N’oubliez pas de cliquer sur la photo pour découvrir le panorama dans son ensemble.
* Lecture du Haïku Calligramme: du haut vers le bas.
Eau de Lumière,
Sur le Seuil de l’Océan,
Berceau de la Vie.
* Photo de la plage de Pirou dans le Cotentin.
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Bonjour Ossiane
Enfin la lumière fût…
Et quelle lumière!
J’aime bien la vue panoramique mais j’avoue un faible pour le cadrage plus resserré. Avec Jean, tu as trempé ton pinceau dans l’or.
Ces plans qui fuient et se répètent, au ciel comme à terre, ce rayon oblique – la grâce, je te le dis, la grâce – le doigt créateur… C’est vraiment magnifique Ossiane!
Je n’ai pas en ce moment le souffle pour te mettre toutes ces sensations ressenties devant tes photos du moment, en mots comptés… mais elles sont là: tu sais les éveiller, oh! combien .
Bises. Pierre
bravo à vous pour ce blog… rien de plus à ajouter !
Bertrand
Bonjour ,
Ton calligramme en forme de croix d’ankh et qui est appelé également « croix de vie » symbolise très bien toute ta série .L’eau la lumière est bien, en effet les éléments essentiels pour une vie sur Terre.
Ce panoramique est très bien réussi , le soleil avec ces rayons d’or qui se dédouble dans ce ciel .C’est toujours un formidable moment de pouvoir assister à un tel spectacle.
Bonne fin de journée
Amitiés
Eric
D’abord chère Ossiane, superbe photo !! et le design des calligrammes est splendide !!
L’Origine de mon Cheminement
Une éducation sans faille parentale,
14 ans de judo, un Art Martial,
M’ont appris une philosophie,
Celle d’aimer la vie !!
De sourire, de respecter,
D’apprendre, de pleurer,
De ne pas haïr,
De parler et surtout de dire,
De ne pas mentir,
De savoir-vivre,
Tous les jours qui passent,
J’essaye de suivre ces traces,
Je ne réussis pas toujours,
Alors je demande sans détours.
Bises du coeur,
OLIVIER inspiré…
on a beau le savoir, c’est toujours étonnant de voir comme un cadrage différent donne une toute autre identité et un relief étonnant à la photo…
cet or liquide niché dans cette immensité mordorée, c’est somptueux
voilà donc ce que contemplait Dame Lune ?!
Toujours très beau.
Je reste, moi, un peu sans mots …
L’univers marin ne cesse de nous étonner mais peut-être que c’est toi Ossiane qui nous étonne le plus.
Tu nous tiens en haleine en tout cas.
Bravo
Mémoires
———–
Fontaines du soleil pluies de lumières
Qui dorent l’Océan à l’heure du couchant
Quand la vague berce la plage côtière
Du murmure incessant du roulis de son chant
Comme la vie paraît simple douce altière !
L’air vivifiant mêlé aux senteurs dans le vent
Emplit nos cœurs d’espoir et nos âmes fières
Connaissent la vraie paix dans le jour finissant
Pourquoi ce flux d’ardeur et cet apaisement
Dans la contemplation et dans le mouvement
De l’Horizon sans fin et de la vaste Mer
Est ce le souvenir perdu dans la mémoire
De ces commencements d’où naquit notre histoire
Ou la fin promise d’un avenir amer
Merci… c’est tellement beau…
Couleurs dorées, lumière tamisée, toujours ce calme photographié depuis quelques jours. Photos entre jour et nuit, quand le soleil a perdu de sa puissance, mais nous marque de sa présence, nous regarde en coin.
morosité ? apaisement ? sérénité ? mélancolie ? rêveries ? pause ?
Tes photos reflètent-elles ton état du moment ?
Amitiés.
Suite à des problèmes techniques cette nuit, je n’ai pu publier qu’en fin de matinée. Je ne mettrai donc pas de nouvelle note ce soir car de nombreux visiteurs passent le matin et n’ont pas encore vu cette note. Merci de votre compréhension.
>Pierre (2): C’est pure coincidence entre nous cet or mais c’est amusant 😉 Ton commentaire me fait très plaisir et tes mots toujours savamment choisis me touchent beaucoup. J’ai eu beaucoup de joie à rester sur cette plage pour voir tomber le soleil. C’est que peut-être cela que l’on ressent. Toute mon amitié. Je t’embrasse, fidèle blogueur.
>Bertand: Très gentil à vous de me donner votre sentiment. Au plaisir de vous revoir. Bien amicalement.
>Eric: Merci de me signaler le nom de la croix que tu vois. Ce n’était pas voulu de ma part mais si en plus, elle symbole de vie, c’est
encore mieux;-) Tu as très bien compris où je voulais en venir depuis le début de cette série. Merci à toi. Je t’embrasse.
>Olivier:
Bien inspiré en effet:-) C’est judicieux de raccrocher le titre de cette note avec celui de la précédente. Tu as pratiqué ce sport pendant très lontemps. Jusqu’à quel niveau es-tu allé? Je me doute bien que cet art martial est pour beaucoup dans ta façon d’appréhender la vie maintenant. Bravo pour ce poème qui illustre bien le beau chemin que tu essaies de tracer et de suivre chaque jour. Je t’embrasse chaleureusement. Bonne soirée.
>Bén:
Je suppose que tu veux parler de la composition verticale de la photo. Dame Lune était sans doute pressée d’aller se coucher. Je suis contente que tout cela t’ait plu. Merci encore de rentrer si bien dans le jeu. Bonne soirée parisienne. Bises dorées.
>Michel (2):
Ce n’est pas grave Michel si tu n’as pas de mots à formuler. L’essentiel est que tu perçoives des émotions et que tu ne restes pas de marbre 😉 En tout cas, c’est très gentil à toi de me formuler ta satisfaction. Bonne soirée et merci de ta fidélité. Bises.
>Michel (1):
Superbe image que ces fontaines du soleil car elles inondent le paysage et tout ton poème. Doux bercement de la mer et de l’air. Coeur rempli de joie et d’ardeur devant le spectacle. L’état contemplatif conjugue ces deux sentiments. Origine perdue ou sombre destination. Travail nostalgique sur la mémoire et l’oubli. Merci de servir aussi bien les quelques vers que j’écris, poète de l’après-midi 😉 Bonne soirée. Je t’embrasse.
>Annie-Claude:
Tous ces sentiments que tu décris si bien t’habitent également, non? J’ai essayé de saisir les différents moments d’un crépuscule. La lumière qui change très vite, sculpte le paysage d’une autre manière. Les différents états que tu décris peuvent en effet refléter mon état du moment. Tout comme la lumière, ces sensations sont fugaces mais peuvent cohabiter. Je ne sais pas si j’ai répondu à ta question. Bises sereines vers une ilienne. Amitié.
ta note s’est faite attendre !-)), mais ça valait le coup j’aime ces ouvertures en fin de parcours.
pas le temps de publier ce soir sur ahah, il faut attendre demain;
Etonnamment, ce rayon de soleil, en diagonale à gauche, ré-équilibre tout.
Une pointe de poésie dans un monde trop symétrique.
Berceau de la vie
oui.
Et
Horizon sans fin ?
Comme l’humanité ?
Très belle photo
Flo
Marche dans ma ville pour me rendre au bureau…
Ciel gris et triste, fatigue de la veille…
et puis soudain cette image…
Et le sourire revient !
Beau, beau travail. J’aime ce que vous avez réalisé avec cette série de photographies et de dessin-modèle. Les couleurs, la lumière et la texture du sable… elle m’incite à vouloir aller à la plage, maintenant !
Près d’une mer montante et descendante je suis née
OUEST
Au-dessus de mon berceau des oiseaux ont inventé un ballet
SARABANDE
Leurs ailes, leur légéreté m’ont emportée au loin
MIGRATION
En d’autre lieux j’ai voyagé, accosté
RIVAGES
Dans mes yeux dans mon corps j’ai gardé des souvenirs lumineux
ECLATS
La Terre,sous toutes ses latitudes j’ai parcouru et aimé
EXPLORATION
Mais tout me manquait,suis repartie
QUETE
nuit et jour j’ai marché
CHEMINEMENT
Un beau matin j’ai retrouvé mon ouest
ORIGINE
Mais le soleil m’a éblouie
Et j’ai enfin compris
La vie ne peut être un retour
>Nina:
Pardonne-moi, je t’avais perdue. Coucou de nuit et merci.
>François (1):
J’ai attendu 3 ou 4 heures pour rien hier. Dommage qu’on ne puisse pas être prévenu; on gagnerait du temps et de l’énergie. Pause pour toi aussi alors. Merci pour ton passage.
>UU:
Ce rayon m’a un peu gêné au début. J’aurais préféré qu’il parte à droite mais tout compte fait, j’ai fini par l’intégrer. J’aime ce rayon rebelle qui ne veut pas se plier aux règles. Bien à toi. Amicales pensées.
>Flo:
Belle perspective sur le devenir de l’humanité. J’ose espérer que tu sois dans le vrai. Merci pour ta visite amicale. Je t’embrasse.
>Alexandra:
Je vous souhaite la bienvenue et vous remercie pour vos compliments qui me font plaisir. J’ai cru comprendre que vous pratiquiez la photo alors n’hésitez pas à vous promener sur la plage. Revenez quand le coeur vous dira. Bien amicalement.
>Oleod: Je préfère ce commentaire d’aujourd’hui. Amicalement.
>Merbel: Je voudrais te féliciter pour ce beau poème qui reprend un à un les jalons de la série correspondant à ta vie peut-être. Tes mots sont lumineux et traduisent bien la quête perpétuelle que l’être humain accomplit tout au long de son parcours. Bravo encore et merci. Bien amicalement.
Superbe Ossiane, cette série est un régal, tes calligrammes continuent de monter en puissance.
Du bonheur pour les yeux, du bonheur pour les mots !
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C’est là où la mer prend son rayon de soleil
En immersion pour la toilette des lumières,
Que l’on peut entendre la chanson du mystère
Où la vie prend la douceur de son grand éveil.
Son roulis est un doux tourbillon de bonheur,
Comme un long vertige où on perd tous ses repères
Et que seuls les pieds creusant le sable tempèrent
Dans un grand et délicieux frisson de fraîcheur.
C’est là que je viens goûter les sensations pures,
Que je jette tous mes mots appris et trop dits
Et retrouve leur origine approfondie ;
L’esprit nu dans le berceau des éclaboussures.
Catherine
Bravo pour ton blog (once again, mais je suis toujours sous le charme !)
>Catherine:
Je suis contente que la série te plaise. Ca se sent égalemnt dans tes poèmes. Enivrement et sensations de bonheur parsèment ces jolis vers. Belle issue pour ces mots enfouis sous le sable. Débarrassés de leur enveloppe trop chargée de sens, ils retrouvent la liberté dans le berceau originel. Merci, Catherine pour tes mots toujours si plein d’émotion. Je te souhaite une bonne fin de journée. Bises pures.
>zebu32:
C’est très gentil à toi d’avoir pris la peine de venir livrer ton sentiment. J’espère que je saurai continuer à préserver ce charme. Bien à toi. Au plaisir de te lire à nouveau.
>Jean:
Quelle belle analyse! Je suis touchée et découvre des choses que je n’avais pas forcément soupçonnées. Belle expression cette offrande vers l’infini. Ton histoire d’enfant m’émeut également puisque tu parles d’une photo qui ressemble à la mienne. Pour combler l’absence, ces cartes postales devant lesquelles tu prenais plaisir à rêver, étaient pour toi les seules portes ouvertes vers cet ailleurs et infini. Bien amicalement. Je t’embrasse.
Oh la la…
J’ai du mal à me reconnecter à la réalité
et, avec bonheur, ce ne sont pas tes photos
qui vont m’y aider 😉
…c’que c’est beau !
Je t’embrasse
PS: formidable les poissons dans les arbres 😉
>Coucou, Fred, merci d’avoir atterri chez moi après ton retour sur terre. C’était bien là-haut? Bises également. Bonne soirée.
Harmonie.
S’asseoir dans le sable si doux au creux de la dune
et s’apaiser
Regarder l’astre descendre tranquillement
et s’en retourner plein de paix.
C’est bon d’ouvrir ton blog,ouverture vers plein de rivages différents, selon les séries!
Ossiane, je te fais une grosse bise.
en fait, on dirait qu’on voit de très haut une ville avec un pont, il y a le soleil. On voit des voitures et des gens qui marchent. Il y a une rue avec des arbres. Les nuages brillent grâce au soleil et un petit oiseau vole.
En vrai c’est comme un coucher de soleil sur l’eau.
Jocelyn
Brise de soleil cachée par les nuages sur l’eau.
Gros bisou et à demain Ossiane
Capucine
Ah, ça me fait du bien de plonger dans tes si jolies photos, Ossiane. J’ai la tête dans les cartons et dans les Kms de route faits encore ce week – end.
Merci pour ces moments d’évasion.
>Merci Candide, d’être si fidèle à mon blog et de te laisser bercer au fil des séries. Dommage que je ne puisse pas t’offrir ce sable pour t’y reposer. Je te souhaite une bonne et douce nuit. Bises des astres.
>Coucou Jo, c’est sympa de venir me voir ;-)). J’arrive un peu tard. Tu es sans doute parti te coucher. Je vois ce que tu me décris. C’est à la fois une ville peuplée de gens comme toi et moi mais aussi des reflets sur l’eau avec un gros soleil qui va nous dire à bientôt. Je te fais une double grosse bise. A demain.
>Coucou, Capucine ;-)) J’aime beaucoup ta brise de soleil. C’est une belle association de mots. Gros bisous, poétesse. Belle journée et à demain.
>MTO: Ma pauvre, c’est une période difficile pour toi. Il faut quand même te ménager un peu. Je suis très touchée que tu prennes le temps de venir me voir malgré tout ce travail à faire. Courage, je t’embrasse bien fort.
Très plaisir de voir ces paysages qui m entourent au travers de tes yeux … mais encore aucune de la Hague … les rochers roses et bleus du Rozel, les grottes de Jobourg … si un jour l envie te prend, bienvenue !
Bonjour Nathalie, je te souhaite la bienvenue. Tous les lieux que tu cites et que je connais finiront par trouver leur place sur le blog car ils sont très beaux. Je t’invite à revenir sur le blog et à partager nos discussions si le coeur t’en dit. Bien amicalement.
Merci, pour toutes ces superbes photographies,
>Au fil des pas:
Merci beaucoup pour votre gentil commentaire qui me fait plaisir. Vous êtes le bienvenu quand vous voulez. Bien amicalement.
Quelle vue
Quelle lumière
Quelle nuit
A deux assis ils savourent
Et puis le sable leur offre un doux lit
Ils roulent et dévalent jusqu’au fond de leur nuit
La lune les regarde
Attendrie
Voyage voyageur
Les coeurs ont-ils des ailes?
Le ventre de la terre est un jardin de lumière
Où sous des frissons d’eau,
Des arbres blanc ivoire
S’envolent dans des jeux de miroir.
Plumes du ciel, soleil léger, page de soie…
(Le poème des mots volés)
merci Bernard, en appréciant ton comment, à nouveau la chance de regarder ce ciel, j adore infiniment, cet or si ciselé, ses vaguelettes tendres, ce soleil qui se couche et berce la belle nuit à venir, c’est beau, un beau ciel est une mine de platine précieuse…c’est un lampadaire de milliardaire, un tel ciel!
>Bernard:
Très beau ton poème. Plein de petites touches sensibles liées aux couleurs, à la matière, à la lumière. Il me semble en te lisant que tu es parti du calligramme. Tu as vraiment embelli cette page avec tes mots. Merci pour toutes les contributions que tu as déposées depuis plusieurs jours. Elles amendent ce jardin des poètes.
Annick et Ossiane!
Merci de me faire partager votre plaisir d’être bien en vie, en communiant aux sources de nos êtres si riches et si sensibles.
Annick la terre est un paradis où il serait bête de ne pas être un ange?
Ossiane tu es sur la bonne piste, il y a plus encore et c’est magique…
Que la nuit étoilée vous berce et vous embrasse
la mer en « infini »
déroule ses vagues
et ses roulis
nos corps ne se lassent
pas de se trouver
de se chercher
de se donner d’aimer
sur le bord de nos vagues
précieux instants de vie
qui touchent « l’infini »
J’aime bien cette image, mais j’aime le dessin que vous avez créé le mieux parce qu’il a la forme d’une fleur. Alors, ca représente l’unification du monde et tout est éclairé avec la vie.
Le soleil se lève à l’Est
Le ciel, couleur de lait de miel et de citron
les musiciens s’apprêtent des phrases circulent
quelques notes en prélude invitent à faire silence
les spectateurs sont à l’écoute plein d’attention
le soleil enchanteur fait son apparition
Alain
La mandarine
Comme la roue du char
Toute cerclée de fer
Se recouvre de rouille
La belle mandarine
Possède une peau orange
Pour protéger sa chair
Des chaos de la vie
Ce fruit doré sucré
bourré de vitamines
Est né courant Avril
d’un arbre tout en fleur
Et d’une blonde abeille
Qui porte le pollen
Dans ses petites pattes
De ce fortuit contact
Au fond d’un réceptacle
Entre le fin pistil
Qui porte le stigmate
Et la longue étamine
Qui supporte l’anthère
Est née la mandarine
L’amour est un mystère
Qui pourrait expliquer
Comme l’amour peut naître
Un jour entre deux êtres
Qui ne peuvent se connaître
Tout juste peut t’on dire
Quelque chose l’a piquée
Après ce bref idylle
Après ce court entracte
Entre la fleur débile
Et l’abeille acrobate
Un beau fruit a mûri
Au bout d’un pédoncule
Pareil à un nombril
Alain
Les genets
L’audition d’un orchestre vous cause des frissons
et vous applaudissez quand finit le concert
Sur la lande râpée balayée par les vents
Des genets tous en fleurs vous causent un pincement
Lorsque descend le soir sur le vaste océan
Quand le soleil se noie dans une mare de sang
Vous demeurez sur place figé comme un glaçon
La voix qui vous est chère vous met en pâmoison
Et vous tremblez d’effroi lorsque deux bras vous serrent
C’est que l’âme est sensible autant qu’un instrument
Alain
L’original
De qui ces yeux qui brillent sous le masque superbe
D’un mâle couvert de poils ou d’un visage imberbe
Les barrières se lèvent finis les convenances
les règles de vertu qu’imposent la bienséance
Toutes les disparités que l’argent exacerbe
La couleur de la peau la résonnance du verbe
Disparaissent sous le masque le temps du carnaval
Et l’être compassé révèle l’original
Alain
Alain