Passage

L'Eau Ruisselle et Cisèle un Vol d'Hirondelles que la Lumière Révèle. Mouvement Perpétuel, Communion Profonde, Voyage pour l'Autre Monde.

L'Eau Ruisselle et Cisèle un Vol d'Hirondelles que la Lumière Révèle. Mouvement Perpétuel, Communion Profonde, Voyage pour l'Autre Monde.

* Lecture du Calligramme: de bas en haut.

L’Eau Ruisselle et Cisèle
un Vol d’Hirondelles
Que la Lumière Révèle.
Mouvement Perpétuel,
Communion Profonde,
Voyage pour l’Autre Monde.

* Photo prise sur la plage de Carcans en Gironde.

*Une petite dédicace à une photographe de talent Sonia Bressler et son mouvement perpétuel. Chaque jour, elle illumine de ses commentaires l’Oeil Ouvert. Son site mérite une petite visite.

32 réflexions sur « Passage »

  1. >Fred: Prems! Oui, je vois ce que tu veux dire mais vus de face. Dans cette optique, cela fait penser à des dessins naïfs. Good Night.

  2. jai rêvé d’un autre monde… Il y a des ombres qui forment invisiblement d’étranges cristaux. Il faut que le temps se décante, que dépose peu à peu levole de l’hirondelle, pour que ces silhouettes naïves apparaissent soudain.
    Révélations de personnes humaines en marge de l’humanité : il se fait sous nos yeux une gande confrontation entre la vie réelle et son visage photographié.

  3. l’irrésistible glissade des galets et du sable vers le bas, est heureusement immédiatement compensée par une dynamique remontée vers le haut en attendant la prochaine vague,
    Ressac
    Flux reflux…
    On en a déjà parlé sur ce blog, (n’est-ce pas Pierre ?)

  4. je suis blottie sous le sable

    petite particule gisant parmi d’autres

    bientôt

    avalé par la mer

    où je ne refais plus surface

    pour aller vivre dans l’Autre monde

    c’est ainsi…Nouhistou

  5. « Doubles chevrons » bonne pub pour la Croisière Noire Citroên.
    Allez faisons plaisir au François 1, retirons nous et vive l’enseignement…..
    Désolé Ossiane d’avoir perturbé le cercle des poètes. A un jour

  6. Cela me fait penser à la vision du vide en soi que l’on s’efforce quelques fois à faire pour se concentrer…
    … mais peu à peu les images, les réminiscences reviennent parsemer notre tête comme de petits joyaux de bonheurs brillants mais aussi de cailloux durs, pointus qui font mal et d’autres polis par le temps qui ne sont plus que des résurgences

  7. Touchée. Très touchée. Ossiane d’une part par ta photo. Belle manière d’être avec le temps. Pierres de touche de l’espace. Les petits cailloux désignent la terre. Etoiles perdues dans le sable. Désert de mer.
    D’autre part, par le lien que tu fais vers mon site. Merci. Merci. Infiniment.
    Je ne trouve pas les mots ce matin. Just thanks.

  8. Ce n’est pas parce que je fais une note sur le passage qu’il faut que François 2nd et Olivier veuillent me quitter;-)) Je vous en prie restez, il y a de la place pour tout le monde.

    >Guess Who: Merci pour ce poème de sable mouillé. Traces de l’été. Si tu écris cela avant de partir au travail, ta journée sera belle.

    >Marc: Ce vol me fait également penser à un groupes d’humains solidaires en route pour une même cause et vers un même but. J’y vois de la fraternité dans ce mouvement. Bien à toi.

    >François 1st: Oui, très juste. Tu as raison dans ta lecture. Flus et reflux, vous n’avez pas fini d’en entendre parler. Merci.

    >Lilly: Très sensible et triste ce que tu écris là. Je ne voudrais pas que ce mouvement de repli illustre ta vie, ma petite lilly. Tu es très blottie en ce moment. Ton joli blog ne bouge plus. Que fais-tu? Dis-moi. Je t’embrasse.

    >François 2nd: Que se passe-t-il? Tu ne vas tout de même pas partir tout ça parce que François 1st a dit qu’il y avait beaucoup de François. Je le connais et je sais que ce n’était qu’une boutade de sa part. Je t’en prie, reste et exprime-toi comme tu en as envie. Tu ne perturbes rien du tout. Ce n’est pas le cercle des poètes mais un cercle d’amis ouvert à tout le monde qui a envie de discuter tout simplement. Amitiés sincères.

    >Alain d’Emmaus: Tout à fait. Aucune trace de l’intervention humaine. Pureté originelle. Merci.

    >Olivier: Très joli ton poème mais je sens une certaine tristesse dans ce que tu dis là, je me trompe? Bises.

    >Fabienne: Très chouette ton idée de faire le vide pour mieux se souvenir de nos moments de bonheur et de malheur. Merci.

    >Sonia: Une nouvelle fois, tu parsèmes tes petits cailloux étoilés dans ce désert de sable. Merci et bonne journée tout en sensations.

    >aana: C’est gentil de nous parler de G* Earth mais cela a-t-il vraiment une relation avec la photo? N’est-ce pas plutôt de la promotion. Tu peux m’expliquer car je ne sais pas si je vais laisser ton commentaire? Amicalemnt.

  9. Ces galets bien polis – civilisés, sans aspérités – résistent de toute leur pesanteur à la vague qui va et qui revient, cherchant à les rouler. Ils sont l’humanité qui s’accroche à la vie malgré guerres, maladies et tempête. L’énergie en chacun des êtres, petite flamme qui fait résister au grand froid éternel. Cette photo est sans aucun doute pour Olivier, aujourd’hui :
    http://vivelavie.blog.lemonde.fr/vivelavie/

  10. Bien vu Ossiane, je venais effectivement cherher mon oxygéne sur ton blog…j’adore ces petits galets que l’on ramasse souvent, à ce moment du retrait de la vague, quand ils sont comme autant de pierres précieuses à nos souvenirs et de nos espérances…et après ils sont là partout sur le bord de la vie quotidienne à nous rappeller que l’océan est là quelque part qui nous attend…

  11. Tu peux enlever si tu souhaites. C’était un simple clin d’oeil avec la photo de l’aéroport de Figari vue chez Mr Arnal

  12. >Argoul: Tu compares très justement ces jolis galets innocents aux êtres ballotés par les aléas de la vie. Tu as bien fait de mettre en relation cette photo avec Olivier qui a un gros coup de blues en ce moment. Je viens tout juste d’aller le voir pour le réconforter. Bises à toi, Argoul au grand coeur.

    >MTO: Ces petits galets font beaucoup parler et sont très attendrissants. Je les aime beaucoup également et en garde quelques-uns comme trace de mon passage sur les plages où je vais.

    >aana: C’est sympa de t’être manifestée pour m’expliquer. Ce qu’on voit sur ce lien est bien sûr très beau. Mais, j’ai eu cette réaction de méfiance car j’ai un peu l’impression que G* veut contrôler le monde en ce moment un peu comme M* à une certaine époque. J’espère que tu ne m’en voudras pas. Bien amicalement.

  13. Cette photo fait ressurgir en moi les souvenirs des parties de ricochet sur les plages bretonnes…La chasse au galet ideal…La satisfaction de voir les multiples rebonds…

  14. Hola Ossiane,

    Je chuchotte ces quelques mots pendant que mes etudiants de lycee multiculturel planchent sur des questions de « mondialisation et integration »… Pour fuir la haine qu´inspirent mes questions de la part des etudiants, je suis venu prendre un peu d´air sur ton blog…

    Tres sympa ta photo… Je me sens soudainement plus « zen »… Je vais pouvoir faire face aux regards hostiles de mes ouailles. Merci et bonne soiree pour toi et vous…
    Alain

  15. >JBi: Bonjour. Ricochets des souvenirs d’enfance dans la photo. Chaque petit galet illustre ces rebonds de la mémoire.
    Merci d’être passé. Bien amicalement.

    >Alain du Mexique: Je t’envoie une bouffée d’oxygène au milieu de tous ces regards que tu interprètes comme hostiles. Je pense que tu exagères un peu;-) ILs sont tout simplement concentrés sur ce que tu leur a proposé 😉 Pas facile comme ton devoir et sujet à polémiques. Bonne soirée.

  16. une hirondelle ou cent ne font pas le printemps
    messieurs bouvard et pecuchet le savent
    et l’aigre trissotin le tisone en son coeur froid,
    pourtant la fée ossiane a bien vu
    leurs traces sur la grève ,
    lu leurs hyérogliphes de sable et d’écume
    et ,pour nous, déchiffré l’alphabet mystérieux
    une hirondelle ou cent dans les nuages
    c’est toujours un bonheur qui passe
    et sur la rive d’été
    un signe nostalgique
    avant l’hiver
    que la mer effacera
    mais l’hirondelle reviendra

  17. J’aime beaucoup cette photo Ossiane.
    En réponse je t’envoie chez toi un petit film racontant l’histoire du petit caillou blanc en haut à droite.
    Vous le voyez? C’est peut-être aussi un morceau de coquillage…

    Par ailleurs, que tous les François du monde restent avec nous 😉
    Pour l’instant il n’y en a jamais que deux! (et je m’étonne qu’il n’y ait qu’un seul Pierre).
    Bonne nuit à tous.

  18. >Michel: Merci beaucoup. C’est très bien vu ce que tu as écrit car je n’avais pas spécialement pensé à la migration des hirondelles avant l’hiver. Alphabet symbolique et nostalgique. Touchant et très touchée. J’ai comme un coup de cafard tout d’un coup.

    >Pierre: J’ai remarqué que ces petits cailloux fascinent particulièrement la gent masculine. Il faut dire que ton prénom est sans équivoque 😉 J’attends ton film.
    J’espère que François 2nd va revenir.

    >Michel 2nd: Bienvenue sur ce blog où tu fais une entrée remarquée avec ce poème sur le vide. Vide de l’espace pour mieux aller à l’essentiel peut-être. Merci. Amicalement.

    >François 1er: Courage pour demain et merci de rassurer l’autre François qui doit revenir absolument. Tu m’entends François 2nd?

    >Alscyl: Bienvenue et merci d’avoir apprécié la visite. Par contre, je n’ai pas trouvé ma photo sur ton site. Où se trouve-t-elle pour que je te donne mon accord ou pas? Merci de me répondre.

    >UU: J’ai bien reçu ton signal et te remercie de ce très beau haïku. Tu as bien du talent et suis très touchée par tes mots.
    Bonne nuit.

  19. Juste pour ne pas être en reste ! Cette photo a du succès, elle ne me fait penser à rien de particulier mais elle est très jolie !

    PS : je viens de la montrer à ma petite soeur et elle a dit : « oh, on dirait un troupeau d’animaux vu d’avion » !!

  20. C’est cette photo que je préfère, Ossiane.
    Comme des iles lettres atlantiques, chères à Philémon.
    Dont une accueillit Napoléon.

  21. >Lola:
    Pouvez-vous faire des phrases normales et éviter ce langage SMS qui n’a pas lieu d’être sur ce blog. Amicalement.

  22. Coquillage

    Les vagues en s’en allant ont signé leur passage
    Des chapelets de coques s’alignent sur les plages
    une musique qui berce faite de creux et de bosses
    qui fait tourner les robes et qui ravit les gosses

    Alain

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