* Lecture du Haïku Calligramme: du bas vers le haut.
Sèche tes larmes
Marche sur un nuage
Le soleil revient
* Photo de la plage d’Omaha Beach. Pour en savoir plus ….
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
* Lecture du Haïku Calligramme: du bas vers le haut.
Sèche tes larmes
Marche sur un nuage
Le soleil revient
* Photo de la plage d’Omaha Beach. Pour en savoir plus ….
Simples, pures, des lignes comme je les aime.
Même si l’eau est très froide, je ne resisterai pas à la baignade.
Bonne nuit Ossiane.
Omaha beach
Le soleil a séché tes larmes
Ton sang a fleuri la terre
Et tu souris dans les nuages
En regardant cette plage
Où t’a couché la guerre
Quand tu as déposé les armes
Ami entends tu
La mer qui t’appelle ?
Mes pieds laissent dans le sable
L’empreinte de mes pas
La mer avec douceur soupire
Sous le ciel bleu où libre je respire
Mon cœur fidèle n’oublie pas
Le souvenir des heures ineffables
Ami entends tu
L’amour qui t’appelle ?
Tu dors au champ de douleur
Ta vie comptée de pierre blanche
Dans le silence et le grand vent
Les mouettes survolent souvent
Les cimetières de la Manche
Leur liberté leur rend honneur
Ami entends tu
L’oiseau qui t’appelle ?
Mes poumons s’enivrent d’air iodé
Sur mon visage une pluie d’embruns
Me rafraîchit et me réveille
Un grand bonheur en moi s’éveille
Fleur capiteuse exhalant son parfum
De joie de vivre mon âme est inondée
Ami entends tu
La vie qui t’appelle ?
Vos vies moissonnées comme blés
Nous ont offert le pain de la liberté
Un jour nous serons rassemblés
Dans la lumière d’un bel été.
si je me retourne
je vois le lac intérieur
les poussières de sable
le vague de l’existence
j’esquisse un sourire
Par deux simples lignes
Sur cette plage
La mer répond au ciel
Et la plage devient page
Ecritures éphémères
Les nuages de vent passent …
Parcourant de leurs ombres ces lignes
La réponse du ciel ne tardera pas !
C’est une question de temps et de vent !
l’astre du jour
poursuivre fixement l’astre du jour
avec des vagues étranges dans le regard
boire l’intensité des rayons
jusqu’aux limites du supportable
voir impuissant le soleil carnassier
craqueler ses lèvres, tarir son regard
et retomber en balles d’acier
les espoirs noués, les promesses enflammées,
se retourner face au sanctuaire du passé
irradier, brûler et dénuder le décor
mais laisser la pluie de ses yeux
s’élever jusqu’à l’unique étoile…
Rect. craqueler ses lèvres
bouteille à la mer
à la face du ciel
tracer les hiéroglyphes
pour tous les possibles
Trois bandes passantes sur une même piste..
Une musique douce et légère..
L’artiste est connue..
C’est une oeuvre de « l’oeil ouvert »..
Des nuages, la mer et des larmes de passage…
Trois émotions partagées…
Pour nos pensées…un billet de voyage…
La fenêtre qui s’ouvre…évasion assurée…
Blanc…Bleu…Soleil…
Trois couleurs ou jeu d’enfant inventé…
Poser ses mots sur la marelle…
Et rejoindre à cloche-coeur la Trinité…
« Et c’est la Mer qui vint à nous sur les degrés de pierre du drame » (Saint-John Perse, Amers)
La mer et les hommes casqués sont passés
Après bien des fureurs calmés
La lumière reprend possession
De cette immensité pacifiée
Et le sable lisse garde encore
Quelques plaques humides
Où le ciel se glisse.
Au bout de la longue nuit,
par-delà
Tout horizon,
Nous cueillerons
au pied d’une falaise
au milieu des buissons
La fleur blanche.
Couleur de l’aube
au jet de sang.
(photo tout simplement magnifique)
Devant mes camarades morts
la mer se retire,
déssinant sur le sable
autant de lacs remplis d’eau de mer.
– Salée comme les larmes !
Les panoramas 360° avec quick time sont vraiment de toute beauté en particulier la cathédrale de Bayeux.Et que dire de l’île de Bréhat sur laquelle on se promène, on s’assied sur un banc près d’un calvaire face à la mer au coeur de la Bretagne.C’est , tout simplement beau. merci Ossiane.
La mer se retire doucement
Et laisse sur sa plage
Un filet de mots doux
Tendres et ravissants.
Les nuages sont tendres complices
La mer remontera encore une fois
Mais l’âme des nuages
A rapté ces doux mots
Qui sont Là, vaporisés si beaux….
cette photo si pure, si raffinée, un parfum beau…
La vague écrit l’onde
Lettres vives sur le sable
J’entre dans le bleu
Volupté, calme et sérénité…tout ce dont j’ai besoin, Merci, Ossiane…
L’orage est passé
La paix est revenue
Laissant sur la plage
La liberté des horizontales
Leur plénitude et leur sérénité
L’élan est vertical
Venu de l’océan
Il a planté dans le sable le fer
Puis s’est retiré
Devant lui pourchassant
Les hordes guerrières
Pour notre liberté
L’homme est une machine à détruire dans sa soif de pouvoir, d’argent de politique de mrd Pourquoi arracher la fleur au lieu de la regarder pousser…
Un grand merci à tous ces hommes à qui on doit que nos enfants peuvent encore rire, mais restons vigilants ! ! !
et je demande au dernier qui va mourir d’éteindre la lumière.
Un moment de méditation de réflexion sur une superbe photographie !
Suis un peu sombre ce soir, mais je retrouve le moral quand je vois ma fille sourire.
Je t’embrasse très fort Ossaine
le ciel soulevé
par les nuages plane
sur l’écriture
>james :
Ca ne m’étonne pas que tu réagisses sur ces lignes mais en revanche j’ai vraiment des doutes sur ton envie de plonger car l’eau est glacée 😉 Je t’embrasse.
>amichel :
Je sens que ces photos t’inspirent beaucoup. Ton poème est une fois de plus très émouvant et très beau. Tout en suggestions et avec cet appel scandé, tu rends hommage à ceux qui ne sont plus en parlant de la nature, du soleil, de la mer et de la terre et des générations suivantes qui continuent à perpétuer la mémoire et à goûter la joie et la liberté de vivre en paix.. Merci beaucoup Michel pour ton talent de poète; tu sais écrire sur tous les sujets. Je t’embrasse.
>Bouldegom :
Tu as choisi d’évoquer avec le sourire des choses beaucoup plus intériorisées comme le sens de la vie. Comme d’habitude, tes deux poèmes brefs et originaux sont très réussis et nous renvoient plein d’images. Bises d’après-midi et merci !
>Virgile :
Superbe évocation poétique, Virgile. Sur cette plage/page, tu vois des signes d’écriture éphémères entre ces deux lignes que le vent ou la pluie effaceront si le ciel se déchaîne à nouveau. Merci de nous faire rêver ainsi. Je t’embrasse.
>Sven :
Quel étrange poème, Sven ! Moi qui voyais le soleil comme une source de vie 😉 Dans ton poème, cet astre du jour devient brûlant et carnassier quand on le regarde intensément.. Il détruit l’espoir comme des balles de fusil mais conduit à trouver l’étoile de nos rêves. Tu as pris le parti d’aller dans le sens inverse. J’espère que je n’ai pas déformé ta pensée. Merci beaucoup pour ta belle audace. Je t’embrasse.
>Pierre b :
Décidément, il n’y a que de belles choses à se mettre sous la dent aujourd’hui 😉 Après la page d’écriture, nous voici avec une œuvre à troix voix;-) La musique, l’évasion en émotions et les mots à assembler de façon ludique. Mais c’est tout ce que tu trouves sur le blog de L’Oeil Ouvert, Pierre. Merci pour ce clin d’œil amusant mis en forme avec sourire et délicatesse ainsi que pour ton attachement. Je t’embrasse.
>Pierre (2) :
Une citation que je ne connaissais pas… Tu traduis bien ce qu’on peut ressentir face à cette immensité pacifiée. J’ai pris la photo depuis le cimetière de Coleville qui surplombe la mer. Après la fureur et la noirceur, la lumière a repris ses droits. Le ciel et le sable se font de nouveau de clins d’œil complices. Merci pour ton beau poème. Je t’embrasse.
>MioModus :
Merci également pour ce beau poème dans lequel tu opposes la nuit et l’aube d’un nouveau jour qui porte encore les traces de sang. Cette fleur blanche est un symbole fort. Bises.
>Guess Who :
Beau parallèle Tiago avec le sel des larmes. Lorsqu’on arpente cette plage, il y a effectivement bon nombre de petits lacs. Si vous voulez revoir des photos que j’avais faites de cette plage, allez sur ces liens :
https://blog.ossiane.photo/2005/07/illusion.html
https://blog.ossiane.photo/2005/07/espace.html
Merci pour ces mots émouvants. Je t’embrasse.
>Claude :
Merci d’avoir fait cette visite panoramique en profondeur. J’en ai encore quelques uns en réserve pour l’avenir;-) Bien à toi et à bientôt.
>Annick :
Un poème plein de douceur, Annick. Bonne idée d’avoir fait jouer ce rôle complice aux nuages. Je vais avoir du mal à retourner travailler maintenant 😉 La bise.
>Fugitive :
Ces poches d’eau salée prennent la forme de mots inscrits sur le sable. La mer sculpte le rivage. J’aime beaucoup ton dernier vers. A nouveau, un haïku très bien senti. Je t’embrasse.
>Vi :
Hello Vi, ressurgie des flots 😉 Ca ne m’étonne pas que tu aies besoin de cela après ce que tu viens de vivre. J’espère que ça a marché. Bises chaleureuses.
>Pierre (2) :
Je suis gâtée avec ce nouveau poème 😉 Quelle énergie et rythme pointent derrière tes mots ! Tu as raison de souligner le jeu des horizontales pour exprimer cette sérénité. Je n’avais pas pensé à la verticalité de l’élan qui amène vers la liberté. C’est très bien écrit et trouvé. Bravo à toi et un grand merci de t’investir à ce point dans mes images. Bises du large.
>Bruno:
Oui Bruno, je partage ta révolte. Ces guerres qui sont le fait d’une poignée d’hommes de pouvoir font mourir par milliers des innocents. J’aime tes images de la fleur qu’on arrache et de la lumière qui s’éteint. Le sourire accroché à mon titre aide à survivre et je te l’envoie chaleureux. Je t’embrasse fort aussi et t’invite à retrouver le moral.
>Brigetoun:
Quelle belle image, brigetoun. C’est comme si un grand souffle de fraîcheur était passé sur le blog. Ta sérénité nous réconforte. Bises à toi.
bon fait pas attention , je suis cyclothymique… Je connais trop cette contradiction :l’enthousiame de la passion qui vous brûle comme un soleil intérieur, et vous consumme… et la dépression qui s’ensuit, l’angoisse au fond des yeux, les larmes dans lesquelles on se noie, mais comme les deux faces d’une même pièce, l’une et l’autre me sont nécessaires,comment t’expliquer, pourtant, fatalement…pas toujours simple à expliquer, cette dualité, Ossiane, j’en suis conscient.
Au seuil de l’infini et de l’éternité
L’homme n’est que poussière d’étoiles
SOLEIL
Tu es la flamme de mes pensées
je t’aime comme l’or,
comme l’éternité…
tu es ce qu’il me manque dans la vie,
pour effacer tous les matins gris
je voudrais tout te donner
ma vie, mon âme, mes pensées
qui m’en voudrait ?
quand je suis triste, je pense à lui,
alors tout à coup tout me sourit
pourrait-il-donc changer ma vie ?
Ossiane, je t’imagine, ta palette à tes yeux, des touches de brun , puis une plume à l’encre argentée vaporisée, et beaucoup de filets de bleu pur vers l’horizon, et du bleuté, beaucoup dans l’infini, pour terminer avec quelques touches de blancs vaporeux…une bien tendre et jolie aquarelle..
>Sven:
J’ai juste été surprise, Sven. Tu as exprimé quelque chose de profond aussi avec ce soleil noir. J’admire ta sincérité dans ta poésie. Je comprends la cohabitation que tu évoques et c’est aussi ce qui fait que tu es toi dans toute la complexité de l’être humain. Le poème que tu viens de déposer me rassure un peu sur ton état d’esprit du moment;-) Il était intéressant que tu donnes également cette autre face plus souriante du soleil qui existe au fond de chacun d’entre nous à condition de pouvoir la faire éclore. Merci pour ces échanges pleins de sensibilité.
>MTO:
Waouh quelle phrase! Il n’y a plus rien à rajouter après ton bel éclat de mots;-) Je te salue bien bas, poétesse de l’univers;-)
>Annick:
Bien vu Annick, c’est gentil ce que tu dis;-) Ca m’est arrivé de me poster face à l’océan avec mes pinceaux et j’avoue que j’aimerais bien recommencer car on se laisse porter par les sensations d’un instant. C’est très réjouissant.
Si, si, je serai cap ! je t’assure.
>james:
Sourire… Tu n’as pas froid aux yeux 😉 Elle doit faire environ 10°, toi qui aimes tant le soleil et la chaleur… Bise du soir.
Sur le sable calligraphiés
Par des larmes de fer rouillé,
Mille miroirs éparpillés
Murmurent l’empreinte du passé.
Dans le ciel, ronds et sereins,
Des volutes, déliés et pleins,
D’espoirs et de rêves enceints,
Ecrivent nos lendemains.
La mer, elle, bien trop émue.
Nous sourit, car elle a tout vu…
Son voeu ne sera pas rompu
De silence et secret absolus.
Bonsoir Ossiane, et tous les Ossianautes, après plusieurs semaines de déconnexion, je suis contente d’être de retour parmi vous!
Annemarie
Ossiane>> Je suis bien triste ce soir. Véritablement en deuil. Sans jouer sur les mots pour une fois. Fort égoïstement, j’ai ce sentiment que ton haïku m’est adressé aujourd’hui. Bizz.
>Anne-Marie:
Bonsoir Anne-marie, contente de te retrouver;-) Je me demandais où tu étais passée car tu as disparu brusquement. J’espère que tu vas bien. Tu es de nouveau la bienvenue; on ne t’a pas oubliée, tu sais.
Ta première strophe est de toute beauté avec cette calligraphie et le murmure des miroirs. Tu nous gâtes pour ton retour;-) Calligraphie sur le sable mais également dans le ciel. Volutes de rêves à venir tandis que la mer recèle pour toujours tous les secrets de cette plage. Un grand merci pour la délicatesse et légèreté de ton poème. Je t’embrasse.
>UU:
J’ai de la peine à te voir malheureux, UU. Je viens de découvrir ta note et je comprends mieux pourquoi ce haïku te parle si fort. C’est terrible de perdre des êtres chers qui ont tant apporté de choses dans la vie. Mes meilleures pensées t’accompagnent ainsi que Marie, ce soir. Je passe lire plus complètement ta note. Bises chaleureuses.
Un superbe message de douceur sur la plage!
Magnifique!
Bonsoir, UU.
De tout coeur avec toi.
Annemarie
>Denis Colette:
Bonsoir et bienvenue sur le blog:-) Merci pour le compliment. J’aimerais bien savoir ce qui est écrit;-) Au plaisir de te revoir sur ces pages.
Un large sourire bien que rapide avant l´arrivée de notre petit martien qu´on espére sympathique dans deux jours… Et pour te dire que mes pensées vaguent aussi du coté de ce blog et de son hote de luxe 🙂 régulierement.
De grosses bises trop rares mais toutes aussi sincéres,
>Alain du Mexique:
Merci d’être passé alors que tu dois avoir la tête prise par le grand évènement de ta vie;-) C’est vraiment tout proche maintenant. Le petit martien va bientôt mettre les pieds sur terre. Toutes mes meilleures pensées à Nora et à toi. Je vous embrasse bien fort tous les deux. A bientôt.
Bonjour, UU
le jour se lève à peine
il se sent en charge de ta peine
avec toi, de tout coeur.
Je viens juste d’ouvrir ma « fenêtre »
Sur cette plage aux larmes argentées
Aujourd’hui bien paisible
Profitons de cette paix
Qui tous les jours est manacée!
J’approche tout doucement, j’enlève mes sandales, et je trempe les pieds dans la mer, tranquillement, je viens me ressourcer un peu, et je sens déjà la fraicheur, la tête qui est légère, les pieds libres et heureux, le regard parti en croisière, elle est bien belle cette mer généreuse, elle semble si calme, si douce, si tendre, on a envie qu’elle soit chaude pour y nager dedans, se laisser flotter, bercer dans ses bras ravissants, oublier le temps, vivre juste le moment, fermer les yeux, être si bien, savourer, retenir ce moment, le garder précieusement, pas le serrer trop fort de peur qu’il prenne la fuite, juste le froler, se faire du bien avec ce temps, car c’est un bien beau moment de vie……
Bises à vous.
>Cristina M:
Belle image que ta fenêtre informatique;-) Oui tu as raison, cette paix est bien fragile sous ses airs faussement calmes. Je t’embrasse en bleu.
>Annick:
Je vois que tu profites bien de cette plage, Annick;-) Se laisser flotter dans un moment de douceur comme tu sais bien le faire. Dommage que l’eau soit si froide. Bises à toi.
>MioModus:
La bise également.
Un jeu de marelle :
éclats de mer incrustés.
Moutons nuageux
Des américains sont morts à Ohama Beach pour nous délivrer du joug nazi. Malgré les outrances de Bush, il est bon de le rappeler en ces temps d’anti-américanisme.
>Bén:
Bonjour Bén;-) Un haïku délicieux tout en légèreté. Et pourquoi pas un saute-moutons. Merci, tes haîkus sont pleins de justesse. Je t’embrasse.
>Jean-Christophe:
Ces noms sont chargés d’histoire même si la vie a repris ses droits sur ces plages. Merci pour ton passage.
Ossiane>> Hmm… Je me permets hein… de répondre à Annemarie et sven. Même si je ne suis pas chez moi…
Annemarie et sven>> Merci de vos commentaires (je devrais dire haïku pour sven), cela fait chaud au coeur. Tout de même. Et malgré tout.
Le sommeil est proche,
grande étendue bleue et calme.
Comptons les moutons !
Mon âme ensommeillée brille
en éclats brillants épars.
VERSION CORRIGEE… désolée…
Le sommeil est proche,
grande étendue bleue et calme.
Comptons les moutons !
Mon âme ensommeillée luit
en éclats brillants épars.
écriture
en retrait
caresse des nuages
faut-il prêter le flanc aux souvenirs ?
>UU:
Ne demande pas la permission,; exprime-toi autant que tu le souhaites. j’espère que ton moral est un peu remonté ce soir. Bises.
>Bén:
Tu m’as prise au mot;-) Ton poème est tout à fait de circonstance à l’heure où je le lis;-) Merci beaucoup.
>regard:
Ca faisait longtemps que tu n’étais pas venu déposer quelques mots;-) J’espère que tu vas bien. Ton poème en dit long sur cette pause volontaire;-) Quant au passé évoqué, c’est à chacun de savoir s’il a envie d’en parler ou pas. Au départ, je n’ai pas cherché à ce qu’on en parle mais les seuls noms de lieux évoqués suffisent à le faire rejaillir naturellement. Bien à toi et à bientôt.
Sourire ?
Doit-on voir dans cette image les dents de la mer ? 🙂
Bonjour et bienvenue ici;-) Sourire de ma part aussi quant cette vision dentale;-) Je ne vois plus que ça maintenant;-) Au plaisir de te lire à nouveau.
J’aime cette légèreté…on dirait qu’un texte d’une grande douceur est écrit sur le bord de cette plage…
>jean-michel berts:
Merci pour ton passage, Jean-Michel. Il est vrai que ces poches d’eau sur le rivage évoquent une calligraphie destinée peut-être aux habitants d’outre monde. Je ne sais pas vraiment à quoi cela est dû. Bien à toi, je t’embrasse.