis le savoir
    -serait ce une étourdie
    un félon,un prélat?
    -il faut que roi le sache
    -gardons notre sang-froid
    approchons juste un pas

  38. Passiflore, pas si fort, pas si grand
    pas siffleur, pas joué, pas enjambé
    des piéges du monde a déjouer
    on passe son temps à regarder
    où on va bien pouvoir mettre les pieds
    foulées, coudées, margés
    on ne peut émarger au livre
    de la vie sans avancer
    pas si sûr , pas certain, enfin incertain
    un certain regard sur le tard

    comme disait higelin « ne te retournes pas »
    pas pantin ni lutin, juste mutin
    alors je commute
    et je porte l’espoir
    comme viatique
    en sautoir

    > très bonne journée à tous avec moins de pub (les pubs dans les poubs)

  39. Un jour très beau

    Le jour où
    je suis avec toi
    je suis contente
    quand je te vois sourire
    avec les autres…

    Ce jour-là
    j’étais avec un autre
    petit, mignon, mais…
    sans toi…

    Et si je suis
    sans toi
    je ne peux regarder les autres
    il faut que je regarde
    que toi…

    Heureusement
    ce jour-là
    était si beau
    en pensée
    avec toi…

    Un petit poème de Candice, 9 ans
    en pensée avec vous pour vous souhaiter une bonne journée.

  40. ___
    Tendresses
    Tensions
    Tempêtes

    Pas mélangés
    Sur le sable
    Les tiens
    Les miens
    Des enfants

    Du temps

    Croisés
    Chassés
    Ecrasés

    Par les roues de la vie
    ___

    Je crois qu’une troisième tasse de café va me faire du bien.

    Biz à tous et bonne journée.

  41. Bonjour à TOUS

    Plaisirs du matin où je peux prendre le temps de tout lire : et les contestations et les mots qui glissent et font rêver …
    Merci à TOUS sans oublier les beaux supports d’ Ossiane …

    – Merci à cette espèce de lutte contre l’immobilisme …, on n’a quand même le droit de choisir où on veut aller … sans être systématiquement instrumentalisé ….
    – Merci à ceux qui résistent …
    – Merci à ceux qui donnent à rêver et à construire du sens autrement

    Je suis comme allerqique à la publicité, c’est quelque-chose de ‘chronique’ … et je préfére souvent explorer des blogs pour choisir où j’ai envie d’aller, plutôt que de regarder une télévision qui injecte des façons de voir et de regarder , des modes de fonctionnement simplistes …
    Sans généraliser bien sûr, il y a des exeptions, mais nous payons aussi pour la télévision. A t’on vraiment le choix de notre regard …de notre écoute, de nos mots … sans nous sentir pollués, manipulés ?
    Je passe beaucoup de temps à trier , à commencer par la bôite aux lettres extérieure, la boite mails aussi car des polluants s’infiltrent aussi de façon systématique. Là, il va falloir que je me renseigne pour savoir comment les évacuer … Je passe du temps à sélectionner ce qui fait sens pour moi …
    à chercher l’information UTILE , non pas pour CON-SOMMER mais pour construire du sens …
    Prendre le temps autrement …

    Bonne journée

  42. Ossiane , j’ai lu sur « Les Inrocks  » un bref article concernant Le Monde ..qui va mal.. (il est fait état Ô ironie d’une faiblesse des recettes publicitaires)
    Bonne journée malgré tout 🙂

    Chaque matin ton pas m’éveille…
    Suis-je née vraiment de ce regard
    Que tu empruntes aux arbres
    Leur lumière est immense ,
    De ces mots qui dévorent
    La part d’un jour
    Encore inexplorée
    Et m’entrainent vers le souffle
    D’une douleur passagère
    Dois-je craindre
    Sous la plainte de la terre
    Cette syllabe de diamant
    Ou accorder mon pas
    A l’ébauche d’une poésie
    En miettes – Forge subtile…
    Ne dit –on pas que les sources
    Rêvent de la présence des pierres
    Mais sait-on que les nuits se perdraient
    Pour cette lune éternelle
    Comme parole muette de l’océan
    Depuis des siècles au moins
    -Simplement la trace d’une larme
    Au goût de menthe-
    Chaque matin je veux abandonner
    L’éternité à l’oreille de l’aube
    Pour simplement entendre craquer les heures
    Le prochain départ de l’oiseau
    Mais il y a cette voix qui m’appelle
    Au creux du monde où je demeure
    Un fragment de rivière
    Bordée d’une rive tremblante
    Que tu accordes sous la pointe
    D’un ciel somptueux..
    Et je glisse entre les lignes bleues
    Dans ce jardin désert
    Quelques traces de couleur
    Mais je fuis…

  43. Et j’ envoie à nouveau un poème écrit précédemment et qui évoluera probablement .
    Pour que nos PAS ne se perdent PAS …

    Pas comme sa …

    Pas comme salire
    Mais lire des livres qui délivrent
    Et entraînent des délires
    Lyres pour pâlir de plaisir

    Pas comme savoir
    Mais Voir pour pou-voir percevoir
    Regarder sans chercher le pouvoir

    Pas comme sagard
    Mais attendre sur le quai d’une gare
    Le regard hagard

    Pas comme sacré
    Mais créer pour comprendre et s’éprendre
    Dans l’oubli et ses méandres

    Pas comme s’aérer
    Mais errer
    Dans le vent des sables de l’été

    Pas comme satin
    Mais son teint cuivré
    Et l’odeur de l’été

    Pas comme sablé
    Mais le blé des champs
    Colorés des peintures de Vincent

    Pas comme savon
    Mais les vagues vont et viennent
    Et reviennent

    Pas comme salami
    Mais l’ami mis
    Au banc de l’oubli

    Pas comme sabot
    Mais beau comme un oiseau
    Au bord d’un ruisseau

    Pas comme s’asseoir
    Mais passe le soir
    Et s’attendre dans le noir
    Et croire en l’espoir.

  44. BRAVO OSSIANE ! Une bataille gagnée contre le Monde avec tous ces soutiens !
    Ah ! cette société capitaliste…

    Pas-sons à ta belle note, AMichel, superbe ton poème !
    Catherine, quelle joie de te lire et de te retrouver ! je ne t’oublie pas, sache le ! Bisous.

    Pas à pas,
    J’ai franchi les étapes,
    Sauf aujourd’hui où la barrière semble infrachissable,
    Seul,
    Un immense besoin de tendresse, d’amour,
    Rencontrer une femme,
    Mon seul désir et un espoir !

    Bourrache coucou !
    Je vous embrasse,
    à bientôt,
    OLIVIER

    Sincèrement Ossiane très heureux que vous ayez gagné cette bataille !

  45. > Nath : oui nous sommes pris en otage… A la radio par exemple il ne reste que FIP et Culture , encore exempts de toute plage de pub..mais pour combien de temps encore !

    > Ossiane : je t’ai envoyé un mot.

  46. Ossiane je me suis trompé en mettant mon texte
    sur spontanéité tu pourra le retiré je le dépose sur la bonne

    belle journée a tous

    Transparence

    Emprunte fugitive
    Comme chaque pas de la vie
    Existence furtive

    Apparence

    Façon du hasard
    Triste dépouille du temps
    L’âme dépourvue de fard

    Insistance

    Des mots d’ivoire
    Fossile de la pensée
    Délivre un espoir

    alliance

    Rencontre de récif
    Brève Fusion cannibale
    Cette chair à vif

    Délivrance

    Explosion nucléique
    Inéluctable néant
    Un acte héroïque

    Errance

    Peur de la Transparence
    Livré aux Apparences
    éternelle Insistance
    impossible Alliance
    improbable Délivrance

  47. Nous parlons souvent de l’oiseau.

    Pour ses ailes … son espace … sa liberté … son nid de mousse ou de brindilles … lové dans la haie, au creux de l’arbre.

    Le rêve…

    Le rouge-gorge, farouche ou familier … solitaire … se bat parfois à mort avec un congénère pour conserver « son » territoire.
    L’épervier fond sur le moineau, la mésange.
    Quant à l’aigle …

    Même le rêve n’est pas parfait…

  48. Dis, Marc … si on arrêtait ?

    Dans ces temps d’espoir, d’allégresse (mais de vigilance) gagnés sur la pub’ … on va donner la flemme à tout un bataillon

    Clin d’oeil et sourire.

  49. ___

    Chronique d’un demi-jeudi.

    C’est décidé.

    Moi aussi, j’éteins la radio. Pas à cause des pubs’ … mais de la météo.

    Infos de 13 h 00 :

    30l d’eau/m² … chaussées déjà inondées … prudence … les vents vont encore se renforcer … les petits rus qui font les grandes rivières risquent, l’un comme l’autre, de déborder …

    Bon, je vais laisser mon indéfectible sans laisse à ses rêves, bien au chaud, à l’intérieur et demander à Marius d’aller me promener.

    Il va nager en plein bonheur parmi ces grandes eaux.

    Ah, celui-là, je ne sais pas si je vous l’ai déjà présenté ?

    Marius, c’est mon poisson rouge.
    ___

    Dites, y’a pas quelqu’un qui pourrait me dire quand je vais pouvoir aussi relever mon store et apercevoir … un brin de soleil ???
    ___

  50. Christineeeeeee, très belles photos du désert martien…mais faudrait pas, comme pour l’ascension de l’Everest…qu’on y laisse nos détritus… (comme un petit bouclier thermique, par ex.)…avant de repartir ! Prière de laisser l’endroit aussi propre que vous l’avez trouvé, svp.

  51. Bourrache,
    bon demi-jeudi…en compagnie de Marius ! au fait, il a l’accent marseillais ton poisson rouge ?

  52. >sven: justement la pollution planétaire, bactériologique ou pas on veut éviter et il y a une stérilisation des équipements qui partent, de là à ne laisser aucun déchets ça non et d’abord il y a du plutonium 238 dans les générateurs radioisotopiques qui fournissent de la chaleur et de l’électricité parce que à moins 100°C pas facile de faire fonctionner des batteries chimiques. Je ne me lance pas c’est mon job mais ça ne passionne pas forcément tout le monde.

  53. Merci pour l’explication technique Thierry, il est certain que la préservation de l’environnement, terrestre et extra-terrestre de toute pollution est une constante à intégrer à toute tentative d’exploration ou … »d’exploitation »… d’autres planètes.

  54. Christineeee :
    (j’sais pas si le nombre de « e » …?)
    J’ai cliqué sur ton lien … ça me rappelle une autre photo … sauf la trace des pneus qui est différente … (cfr « Les Experts » – 3 épisodes – mercredi soir).

    Thierry :
    s’enfermer dans une boîte d’allumettes pendant des années pour atteindre Mars … et ne même pas pouvoir y déposer ses détritus !!!
    J’trouve ça du temps perdu…

    Sven :
    j’ai pas l’oreille musicale … les bulles de Marius … Marseille ?
    Sais pas … vais me pencher sur cette question fondamentale.
    Sur ce, si t’allais verser un petit sou dans la cagnotte d’Olivier ?
    Il veut voir la Russie … mais j’crois pas que ce soit pour les paysages.

    Ossiane :
    « le chat parti, les souris dansent »
    mais parfois, ça leur fait du bien …
    ça change de la pub’ …

    Bon, mon bulletin météo est pitoyable…

    mais j’vous dis pas … ma note comportement sur mon bulletin de fin de semaine … c’est foutu !

  55. Salade :

    au prix où est « l’essence » … je cherche plus … je marche … je regarde où je mets les pieds … j’en arrive à oublier les étoiles …

    … et aussi l’orange-bleue …

  56. Zut, Salade, jai oublié de signer …

    Tintin et ses 170 jours et une chique … en quête d’un gouvernement …

  57. Quelques pas de danse
    sur la piste aux étoiles
    les yeux enlacés
    les corps s’élancent

    les mains aux aguets
    tournoyer, enrouler
    sillon de bonheur
    a l’unisson des cœurs

    l’homme guide la femme
    et allume cette flamme
    unique de la sensualité
    comme un rêve éveillé

    sur des notes de musique
    instant tellement atypique.
    ou le temps guident les pas
    les pas suive le temps.

    je suis le voile de ta robe, voltigeant
    je suis tes mains lsu douces , glissant
    je suis l’océan de tes yeux, voguant
    je suis tes cheveux libéré, volant.

  58. Le 2007-10-21 11:32:55
    Hotline ouvre le ticket :
    Titre : publicité
    peut-on faire disparaitre le lien publicitaire suivant :
    « Lien publicitaire Abonnement adsl: les bons plans d’Ask
    Toute l’info utile, tous les sites spécialisés et même les blogs sont recensés par Ask.com. Trouvez l’offre ADSL qu’il vous faut!fr.ask.com »
    merci.

    Le 2007-10-24 18:07:40
    Hotline écrit
    Bonjour,
    les publicités situées en haut du blog sont générées de manière aléatoire ; il n’est pas possible de les modifier ou de les supprimer.
    Cordialement,
    L’équipe du Monde.fr
    http://faq.blog.lemonde.fr

    Le 2007-10-26 17:05:53
    Hotline écrit
    pas de blog sans PUB ? c’est triste.
    Le 2007-10-27 18:31:13
    Hotline écrit
    si il y a de la pub je dois toucher un dividende ?

    Le 2007-11-29 17:56:22
    Hotline écrit
    Bonjour,
    ce n’est malheureusement pas le cas.
    Cordialement,
    L’équipe du Monde.fr

  59. heu? salade, bourrache, cela me semble bien agité tout cela.. on remue unpeu et splitch, des pépites de bulles de rires.. je vous embrasse.

  60. Trakass pas, Annick …

    On se parlait entre Belges …

    c’est un langage particulier … à la limite du surréalisme …

  61. je m’attendais pas à celle là, Bourrache,
    je glutinais le poème de Ronsard chez Olivier, et regardais encore la page d’Ossiane, puis lisais les difficultés financières du Monde..

    et youpsss, en bas de page,
    je me suis pouffée si fort, le mur est pouffant de moi…
    D ailleurs je me glousse encore. bises Bourrache, pourtant la belgique est pas loin de chez moi, je vous relirai à tête plus calme, je suis en pétards de bon aujourd’hui, je cours, je marche, je danse, je chante, inatteignable.. enfin presque!!!! bises.

  62. Sans pessimisme aucun.
    Les Chinois sont réalistes.
    Voyons venir en vigie
    Au port.

    « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » (lavoisier)
    La pub comme le reste.

  63. Triste je suis toujours
    Quand sur la plage se dessinent les traces de pneus
    Petits coquillages , crustacés et petits organismes
    Disparaissent ainsi…..

  64. Triste je suis
    Quand je vois les traces que dessinent les pneus sur le sable
    L’écosystème souffre
    Et multes petits organismes et crustacés disparaissent.

  65. ___

    Quand mes arbres
    Penchés puis étêtés
    Par la tempête
    Déposent sur le sol
    Leurs dernières feuilles
    Dans mon jardin ravagé

    Je ne pense plus
    Je ne pense pas
    A des écrits vaincus

    Juste au printemps
    Prochain…
    ___

  66. bourrache

    la nature s’endort
    bercé par le vent du nord
    qui ne sens pas sa force
    et laisse ses enfants
    passé par dessus bord.
    morigéner par le printemps
    qui, de loin surveille sa marmaille.

  67. un jours j’ai oser
    le premier pas
    et aujourd’hui mes mots se déposent
    pas après pas
    sur les pages impalpables
    se mélant aux autres mots
    répondant
    glanant
    imitant
    sans jamais se moquer
    sans vouloir choquer
    par plaisir de ces style de ces mots
    que l’on a aimés.
    des mots qui laissent des traces
    de ces chemins empruntés
    de ces erreurs d’écritures
    des mots que l’on ne peux effacer
    inscrit pour un temps que nul ne connait
    pas après pas
    chaque jours.
    continurais je a pouvoir poser mes mots?
    à trouver va route ?
    j’avance pas à pas
    vers l’inconu
    les yeux rivés sur le monde
    les yeux rivés vers l’intérieur
    a l’écoute des coeurs
    dans le silence de mon âme

  68. Désolée, très peu de temps de disponible en ce moment, j’arrive bien tard et je dois aller vite… Tout juste le temps de faire mon travail, de préparer une note et de gérer ce mouvvement qui je l’espère ne va pas s‘éterniser. Quelle vie, j’ai besoin de souffler;-)

    >Annick :
    Merci pour ton bel envol de mots amoureux ; cette trace t’inspire 😉 Bises

    >Monique :
    Tu te mets à voir des lettres comme moi, Monique 😉 Merci !

    >Feu roméo :
    J’ai remarqué que tu aimes bien les histoires de félons et de cap et d’épée. Je suis sûre que tu es un passionné d’histoire ancienne 😉 Bises.

    >Thierry :
    Je reconnais ton style à 1000 mètres avec ces jongleries de sonorités et de sens 😉 Merci à toi.

    >Sven :
    Désolée, je ne vois pas le problème pour tes difficultés à faire passer tes écrits.
    Ta petite Candice a déjà beaucoup de talent et de sensations à faire passer 😉 Félicite-la et embrasse-la de ma part. On sent que tu la connais bien 😉 Bonne nuit.

    >Bourrache :
    Il était bon ton troisième café ? J’aime bien ton premier poème tout simple.
    Cette météo te met complètement le moral à zéro, pauvre Bourrache 😉 Malheureusement, je n’ai rien de plus réjouissant à t’envoyer pour l’instant.
    Les pneus, oui je sais, vous êtes plusieurs à me l’avoir dit 😉 Je ne me suis pas concentrée à là-dessus mais sur l’arabesque poudreuse 😉 Je vais être indulgente, je ne bouge pas ta note pour l’instant 😉 Bonne fin de soirée à toi, Marius et Cortex.

    >Salade :
    Non pas de jerrican ;-)) Rien que moi sur cette plage 😉

    >Nath :
    Je suis d’accord avec toi et je n’arrive pas à m’y habituer. Merci pour tes réfexions toujours profondes sur le sens de notre existence. J’aime beaucoup ta dernière phrase.
    En tout cas cette recherche de sens, tu la fais bien passer dans ton poème toujours très écrit et pensé. Je te sens en meilleure forme, tu sembles retrouver l’inspiration. Merci pour la beauté de tes mots. Bises.

    >Alix :
    J’ai mis ton article sur la page principale.
    Toujours difficile de commenter tes poèmes tant ils sont éthérés, abstraits, proche de la nature et des éléments. Beaucoup de souffle dans tes mots. Bravo !

    >Olivier :
    Oui, Olivier, c’est un premier pas mais ce n’est pas fini. Pas facile de parler du Monde car il subit lui aussi la crise de la presse qui est attaquée de toutes parts par la presse gratuite, internet, la crise de la lecture etc… etc… Je sais que je ne vais pas quitter Le Monde, j’ai envie qu’on trouve de bonnes solutions et qu’il s’en sorte pour garder son indépendance éditoriale car ce n’est pas mieux sur les autres sites de presse. Chez Libé, c’est encore pire, ils sont soutenus par un énorme groupe financier.
    Je souhaite que ton plus cher désir se réalise Olivier. Je t’embrasse chaleureusement.

    >Marc :
    Tu m’impressionnes Marc ; tu as une belle palette de thèmes et voilà que tu t’aventures à jouer sur la forme pour le premier poème. Une belle errance pas à pas tout comme ton dernier poème et beaucoup de sensualité dans ton deuxième. Bravo à toi.

    > Christineeeeeee :
    Merci de nous offrir ce voyage martien poétique, on s’y croirait 😉 C’est très impressionnant. Comme une mer de sable soulevé par le vent. Bonne fn de soirée à toi.

    >L’oeil vagabond :
    Bonsoir Chris, merci de déposer ton beau poème dès ton retour de voyage. Bises solidaires.

    >Sylvie :
    Bonsoir Sylvie, j’aime bien cette comparaison avec une feuille de sable. Merci à toi.

    >Jean :
    Merci d’être passé et de te joindre au mouvement anti-pub. Bien sûr pas terribles les réponses 😉 Oublie ces réponses de langue de bois ; elles ne sont plus d’actualité pour l’instant 😉 Amitiés vers toi.

    >Pierre :
    J’attends de voir venir, Pierre et je garde toujours espoir 😉 Bises.

    >MTO :
    Aie ! les traces de pneus font un effet bœuf chez une femme comme toi 😉 Je t’approuve, pas de véhicule sur les plages et dans les dunes mais les tracteurs qui vont chercher les huitres ou qui servent à mettre les bateaux à la mer, il en faut bien, non 😉 Je me demande si la pêche à pied lors des grandes marées ne fait pas autant de dégâts. Bises du soir.

  69. Et le matin, très tôt, les chevaux au galop sur la plage de Cabourg, au lever du soleil, c’est si beau que cela vaut quelques éraflures sur le sables, si vite effacées par la marée montante, j’en ai un merveilleux souvenir, beaucoup de romantisme dans ce spectacle matinal.

    Bonsoir , bonne nuit Ossiane, il te faudrait un peu lacher la pression, tu en aurais besoin mais il y a des impératifs malheureusement. Bises

  70. Dans ces lignes refendues, pas de trève
    dans ces sentiers perdus sur la gréve
    pas un chemin trop rude dans la glébe
    même pas à l’horizon un seul éphébe

    >Ossiane: oui tu as raison, els joglars, les bateleurs
    ne s’extradent pas mais sur l’estrade il font quelques petits
    tours …et puis sans vont. Pour ce jour plein qui s’annonce
    je te tire ma révérence, et je me tire en douce ; bonne humeur
    persistante et engagement forcené une belle journée s’annonce.

  71. >Monique:
    Amusant que tu parle de Cabourg car cette photo a été prise pas très loin;-) Le week-end va me faire du bien; je vais pouvoir faire une petite pause.

    >Thierry:
    Bonne journée à toi.

  72. bel week, Ossiane.
    Je t’embrasse,
    comment te remercier de pouvoir déclencher mes mots avec tes superbes pages d’album que je pose chaque jour sur mes genoux….juste en écrivant encore modestement je suis..

  73. sully si aimé
    je t’aimerai toujours
    je ne ferai pas de rime
    pas de mots alambiqués
    juste ce flux jaillissant de mon coeur
    pour te dire sans que tu l’entendes
    que je serais toujours tienne
    je t’ai connu à l’aube de ma vie
    je n’ai plus vu que toi j’ai été éblouie
    j’ai tant esperé soupiré pleuré
    aprés d’hypothétiques retrouvailles
    j’ai supplié ,prié tu as cédé,souffert
    11 ans aprés on en est toujours là
    ce qui change c’est que toi tu n’es plus là
    pour écouter mon chant d’amour
    tu ne veux meme plus l’entendre
    c’est fait la distance a eu raison de nous
    va ange adoré,fais un autre choix
    un autre reflet de toi , je redeviendrais moi

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