Lecture du Haïku Calligramme: gauche, diagonale, droite
Courbure d’un rêve
la diagonale des jours
éclaboussures
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: gauche, diagonale, droite
Courbure d’un rêve
la diagonale des jours
éclaboussures
Sans cesse
Et la fuite du jour et le soleil levant
L’empreinte s’est faite ombre, la lumière rasante
Blessures cicatrices
Des destins qui se croisent, des vies se superposent
Et des couleurs de rêves, un monde en noir et blanc
Ecoute
Tout près de l’aube oblique
Le froissement de l’eau
La marée d’Océan
Entend
La vague fraîche
Effacement soyeux, les volants de sa robe
Renouveau de l’écume
Tu pourras sur la grève écrire tes poèmes
> Bonjour Ossiane, avant de finir l’article que j’avais commencé sur le sujet, je m’associe sans réserve à votre réaction et à celle des autres blogueurs. Je réagis de même sur la publicité invasive qui apparait maintenant dans la bannière du haut des pages de nos blogs. Le fait qu’en plus elle soit contextuelle accroit son caractère inconvenant. Faudra-t-il utiliser notre arme fatale, le désabonnement ? Amicalement.
>Bonjour matinal, Ossiane, as usual: je suis aussi un très vieux lecteur du monde et je vais me fendre d’une lettre au médiateur ce qui ne sera que justice parce que la publillusion qui pollue notre espace sacré ça énerve, ça remonte et vraiment ça commence à déborder et à faire déborder notre patience. Nous sommes entrés en résistance contre toutes ces formes d’agressions non souhaitées et ce côté invasif, envahissant quoi, à de tout temps provoqué des réactions légitimes d’auto défense. Bonne et belle journée Ossiane et que le sable fin décidément coule bien entre tes doigts.
>Bernard: c’est si agréable de trouver une belle note comme la tienne ce matin, c’est revigorant à souhait , ça donne du tonus, bravo.
Une marque sombre, brouillée, m’attire
pas un appat ni même un piége
juste un fouillis inextricable de pas
jamais je ne tenterai de remonter leurs traces
non pas qu’éphémères mais innombrables
la multiplicité m’évoque à foison
les poils sans nombre d’une toison
les compterai je que ce serai
alors la pamoison
Les pas ne nous guident pas
mais dans cette ornage haie…de pas
je retrouve la cadence et la danse
l’assemblage et la concordance
je me perd mais suis je seul
pas à pas j’avance
pas en ligne droite
pas en crabe non plus
je distance et sautille
je distille et boitille
mais graduellement
progressivement
l’un après l’autre
parfois de côté
pour regarder
la trace en léger
différé je chemine
les jalons et les marques
simples témoins
pour les parques
du passage
emprunté
du couloir
dégagé
Liignes…
Lignes tracées
rectilignes
sur le sable
dans la diagonale
des jours
en une infinité
de rives…
Lignes poudreuses
à la courbure du rêve
qui se rejoignent
en seul geste
puis s’en vont
vagabonder
dans les artères
d’impossibles villes
lignes méandres
dans nos têtes
découpent
nos pensées
et nos rêves
en une infinité
de rives…
La lumière…
j’ai marché près de toi
sur le sable du désert
là où le soleil creuse les rides
et rend la peau si brune
J’entends
quand je ferme les yeux
chaque battement de tes pas
dans le sillon des jours
j’entends le vent
qui souffle toujours
et se cogne
à chaque coin du monde
Je sais
le soleil est cruel
les nuages inondent
et le sable s’infiltre
partout et toujours
Mais la lumière
même si tu ne la vois pas
même si tu ne le sais pas
lentement
s’accroche à tes pas
toujours…
Pas à pas sur la neige
Des hiéroglyphes
Ecriture de rêve
ben justement, sur ma plateforme gratuite, avec ses défauts, il n’y a pas de publicité, sauf si je le désire contre une petite rétribution.
Mes pas dans les pas qui ont laissé leurs traces,
mes yeux perdus vers l’avant
où plus rien n’apparait,
là très loin, cet ailleurs vers lequel ont filé
les roues,
leur sillage en blessure noire,
et la frange soulevée,
arriverais-je ?
Il fait si lourd
dans mes poèmes
j’essaie pourtant
pas à pas…
de résister
à la pensée pâle
qui de la joie détourne
au temps qui disperse
à l’abandon qui s’insinue
dans les moindres fissures
pas à pas…
j’essaie pourtant
boussole détraquée
de faire renaître
ce chemin rouge
qui circule
dans nos veines
pas à pas…
je ne renonce pas
malgré les dédales
des retours sur soi
les paroles sèches
le temps qui presse
à trouver le chemin
qui ne divise pas…
Pas un souffle
ni brise
ni tempête
pas un regard
ni braise
ni reddition
pas un geste
ni recel
ni emphase
n’effaceront
l’empreinte
posée …là
Cette photo vous est offerte par Michelin ! Michelin, un pneu qu’il est bien ! :-)))
fusion charnelle des matières
du corps et de la terre
de la pensée et de l’air
recherche de plénitude
ou rêve de solitude
sous le regard de Matuta.
Vies croisées, sourires échangés
des pas de nomades du passé
Dans ce désert éphémère.
Coucou, Ossiane
Beau contraste entre ta photo en noir et blanc et ton haïku calligramme en couleur pastel.
Empreintes de pas
Fugaces dans le désert
Itinérances
Rêve étoilé
Des paillettes essaimées
Tracé lumineux
Défilent mes pas
La rêverie me grise
Esquisse du temps
Du sable aux yeux
un beau rêve en miette
larme de rosée
Du doux rêve
De notre fusion
Ni concrétisation
Ni aboutissement
Reste la beauté
De nos mots
Reste la grandeur
De notre attachement
Reste la fougue
De notre désir
Reste les traces
De nos pas
Sans cœur et
Sans merci
Ils tentent d’effacer
Nos empreintes…
Posées là
Rêve éclaté
Ricochets sur le sable
L’écume des jours
Bourrache je veux un conte et de belles histoires
pardon je voudrais…
beau bac à fable aujourd’hui…
Des traces de pas
Sur la grève
Des esquisses de joie
De nos rêves
De nos émois d’autrefois
Qui s’achèvent
De nos ébats en écume
Qui déferlent
Nos chemins ont divagué
Nos empreintes se sont effacées
Nos rêves ont dévoyé
Il ne reste plus sur la grève
Qu’un parchemin de nos rêves
Des étoiles de mer rutilantes
Que la marée souveraine
A, en ultimes je t’aime, déposées
Comme éclats de nos rêves
A jamais éclaboussés
Dommage, Marc, ce ne sera pas pour aujourd’hui.
Cette photo ne me fait pas penser à de jolis mots.
L’homme s’atrophie. Il oublie qu’il a deux pieds pour marcher, se ballader, errer. Il assied son derrière sur un moyen de locomotion et se permet d’aller bousiller les traces de ceux qui aiment encore sentir le sable sous leurs pas.
Et puis je pense aux motos, aux quads qui font trembler ma belle forêt et s’envoler mes oiseaux.
Et puis j’écume de … rage en pensant à cet affreux oiseau blanc nommé A380. Que de milliards engloutis. Et puis il va avoir très soif pour aller polluer nos nuages. Et si je ne me trompe, l’est fabriqué en pièces détachées et que pour le rallier d’une usine à l’autre, l’a fallu élargir des routes et crevé quelques villages…
Bon, j’arrête là.
Je vais de ce pas, ma loque à poussières dans une main et la serpillière dans l’autre faire … enfin, vous savez bien.
Que votre chemin soit doux en cet aujourd’hui.
Sven, tu bégaies.
C’est mon ordi qui déco..lle où c’est le monde.fr qui est pas content qu’on rouspète ?
Je suis devant une page un peu bizarre.
Bourrache, je viens de poster en effet par deux fois un petit poème de M. Haddadi qui ne s’inscrit pas à l’écran… mystère de l’informatique…mur du silence difficile à franchir…patience.
…t’as peut-être raison…il y a peut-être un « grain de poussière » sur cette
… »page un peu bizzare »…
Bonjour à tous
Bonbonze tu es remarquable, j’ai éclaté de rire toute seule, j’ai beaucoup d’admiration pour ton humour, il me rappelle tant celui de mon père, souvenir dans la joie et la bonne humeur.
__
Comme une souillure
Sur le sable immaculé
C’est le grand pas sage !
___
Je te redis bon courage Annick, et me sens bien impuissante pour te filer un petit coup de main. je t’embrasse.
Il suffit de faire un pas
pour se cogner le coeur
Il suffit de faire un pas
pour se briser l’aile
Il suffit d’ouvrir les yeux
pour voir qu’on nous marchande
Il suffit d’ouvrir les yeux
pour nous voir quémander
Il suffit d’ouvrir les yeux
pour voir à l’agonie
tous ceux qui voudraient vivre…
Mohamed HADDADI
leur passage a laissé
une marque grise s’élançant,
par delà l’irisation,
en longue courbe tendue,
qui s’amenuise et s’assombrit,
à l’assaut de l’ailleurs.
Arrêtée sur son bord,
j’hésite
Le Monde fait semblant d’entendre les récriminations de ses blogueurs conte la pub, mais tu as toujours actuellement, Ossiane, une pub pour « JePoeme.com », en alternance avec « AdWords.google.fr » !…
C’est contextuellement pas mal trouvé, mais c’est pas encore gagné !
Merci pour cette lutte anti-pub.
A 16 h 23 sur Firefox la publicité a déserté l’écran d’Ossiane, restons vigilants et gardons « l’Oeil Ouvert ».
La lutte et la solidarité paient sur les blogs, mais avant de crier victoire attendons la suite des évènements, je crains que le vers ne soit dans le fruit.
(vieil adage des jardins).
F
*Pas
La peine
de forcer l’allure
**Le pas
Décide
son jour
***Le pas à pas
Avance
bien assez vite
A propos du Monde.fr et de ses pubs contextuelles… Belle action, Ossiane… pour une bucolique 🙂
Plus de pub sur « l’oeil ouvert »
Bravo et Merci.
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>>>>Bonjour à tous,
6 ème jour de contestation et un premier pas a été franchi de la part du Monde. Les liens publicitaires en haut de nos pages de blogs viennent tout juste de disparaître.
Cependant, le mouvement continue. J’ai pour ma part écrit au responsable de la plateforme du Monde pour demander des éclaircissements sur leurs projets futurs concernant nos blogs.
N’hésitez pas à me faire parvenir les nouvelles sur les nouveaux blogs en mouvement, les initaitives ou articles consacrés au sujet pour que je les mette en ligne.
Je pense aussi aux poètes de ce blog qui sont sans doute un peu perturbés par ce tohu bohu qui me monopolise aussi. Je m’en excuse auprès d’eux et leur demande un peu de patience. J’espère que tout va rentrer dans l’ordre au plus vite.
Bien à vous tous
Ossiane
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>Bernard :
Ton poème est somptueux. Tu évoques à la fois les cicatrices de la vie et la vague fraîche qui va laver toutes les blessures. C’est très beau et bien écrit. Merci, bel après-midi.
>Philippe :
Bonjour Philippe, merci de nous rejoindre dans ce mouvement avec ton article que j’ai signalé. Quelle arme utiliser… selon moi, le dialogue dans un premier temps pour faire valoir nos arguments de poids qui n’avaient peut-être pas été perçus par l’Equipe du Monde. Certains blogueurs sont déjà partis avant d’avoir une réponse, c’est vrai.
Pour ma part, j’ai envie de faire bouger les choses de l’intérieur en continuant le mouvement jusqu’à ce qu’on obtienne des réponses, des propositions. Je crois que c’est possible. Je pense que c’est à chacun de décider de sa conduite à tenir. Bien à toi.
>Sven :
Tu es tout à fait à ton aise avec ce genre de photos poudreuse 😉 Tes poèmes sont splendides, ethérés, émouvants. Tu nous emmènes en poésie sur de belles rives et lignes pour mieux nous perdre et nous retrouver. Bises vers toi.
>Pierre :
On en revient à l’écriture, aux mots et aux lettres pour ma part mais chuuut 😉
Tu as déposés de très beaux haïkus voyageurs à rêver. Merci Pierre, je t’embrasse.
>Thierry :
Merci de t’associer au mouvement, je vais rajouter ton nom.
Tu as choisi de t’aventurer dans ces traces de pas plutôt que dans la traînée sableuse. Des allées et venues, des destins qui se croisent, indifférence et solitude, c’est hélas le risque de la foule et des jungles urbaines. Merci pour ta belle évocation.
>brigetoun :
Tu as de la chance 😉 Je ne suis pas contre payer un peu plus pour ne pas avoir de pub du tout.
Tes ressentis sont toujours très justes et très beaux. J’ai remarqué que tu as abandonné les haïkus 😉 Bises.
>feu roméo :
Empreinte gravée à jamais dans le sable et dans les souvenirs peut-être. Je te sens très sûr de toi dans ton beau poème 😉 Bises.
>bonbonze :
Je vais finir par te mettre au piquet, Bonbonze ;-))
>Marc :
Je sens à travers tes mots que tu cherches à t’évader de la réalité brute pour aller rencontrer les sensations diffuses et les éléments. C’est bien parti et ce n’est pas si facile à faire.
>Coucou Claudie :
Oui, j’ai préféré m’évader en couleur de la réalité car la photo est presque une peinture abstraite. J’aurais eu du mal à aller plus loin.
Tu es très bonne aussi pour t’immerger dans des univers imaginaires. Tes mots sont souvent émerveillés devant la beauté du monde et la beauté humaine. Ca fait du bien au moral. Merci pour la beauté de tes évocations. Bises.
>Nigra :
Beau aussi Nigra, mots simples, fraîcheur, silence, fluidité, émotion, j’aime beaucoup. Merci !
>Bourrache :
Désolée Bourrache que ton moral ne remonte pas 😉 Evade-toi des mauvais côtés de la réalité pour te projeter dans une autre dimension. Pense à la forme dessinée ou l’effet de matière par exemple et oublie les pneus 😉
>Monique :
Héhé, tu te lance dns les jeux de mots, Monique 😉 Merci à toi.
>François :
Hello Ami François, je crois que la première partie est gagnée !!!
Sous mon Explorer, la bannière publicitaire a disparu ! Il ne faut jamais désespérer ; rien n’est impossible
Maintenant, on entre dans la phase 2 avec l’attente d’une nouvelle réponse du responsable de la plateforme du Monde. J’espère que ce fichu ver ne va pas nous dévorer. Amitié solidaire et chaleureuse vers toi.
>Annick :
Tu fais de petits pas Annick comme si tu n’osais pas ajouter les tiens à ceux des autres. J’espère que ça va bien. Bises.
>Cowboy :
Bucolique certes mais toujours rebelle au formatage des idées;-) Ce premier pas semble abouti. Il est l’œuvre de tous ceux qui se sont engagés dans ce mouvement. Restons en contact 😉 Il faut maintenant avoir des propositions sur ce que Le Monde compte faire avec nos blogs. Patience, on attend des réponses.
Belle images pour évoquer l’éphémère, si vain, si beau pourtant. Ce qui nous apparaît, nous traverse parfois et souvent gagne l’oubli. Ecrits de sable, pas mêlés, traces perdues…
2 ans déjà!!
En avant
———-
Que le ciel exauce tes souhaits
Libre d’aller où ça te plait
Chante si tu as le cœur gai
Bonhomme
Rois chevaliers bourgeois ou gueux
Chacun sa route chacun son monde
Aux uns le pire aux autres le mieux
La vie la mort conduisent la ronde
Tous les chemins mènent à Rome
Mais qui dit qu’il y faut aller
Ta route tu la peux trouver
Sans la chercher en somme
A droite à gauche au sud au nord
Comment choisir où s’engager
Faut-il jouer sa vie aux dés ?
Va de l’avant et sans remord
Au calvaire suis ton chemin
Au compas de ton désir ardant
N’aie point souci du lendemain
Cueille les fleurs de l’instant
Au clair de terre ou sous la lune
Tu pourras dire tout ton amour
A la dame blonde ou brune
Pour qui tu t’ais fait troubadour
Rien de nouveau sous le soleil
A ce qu’on dit sans trop y croire
Tant l’univers est sans pareil
Et ses splendeurs pleines de gloire
Partir rester au fond qu’importe
C’est à toi de le décider
Et si le monde frappe à ta porte
Invite le de bon cœur à rentrer
Que le ciel exauce tes souhaits
Libre d’aller où ça te plait
Chante si tu as le cœur gai
Bonhomme
(Mardi 6 décembre 2005)
Et bien bravo, bravo,
Comme quoi nos récriminations laissent des traces sur la plage que nous empruntons… A voir maintenant si avec le passage des marées elles demeureront ou ne serons plus que des souvenirs…
J’aime beaucoup tes photos de plages:)
Bravo aussi pour cette approche que tu as du monde!
N’hésite pas
Avance va pas à pas
Sans peur de la vie au trépas
Le temps perdu ne se retrouve pas
Le bonheur est dans ton cœur ne cours pas
Les oiseaux du ciel de demain ne se soucient pas
Au rythme des saisons accorde bien ton pas
Chacune a ses plaisirs ne l’oublie pas
De l’impatience craint les faux-pas
D’aimer ne te lasse pas
Ne t’arrête pas
>Jean-Luc :
Désolée, je t’ai retrouvé dans mes spams 😉 Merci d’être toujours à nos côtés, il ne faut pas abandonner.
>Fugitive :
Comme c’est bien exprimé ! Cetet éphémérité a parfois plus de valeur que ce qui reste à jamais. En tous cas, c’est moins émouvant. Bises à toi et merci.
>amichel :
Deux ans déjà ? … que tu as écrit ce poème sur L’Oeil Ouvert ! Hé oui Michel, ça fait si longtemps que tu écris à mes côtés. Tu as bien fait de le remettre car il est beau. Je me souviens bien de cette autre série sur le sable dans une toute autre atmosphère. J’aime revenir sur ce thème. Quant à ton pas à pas, il ressemble à la pointe d’une flèche et qui dit flèche dit Amour et qui dit Amour dit « A » Avais-tu remarqué le A de mon calligramme ;-)) Merci pour ta belle écriture.
>Chagrin :
Bonsoir, j’ai signalé l’adresse de ton nouveau blog avec ce renvoi vers mon blog. Merci à toi et belle aventure là où tu es 😉
>Alain du Mexique:
Je te l’avais bien dit qu’on pouvait se rebeller en dialoguant dans un premier temps;-) Un bel élan de la part de tous ! Mais tout n’est pas gagné, il reste de grosses inconnues. On reste vigilants et mobilisés. Merci pour tes impressions, contente de te retrouver à mes côtés. La bise vers le Mexique !
Tracés mais pas au cordeau
enroulés comme des cerceaux
entrelacés comme des cerneaux
une griffure pas une rature
une impression pas dégonflée
un motif en extension
y a de la pression
amichel, c’est … superbe.
Le Monde courbe l’échine
Pour mieux se faire battre
La tempête passée
Il se redressera
Tactique chinoise.
pas après pas
sur le chemin de la vie
sinueux ou droit
en avant ou en arrière
ou bien encore à reculons,
Le cœur et les yeux fermés.
et dissimulé derrière tes peurs
Pour ne pas faire d’erreur.
Le trépas est devant toi.
Quelque soit ta direction.
alors avance pas à pas !
tu peux suivre des chemins
que d’autres ont balisés
l’important est de voir
ce que d’autres n’ont pas vu
Et d’observer avec son propre coeur.
ou encore pas après pas
explorer défricher d’autres chemins
et peux d’être de rester incompris.
on peux se perdre , rebrousser chemin
bifurquer, pourquoi pas renoncer à un chemin.
l’important est de ne pas se perdre
Au milieu de sa solitude.
bien contente pour vous -bravo
c’est beau amichel et marc..
juste de la fatigue, Ossiane, merci de me secouer, car écrire m’envole, un mois si lourd trop terre à terre obligée incontournable…
alors, je regarde la photo, le calligramme, son A et m’envole, merci à toi!
Des chemins se sont croisés
Des pas se sont serrés
Et si tendrement la douceur
S’enveloppe d’infinie chaleur
Le souffle doux du vent
Emporte dans ses beaux chants
Le joli A d’Amour
Celui qui vit son jour
Lui donne tout son parfum
D’une si belle faim
En soif de se faire du bien
En achetant le rien
L’Amour se donne Amour
Et se suffit son jour
merci de m’avoir remuée un peu, Ossiane, mais telle pression ce mois, la décompression me laisse ko..cela va aller.
il est fort beau ton calligramme en lettre A toute dorée, sur ce fond rose, merci de me prendre la tête en beautés d’Ossiane. Bises tendres.
Et puis une photo de traces dans le sable, c’est si fort et beau, et profond…
bonjour à chacun, je suis là, ne boude pas..sourire.. juste fatiguée et c’est normal, le punch va revenir.
derrière l’oeil ouvert
Grand Jeu Gratuit de Noël
pour les mal d’Yves !
Suivre tes pas
et apprendre à lire
ta direction.
Te montrer mes pas,
le pas des autres
et t’apprendre à lire
comment les rejoindre,
comment faire quelques pas à côté d’eux.
Puis te foutre la paix,
le temps d’un repos,
le temps de te rassurer
et recommencer tout doucement.
L’apprentissage se fait pas à pas…
Un jour
Mon premier pas
Et ce jour là
Savait il celui là
Qu’il y aurait des pas
Et puis encore des las
Là là et encore Là
Pour avancer son pas
Chaque jour
Tendrement le soir
Quand la lune si belle
Comme la mer elle monte
Depuis la nuit des temps
L’écume vient lêcher
Si doucement aimante
En baiser de l’Amour
Qui se vit son toujours
Dans son instant présent
Qui se retire encore
Sans jamais abîmer
Ce bel acte d’Aimer
>Thierry :
Oui, un signe très bizarre venu d’ailleurs 🙂 Merci pour ton poème.
>Pierre :
Tu es bien pessimiste, Pierre 😉 Je ne connaissais pas cette tactique 😉 Je crois au contraire qu’on peut faire avancer les choses dans le bon sens mais il va falloir être tenace te patient;-) Bises.
>Marc :
De bien belles réflexions sur ces trajectoires de pas qui jalonnent notre vies. J’aime la conclusion de ton poème ; c’est très vrai. Bises.
>Brigetoun :
Ne vendons pas la peau de l’ours del’avoir tué. C’est un bon premier pas mais il faut obtenir donner des garanties et des propositions. Merci pour ton soutien.
>Annick :
Non, non, Annick, ne te secoue pas… tu as sans doute besoin de te reposer. On ne peut pas toujours vivre à cent à l’heure. Laisse faire; ça reviendra tout seul.
Ce « A » ne t’a pas échappé, je doutais qu’il te plairait 😉 Merci pour la chaleur de tes mots. Bises vers toi.
>le sid :
Déjà Noël ;-)) Tu peux participer, c’est gratuit 😉
>Catherine :
Le fruit du hasard, les derniers titres de mes notes t’interpellent forcément. Dans le cas qui te concerne, tu sais exactement ce que signifie un pas et l’énergie qu’il fallu déployer pour le voir s’exécuter. Mais sans doute quelle joie au bout qui redonne la force de continuer. Merci pour tes mots et ton combat émouvant. Je sens de la rage en toi. Je t’embrasse.
Mon amour
Ton regard je te vis
Déjà ton premier jour
Mon amour
Et chaque perle de vie
Si durement enfilée
Mon amour
Te font un collier lourd
Si pesant de vie dedans
Mon amour
Que cèdent peu à peu
Tes chaînes qui t’enfermaient
Mon amour
Nos pas usants, tuants, décapitants
Mais temps de vie dedans
Mon amour
Merci
D’être là
Mon amour
Ton collier aile ton cou
Et je suis ton envol
Mon amour
tendre nuit pour chacun, dans sa flamme précieuse.
Bonsoir et bonne nuit à chacun
_
Le regard nouveau
Du bêta qui n’a pas vu
Le tracé Alpha
_
Bientôt la marée l’eût effacé sans que je le visse!
j ai oublié de remercier ta pensée douce, Monique, excuse moi, un peu dans le gaz cet aprem, c’est mieux ce soi, mais je vais dormir pour enlever la fatigue..bonne nuit.
-Qui va là?
masqué et sans épée?
-la nuit croît,mon prince
je ne puis le savoir
-serait ce une étourdie
un félon,un prélat?
-il faut que roi le sache
-gardons notre sang-froid
approchons juste un pas
Passiflore, pas si fort, pas si grand
pas siffleur, pas joué, pas enjambé
des piéges du monde a déjouer
on passe son temps à regarder
où on va bien pouvoir mettre les pieds
foulées, coudées, margés
on ne peut émarger au livre
de la vie sans avancer
pas si sûr , pas certain, enfin incertain
un certain regard sur le tard
comme disait higelin « ne te retournes pas »
pas pantin ni lutin, juste mutin
alors je commute
et je porte l’espoir
comme viatique
en sautoir
> très bonne journée à tous avec moins de pub (les pubs dans les poubs)
Bonjour Ossiane,
des difficultés depuis hier à faire passer les écrits…que se passe-t-il ?
Un jour très beau
Le jour où
je suis avec toi
je suis contente
quand je te vois sourire
avec les autres…
Ce jour-là
j’étais avec un autre
petit, mignon, mais…
sans toi…
Et si je suis
sans toi
je ne peux regarder les autres
il faut que je regarde
que toi…
Heureusement
ce jour-là
était si beau
en pensée
avec toi…
Un petit poème de Candice, 9 ans
en pensée avec vous pour vous souhaiter une bonne journée.
___
Tendresses
Tensions
Tempêtes
Pas mélangés
Sur le sable
Les tiens
Les miens
Des enfants
Du temps
Croisés
Chassés
Ecrasés
Par les roues de la vie
___
Je crois qu’une troisième tasse de café va me faire du bien.
Biz à tous et bonne journée.
Alors je la prends avec toi, Bourrache, en te souhaitant une bonne journée.
Bonjour à TOUS
Plaisirs du matin où je peux prendre le temps de tout lire : et les contestations et les mots qui glissent et font rêver …
Merci à TOUS sans oublier les beaux supports d’ Ossiane …
– Merci à cette espèce de lutte contre l’immobilisme …, on n’a quand même le droit de choisir où on veut aller … sans être systématiquement instrumentalisé ….
– Merci à ceux qui résistent …
– Merci à ceux qui donnent à rêver et à construire du sens autrement
Je suis comme allerqique à la publicité, c’est quelque-chose de ‘chronique’ … et je préfére souvent explorer des blogs pour choisir où j’ai envie d’aller, plutôt que de regarder une télévision qui injecte des façons de voir et de regarder , des modes de fonctionnement simplistes …
Sans généraliser bien sûr, il y a des exeptions, mais nous payons aussi pour la télévision. A t’on vraiment le choix de notre regard …de notre écoute, de nos mots … sans nous sentir pollués, manipulés ?
Je passe beaucoup de temps à trier , à commencer par la bôite aux lettres extérieure, la boite mails aussi car des polluants s’infiltrent aussi de façon systématique. Là, il va falloir que je me renseigne pour savoir comment les évacuer … Je passe du temps à sélectionner ce qui fait sens pour moi …
à chercher l’information UTILE , non pas pour CON-SOMMER mais pour construire du sens …
Prendre le temps autrement …
Bonne journée
Ossiane , j’ai lu sur « Les Inrocks » un bref article concernant Le Monde ..qui va mal.. (il est fait état Ô ironie d’une faiblesse des recettes publicitaires)
Bonne journée malgré tout 🙂
Chaque matin ton pas m’éveille…
Suis-je née vraiment de ce regard
Que tu empruntes aux arbres
Leur lumière est immense ,
De ces mots qui dévorent
La part d’un jour
Encore inexplorée
Et m’entrainent vers le souffle
D’une douleur passagère
Dois-je craindre
Sous la plainte de la terre
Cette syllabe de diamant
Ou accorder mon pas
A l’ébauche d’une poésie
En miettes – Forge subtile…
Ne dit –on pas que les sources
Rêvent de la présence des pierres
Mais sait-on que les nuits se perdraient
Pour cette lune éternelle
Comme parole muette de l’océan
Depuis des siècles au moins
-Simplement la trace d’une larme
Au goût de menthe-
Chaque matin je veux abandonner
L’éternité à l’oreille de l’aube
Pour simplement entendre craquer les heures
Le prochain départ de l’oiseau
Mais il y a cette voix qui m’appelle
Au creux du monde où je demeure
Un fragment de rivière
Bordée d’une rive tremblante
Que tu accordes sous la pointe
D’un ciel somptueux..
Et je glisse entre les lignes bleues
Dans ce jardin désert
Quelques traces de couleur
Mais je fuis…
Et j’ envoie à nouveau un poème écrit précédemment et qui évoluera probablement .
Pour que nos PAS ne se perdent PAS …
Pas comme sa …
Pas comme salire
Mais lire des livres qui délivrent
Et entraînent des délires
Lyres pour pâlir de plaisir
Pas comme savoir
Mais Voir pour pou-voir percevoir
Regarder sans chercher le pouvoir
Pas comme sagard
Mais attendre sur le quai d’une gare
Le regard hagard
Pas comme sacré
Mais créer pour comprendre et s’éprendre
Dans l’oubli et ses méandres
Pas comme s’aérer
Mais errer
Dans le vent des sables de l’été
Pas comme satin
Mais son teint cuivré
Et l’odeur de l’été
Pas comme sablé
Mais le blé des champs
Colorés des peintures de Vincent
Pas comme savon
Mais les vagues vont et viennent
Et reviennent
Pas comme salami
Mais l’ami mis
Au banc de l’oubli
Pas comme sabot
Mais beau comme un oiseau
Au bord d’un ruisseau
Pas comme s’asseoir
Mais passe le soir
Et s’attendre dans le noir
Et croire en l’espoir.
Alix …
BRAVO OSSIANE ! Une bataille gagnée contre le Monde avec tous ces soutiens !
Ah ! cette société capitaliste…
Pas-sons à ta belle note, AMichel, superbe ton poème !
Catherine, quelle joie de te lire et de te retrouver ! je ne t’oublie pas, sache le ! Bisous.
Pas à pas,
J’ai franchi les étapes,
Sauf aujourd’hui où la barrière semble infrachissable,
Seul,
Un immense besoin de tendresse, d’amour,
Rencontrer une femme,
Mon seul désir et un espoir !
Bourrache coucou !
Je vous embrasse,
à bientôt,
OLIVIER
Sincèrement Ossiane très heureux que vous ayez gagné cette bataille !
> Nath : oui nous sommes pris en otage… A la radio par exemple il ne reste que FIP et Culture , encore exempts de toute plage de pub..mais pour combien de temps encore !
> Ossiane : je t’ai envoyé un mot.
Ossiane je me suis trompé en mettant mon texte
sur spontanéité tu pourra le retiré je le dépose sur la bonne
belle journée a tous
Transparence
Emprunte fugitive
Comme chaque pas de la vie
Existence furtive
Apparence
Façon du hasard
Triste dépouille du temps
L’âme dépourvue de fard
Insistance
Des mots d’ivoire
Fossile de la pensée
Délivre un espoir
alliance
Rencontre de récif
Brève Fusion cannibale
Cette chair à vif
Délivrance
Explosion nucléique
Inéluctable néant
Un acte héroïque
Errance
Peur de la Transparence
Livré aux Apparences
éternelle Insistance
impossible Alliance
improbable Délivrance
Nous parlons souvent de l’oiseau.
Pour ses ailes … son espace … sa liberté … son nid de mousse ou de brindilles … lové dans la haie, au creux de l’arbre.
Le rêve…
Le rouge-gorge, farouche ou familier … solitaire … se bat parfois à mort avec un congénère pour conserver « son » territoire.
L’épervier fond sur le moineau, la mésange.
Quant à l’aigle …
Même le rêve n’est pas parfait…
Dis, Marc … si on arrêtait ?
Dans ces temps d’espoir, d’allégresse (mais de vigilance) gagnés sur la pub’ … on va donner la flemme à tout un bataillon
Clin d’oeil et sourire.
___
Chronique d’un demi-jeudi.
C’est décidé.
Moi aussi, j’éteins la radio. Pas à cause des pubs’ … mais de la météo.
Infos de 13 h 00 :
30l d’eau/m² … chaussées déjà inondées … prudence … les vents vont encore se renforcer … les petits rus qui font les grandes rivières risquent, l’un comme l’autre, de déborder …
Bon, je vais laisser mon indéfectible sans laisse à ses rêves, bien au chaud, à l’intérieur et demander à Marius d’aller me promener.
Il va nager en plein bonheur parmi ces grandes eaux.
Ah, celui-là, je ne sais pas si je vous l’ai déjà présenté ?
Marius, c’est mon poisson rouge.
___
Dites, y’a pas quelqu’un qui pourrait me dire quand je vais pouvoir aussi relever mon store et apercevoir … un brin de soleil ???
___
Ravie de t’avoir régalée Ossiane !
Et maintenant, en route pour un long voyage :
Des pas sur le sable…
Les traces d’un passage…
A quand,
Ces même pas
Sur la planète Mars ?…
Pour illustrer ces quelques lignes, je vous invite à aller visiter ce site : un voyage comme si vous y étiez !
http://orbitmars.futura-sciences.com/galerie_missions/img.php?id_img=569
A bientôt !
Christineeeeeee, très belles photos du désert martien…mais faudrait pas, comme pour l’ascension de l’Everest…qu’on y laisse nos détritus… (comme un petit bouclier thermique, par ex.)…avant de repartir ! Prière de laisser l’endroit aussi propre que vous l’avez trouvé, svp.
Bourrache,
bon demi-jeudi…en compagnie de Marius ! au fait, il a l’accent marseillais ton poisson rouge ?
Chemins parallèles
A l’infini
Confondus
>sven: justement la pollution planétaire, bactériologique ou pas on veut éviter et il y a une stérilisation des équipements qui partent, de là à ne laisser aucun déchets ça non et d’abord il y a du plutonium 238 dans les générateurs radioisotopiques qui fournissent de la chaleur et de l’électricité parce que à moins 100°C pas facile de faire fonctionner des batteries chimiques. Je ne me lance pas c’est mon job mais ça ne passionne pas forcément tout le monde.
Merci pour l’explication technique Thierry, il est certain que la préservation de l’environnement, terrestre et extra-terrestre de toute pollution est une constante à intégrer à toute tentative d’exploration ou … »d’exploitation »… d’autres planètes.
…
des traces sur le sable
comme le squelette d’une feuille
nature insolite
…
Christineeee :
(j’sais pas si le nombre de « e » …?)
J’ai cliqué sur ton lien … ça me rappelle une autre photo … sauf la trace des pneus qui est différente … (cfr « Les Experts » – 3 épisodes – mercredi soir).
Thierry :
s’enfermer dans une boîte d’allumettes pendant des années pour atteindre Mars … et ne même pas pouvoir y déposer ses détritus !!!
J’trouve ça du temps perdu…
Sven :
j’ai pas l’oreille musicale … les bulles de Marius … Marseille ?
Sais pas … vais me pencher sur cette question fondamentale.
Sur ce, si t’allais verser un petit sou dans la cagnotte d’Olivier ?
Il veut voir la Russie … mais j’crois pas que ce soit pour les paysages.
Ossiane :
« le chat parti, les souris dansent »
mais parfois, ça leur fait du bien …
ça change de la pub’ …
Bon, mon bulletin météo est pitoyable…
mais j’vous dis pas … ma note comportement sur mon bulletin de fin de semaine … c’est foutu !
Zut, Sven, j’ai oublié de signer
Fanny ou César.
tu n’a pas trouvé de jerrycan d’essence?
Salade :
au prix où est « l’essence » … je cherche plus … je marche … je regarde où je mets les pieds … j’en arrive à oublier les étoiles …
… et aussi l’orange-bleue …
Zut, Salade, jai oublié de signer …
Tintin et ses 170 jours et une chique … en quête d’un gouvernement …
Quelques pas de danse
sur la piste aux étoiles
les yeux enlacés
les corps s’élancent
les mains aux aguets
tournoyer, enrouler
sillon de bonheur
a l’unisson des cœurs
l’homme guide la femme
et allume cette flamme
unique de la sensualité
comme un rêve éveillé
sur des notes de musique
instant tellement atypique.
ou le temps guident les pas
les pas suive le temps.
je suis le voile de ta robe, voltigeant
je suis tes mains lsu douces , glissant
je suis l’océan de tes yeux, voguant
je suis tes cheveux libéré, volant.
Le 2007-10-21 11:32:55
Hotline ouvre le ticket :
Titre : publicité
peut-on faire disparaitre le lien publicitaire suivant :
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merci.
Le 2007-10-24 18:07:40
Hotline écrit
Bonjour,
les publicités situées en haut du blog sont générées de manière aléatoire ; il n’est pas possible de les modifier ou de les supprimer.
Cordialement,
L’équipe du Monde.fr
http://faq.blog.lemonde.fr
Le 2007-10-26 17:05:53
Hotline écrit
pas de blog sans PUB ? c’est triste.
Le 2007-10-27 18:31:13
Hotline écrit
si il y a de la pub je dois toucher un dividende ?
Le 2007-11-29 17:56:22
Hotline écrit
Bonjour,
ce n’est malheureusement pas le cas.
Cordialement,
L’équipe du Monde.fr
heu? salade, bourrache, cela me semble bien agité tout cela.. on remue unpeu et splitch, des pépites de bulles de rires.. je vous embrasse.
Trakass pas, Annick …
On se parlait entre Belges …
c’est un langage particulier … à la limite du surréalisme …
je m’attendais pas à celle là, Bourrache,
je glutinais le poème de Ronsard chez Olivier, et regardais encore la page d’Ossiane, puis lisais les difficultés financières du Monde..
et youpsss, en bas de page,
je me suis pouffée si fort, le mur est pouffant de moi…
D ailleurs je me glousse encore. bises Bourrache, pourtant la belgique est pas loin de chez moi, je vous relirai à tête plus calme, je suis en pétards de bon aujourd’hui, je cours, je marche, je danse, je chante, inatteignable.. enfin presque!!!! bises.
Sans pessimisme aucun.
Les Chinois sont réalistes.
Voyons venir en vigie
Au port.
« Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » (lavoisier)
La pub comme le reste.
Triste je suis toujours
Quand sur la plage se dessinent les traces de pneus
Petits coquillages , crustacés et petits organismes
Disparaissent ainsi…..
Triste je suis
Quand je vois les traces que dessinent les pneus sur le sable
L’écosystème souffre
Et multes petits organismes et crustacés disparaissent.
___
Quand mes arbres
Penchés puis étêtés
Par la tempête
Déposent sur le sol
Leurs dernières feuilles
Dans mon jardin ravagé
Je ne pense plus
Je ne pense pas
A des écrits vaincus
Juste au printemps
Prochain…
___
bourrache
la nature s’endort
bercé par le vent du nord
qui ne sens pas sa force
et laisse ses enfants
passé par dessus bord.
morigéner par le printemps
qui, de loin surveille sa marmaille.
un jours j’ai oser
le premier pas
et aujourd’hui mes mots se déposent
pas après pas
sur les pages impalpables
se mélant aux autres mots
répondant
glanant
imitant
sans jamais se moquer
sans vouloir choquer
par plaisir de ces style de ces mots
que l’on a aimés.
des mots qui laissent des traces
de ces chemins empruntés
de ces erreurs d’écritures
des mots que l’on ne peux effacer
inscrit pour un temps que nul ne connait
pas après pas
chaque jours.
continurais je a pouvoir poser mes mots?
à trouver va route ?
j’avance pas à pas
vers l’inconu
les yeux rivés sur le monde
les yeux rivés vers l’intérieur
a l’écoute des coeurs
dans le silence de mon âme
Désolée, très peu de temps de disponible en ce moment, j’arrive bien tard et je dois aller vite… Tout juste le temps de faire mon travail, de préparer une note et de gérer ce mouvvement qui je l’espère ne va pas s‘éterniser. Quelle vie, j’ai besoin de souffler;-)
>Annick :
Merci pour ton bel envol de mots amoureux ; cette trace t’inspire 😉 Bises
>Monique :
Tu te mets à voir des lettres comme moi, Monique 😉 Merci !
>Feu roméo :
J’ai remarqué que tu aimes bien les histoires de félons et de cap et d’épée. Je suis sûre que tu es un passionné d’histoire ancienne 😉 Bises.
>Thierry :
Je reconnais ton style à 1000 mètres avec ces jongleries de sonorités et de sens 😉 Merci à toi.
>Sven :
Désolée, je ne vois pas le problème pour tes difficultés à faire passer tes écrits.
Ta petite Candice a déjà beaucoup de talent et de sensations à faire passer 😉 Félicite-la et embrasse-la de ma part. On sent que tu la connais bien 😉 Bonne nuit.
>Bourrache :
Il était bon ton troisième café ? J’aime bien ton premier poème tout simple.
Cette météo te met complètement le moral à zéro, pauvre Bourrache 😉 Malheureusement, je n’ai rien de plus réjouissant à t’envoyer pour l’instant.
Les pneus, oui je sais, vous êtes plusieurs à me l’avoir dit 😉 Je ne me suis pas concentrée à là-dessus mais sur l’arabesque poudreuse 😉 Je vais être indulgente, je ne bouge pas ta note pour l’instant 😉 Bonne fin de soirée à toi, Marius et Cortex.
>Salade :
Non pas de jerrican ;-)) Rien que moi sur cette plage 😉
>Nath :
Je suis d’accord avec toi et je n’arrive pas à m’y habituer. Merci pour tes réfexions toujours profondes sur le sens de notre existence. J’aime beaucoup ta dernière phrase.
En tout cas cette recherche de sens, tu la fais bien passer dans ton poème toujours très écrit et pensé. Je te sens en meilleure forme, tu sembles retrouver l’inspiration. Merci pour la beauté de tes mots. Bises.
>Alix :
J’ai mis ton article sur la page principale.
Toujours difficile de commenter tes poèmes tant ils sont éthérés, abstraits, proche de la nature et des éléments. Beaucoup de souffle dans tes mots. Bravo !
>Olivier :
Oui, Olivier, c’est un premier pas mais ce n’est pas fini. Pas facile de parler du Monde car il subit lui aussi la crise de la presse qui est attaquée de toutes parts par la presse gratuite, internet, la crise de la lecture etc… etc… Je sais que je ne vais pas quitter Le Monde, j’ai envie qu’on trouve de bonnes solutions et qu’il s’en sorte pour garder son indépendance éditoriale car ce n’est pas mieux sur les autres sites de presse. Chez Libé, c’est encore pire, ils sont soutenus par un énorme groupe financier.
Je souhaite que ton plus cher désir se réalise Olivier. Je t’embrasse chaleureusement.
>Marc :
Tu m’impressionnes Marc ; tu as une belle palette de thèmes et voilà que tu t’aventures à jouer sur la forme pour le premier poème. Une belle errance pas à pas tout comme ton dernier poème et beaucoup de sensualité dans ton deuxième. Bravo à toi.
> Christineeeeeee :
Merci de nous offrir ce voyage martien poétique, on s’y croirait 😉 C’est très impressionnant. Comme une mer de sable soulevé par le vent. Bonne fn de soirée à toi.
>L’oeil vagabond :
Bonsoir Chris, merci de déposer ton beau poème dès ton retour de voyage. Bises solidaires.
>Sylvie :
Bonsoir Sylvie, j’aime bien cette comparaison avec une feuille de sable. Merci à toi.
>Jean :
Merci d’être passé et de te joindre au mouvement anti-pub. Bien sûr pas terribles les réponses 😉 Oublie ces réponses de langue de bois ; elles ne sont plus d’actualité pour l’instant 😉 Amitiés vers toi.
>Pierre :
J’attends de voir venir, Pierre et je garde toujours espoir 😉 Bises.
>MTO :
Aie ! les traces de pneus font un effet bœuf chez une femme comme toi 😉 Je t’approuve, pas de véhicule sur les plages et dans les dunes mais les tracteurs qui vont chercher les huitres ou qui servent à mettre les bateaux à la mer, il en faut bien, non 😉 Je me demande si la pêche à pied lors des grandes marées ne fait pas autant de dégâts. Bises du soir.
Et le matin, très tôt, les chevaux au galop sur la plage de Cabourg, au lever du soleil, c’est si beau que cela vaut quelques éraflures sur le sables, si vite effacées par la marée montante, j’en ai un merveilleux souvenir, beaucoup de romantisme dans ce spectacle matinal.
Bonsoir , bonne nuit Ossiane, il te faudrait un peu lacher la pression, tu en aurais besoin mais il y a des impératifs malheureusement. Bises
Dans ces lignes refendues, pas de trève
dans ces sentiers perdus sur la gréve
pas un chemin trop rude dans la glébe
même pas à l’horizon un seul éphébe
>Ossiane: oui tu as raison, els joglars, les bateleurs
ne s’extradent pas mais sur l’estrade il font quelques petits
tours …et puis sans vont. Pour ce jour plein qui s’annonce
je te tire ma révérence, et je me tire en douce ; bonne humeur
persistante et engagement forcené une belle journée s’annonce.
>Monique:
Amusant que tu parle de Cabourg car cette photo a été prise pas très loin;-) Le week-end va me faire du bien; je vais pouvoir faire une petite pause.
>Thierry:
Bonne journée à toi.
… un week-end d’embruns, de mer et de sable Ossiane ? …
bel week, Ossiane.
Je t’embrasse,
comment te remercier de pouvoir déclencher mes mots avec tes superbes pages d’album que je pose chaque jour sur mes genoux….juste en écrivant encore modestement je suis..
sully si aimé
je t’aimerai toujours
je ne ferai pas de rime
pas de mots alambiqués
juste ce flux jaillissant de mon coeur
pour te dire sans que tu l’entendes
que je serais toujours tienne
je t’ai connu à l’aube de ma vie
je n’ai plus vu que toi j’ai été éblouie
j’ai tant esperé soupiré pleuré
aprés d’hypothétiques retrouvailles
j’ai supplié ,prié tu as cédé,souffert
11 ans aprés on en est toujours là
ce qui change c’est que toi tu n’es plus là
pour écouter mon chant d’amour
tu ne veux meme plus l’entendre
c’est fait la distance a eu raison de nous
va ange adoré,fais un autre choix
un autre reflet de toi , je redeviendrais moi