* Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas.
Un Choeur en Trio
Sur un Solo de Saxo
La Nuit S’éveille.
* Ruelles de Sala Comacina, un petit village de Lombardie au bord du lac de Côme.
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
* Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas.
Un Choeur en Trio
Sur un Solo de Saxo
La Nuit S’éveille.
* Ruelles de Sala Comacina, un petit village de Lombardie au bord du lac de Côme.
Mais où étaient les rêves ?
J »avançais dans les ruelles
encore tièdes de cette journée trop chaude.
La nuit
J’avais besoin d’aérer mes pensées
pour préparer mes songes.
et instinctivement je marchais vers les lumières.
Alors, quand j’ai vu ces trois fenêtres là, ouvertes,
puis comme empilées l’une sur l’autre
en carrés lumineux,
forcément, je me suis arrêtée.
J’ai levé la tête
et j’ai attendu.
Evidemment, il s’y passerait quelque chose.
Faut-il que je dise tout ce que je n’ai pas vu ?
Non, c’est inutile.
L’important c’est ce que mes rêves en ont fait
et le sourire qui m’est resté…
Catherine
j’aime tes photos de nuit. A voir peut-être aussi en noir et blanc… encore plus poétique. Mais je suis très subjectif.
encore bravo | peter
Dans la venelle
Au fond du lac
La lumière est de la mousse
On y entend l’appel des sirènes
……….
Noctambule
Libellule
Sur les pavés
Délavés
Tes colliers
Tintinnabulent
Funambule
Somnambule
Qui déambule
Incrédule
Au crépuscule
Prends garde
A la tarentule
Qui te guette
Sans scrupule
…………
C’est une comptine pour les égarés
Qui cognent à la porte
Aux charmes secrets
Qui jamais ne s’ouvre
La lune seule a les clefs
Si vous la chantez
Quand elle se lève
Alors vous verrez
Trois fenêtres ouvrir
Leurs volets
Et tout l’or des songes
Briller dans la nuit
Pour vous éclairer
………….
Libellule
Prends garde
Si le rêve tarde
A la tarentule
« tintinnabulent »
Trois fenêtres ouvertes
Au loin
Quelques notes de musique
Se laissent entendre
Il fait chaud
Et les songes
Tardent à venir
Et pourtant
Les fenêtres sont ouvertes…
Les lumiéres sont allumées
Pour guider
Les petits songes
Aux ailes dorées!
Fenêtre ouverte
fenêtre ouverte
sur un abime clos
spirale qui entraîne
dans un long puit noir
lisse comme une veine
à l’autre bout du voyage.
SVEN
Comme une signature de lumière, sur cette façade noire
Mais que se passe-t-il à l’intérieur, je voudrais voir.
Au premier étage l’enfant dort dans le jour car il a peur
Au deuxieme étage la grand mère éveillée attend son heure
Au troisieme étage les amoureux sont emportés hors du temps
Et moi je suis là, à me demander ce que j’attends.
A bientot, lumière.
songes de nuit et rêve de jour
en songes des lumières diffuses
ont réveillé en moi
les désirs les plus fous
j’ai peaufiné mes rêves
je les ai éclairés d’émotions
de sensations charnelles
mes songes m’offrent des images
qui réveillent mes rêves
réchauffés par le jour
……………………………..
ossiane…
plus de problème informatique mais une periode où je fais cohabiter temps personnel avec nouveau temps de travail
bon week-end à toutes et tous.
au clair de lune
le noctambule musicien
fait de vertes bulles
Au fond de sa ruelle
Tout est quiétude
Les murs réverbérés de vert
Trois fenêtres généreuses
Ouvertes
Laissent échapper
Une athmosphère sereine
La Paix est au bout
De sa ruelle sombre
Qu’il quitte librement
Et abandonne avec légèreté
Pour cette Lumière si belle
Tant de vie pleine de grace
Au fond de cette ruelle
bonjour bouldegom, bon week à toi, bonne suite la meilleure possible dans ta nouvelle organisation..car j’aime bien lire tes poêmes, avec ceux des autres.. bon week à tous!
déambuler dans la nuit ! essayer de deviner ce qui se cache derrière ces fenêtres pleines de lumière… mystère, amour, famille, solitude ..
Dans la nuit urbaine, nous arpentons dans l’onde verte intégrale…
Pour notre bonheur
Deux secondes d’apnée
Et le mystère est là …
>Catherine :
En lisant ton poème, j’ai l’impression de me retrouver dans ces lieux déserts et.silencieux. C’est un peu dans cet état d’esprit que je découvrais ces fenêtres ouvertes qui semblaient m’attendre 😉 Merci beaucoup de suivre aussi fidèlement et justement cette promenade en poésie. Ce sourire m’est resté aussi. Je t’embrasse.
>Peter Gabor :
Contente de te voir par ici, Peter 😉 Je sais que tu affectionnes les ambiances de nuit 😉 Je suis bien évidemment sensible aux mots d’un grand pro de la photograhie de concert et du design. Pour ce qui est du noir et blanc, je ferai quelques essais en coulisse. Je suis curieuse de voir ce que ça peut donner.
Pour ceux qui ne connaissent pas encore Peter et son blog Design et Typo, je vous invite à faire un détour par son site d’une très grand richesse de contenu.
http://paris.blog.lemonde.fr
Bien à toi et bon week-end !
>amichel :
Scotchée par ton poème à quatre temps plein de fantaise et de bulles poétiques ! Là aussi, tu suis fidèment le chemin des photos tout en faisant un lien avec la précédente note à propos de cette porte qui ne veut pas s’ouvrir 😉 C’est une vraie petite histoire que tu nous racontes. Qu’il est bon de parcourir ton grand livre des songes, Michel ! Bulles d’amitié vers ton toi(t).
>Cristina M :
Le climat que tu me décris est assez tempéré finalement. Ton cœur doit se gonfler d’émotion à l’appel du printemps. Tu vas pouvoir respirer à nouveau 😉
Merci Cristina pour tes visites chaleureuses et pour cette jolie fenêtre poétique à la recherche de la clef des songes. Je t’embrasse.
>Sven :
Ces photos te parlent. Ca se sent dans la façon dont tu relies cet abîme lisse à cette fenêtre. Un abîme qui entraîne dans un voyage que chacun seul connaît. Merci beaucoup pour ta plume sensible. Je suis contente que tu nous fasses partager l’approche poétique qui est la tienne. Je t’embrasse.
>Ark :
J’ai cru comprendre dans la note précédente que tu appréhendais un peu cet univers nocturne. Je trouve que dans cette note, tu t’appropries la photo de façon formidable. A Chaque étage, une étape de la vie avec son insouciance, sa sagesse ou ses angoisses. J’aime beaucoup la façon dont tu temines le poème avec cette attente interrogatrice sur le monde et sa lumière qu’il faut aller chercher. La lumière veille sur nous, tu sais ; elle reviendra bientôt 😉 Bon week-end et un grand merci !
>Bouldegom :
Contente d’apprendre que tout est rentré dans l’ordre 😉 Bon courage tout de même pour cette réorganisation de vie.
Un poème très subtil, boudegom, dans lequel tu joues sur plusieurs registres avec la nuit, le jour, le désir, les songes et les rêves. Tous ces mots se frottent les uns aux autres avec émotion. Merci, j’aime beaucoup. Je t’embrasse.
>Fred de Toulouse :
Merci Fred pour ce petit poème très visuel et plein de fantaisie. On pourrait presque en faire un tableau 😉 Belle journée. Bulles musicales vers Toulouse et Nougaro.
>Annick :
Toi aussi Anncik, tu fait la promenade dans l’ordre que je propose 😉 Merci de l’avoir suivie aussi bien et de laisser échapper ces notes poétiques lumineuses. Bon voyage à toi.
>Véronique :
C’est tout à fait ça Véronique et dans le silence alors qu’il y a pas mal de gens qui vivent derrière ces fenêtres. On peut évidemment tout imaginer. Bon week-end à vous !
>Lyriann :
Il me semble me souvenir que tu aimes ces ambiances de nuit. Tu te laisses happer par cette lumière verte qui te montre le chemin 😉 Bonne premenade, Lyriann et merci.
>Guess Who :
C’est le week-end, Tiago est de retour 😉 Je vois que tu n’oublies pas les petites précisions techniques que je t’ai données 😉 Tu les détournes très gentiment. Je t’invite à essayer de faire cette plongée en apnée la nuit avec ton appareil. Tu m’en diras des nouvelles 😉 Bonne pause; je t’embrasse.
porte illuminée
tout au bout de mon chemin,
je franchis la nuit.
trois notes dorées
s’élèvent dans cette nuit.
Pourquoi s’arrêter ?
Archétype d’essence de sublimation, je silhouette les abysses de l’imagination dans ton monde ou se mêle mystère en brise de verte lumière sous fond fusain en sanguine beauté de douceur.
De mon vent du nord, je t’envoie des proses de bises amicales
Juste un bruissement
Souffle léger entrecoupé
Mots chuchotés
Glisse le pied
Sur le pavé
Et voici la lumière
Que j’attendais
>Brigetoun:
Tu me gâtes beaucoup, brigetoun. Deux splendides haïkus que j’aurais aimé écrire. Un par photo. J’aime l’ouverture que tu leur donnes. Merci à toi. Je t’embrasse.
>Bruno:
Je crois que je vais pouvoir t’appeler Bruno tout court maintenant. Tu n’as plus de concurrent;-)
Je me laisse submerger totalement par cette douce vague de verte lumière qui n’appartient qu’à toi. Je te silhouette depuis ma mer d’opale le calligramme de l’amitié et t’envoie deux bises vert émeraude;-) Merci beaucoup, Bruno pour ta chaleur.
>L’oeil vagabond:
Merci Chris pour ce beau cadeau de mots. On dirait que tu esquisses des pas de danse avec ta souris poétique;-) Les mots se posent sagement les uns après les autres pour entamer cette danse chuchotée. Je t’embrasse affectueusement.
UN pas de pas à pas
UN homme s’avance dans la nuit
IL arrive au bout de la ruelle
UN oubli de l’étage qu’il désire tant retrouver
IL trouve les trois fenêtres allumées
UN vertige le prend
IL a peur de ne pas la retrouver
UN creusement de tête, une errance dans son coeur
IL retrouve le numéro de l’étage, monte
UN bien être le saisit
IL la retrouve sa lumière
UN paradis lui est offert
IL baisse la lumière
UN raz de marée l’envahit
IL savoure les délices du temps
UN tourbillon d’Amour
IL se sent encore plus IL
Entrecroisés
d’entrebaillées
douce luminosité
Bonsoir,
Pourquoi ai-je éprouvé le besoin de ce commentaire?..Vous en lisez des dizaines..Peut-être partager avec vous, l’auteur, l’espace d’un instant,la beauté de ce site…Je nommerai votre blog sur le mien,si vous le voulez bien…
trés beau l’ensemble photo haïku,
j’ai rèvé de le caresser et que le son du saxo
accompagne la douceur de cette vision
Bravo
c’est très beau !
le haïku chemine sans couac sur la photo, mélodie qui s’insinue dans notre imaginaire …
même la photo toute seule me captive .. ces fenêtres plus ou moins entrouvertes .. pourquoi l’une plus que l’autre ..
bonne journée
au coeur de la nuit
merci d’avoir laissé la lumière
j’en suis sûre c’est bien ta fenêtre
qui est restée grande ouverte
tu as dû patiemment m’y attendre
penché vers le coeur de la nuit
tu as dû écouter pour deviner
mes pas dansant sur le pavé
tu as dû respirer yeux fermés
l’air portant la musique du large
me voici je suis dans l’escalier
déjà la chaleur de la fête m’inonde
ce bouquet de couleurs est pour toi
viens et serre moi dans tes bras
Toujours un contraste saisissant dans tes deux derniers articles entre la rue relativement sombre avec une lumière verdâtre presque inquiétante et l’explosion époustouflante de la lumière sur tes Haïku calligrammes.
Etonnant.
Un embrasement infernal ?
Le passage du manque de lumière à l’excès de lumière !
L’aveuglement, le choc quand on passe de la nuit à la lumière vive ?
Peut-être la peur dans cette rue déserte et sans bruits.
Je t’ai répondu par chez moi, grrr ce virtuelle ou sans l’intonation de la voie des commentaires peuvent parfois être mal interprétés.
Passe un bon dimanche ! ! !
>Merci Annick pour ce poème qui part dans l’escalier des sentiments à la recherche de sa lumière. C’est une idée originale d’être partie là-dessus. Ces fenêtres rougiraient qu’on leur prête tant d’intérêt 😉 Monsieur IL doit être très heureux à cette heure-là. Bien à toi. Je croyais que tu étais partie en voyage ?
>Vi :
Merci beaucoup pour la douceur de ton haïku ouvert 😉 J’y vois un petit clin d’œil conscient ou pas aux croisées ou fenêtres. Je n’oublie pas de te répondre 😉 Passe un bon dimanche avec tes filles.
>Jeb :
Bonjour Jeb, je vous souhaite la bienvenue 😉 Tous les commentaires sont lus et reçus avec intérêt bien que j’en lise beaucoup 😉 Très sincèrement.. Je suis toujours touchée quand quelqu’un prend un peu de son temps si précieux pour venir déposer ses impressions alors qu’il n’y est pas obligé. Il n’y a pas de sot commentaire. J’espère vous avoir mis en confiance 😉 Alors, je vous dis un grand merci pour ce que vous m’avez dit ainsi que pour ce lien. Au plaisir de vous revoir ici. Amitié.
>Hopi :
Bonjour Hopi et bienvenue sur le blog 😉 Je suis sensible à ce rêve de douceur que vous éprouvez à l’égard des mots et de l’image. J’ai un peu hésité avant de me lancer dans cette direction mais bien m’en a pris visiblement;-) Merci à vous et à un de ces jours sur le blog. Bien amicalement.
>Martine :
Quand tu viens chez moi, c’est que tu es enthousiaste ;-)) J’ai tout de suite pensé à la musique quand j’ai choisi la photo et je constate que les ambiances de nuit avec lumières m’évoquent souvent cela. Quand j’ai vu ces fenêtres éclatantes dans le noir, ça a fait tilt instantatément. Je suis plutôt du genre noctambule, tu sais 😉 Merci pour tes mots qui me font chaud au cœur. Bon dimanche !
>Bouldegom :
Quel beau poème d’amour, bouldegom ! J’aime beaucoup toute l’intensité de l’attente que tu décris. Attente sereine d’un moment unique. Puis enfin la rencontre tant désirée dans un éclat de sentiments qui explosent en couleurs. Merci à toi, reine des émotions. Je t’embrasse bien fort.
>Michel :
Tu as raison Michel de souligner ce contraste de lumière entre le calligramme et la photo. Visiblement, ça t’a frappé. Ne t’inquiète pas pour moi, tout allait divinement bien bien lorsque j’ai fait cette balade de nuit.
J’ai toujours des hésitations à faire ce genre de calligramme. Mais d’autre part, je me dis que nous sommes entrés dans le haïku qui parle de musique et de voix qui jaillissent des fenêtres. D’où cette explosion de lumière et de couleurs. J’ai fait un peu la même chose avec la note Nocturne pour exprimer ce qu’il y avait de l’autre côté de la porte.
On écrit des mots et puis après, il faut faire passer des émotions par le graphisme qui doit servir le sens du haïku. Ce n’est pas toujours facile mais je ne me prends pas trop la tête non plus 😉 Je me laisse porter quitte à me planter de temps en temps 😉
Bien à toi Michel pour ces impressions qui me font réfléchir aussi. Je t’embrasse.
>Bruno :
Il n’y avait pas de problème d’interprétation, Bruno. J’ai sans doute été maladroite pour que tu perçoives mon commentaire de cette façon. Bises du dimanche.
Super chouette!!!! Bravo!!!!!!!!!!!!!!!!!!:)
>Alain du Mexique:
Hola Alain, tu m’as l’air bien pressé;-)
Magnifique !
Bravo !
J’adore !!! Toute cette série est vraiment mystérieuse et nous permet d’imaginer toute sorte d’histoire.
Bises nocturnes
Judith
>gAZPARd:
Bonsoir et bienvenue sur le blog;-) Merci pour ta clameur sincère qui me fait plaisir. A bientôt peut-être. Bonne fin de soirée.
>Judith:
Coucou Judith;-) Je te sens vraiment conquise par ces éclairages de nuit et je t’en remercie. Tu aurais aimé t’y promener, tu sais. Bonne forme pour le grand jour! Je t’embrasse.
Trois rectangles de lumière..
Architecture ou alchimie immobilière…
Reliés par un escalier imaginaire..
Recueillant nos rêves et nos chimères..
Fenêtres à l’équilibre précaire..
En suspension et sans charnières..
A nos regards découverts
Offrent amour et..plafond de verre..
C’est la limite de nos rêves…
Chacun reste dans son intérieur…
Conversations ou étreintes brèves..
Mais…est on vraiment ..demandeur..
Mélodieuse nuit
Toujours le même jeune homme, tous les soirs
Perdu dans cette ville, prisonnier de sa bulle
Déambulant dans le silence; dans sa tête, le désespoir
D’un bon train, croisant d’autres noctambules !
Au détour d’une ruelle, des pas résonnèrent à ses tympans
Il s’arrêta net et les bruits cessèrent en un instant
Regardant autour de lui,
Il comprit le fin mot de ces bruits :
Ce n’était que l’écho de ses pas
Résonnant sur ces bâtiments-là !
Soulagé, il reprit sa course folle vers l’inconnu
Resongeant alors à ces sons inattendus !
Plus loin, un spectacle de taille l’attendait
Sur un petit immeuble, trois fenêtres s’illuminaient
Telles des choeurs, en un instant, elles s’éteignirent
Le rythme des pas et maintenant ces choeurs qui lui dirent :
Vas-y ! En un instant, il regagna son chez lui
Ornés de ce rythme et des choeurs dans son esprit
Il engagea alors une séquence de cordes des plus assorties !
Décidément, quelle soirée et quelle mélodieuse nuit !
Chris
>Chris:
Voilà la note qu’il te fallait! Je n’en ai pas beaucoup liées à la musique. Cette nuit qui commençait morose avec cette triste errance nocturne se termine en beauté mélodieuse. Très sympa d’avoir attrapé ces choeurs qui s’échappent de ces trois fenêtres. Ta séquence de cordes répond joyeusement à ces notes de saxo. Un grand merci, Chris, pour ta belle poésie. Bon dimanche!
Bravo pour ces photos de nuit ! Beaucoup de chaleur dans ces scènes !
>Joël:
Bonsoir Joël, bienvenue sur le blog! merci pour ton enthousiasme chaleureux! Au plaisir de te revoir ici.
– Flûte, pourquoi toutes ces larmes ?
– Et toi violon qu’as-tu pour être si triste ?
–Mon coeur sur le tien se penche
Errant, priant le seigneur de l’univers
Viens racontons leur histoire
L’histoire de celui mort, égorgé pour une parole
-Et celui parti pour une étoffe de hidjeb
-Ou la mélodie du musicien, chanteur rossignol
-Pourquoi flûte toutes ces larmes ?
-Et toi violon pourquoi es-tu triste ?