* Lecture du Haïku Calligramme: horizontale puis les deux courbes verticales.
Souffle de Rosée,
Révolution de Velours
Poudre d’Infini.
*Cette semaine, j’ai invité Marie-Thérèse Obadia que vous connaissez tous sous le nom de MTO. Elle commente chaque note de L’Oeil Ouvert depuis le mois de juillet 2005. Femme sensible et généreuse, Marie-Thérèse donne sa vision poétique du monde et partage avec nous sa grande connaissance du milieu naturel. Merci beaucoup pour ton assiduité sans faille et ton amitié. Je te souhaite de bien t’intégrer dans cette belle région de Bretagne où tu viens d’emménager.
Voici ce qu’elle m’a transmis:
Fan de roses anciennes, de Paris, de la pluie, de la Bretagne et de la mer…. en riveraine….. mal de mer oblige, je rentre seule dans ma 4ème saison et dans le chantier de ma 5ème maison en ruine pour l’instant…. avec, comme d’habitude beaucoup d’inconscience….. C’est mieux pour ce genre de défi, évidemment….. entre Golfe et Océan. C’est avec beaucoup de joie que je me laisse surprendre, jour après jour, par le regard lumineux et révélateur d’Ossiane sur le monde, et par tous les commentaires des assidus de ce blog vivant.
Ambre du cuir
Volupté de la soie
Qu’un frémissement transcende
Et ponctue d’incandescence.
Marie-Thérèse Obadia
voilà la montgolfière comme le sein de la terre
les plis marquent l’onde du berlingot géant
des perles de lumière s’égrennent en sautoir
l’accent vrille et s’étire emportant la nacelle
de la corne de brume, je largue les amarres
Sieste amoureuse
———————
Dans la chambre close
Le soleil t’a offert
Un collier de perles de lumière
En hommage à ta nudité
Avec les gouttes de rosée
Que l’amour a laissées
Sur tes lèvres
Mon cœur se désaltère
Les draps défaits
Ont ton parfum d’orange
L’air est tout saturé
De bulles opalescentes
Et fruitées
Emulsions envoûtantes
Nos corps engloutis
Dans la mer infinie des caresses
Connaissent l’ivresse
Des plongeurs de fond
Et des mots ineffables
S’ échappent de nos bouches
Une poudre de rêves
Nous fermera les yeux
Et dans ses nacelles de verre
Nous embarquerons
Enlacés
Pour des mondes inouïs
Perles de rosée enflammées par les premières lueurs de l’aube. Perles qui frémissent quand le vent du jour se lève et vient les caresser. Perles éphémères. Il ne nous reste que le souvenir de leur beauté.
de la rosée aux perles de sueur
du souffle à l’air embué
du velours aux draps de soie
de la révolution aux tourbillons des corps
de la poudre d’infini à la poudre de rêves
Des perles de lumière dans un grand désert aux vagues ondulantes
La mer charrie le sang et la douleur
mais les vagues ne sont plus de tempête,
elles viennent mourir sur la rive
Détente
Mer lourde du passé
Le mur ?
La lumière est floue
Elle a percé les nuages lamelles-barreaux
Étrange réalité
complexe
Souffle doux de la lumière
doux baiser
douce caresse
Les forces de vie remuent comme après un long sommeil
Une belle au bois dormant s’étire
étend ses membres
frémissement de vie
je viens de lire les commentaires
il coule un frémissement de vie ce matin sur le blog!
rosée du matin du haiku
frémissement de la soie de Marie-Thérèse: j’hésite entre ceinture sur chemisier de soie, tissu léger doux « vivant » où la lumière joue ou femme vêtue de soie sur un fauteuil de cuir mais tout cela frémit et vit,
comme son largage d’amarres vers la Bretagne (bon vent MTO)
bouldegom s’envole en montgolfière
amichel plonge dans la rivière profonde
zébu sent le vent du lever du jour
bon début de journée!
merci à tous
merci à Ossiane et Marie-Thérèse pour leurs mots de douceur convoquant toucher et odorat…
et quel délice de flâner au fil de tous les comm !
belle journée à tous
et voici que poind une aurore boréale
voie lactée piquetant son message codé vers l’infini
couleurs d’agrume enflammant l’horizon
promesse d’un jour nouveau tout d’énergie contenue
Au Grand Cirque
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Parfaitement alignées
Les soucoupes volantes
Se tiennent à l’affût
Ce n’est pas la Guerre des Mondes
Mais mon premier face à face
Avec les feux des la rampe
Merci Ossiane…
Enchanté Marie-Thérèse dont je lis les écrits talentueux.
Chère Ossiane, j’aime ton titre, ton haïku, par contre la photo m’échappe…
L’étincelle, je l’attends,
Amour viendras-tu ?
Les jours passent, rien…
Bises rouges,
OLIVIER
Aurore Boréale, soleil couchant…
Bonjour à tous
Je suis éblouie par la volupté, la tendresse, la légèreté et l’originalité qui se dégagent de tous les commentaires. C’est un vrai plaisir de vous lire. Marie-Thérèse a donné le ton avec son beau poème plein de sensualité et je la remercie. Je ne pensais pas que cette traînée de poudre allait faire tant d’étincelles;-) J’ai le coeur qui fait boum!
A tout à l’heure pour mes commentaires plus fournis.
Ossiane
Après une petite absence, je reviens faire un ti tour sur ton blog où je découvre de nouvelles photos magnifiques et les mots qui vont avec le sont autant. Merci à vous deux pour ce petit voyage spirituel. Biz et bonne soirée.
Rouges et Lumières,
les jeux sont faits
pour que la sensualité
naisse, grandisse…
>bouldegom :
Contente de te revoir ici 😉 Cette montgolfière me donner envie de larguer les amarres car tu en parles très bien. Mi-femme, mi-navire flottant, quelle belle vision dans le ciel ! C’est une excellente idée d’avoir pensé à cette nacelle de lumière. Merci beaucoup pour ce poème planant.
Du sautoir de perles, tu passes aux perles de sueur en partant du haïku. C’est une étreinte tourbillonnante pleine de sensualité. J’aime beaucoup. Quel talent et délicatesse d’écriture tu as ! Bonne soirée. Je t’embrasse.
>amichel :
Oh my god ! Tu fais des étincelles ! Je ne m’attendais pas à ce que cette révolution de velours donne lieu à cette magnifique sieste amoureuse dans une chambre close 😉 Que te dire ? C’est sensuel, c’est magique, c’est troublant. Je suis sûre que les visiteuses de ce blog ne me contrediront pas 😉 Tu m’étonnes tous les jours par ton talent et ta sensibilité. C’est toujours une belle surprise de voir ce que tu as réussi à écrire à partir de mon haïku. Merci beaucoup pour tes cadeaux quotidiens. Je t’embrasse bien fort.
>Zebu32 :
La façon dont tu décris ces perles de rosée est également très délicate. Gouttes de rosée embrasées par le soleil naissant qui les fera bientôt disparaître. Beautés fugitives qui laisseront leurs traces dans l’imaginaire. Je te sens très à l’aise dans cette série qui est beaucoup plus abstraite que la précédente. Merci pour ton regard sensible. Bonne soirée.
>Candide :
Quel beau texte également ! Il est dans la continuité de la note précédente. J’aime bien ton évocation de mer et de désert qui délivrent leur passé douloureux dans la première partie. Puis, les barreaux tombent pour laisser surgir ces doux baisers de lumière pleins de vie. C’est une très belle délivrance que tu nous offres là. Beaucoup de talent et de sensibilité dans tes mots ! Je partage totalement tes impressions sur les commentaires. Ca frémit dans tous les sens 😉 Merci pour ces cadeaux de mots. Bises de lumière.
>Bén :
Et voilà qu’on s’envole de nouveau avec toi dans les airs;-) Que tes phrases sont bien troussées, fraîches et spontanées. Elles expriment bien le contenu de cette photo ! C’est vraiment bien trouvé cette « voie lactée piquetant son message codé vers l’infini. » Merci beaucoup Bén pour ces mots bien choisis et sentis. Belle soirée dans les montagnes. Bises de l’ouest.
>Patricio :
Perles de lumière à nouveau mais cette fois celle que les projecteurs projettent sur la scène. Belle transition entre l’espace et ce face à face avec le public. Merci beaucoup Patricio pour cette vision originale et émouvante. C’est un choc de passer sur scène pour la première fois. Bonne soirée. Je t’embrasse.
>MTO :
Tout le plaisir fut pour moi. Cette mise en lumière permet de mieux se connaître aussi. Je t’embrasse bien fort.
>Olivier :
C’est déjà pas mal que tu aimes le titre et le haïku 😉 Certes, la photo est un peu énigmatique et abstraite car elle ne donne pas de repères sur son identité. J’en dirai davantage plus tard. Comme je l’ai déjà dit à un autre visiteur dans la note précédente, laisse-toi emporter par ce que tu vois et sans forcément chercher à comprendre. Merci également pour ton poème émouvant. La petite étincelle ne s’est pas encore allumée mais qui sait, elle t’attend quelque part. Allez Olivier, courage. Ne te laisse pas aller à la tristesse ca elle ne va rien t’apporter. Continue à regarder la vie droit devant et à ouvrir ton cœur vers les autres. Bises affectueuses.
>Véronique :
Bonjour et merci pour tes visites, photographe contemplante 😉 Tu vois que tu commences à pouvoir exprimer les choses que tu perçois. Je t’assure qu’avec un peu de pratique, les mots finissent par se mettre en place et à sortir. Belle soirée. Je t’embrasse.
>Joanna :
Contente de te revoir 😉 Merci d’avoir apprécié notre duo. On a pris plaisir à réaliser cette note. Au plaisir de te revoir. Je t’embrasse.
>Guess Who :
Tout comme Michel, je vois que tu es sensible également à cette ambiance de nuit pleine de promesses 😉 Merci beaucoup pour ce poème en hommage à la sensualité sous les feux rouge et or. Bonne soirée.
Ossiane>> Cette volupté qui se dégage des commentaires… c’est un peu toi qui l’engendre par tes photos et tes textes. Si si, ne rougis pas ! ;o)
Bizz
Vous faites toutes et tous des étincelles! Bravo!
Je suis éteinte…
Bravo pour ces étincelles que vous avez provoquées chez vos lecteurs Marie Thérèse et Ossiane !
J’arrive tard, je n’ai pas pu me connecter de la journée mais je n’en suis que plus charmée par tout ce que je découvre aujourd’hui !
———————–
Etincelles entre l’actrice et l’auteur
Le rideau en drapé rouge allait se lever
Et tu avancerais sur la scène éclairée
Faisant silence de ta vie pour un auteur
Et jouant la comédie pour les spectateurs.
Tu dirais le texte dans l’illusion parfaite
Qui ferait oublier que tu n’es qu’interprète.
Et puis la salle lancerait tous ses bravos
À la mesure de ton talent sans défaut.
Plus tard, tu serais seule dans ta loge sombre,
Perdue dans les mots fantômes traînant leurs ombres
Au plus absolu du prêt de tes émotions,
Vampirisant ton cœur pour leur célébration.
Mais tes mots à toi, qu’en était-il de leur vie ?
Les cachais-tu, dans la soif des autres assouvie ?
Pourtant, parfois, une étincelle dans ta voix
Semblait plus que de raison te mettre en émoi…
Qui pouvait se douter au tomber du rideau,
Que tu retrouvais alors le trop lourd fardeau
De n’avoir jamais su dire tes mots à toi
Sans mourir d’une timidité qui foudroie !
Et ainsi tu te prêtais à d’autres paroles
Comme aux flammes euphorisantes d’un alcool
Comme aux perles de lumières d’un bracelet
Te liant aux autres le temps d’un feu follet.
De toi ou de l’auteur, qui était l’emprunteur ?
Toi de ses écrits ou lui du son de ton cœur ?
Et si le rideau n’était que cette étincelle
Du frottement de deux expressions qui se scellent ?
Et si les mots avaient besoin de ton regard
Pour trouver leur pudeur avant de se valoir ?
Souris des soirs où on applaudissait l’auteur
Car ses mots se paraient des habits de ton cœur.
Catherine
caresses
sensuelles
ondulentes
toboggan des bulles
diaphane des perles
Elle portait un drapé de velours rouge
coulant en vagues de mystères
depuis sa gorge
où ondoyait un bijou serpent
fait de diamants…
Elle dansait, sensuelle…
Hypnotisant celui qu’elle piquerait de son venin.
Catherine
à propos du Haïku Calligramme
et plus du calligramme que du Haïku:
le cuir d’ocre rouge
résiste à son élan
la gouge glisse
en creusant sa croisée
sur la peau veloutée
des empreintes rosées
éclosent infiniment
les liens qui se dérobent
soulignent en rubans
une saignée lactée
au fil des plis courbes
dans un murmure de mots
elle grave patiemment
quelques signes d’argent
Lumières tamisées
Plissées d’ombres rosées
Amours cachées
Bises parfumées.
>UU:
Je te promets que je parlais du rouge de la révolution et pas d’autre chose ;-)) Bises en noir et blanc.
>Merbel:
Tu ne peux pas faire la fête tout le temps 😉 Un gros dodo à toi.
>Catherine:
Rideau rouge, entrée en scène, jeux d’acteur et d’auteur. Comédie, mots d’auteur empruntés, illusion du sens. Vérité, mots d’acteur vécus, timidité. C’est très intéressant ce questionnement sur cette relation entre un auteur, un acteur qui parle avec son coeur et ce rideau rouge qui fait le lien entre les deux. Ce n’était vraiment pas facile à mettre en scène et tu l’as fait brillamment et avec ton coeur! Comme les spectateurs assis au premier rang, j’applaudis à tout rompre ;-))
Après la scène ou peut-être sur scène pourquoi pas, une superbe créature ondoyante fascine son auditoire. La façon dont tu décris sa danse me fait penser au très beau film Gilda avec Rita Hayworth. Tu nous hypnotises, Catherine ce soir. Une journée de braise aujourd’hui :-)) Bonne nuit et merci pour tous ces beaux mots.
>Lilly:
Coucou, heureuse de te revoir 🙂 Merci beaucoup pour ce toboggan de bulles dans lequel je saute à pieds joints pour savourer les ondulations sensuelles de ton poème perlé. Enivrante glissade au milieu de tes mots. Bravo à toi, douce lilly. Bises et rêveries bulloises (je reprends tes expressions:-)
>Bouldegom:
Cette note t’inspire beaucoup 😉 Peau, cuir, mots gravés, saignements rosés, résistance et patience. Tu esquisses en mots très bien choisis le travail de cette gouge presque vivante. J’aurais bien aimé savoir quel était ce murmure. Un murmure de douleur ou de bonheur? Bises de nuit. Merci.
>Annie-Claude:
Tiens te voilà au coeur de la nuit avec tes petits mots mutins 😉 Ambiance tamisée, confidences, intimité, amour secret. Un poème délicat et suggestif 😉 Merci beaucoup, Annie-Claude. Bises vermeil vers Tahiti.
Ossiane, chaque fois que je vais sur scène … c’est une première fois. Il y a des repères, on est plus à l’aise, mais l’émotion est toujours la même. Comme lorsque je place un texte sur ce blog.
Mouvements circulaires,
trajectoires,
révolution infinies,
à la croisée des orbites,
poudre de météorites,
anneaux de Saturne ?
Satellite qui croise les anneaux ?
Je lis ce blog de l’Italie. Je suis ravie par sa beautée. manuela
Des étincelles doucecement parsemées , semées , ont surgi des flots de mots , de sensations , de sentiments , d’une photo , d’un regard , des mots , un texte , des commentaires qui s’envolent , c’est …magnifique !
Bravo ! C’est un vrai plaisir , je repars , avec un grand sourire …
>Patricio:
Cette fraîcheur de la première fois est à garder précieusement au fond de soi. Merci, ça me touche. Je ne pensais pas que cette page de blog pouvait ressembler à un plateau de scène mais il est vrai qu’on y est lu et découvert par d’autres yeux 😉 Bonne après-midi.
>Michel (2):
Ca y est! Je crois que tu t’es définitivement lancé 😉 Belle plongée dans l’univers et les anneaux de Saturne! Tu exploites bien ces lignes et points lumineux pour nous emmener en voyage. Un autre sorte de révolution. Bravo à toi! Je t’embrasse.
>Manuela:
Bonjour, je te souhaite la bienvenue:-)) Je suis très touchée de ton petit signe amical depuis ton beau pays. Tu parles bien français. Reviens nous voir quand tu voudras. Amitié de France.
journée de luxe pour moi aujourd’hui…
… ma « fenêtre réelle » de mon bureau genevois : les Alpes ont joué la séduction toute la journée, se nichant dans brumes et nuages pour mieux s’offrir en majesté à l’heure où je vous écris… pics enneigés se découpant sur le ciel bleu…
… par ma « fenêtre virtuelle » : un pan de baldaquin brodé de perles de cristal…
… et le plongeon dans l’univers poétique et sensuel de amichel…
moi, je dis que ce vendredi est une bien belle journée !!
>Avanaé:
Tu ne peux pas me faire plus plaisir en me disant que tu repars le coeur léger. Et toutes ces sensations qui s’échappent de ta bouche. Tu n’es pas très loin de la poésie, tu sais. Je ne m’attendais pas à de si belles envolées poétiques sur cette note. C’est agréable d’être surprise. Merci beaucoup pour la fraîcheur de ton regard. Au plaisir de te lire à nouveau. Je t’embrasse.
>A Bén à ses deux fenêtres:
J’imagine bien que la vue doit être splendide si le ciel est dégagé. Cette région est magnifique. Profite à fond et prends des photos.
Joli et raffiné le baldaquin! Je me doutais que amichel n’allait pas manquer de faire craquer les visiteuses de ce blog ;-)) Merci beaucoup pour cette joie communicative. Tu nous donnes un bon coup de fouet au coeur de l’après-midi. Bises de l’ouest.
Je ne sais pas si j’aurai l’occasion de me connecter avant lundi…
Je vous souhaite, à chacun, un excellent week-end
Bises frileuses !
Ca va devenir mon petite habitude de te lire…ossiane… :-))
et j’aime bien les petites habitudes qutotidinnes…respirer, aimer, lire, rire…
manuela
>Bén:
Bon week-end neigeux. Je t’embrasse.
>Manuela:
Tu parles vraiment couramment le français. Où habites-tu en Italie? Je suis ravie que le blog te plaise et j’aime tes bonnes petites habitudes. Surtout, n’hésite pas à laisser passer tes émotions. Je te répondrai. Ca va te faire un bon exercice linguistique et sensoriel. Bon week-end. Bises de France.
Bonjour Ossiane. Je rèpond volontiers à la question que tu m’as posèes: j’habite près de Milan, parmi des douces collines. J’aime la poèsie et la force des mots. Excuse-moi mes fautes d’ècriture, je sais qu’il y en aura beaucoup. Ce blog c’est un cadeau pour les yeux et le coeur. Bon w-e à toi aussi. Bises italiennes 🙂
>Bonjour Manuela;-) La qualité de ton français m’épate! A part quelques accents mal posés, il n’y a pas de fautes de tournures. Merci d’avoir répondu à ma question. Tu ne vis pas si loin de la France. Merci d’apprécier le contenu de ce blog. De nombreux poètes viennent y écrire chaque jour pour notre grand plaisir. Tu peux essayer si tu veux ou bien tout simplement donner tes impressions sur les photos;-) Bonne soirée. Je t’embrasse.