* Lecture du Haïku Calligramme: du pourtour vers le centre.
Paradis Outremer,
Poissons Multicolores,
Du Grand Jardin Bleu.
* Cliquer sur la photo pour voir ce morceau de Lapis Lazzuli de 7cm sur 7cm
qui a inspiré cette série de quatre photos,
la première étant prise sur la face non polie de la pierre.
* Un clin d’oeil amical à Guillaume Poulet-Mathis, photographe éclectique des villes et des champs. Allez visiter ses belles créations sur son blog « Ici et d’ailleurs »
Visions
___________
Coraux des profondeurs
Vitraux du Grand bleu
Poissons d’or
Orpaillage d’azur
Météores de lapis-lazuli
Queues de comètes bleues
Robe de Béatrice
Portes du paradis
Amour de ses yeux
Visions mystiques
soyons logique, vos photos vs nous les faîtes partager, on peut les télécharger, et vous les avez signées….alors?? je ne fais pas de commerce!! je les trouvent belles et je voulais les faire circuler… en plus je l’avais utilisée pour imager un trés beau texte, mais….
la patronne veut pas!
….tant pis….
excusez-moi Madame!
au revoir Madame!
merci Madame!
bonjour chez vous Madame.
Ce matin je vois du flou
Ta photo m’évoque un reflet de flash sur une vitre mouillée, ce qui floue la vision et ce flou me met mal à l’aise.
Il ya quelque part un pays de dilution, un pays de cauchemar, de non-être
où l’être ne peut se construire par manque de contact. Que le regard ne puisse accrocher quelque chose en dehors du flou me renvoie à un manque d’étayage. Comment se construit-on sans contact avec l’autre?
Je suis allée regarder par la fenêtre les arbres, les vignes sous la pluie.
C’est jardin d’hiver mais la vie est au coeur des ceps et des troncs dépouillés.
Saisons.
La Moldau de Smetana, le fleuve qui rencontre, traverse contrées, paysages différents au fil de son chemin
Fil de vie,
en mouvement.
Bleu d’outremer…
J’ai la mémoire oxydée
Hésitante, trébuchante.
Lapis-lazuli,
Le ciel en tes yeux
Place des reflets d’azurite.
Jardin marin d’où est né la vie,
« Soupe originelle » lieu de milliards de combinaisons secrètes et inconnues qui vont finalement permettre l’émergence d’éléments plus complexes et même de la vie.
Et ce bleu nous rassure, le monde en marche est très beau.
Ma chere Ossiane, je ne vais pas te demander les secrets de tes inventions graphiques, picturales, poetiques. Outre l’art de la surprise constante et de la beaute, c’est toute une lecon de vie que ce blog… Ou, d’une certaine maniere, la philosophie se mele aux elements deja cites et plebiscites par nous autres, les lecteurs. Je te souhaite une excellente journee. Bises de ces terres tres chaudes et febriles du Sonora Mexicain.
Ossiane à partir de ton titre et de ta photo (toujours), j’ai imaginé une suite à mon texte d’hier.
———–
L’apesanteur ! C’était là qu’il fallait chercher. En contrastre à sa vie pesante, elle avait construit ses rêves sur les ailes de la liberté. À la force du vent, les plumes défient l’attraction terrestre. Comment pouvait-elle survivre autrement que dans cet espoir fou des mots, que dans leur abstraction qui chantaient tous les possibles ? La charge de sa douleur terrestre était trop lourde, ses plaies charnelles trop hurlantes, remises à vif chaque matin par les logiques humaines trop sauvages encore. Elle fuyait la pesanteur, le temps de ne plus rien sentir, le temps de voler dans le silence. Ce silence qui ressource parce qu’il brise le bruit du réel en lui suggérant un nouveau souffle. Elle comprenait soudain le jazz né dans les champs de coton, l’utilité du chant, de la musique à jaillir depuis le plus profond du bleu des hématomes, pour souffler l’espoir et tracer les possibles.
Les mots, ce vent qui l’emportait vers l’ailleurs, dans l’apesanteur des rêves ; les mots étaient sa liberté. Elle s’envolait par sa plume. Mais ce n’était qu’un instinct de survie, elle ne savait pas qu’elle y trouverait la poudre d’or en écho des rêves qu’elle n’avait pas osé. Et c’est ainsi qu’il la troubla, l’homme aux mots pailletés !
Qu’allait-elle faire de ces grains d’or ? S’en poudrer d’illusions ou s’y révéler, elle, dans sa vérité ?
Contre toute attente du séducteur, elle préféra sa vie.
Etait-il en train de tomber dans son propre piège ?
Quelques grains roses perçaient l’or de ses mots.
Etait-ce un peu de sang séché ?
Qui était-il ?
Catherine
Bonjour à tous,
Un petit mot pour confirmer ce que plusieurs d’entre vous avaient suggéré sur l’origine des photos de cette série. Il s’agit bien d’un morceau de lapis lazzuli de 7 cm sur 7. La première photo a été prise sur la face non polie et les trois autres sur la face polie. Cliquer sur la première photo pour le voir.
Ossiane
>A Michel, prince de la nuit et à ses visions aquatiques;-)
Ce jardin bleu est peuplé de trésors et de beautés insoupçonnées dans lesquels se perdent nos yeux. Paysage des profondeurs fabuleux, Michel. Merci beaucoup, je t’embrasse en ce dimanche bien gris.
>Carpofolo:
D’après le ton de ton commentaire, je crois comprendre que tu te sens un peu vexé après que je t’ai demandé de retirer une de mes photos de ton blog. J’ai pourtant fait cette demande tout à fait normale, cordialement. Je ne souhaite pas polémiquer mais corriger des erreurs et apporter quelques informations qui manquent à ton argumentaire. Il faut savoir que les photos de ce blog peuvent être enregistrées et utilisées tant qu’elles restent dans la cadre de la sphère privée.
A partir du moment où elles sont diffusées sur un média, commercial ou pas, et en l’occurence ton blog, pour illustrer un tout autre contenu, il y a un problème. Il est d’usage sur Internet de demander l’autorisation de l’auteur, de le citer et de mettre un lien vers son site en retour. Ce n’est pas parce que ma photo est signée que tu as le droit de l’utiliser comme bon te semble. Il s’agit simplement du respect de la propriété intellectuelle qui est désormais reconnu par tous. Que dirais-tu si j’allais prendre des textes que tu as écrits et que je crée mon blog avec sans rien te demander. Je suis sûre que tu ne serais pas très content. Amicalement.
>Candide:
Cette photo te met mal à l’aise parce qu’il n’y a pas de lignes directrices fortes qui permettent d’accrocher le regard. J’ai voulu vous immerger dans une matière bleue afin de vous procurer d’autres sensations. C’est que tu fais très bien en décrivant ce malaise. La pluie que tu as vu depuis ta fenêtre a sans doute renforcé cette impression. Pour ma part, je me sens très à l’aise avec ces formes vaporeuses; j’ai l’impression de flotter d’ou mon titre;-) Bon dimanche. Bises de réconfort.
>Pierre (2):
Ce bleu intense semble te perturber également, non? Et pourtant les yeux dont tu parles en sont pleins de reflets. C’est beau les yeux bleus. Bises d’un dimanche sans ciel bleu.
>Michel: Je trouve que tu te lâches davantage dans ce commentaire. C’est moins descriptif et donc beaucoup plus poétique. Tu devrais continuer dans cette voie-là. Je te rejoins sur ce que tu ressens sur cette soupe originelle. Le miracle de la vie. Bonne fin de journée. Bises bleues.
>Bonjour Alain du Mexique;-)) Je n’ai pas de secrets;-) J’essaie seulement de faire des choses harmonieuses pour compenser les dissonnances du monde extérieur. Je ne suis pas très consciente de la surprise que ces photos provoquent mais je suis ravie si tu ressens cela. Leçons de vie des uns et des autres qui participent à la continuité de ce blog sans doute. Merci Alain pour tes visites chaleureuses. Je ne t’oublie pas mais je n’arrive pas à visiter les blogs en ce moment de façon suivie. Ca devrait aller mieux la semaine prochaine. Bises à vous deux ainsi qu’à ton désert fébrile.
Lagon miroitant et firmament crépusculaire
Abysses marines et célestes
Ecume de vagues iodées et brume de nuages
Etoiles de mer et de cieux
Ainsi ton « Apesanteur » induit mon humain à plonger dans l’outremer pour mieux trouver son souffle dans l’azur
Merci… toujours…
On peut y voir la mer…
Moi j’y vois l’espace, avec des étoiles, des météorites….
>C’est très bien Catherine d’avoir poursuivi sur ce thème là. Ce flottement de liberté et cette légèreté correspondent bien à ce que tu essaies de faire passer au travers de cette danse des mots. Briser cette pesanteur pour mieux s’envoler au travers de l’écriture. Je suis persuadée que tu nous imagines une suite avec ces questions souvertes. Merci de nous faire profiter de ces nouveaux chemins d’écriture. Je ne sais pas encore ce que sera demain au niveau de l’enchaînement de ces notes. Bises légères.
>Bén:
Que de talent dans ce poème! Un beau parallèle entre le ciel et la mer. C’est vraiment très bien fait et pensé. Cherche ce souffle et préserve-le. Merci pour pour ton attachement. Je t’embrasse.
>A tire d’aile:
Tu ne sembles pas très convaincue par nos visions marines 😉 Reste là-haut, Flo, c’est beau aussi. Bises du ciel.
Visions II
————
Quand les trompettes retentirent
Les âmes noires entrèrent en jugement
Un vent terrible hurlant
Ouvrit les portes d’outre-tombe
Et rouges de l’enfer
L’espace entra dans les ténèbres
Dans la nuit de la grande peur
Et des violents orages de sang
L’univers se remplit de larmes
L’enfer entrevu
Par les âmes éplorées
Les lourdes portes de fer
Se refermèrent à jamais
Les forces du mal y brûlent leur rage
Quand les trompettes retentirent
Les âmes simples entrèrent en jugement
Dans le silence des mondes infinis
S’éveilla le cristal d’une source vive
La lumière s’épanouit
Une musique inouïe s’éleva
De chœurs séraphiques
Les lourdes portes d’outre-vie
Incrustées de poussières d’or
Et de lave de lapis-lazuli
Etoiles fondues
Par les anges au feu du soleil
Dans le creuset immense du ciel
S’ouvrirent à deux battants
Dans un éblouissement de Gloires
Et de Majestés saintes
Les âmes éplorées
Furent emportées
Dans un tourbillon de lumière
Vers l’empyrée des cœurs de justice
Et le jardin d’amour
Quand les trompettes retentirent
Les âmes simples entrèrent en Paradis
Un jardin bleu pour y faire de belles promenades, pour nous noyer dans une atmosphère qui inspire le calme et la quiétude. On dit toujours « voir la vie en rose », mais je la préfère en bleu. Bleu comme le ciel, la mer, l’infini, le mystère.
Quel plaisir de s’immerger dans ce bleu profond !
Je t’ai déja dit à quel point j’ai aimé ta photo du 15 novembre « Tendresse » .
Hier , le hasard m’a mis en présence d’une très vieille porte en bois qui a perdu sa peinture depuis une éternité . Les intempéries y ont mis en valeur d’admirables noeuds que j’ai photographié en pensant à toi . Merci de m’avoir ouvert les yeux vers cette forme de beauté .
EN APESANTEUR !!
Je manque d’inspiration alors je te livre cette chanson de Calogero. Un futur très très grand chanteur, je l’ai vu trois fois en concert, excellent !!
« J’arrive à me glisser
Juste avant que les portes ne se referment
Elle me dit « quel étage »
Et sa voix me fait quitter la terre ferme
Alors
Les chiffres dansent
Tout se mélange
Je suis en tête-à-tête avec un ange
En apesanteur
Pourvu que les secondes soient des heures
En apesanteur
Pourvu qu’on soit les seuls
Dans cet ascenseur
Elle arrange ses cheveux
J’ai le coeur juste au bord des yeux
Et sans la regarder je sens la chaleur
D’un autre langage
Alors
Les yeux rivés
Sur les étages
Pourvu que rien n’arrête le voyage
En apesanteur
Pourvu que les secondes soient des heures
En apesanteur
Pourvu qu’on soit les seuls
Dans cet ascenseur
Dans cet ascenseur
J’arrive à me glisser
Juste avant que les portes ne se referment
En apesanteur
Pourvu que les secondes soient des heures
En apesanteur
Pourvu qu’on soit les seuls
Dans cet ascenseur
En apesanteur
Pourvu que les secondes soient des heures
En apesanteur
Pourvu qu’on soit les seuls
Dans cet ascenseur. »
Bises enchantées,
Bonne semaine chère Ossiane !
OLIVIER
Ah !! j’ai oublié, en plus le clip est « chaud » !!!
palette série bleu
elle avait finit par laisser les ocres,
les siennes
et les rouges anglais
trop de couleurs de terres sèches,
trop de sables dans les yeux
ce matin là au réveil
son esprit frais sortant de ses rêves
en savourant au petit déjeuner la confiture de myrtille
( faite cet été )
elle sentait déjà cette toile bleue,
comme une oasis au milieu de ses déserts tant désirés
comme un verre d’eau après ces heures de marche au soleil
comme un plongeon dans les yeux de l’amour
du bleu , des étincelles de bleu,
du bleu encore comme le sang des veines royales,
du bleu comme le ciel au dessus des montagnes,
du bleu comme la rivière dans la prairie printanière
du bleu comme une nuit de noce,
interminablement bleue, bleue, bleue…
merveilles de la nature… cette série est sublime… bises
Ce n’est pas un assemblage
D’individus
C’est un seul visage
Galaxie Humanité
Le bleu outrancier
N’est qu’un prétexte
Pour masquer le geste
Du magicien
Tirant de sa veste
Ceci et cela
Et parfois un texte
Sels de bain
Ou les effluves de l’esprit
Se marient
Avec la consistance
Du corps
Face à face
Paume à paume
La pensé diluée
Puis densifiée
Ossiane, merci d’avoir mis ton lapis-lazuli en entier… il est absolument magnifique !
bises
>Michel:
Cette photo déchaîne en toi des visions de toutes sortes;-) Du paradis aquatique de ton premier commentaire, on passe brutalement par les portes d’un enfer rempli de sang, de violence et de noirceur. Quelle description terrifiante! J’en tremble encore. Si l’âme humaine est pure, on entre en musique dans la poudre d’or du paradis lumineux des cieux. Je me sens parfaitement bien dans le deuxième univers. Je ne sais ce que tu mijotes pour ce soir et s’il y aura un troisième opus de tes visions. Ca dépendra sans doute du thème proposé. Merci beaucoup Michel de nous plonger dans la complexité de lâme humaine. Bises lapis-lazuli. A ce soir.
>Zebus32:
Es-tu homme ou femme? Pardonne-moi de te poser cette question mais savoir cela m’aide à ajuster mes commentaires. En général, le bleu plait beaucoup aux femmes car il est source de légèreté, d’apaisement et de rêve. Je pencherai pour cette voie en ce qui te concerne 😉 Merci pour ta visite; je t’embrasse.
>Jean:
Voilà un homme du bleu. Je ne veux pas non plus généraliser;-) (cf le commentaire ci-dessus) Je me souviens de cette photo que tu as bien aimée. J’ai hâte de voir ce que tu as fait à partir de cette porte. J’espère que tu nous en feras profiter. Merci pour ta pensée, Jean; je t’embrasse.
>Olivier:
Je ne connais pas ce chanteur mais il est vrai que les paroles de sa chanson s’adaptent bien au titre de cette note. Ce Calogero a tout pour te plaire 😉 Que cette apesanteur te porte très haut et très loin, Olivier. Il faut mettre de la légèreté en toutes choses sinon la vie serait un lourd fardeau à porter. Bises légères.
>Jane:
Ce que tu as écrit me plait beaucoup. C’est un poème autour du bleu venant d’une peintre qui a l’habitude de manier les pigments. C’est un très beau regard. J’aime bien quand tu évoques les nuances de couleurs de tes tubes de peinture. Ca fait rêver. Tu l’avais déjà fait avec une série sur les pierres, je crois. Merci beaucoup, Jane; je t’embrasse en couleurs.
>Malisan:
Bonjour, c’est gentil de revenir pour me donner ton sentiment;-) Ca me fait plaisir. Au plaisir de te lire à nouveau. Je t’embrasse également.
>Patricio:
Quatre sensations différentes autour de ce bleu claquant dans lequel tu t’es totalement immergé. Merci pour ces beaux regards, Patricio. Je t’embrasse.
>Bén:
Merci. Te sachant connaisseuse, j’ai pensé à toi ;-)) Bises de l’azur.
bleu touareg
grains de sable du désert
PS : merci Ossiane… j’apprécie ta pensée qui est venue se poser à ma fenêtre !!!
Femme, gagné ! Mais pas très féminine, pourtant. Enfin, en un sens, si, puisque je suis hyper sensible, mais tout ce qui est les truces de filles (couture, shopping, cuisiner…), j’ai horreur de ça ! En tout cas, le bleu est ma couleur préférée, de très loin. Biz
>Bén:
Joli le bleu touareg!
>Zebu32:
Merci de t’être dévoilée. Je m’en doutais;-) On peut très être féminine sans pour autant être accro des taches ménagères;-) Je suis sûre que c’est ton cas. Bises amicales.
L’alibi du bleu
***********************************
Je t’en mettrai du bleu
Païen ou sacré
Plein la figure
Je t’en badigeonnerai les yeux
De mon propre regard
Bleu ciel outrancier
Ainsi sans t’en apercevoir
Un jour tu replongeras
Dans le rouge de mon coeur
Bleu encore
**********************************
Au lieu d’aller dehors
T’exposer à la pluie
Viens prendre dans mon blog
Quelques cuillerées de ma potion magique
Tu en ressortiras révigoré
Et de meilleur humeur
Pour aller dehors essuyer
Toutes sortes d’orages et tempêtes
>Patricio:
Je sens que cette note t’accroche plus que les autres. Tu as fait de belles déclinaisons autour de ce bleu qui happe le regard. J’aime beaucoup l’alibi du bleu avec cette plongée dans le rouge du coeur. Une très belle image. Je t’embrasse.
Merci de ton clin d’oeil Ossiane. En plus avec ce joli bleu c’est très flattant. Bises. Guillaume
>Guillaume:
Mon petit clin d’oeil était sur une note très zen. De quoi passer un bon week-end, j’espère. Merci pour tous tes commentaires chaleureux. Bonne soirée.
j’ai le bleu
qui erre en nostalgie
syncopé outre-mer
douze bar en cadence
c’est la pression la transe
de la quinte à la tierce
je suis diminuée
dit moi à quoi ça sert
le lapis-lazzuli
toutes ces notes bleues…
>bonnet:
Bonjour et bienvenue sur mon blog;-) C’est très agréable de découvrir de nouveux poèmes sur d’anciennes notes. Vous avez une belle qualité d’écriture et vous utilisez de belles images musicales pour exprimer cet univers bleu aquatique. Un jardin bleu de musique sous la mer. Et pourquoi pas? Ces notes bleues servent à nous faire rêver;-) Merci beaucoup. Je vous invite à nous rejoindre sur le blog quand vous voulez. Vous pourrez partager voss émotions poétiques avec d’autres poètes. Bien amicalement.
C’est très agréable d’être invité deux fois à revenir!
Bernard ou bonnet, c’est bonnet bleu ou bleu bonnet !!!! J’étais en apesanteur, un coup de vent, le bonnet s’envole et la tête n’est pas loin…
Une erreur de ma part; comme « î » dans archaïque (wordpress), « e » dans désagréement ( un parfum de mer et de voilier qui n’avait rien à voir avec l’arbre, à mois que?), ou encore lapis-lazuli et non pas lapis-lazzuli.
Clin-d’Oeil bleu, merci Ossiane de ta présence attentive et de ton inspiration talentueuse…
Bernard /Bonnet:
Ok j’ai tout compris;-) Tu ne manques pas de ressoures en poésie;-) Merci pour ta visite. Bonne soirée!
les papiers cadeaux
des lettres comme une pluie d’étoiles
l’écriture en or
De tous les bleus c’est toi que je préfère Lapis La Zulie!
tu pétilles
tu scintilles
tu m’entortilles
je voudrais plonger, me laisser aspirer
dans la spirale interminable de ton bleu firmament!
Lapis lazuli, bleu, tes yeux, bleus.
Plongée dans l’océan sous tes paupières,
une forêt étincelante
dans le bleu de cieux lointains,
déjà éteints.