BraiSe

Le Golfe de Porto

Le Golfe de Porto

Le Golfe de Porto

Le Golfe de Porto

Le Golfe de Porto

Le Golfe de Porto

Le Golfe de Porto

Le feu a jailli, des nuages d'ombelles, tes flancs rouge sang

Lecture du Haïku Calligramme: de bas en haut

Le feu a jailli
des nuages d’ombelles
tes flancs rouge sang

Le Golfe de Porto… ses montagnes de granit rouge s’embrasent au couchant grâce aussi à la présence des euphorbes aborescentes qui rougissent au printemps …  Voir la Carte de Corse

94 réflexions sur « BraiSe »

  1. Comme si, tout le jour, le sang de la terre, le sang des ombelles, capturaient la lumière du soleil. Le ciel et la mer semblent éteints, à côté de ces ors et vermeils chatoyants.
    Comme si le soleil, tout le jour, avait absorbé le sang de la terre, le sang des ombelles. Il offre alors sa lumière, ces ors et ces vermeils, au ciel et à la mer, à leur tour resplendissants.

  2. L’horizon tout entier s’enveloppe dans l’ombre et le soleil mourant sur un ciel riche et sombre ferme les branches d’or de son rouge éventail…………..
    Je ne sais plus qui a écrit ces mots ???? le rythme me charme toujours et les images dOssiane ont réveillé ce fragment de poème AA

  3. pas réveillée c’est plutôt une aurore ………… mais le feu du soleil éclaire de façon aussi riche les roches rouges et les fleurs transfigurées
    merci pour cette beauté qui éveille tous nos sens . AA

  4. au détour d’un chemin, quand tout semble aride
    sur ces sentiers dehumanisés et escarpés
    tu jaillis comme le sang de ces plaies ouvertes de la terrre.

  5. colline griffée
    au matin des euphorbes
    sang et beauté
    unis en un même cœur
    ainsi en est-il
    des étranges vertus
    du monde

    belle journée

  6. de ciel en roches
    le rouge s’est propagé,
    sublimé,
    a varié son intensité,
    s’est éclairé, s’est rendu mat,
    a éclaté en triomphe,
    et le buissson l’a capté,
    s’en est paré,
    le rend comme un puissant écho

  7. Pour arletteart, ces vers cités sont de José Maria de Heredia et sont de toute beauté et illustrent parfaitement la note du jour .

    Soleil Couchant

    Les ajoncs éclatants, parure du granit,
    Dorent l’âpre sommet que le couchant allume;
    Au loin, brillante encor par sa barre d’écume,
    La mer sans fin commence ou la terre finit.

    A mes pieds c’est la nuit, le silence. Le nid
    Se tait, l’homme est rentré sous le chaume qui fume;
    Seul, l’angélus du soir, ébranlé dans la brume,
    A la vaste rumeur de l’océan s’unit.

    Alors, comme du fond d’un abîme, des traînes,
    Des landes, des ravins, montent des voix lointaines
    De pâtres attardés ramenant le bétail.

    L’horizon tout entier s’enveloppe dans l’ombre,
    Et le soleil mourant, sur un ciel riche et sombre,
    Ferme les branches d’or de son rouge éventail

  8. La fleur belle délicate
    S’ose son bout de nez
    De son calice de feu
    Si douce et jolie
    Elle parfume le soir
    Déroule un tapis rouge
    Pour se coucher soleil

  9. Merci mille fois Monique
    Les larmes perlent aux yeux devant tant de beauté et de souvenirs Merci de l’avoir retrouvé pour moi et peut-être aussi pour nos amis AA

  10. Quel plaisir de venir ici… C’est un perpétuel voyage des yeux et de l’esprit…
    Un délice en somme, merci pour ces bons moments

  11. Braise incandescente qui embrase terre et âme…

    J’aimerai passer plus longuement et plus souvent mais parfois les temps se font durs…

    Comme toujours un ressourcement de passer par ici.

  12. Au premier abord on ne sait pas si elles sentent mais elle peuplent les sentes
    et comme sentinelles bien senties elles surveillent et balisent
    en ombrelles elles s’étalent confondent presque pétales et sépales
    mais personne ne s’y empale, seules leurs couleurs sont piquantes
    mais pas urticantes, quel bonheur de se plonger dans une telle contemplation.

  13. Soleil planant
    Versant incandescent
    Les sépales rouges s’ouvrent
    Fragiles fleurs si belles
    Un taillis de rubis
    Se met au doigts des rocs
    Avant de se plonger la mer

    Bien douces épousailles
    Ce bord de soir précieux
    Tissu doré broche rubis

    et je vous lis, plume attendrie…

  14. Ce matin…
    Un Œil entrouvert…
    J’ai découvert …

    La photo première ! et m’y suis arrêtée…

    Sa ligne de crêtes sombre…
    Tout de suite j’ai pensé
    A une image très belle
    Qui m’a bien souvent fait rêver
    Lorsque j’étais enfant.

    Le livre était gros à mes yeux
    Rangé en bonne place
    Là, dans la bibliothèque de mes parents, Attirant…
    Je m’en emparais avec empressement,
    Et feuilletais ses pages avec ravissement,
    Parcourant les photographies,
    Sans cesse y revenant,
    Elles m’entraînaient dans un rêve incessant !

    Rêver de ces montagnes si belles
    Que nous retrouverions aux vacances prochaines,
    S’illuminant à l’aube du levant
    Leur ombre déchire le ciel au couchant,
    Sur le fil de la ligne de crêtes :

    « Entre Terre et Ciel »
    Gaston Rebuffat
    Photos Tairraz,

    Toute une époque !

    ____

    http://i5.ebayimg.com/01/i/000/bf/05/13c0_1_sbl.JPG

    ____

    Biseeeeeeeeeees des montagneeeeeees

  15. Les premiers jours sont hurlant de douleurs ,
    Impossible de s’ exprimer ,se taire sachant que cela n’ intéresse personne.
    Puis un pas en avant ,puis un autre et continuez seule mais s’ en attendre quoi que ce soit,
    Nomade j’ étais ,nomade je reviens ,on vient au monde nue et repartir de même ne laisser aucune trace.
    La beauté ,pour ceux qui marchent et se guident aux étoiles.
    Beauté de la vie éternelle.
    Je vais dormir.Noisette.

  16. les deux notes me viennent en écho
    des mots aussi de certains, ou de textes

    Hier tu souriais, légère, insouciante
    Dans ta robe rose , tellement élégante
    Et je te dérobais, un baiser langoureux
    Nous flottions dans l’air, au parfum capiteux.

    Ivre, devant le regard surpris des canards
    Libre et si sauvage, mais enchaîné aux temps
    Maintenant des images, remplacent ton regard
    Et l’écho de ta voix, s’éloigne doucement

    Les souvenirs en fusion, brûle mes paupières
    et mon cœur en fission, maltraite ma raison
    Un soleil de bronze, recouvre l’horizon
    Je suis ce granit sombre , Face à l’ encre de la mer

    Et dans le crépuscule, prélude à l’inconnue
    J’ attend solitaire, dans l’enclos du silence
    Dans ce pays aride, aux douces fragrances
    Toi ma fleur rose que je porte aux nues .

  17. Délicatesse
    Ouvre
    Son coeur
    Rouge de sang
    Recueillement de l’âme
    Caresses du vent
    Si bel brasier
    Que cette flamme belle
    Soleil de vie

  18. >maria :
    Merci pour ton bel haïku rougeoyant. Le rouge jaillit de partout 😉

    >annemarie :
    J’aime bien l’opposition que tu mets en avant à propos des nuances éteintes du ciel et de la mer. C’est vraiment bien senti. Merci de ta visite.

    >Poète Olivier :
    Merci monsieur le poète, c’est en effet ce que j’essaie de faire passer 😉

    >arletteart :
    Je me sens toujours très honorée quand des mots d’auteur trouvent leur place sur mes images 😉 Merci à toi.

    >marc :
    Quelle belle apparition 😉 Grande beauté de ta Fleur rose également. C’est un lieu fait pour les amoureux 😉 Merci pour ta belle plume inspirée.

    >bourrache :
    Amusant ton poème 😉 Tu as déjà essayé ?

    >johal :
    On dirait que tu étais là-bas 😉 C’est beau, merci johal.

    >brigetoun :
    Superbe évocation qui s’échappe de ta plume au fur et à mesure. Comme un instantané d’un moment réellement vécu. Bravo brigitte !

    >monique :
    En effet superbe poème de Hérédia ! Merci Monqiue de l’avoir retrouvé ; tu connais bien tes classiques 😉

    >annick :
    Magnifiques poèmes rouges que tu nous offres ! J’ai complètement craqué pour cette variété d’euphorbe si lumineuse. J’en mettrai bien dans mon jardin mais je ne sais pas si ça pousse au nord 😉

    >pierre :
    Tu développes avec beauté et doucuer tout le processus de l’embrasement jusqu’à l’extinction. J’espère que tu dis vrai 😉 Merci pierre, bonne soirée !

    >Gwen :
    Bonjour Gwen, C’est gentil ce que tu dis là 😉 Viens te poser quand il te plaît 😉 A bientôt.

    >Corinne :
    Coucou Corinne 😉 Fais comme tu le sens et comme tu le peux ; tu seras toujours la bienvenue ; j’aime beaucoup tes mots toujours arériens. J’espère que tout va bien de ton côté.

    >thierry :
    Que de jeux de mots, comment tu fais 😉 Je te promets qu’elles ne piquent pas et qu’elles n’ont peur de rien;-) Merci de ton passage.

    >Christineeeeeee :
    Beaux souvenirs d’enfance ! C’est ce qui s’appelle des souvenirs très précis 😉 Voici le lien vers le film que tu ne connais peut-être pas 😉
    http://www.youtube.com/watch?v=2_lhkJWiEGc

    >noisette :
    Bonsoir noisette, te revoilà donc parmi nous 😉 J’espère que ces vilaines douleurs se dissipent et que la beauté du monde reprend ses droits pour te faire du bien. C’est beau d’être nomade. Je t’embrasse bien fort.

  19. une histoire brève en sept fenêtres

    en l’accolade du soleil
    contre le sombre
    j’ai mis la moire
    d’un ciel profond
    de tant d’années à vaquer
    sans peu de vacuité

    c’est alors qu’apparaîssent
    les dents de sang
    d’une oblique montagne
    prête à épauler
    le disciple
    en ses errances

    mille fleurs écarquillées
    font fondre la glace des illusions
    sous la main avenante
    de celui
    ou de celle
    qui sait poser son regard
    sur le sensible accroc du désir

    une main de dix sept doigts
    éclaire
    de sa bonhomie énamourée
    l’oeil joyeux
    de l’ami reconnu

    estampe dépliée
    liant au sang végétal
    la brume des montagnes
    manière de lancer
    une valse en ses trois temps
    le saillant
    le retrait
    le tournant

    allonge-toi, là
    tout contre les soies saigneuses de la lune
    tout contre le ventre doux
    de la plage immaginée
    en fond de calanque

    hisse l’essentiel
    l’essence d’un ciel absent
    entre l’eau frisotante
    et les calicots
    prêts à la fête

    sois un
    et ne me retient pas

  20. Au sortir du grand hiver les premières sorties revêtaient un caractère tout particulier. Les senteurs, longtemps refoulés, s’échappaient gaiement. Je marchais, courrais ne pouvant m’empêcher de sourire devant tant de splendeur. Je m’arrêtais parfois en demeurant extasié par la beauté d’une fleur, d’un papillon. Le chant des oiseaux me comblait. La vie était revenue et je sentais renaître une exaltation que je connaissais bien.
    L’hiver m’avait laissé meurtri. Je commençais ma convalescence mais je brûlais les étapes, voulant profiter de chaque instant.
    Je demeurais ainsi de longues heures dans un état de contemplation béat. Et puis l’angoisse venait, pernicieuse. La pensée de l’issu final venait troubler ma joie. Je savais qu’un jour, proche ou lointain, ces senteurs me seraient retirés, confisqués, à jamais. Et l’idée du néant s’insinuait dans mon être, envahissait ma tête. La beauté des lieux s’en trouvait accentuée mais ma gaieté avait disparu.
    J’emplissais mes poumons de ces odeurs printanières : le chèvrefeuille en fleurs, le magnolia mais les parfums avaient tourné.
    J’achevais ma promenade en regagnant la maison familiale à petites enjambées. Ma mère s’inquiétait de mon malaise mais je lui répondit que tout allait bien, vraiment.

  21. Ces photos me ramènent au paysage de la Sainte Baume où j’allais me promener avec mes parents lorsque j’étais enfant.
    Cette promenade dans la forêt s’assimilait à une véritable corvée à l’époque. Cette marche dans ces sentiers rocailleux me semblait dénuée de bon sens. Quel intérêt y avait t’il à grimper puisque inévitablement nous allions redescendre ! Mais le pire souvenir était le moment où la soif me taraudait. Je retardais l’issu le plus longtemps possible mais je ne pouvais résister des heures. Mon père sortait alors la gourde qu’il passait à chacun. J’essuyais précautionneusement le goulot et ne pouvait m’empêcher de trouver un arrière goût à l’eau.
    Lorsque je vois ma fille bougonner pendant les promenades dominicales et répéter les mêmes gestes sur la bouteille je ne peux m’empêcher de sourire à son insu et de penser qu’on est quelquefois bien bête quand on est enfant.

  22. >regard:
    Un grand bravo regard pour cette superbe fresque poétique en sept plans! Pas si facile d’arriver à faire le lien entre les photos. Grande beauté, douceur de tes mots et de tes images, merci pour ta belle écriture inspirée. Bonne nuit.

    >rachel:
    Très sympa là lire les souvenirs d’enfance et de famille qui remontent en toi. Insouciance, exhaltation mais aussi les blessures … Merci pour ces partages émouvants, je t’embrasse.

  23. Coucou du matin !
    Après avoir « bataillé » pour obtenir la ligne qui s’obstinait à ne pas vouloir se connecter, enfin la voie est libre !

    ******

    Merci Ossiane pour la vidéo, ça m’a fait très plaisir.

    Les hommes et les techniques
    évoluent à pas de géants,
    La Montagne, elle,
    Reste immuable…

    ******

    Ces fleurs
    Comme des étoiles
    Aux vives couleurs
    Mettent de la joie
    Le long des parois
    Et dans leur écrin
    Où règne la verdure
    Elles nous invitent
    À s’arrêter,
    A prendre une pose
    Au bord du chemin,
    A souffler juste un moment
    Pour profiter un long instant
    De ce paysage si rougeoyant
    A la vue de ces BraiSes
    Si chaudes…
    Nous fondons…
    De plaisir !

    ******

    Biseeeeeeees à vous tous…
    Ne rougissez pas !

  24. images passant de l’obscurité à la lumière, d’un la nuit qui vient à la vie qui explose, encore et toujours, alors ces vers de Jacques Brel qui me reviennent

    « …mais quand vient le soir
    pour qu’un ciel flamboie
    le rouge et le noir
    ne s’épousent-ils pas… »

  25. et je venais déposer un merci pour cette vidéo partagée, que j ai regardé hier soir, c’est très fort, cette ascension, cette lumière sur la montagne…
    et c’est joli, Christineeeeee…
    et je te lis sur les clochers, je vais aller voir…
    bonne journée, à chacun.

    Elles sont tellement jolies ces images, que les regarder est tellement…déjà….
    Ces fleurs sont si belles, et les cristaux des belles découpes si rouges..

  26. sur l’aridité de cette terre
    l’euphorbes s’accroche
    aux intestices de la roche
    teintée d’ocre éclatant.
    elle s’épanouit sous regard
    flavescent du soleil
    et la carresse du vent.
    son éclat rose et vermillon
    enlumine le ciel pâle
    lorsque certains jours les nuages
    enveloppe de leurs linceuls blanc
    les crevasses de la terre.
    pareil à ses euphorbes
    je m’accroche à mes rêves

  27. Y’a pas à dire ça tangue plus. Allez soyez sympa, juste une petite vaguelette pour les réveiller tousssssssss (un sourire sans arrière pensée tant il est vrai que le bâteau est passé d’un extrême à un autre).

  28. C’est dit si gentillement, rachel… sourire….

    La paroi de la vie
    Qui laisse le plus de vie
    Est parfois la plus raide
    Mais de loin la plus laide
    Elle se gravit son jour
    Un jour après un jour
    Et se cueille le coeur
    Des fleurs rouges bonheurs
    Le coeur s’apaise respire
    Il n’y a rien de pire
    Que de vivre sans amour
    Alors si il fleurit son jour
    Rien ne fut assez long
    Vie en accordéon
    Qui demande des efforts
    Se Vivre avant sa mort
    Mais la vie la plus belle
    Et celle du bout des ailes
    Haut si haut de haut
    D’un silence sans mots

  29. qu’ est ce qu elles sont jolies ces images,
    des posters à rêver se poser,
    contempler lâcher prise,
    s’envoler…..

  30. Rouge la vie…bleu le ciel sur un fil déposé…jaune le soleil que l’on caresse du bout du pied…juste pour voir les ombres tranchées….pour le plaisir de dessiner des arabesques sur le plancher…Chambre vide blottie dans une maison…le désordre installé…livres et chemises en ordre dispersé…l’ordinateur ronronne contre le chat les yeux plissés…un promeneur en passage….fenêtre ouverte et volets mi clos….Douce la vie….bleue l’encre de ces mots égarés….jaune l’immortelle….Le feu a jailli…surtout ne pas se laisser surprendre…jouer avec les balles….les lancer toujours plus haut…il reste juste un coeur en incandescence…et une pluie de pétales….

  31. Plaisir de ces photos
    plaisir des mots
    plaisir des vers de JM de Heredia

    Un coucher de soleil sur la côte bretonne

     » L’horizon tout entier s’enveloppe dans l’ombre,
    Et le soleil mourant, sur un ciel riche et sombre,
    Ferme les branches d’or de son rouge éventail. »

    Palette des couleurs de la vie…

    Le rouge ce soir descend tranquillement
    La douceur du couchant rend paisible la pierre
    et gomme l’apreté des arêtes blessantes

    Après le jour, la nuit.

    L’astre d’or disparaît derrière la crête.

    Pour moi c’est le temps du sommeil.
    Rêves? Cauchemars?

    Là bas, si loin, vient l’aube.
    Pour toi mon frère, quel matin va se lever?

  32. Ode à Rachel
    Sur un bouquet d’ombelles

    Si rien ne tangue
    Si rien de bouge
    Sans jeu de langue
    A part le rouge
    Si la falaise
    Est sans fadaise
    La mer sans sel
    Et nous sans celles
    Qui nous font rire
    Sans en mourir
    Que reste-t-il ?
    Des enfants sages
    Comme des images,
    Bien trop dociles.

    Ohé marins
    Portons-nous bien
    Sachons parfois
    Hisser pavois
    Rire et chanter
    Poétiser
    Briser les pieux
    Des convenances
    Pétons le feu
    Avec aisance
    Choquons nos verres
    A la santé
    De tous nos vers
    Leur liberté
    Créons, créons
    Dans tous les sens
    Ha ! retrouvons
    Nos vraies essences.

    Envoi :

    Nous savons comme
    Le rire est le propre de l’homme

  33. Assis silencieux; un homme; une femme!
    devant eux le vertige de l’amour;
    Ils embrassent l’étendue infinie de l’océan;
    autour d’eux tout n’est que braises;
    leurs cabane accrochée à flan de colinne,
    sur le granit flamboyantle!
    le soleil éclatant qui peu à peu rejoint l’infini!
    l’horizon qui peu à peu s’enflamme,
    sous les caressent délicates de l’astre brasilant!
    De toutes part sur la montagne scintillent
    les euphorbes vermillons;
    bientôt ces braises s’éteindront avec le souffle du crépuscule
    et le monde silencieux se couvrira d’une poussière de cendres noir.
    Alors ils rentreront le coeur ardent dans le foyer éclairé
    par quelques bougies étincellantes.
    l’ame brillantes . les yeux couverts de fragments d’étoiles…

  34. OSSIANE
    La dame océane
    Sur qui plane
    La manne
    De nos âmes ………..Aie !!!!!!
    Quelle merveille toutes ces paroles échangées qui dévoilent souvent un jardin secret que les images font surgir
    Vous êtes formidables AA

  35. >j’aime la vie :
    Bonjour et merci pour votre visite 😉 A bientôt peut-être…

    >Christineeeeeee :
    Oui Christine, des instants qu’il faut prendre le temps de savourer ; il n’y avait personne ce soir là encore plus magique 😉 J’aimerais bien savoir le nom de la fleur blanche, je n’ai pas trouvé 😉

    >@nn@ :
    Beau choix pour ces allers et retours, @nn@ ! J’aime beaucoup le rouge et le noir 😉

    >marc :
    Ces odes à l’euphorbe et à la passion sont si bien exprimés et ressentis 😉 Serais-tu aussi jardinier, poète de l’amour;-) Bravo, c’est superbe !

    >rachel :
    Un peu KO mais il semble que ça retangue un peu;-) Ouf ! J’ai dû jeter un grand froid ; je suis toujours très mal à l’aise et maladroite lorsqu’il faut régler ces petits problèmes de cohabitation. 🙁

    >annick :
    Ta poésie est toute légère malgré les aspérités de la vie ; tu sais où, quand et comment aller chercher ces petits rouges bonheur. Merci à toi.

    >pierre b :
    Etonnnant morceau d’écriture apaisant en couleurs primaires derrière ton écran ! Ca ronronne bien; la vie est bien douce quand on le veut avec des tout petits riens 😉 Je parie que tu aimes le tennis 😉

    >candide :
    Le poème de José –Maria de Hérédia a frappé fort les esprits 😉 A la lisière du sommeil entre la lumière et le noir, que va-t-on trouver… toujours tes belles réflexions à propos de ce qu’on fait sur cette bonne vieille terre. Merci candide !

    >phil :
    ohé matelot Phil, toujours sur le pont 😉 Je bois à ta santé et à celle de tout l’équipage;-)

    >arletteart :
    Aie !!!!!! Quelle responsabilité m’incombe 😉 J’en ai des frissons de joie ou de peur;-) Merci à toi, nouvelle matelote 😉

  36. Pas de malaise sous la falaise
    Mais sous la braise les mots se taisent

    Délivrons les donc les amis !
    Laissons glisser ces mots qui fuient

    Et tans pis s’ils sont maladroits
    Et qu’ils nous blessent un peu parfois

    Nous n’en tiendrons pas trop rigueur
    Car ils sont droits sortis du cœur

    Il suffit de tant s’expliquer
    Pour rire et tout recommencer

    Avec un clin d’œil malicieux
    Et un sourire au coin des yeux

    Car il en faut pour tous les goûts
    Le calme, la houle et les remouds

    Pour que nous nous sentions vivants
    Sans trop de sérieux par moment

    Car nous ne sommes dans l’univers
    Qu’un malheureux grain de poussière

    Ne t’en fais pas Ossiane, tout va reprendre sa place. Bise enrubannée Capitaine. ça y’est la folie me reprend.

  37. Braise dans mon coeur
    Je t’aime, fleur rouge cerise
    Tu t’agrippes avec bonheur
    A mes flancs si avides, jolie friandise
    Tu embrases mon corps d’un feu incandescent
    Je t’enlace, fleur rouge cerise
    Tes baisers ardents sont un éternel soleil couchant!

    Belle nuit de braise!!

  38. Le soleil d’un trait
    a accroché la falaise
    a allumé un feu nourri
    qui a peuplé a son aise
    la rocaille en l’enserrant
    égratigné et sanguinolent
    sans provoquer l’euphorie
    mais quand la braise
    s’abaisse elle change de bouille
    pourtant c’est très cru
    et bien moins dénudé
    qu’il n’y paraît

  39. Le mat’lot Lou est bien parti
    Son silence je n’ai pas compris

    Je la salue ici ce soir
    Avec j’avoue un p’tit espoir

    Qu’elle jour elle revienne en ces lieux
    le jour où tout ira bien mieux

    reprendra sa place sur le pont
    je lui balanc’rai le savon

    et nous chant’rons mon capitaine
    « Dans l’eau de la Clairefontaine »

    Tant pis si les « e » nous assaillent
    S’ils nous embêtent et si l’on braille

    Nous continuerons à tue tête
    Ah cette Christineeeee qui nous embête !

    Phil et Annick nous rejoindront
    Et bien sûr tous ceux qui voudront

    J’en vois qui s’ront pas les derniers
    Pour chanter sans trainer les pieds

    Et puis nous irons nous coucher
    Pas l’mat’lot Lou, elle s’ra d’corvée !

    un petit clin d’oeil à Lou et un clin d’oeil aussi à Bourrache

  40. Devant les précaires perspectives d’alchimie du dieu détruit-inaccompli dans l’expérience – je vous regarde , formes douées de vie, choses inouïes , choses quelconques, et j’interroge :  » Commandement interne ? Sommation du dehors ?  » La terre s’éjecte de ses parenthèses illettrées. Soleil et nuit dans un or identique parcourent et négocient l’espace-esprit, la chair-muraille. Le coeur s’évanouit… Ta réponse, connaissance, ce n’est plus la mort, université suspensive.

    René CHAR / Fureur et mystère (gallimard p80)

  41. Bonsoir à tous et à toutes, c’est une valse de couleurs et tout le monde est parti danser, tout le monde est parti faire la fête au pied de la colline, jeu de lumières, jeux de contrastes, étincelles de feu, mon coeur s’embrase….parce que c’est beau tout simplement….

    ___

    Surplombant la mer
    Falaise en robe du soir
    Un bouquet de fleurs
    ____

    Que votre vie soit belle…. ne rien laisser passer….c’est court la vie…

  42. Hey grainpoints les matelots !!!
    Vous me manquez quand même sacrément, j’arrive!
    Et puis des fêtes où on valse en couleurs, ça ne se manque pas !

  43. Ah ben quand même !
    C’est qu’on a chanté fort et longtemps
    Même que j’y ai perdu ma dent
    Bienvenue à bord matelot Lou
    et je vous dis youhou youhou !

    Pour la petite histoire le matelot Rachel fut amené à fond de cale car visiblement elle commençait à yoyoter sec.

  44. Hier au soir sur une scène de province , flamboyante comme cette falaise au large de Porto, deux cents enfants dans un conte musical et théâtral d’Anne Sylvestre
    et en sa présence, mêlaient leur voix à celles des comédiens, similitude de beauté et d’embrasement, j’ai applaudi émue et émerveillée et devant cette explosion de fleurs sur cette falaise inondée des derniers rayons du soleil couchant j’aurais aussi envie de frapper dans mes mains…..

  45. Lou aurait-elle entendu les applaudissements ?
    Bonsoir Lou, tes mots si beaux en poésie commençaient à nous manquer.

  46. Oh Monique, je veux pas pleurer, tu es si gentille et si douce et ça me touche que vous soyez là. Vous êtes si beaux tous …et je trouve pas de mots …
    Avec mes points de suspensions je vais me transformer bientôt en Pierre b. ))

    Allez Rions plutôt,
    il y a quelque chose de super beau aussi que j’adore: c’est la dernière dent de Rachel ;)) Ah ce qu’elle est chouette cette-là !
    I love you all so much

  47. Cristal de roche
    Nectar fine bouche
    Délice en coeur
    Parfum de ciel
    Soleil tendresse
    Amour complice

  48. Je vous l’avais bien dit qu’elle reviendrait !

    Lever 5 h 30… demain matin,… pour cause de concours ! … Je vous dis donc bien le bonsoir… demain sera une dure journée… !
    Oups !… Voilà que moi aussi … ! (Pensée à Pierre-b, qui écrit si joliment, avec tous ses petits grainspoints, semés au fil des mots !)

    Biseeeeees du soir !

  49. bonsoir christineeeee, bonsoir aussi, en méforme aujourd hui, fort fatiguée, la plume va se poser barboter l’encrier….

  50. Elle est repartie en envolées poétiques Annick, et bonsoir à la plus belle des Noisettes. Bonsoir Christineeeeeeeeee, oui, rien à dire, tu me connais bien ! Bon courage pour ton concours, il faudra nous raconter !
    Comme je suis bien incapable de faire des rimes, je ramasse vos mots, et mon panier est plein de toutes ces fleurs… Oui Christine, j’aurais beau parsemer de grainspoints, Pierre B en est le beau champion.
    Bourrache dors-tu, danses-tu ou est-ce que tu laves le pont?
    Il est tard et c’est une couche-tôt. On la retrouvera plus tard, à se moquer de l’un de nous!
    Allez à très bientôt. Je vous laisse vous reposer.

  51. Hello Capitaine et grainpoints !

    Le bateau livre et son adresse
    Golfe Porto toujours en Corse,
    vit le matelot Lou en détresse
    Elle n’avait pas appris le morse.
    Le capitaine avait tenté
    de lui en souffler l’alphabet
    mais l’habileté limitée
    de la recrue toujours bouche bée
    devant les cordages et le pont
    et les corvées à accomplir
    promettait là de fous plongeons
    par dessus bord pour amerrir (…)
    On la remit dans le bateau
    Pour quelques années à venir
    Là il faudrait se lever tôt
    Et dans les hamacs s’endormir
    Mais l’équipage plutôt unique
    Du bateau doux et fabuleux
    Promit que le rire mélodique
    Remplirait l’courant onduleux
    Tous les noms d’cordes à retenir!
    Mais pour la vie beaux souvenirs !!

  52. Elle nous dit juste avant qu’elle est incapable de sortir une rime et elle nous sort un truc vachement bien. Heureusement qu’elle n’était pas en forme (sourire)

  53. Allez Rachel, celui là est pour toi
    Merci Ossiane pour la beauté des photos.

    Fleurir sur des rochers pour regarder la mer
    Rougir au mois de mai le sourire des euphorbes
    Attachées à leurs tiges de verdures foliaires
    Elles ouvrent leurs pétales que la lumière absorbe
    Enchantement du ciel quand la pierre participe
    Et offre aux poètes des bouquets de magie
    Enchantement du ciel auquel les yeux s’agrippent
    Pour se remplir le coeur de cette vive énergie
    L’écrire pour la sentir traverser le papier
    L’écrire pour en garder le chantant souvenir
    L’écrire et puis l’aimer cette sauvage nature …

  54. du souffle sur la braise
    et la sève de la vie
    coule à flot.

    terre fertile, rouge mine
    à l’air libre fleur de vie
    doux parfum équilibre

  55. Je voudrais tant pouvoir l’écrire
    Mais les mots sont si réducteurs
    Comment pourrais-je vous les décrire
    Dans l’intensité de mon cœur

    Alors je garde jalousement
    Tous ces arômes dans ma mémoire
    Conservant indéniablement
    Le parfum de tous ces nectars

    Mais mes souvenirs olfactifs
    Me trahiront je le sais bien
    Ils troubleront mon affectif
    Quand je m’y attendrais le moins

  56. Mon souffle dans ton cou
    Te rosit les pomettes
    Et quand ta main contemple
    Avec moi ce coucher
    A deux c’est tellement bien
    C’est si bel d’être heureux

  57. Jaillissement et non pas gémissement
    l’abrupt quasi vertical et bien minéral
    et cette mise à couvert du végétal
    pas gangue ni écorce juste résille
    éclatement chatoyant à tendre sa sébille
    couronnes sommitales à jouer des cimbales
    écarquillant les yeux entre ces blocs bien diaclasés
    n’imaginant pas chercher à les classer
    le vert qui cale en fond le vertical
    sans oublier le vertigo sans indigo
    et la douce rémanence en grappes qui dansent
    d’une fraicheur inacoutumée où passe un souffle
    pas au point de prendre ni gants ni moufles
    pour se saisir des braises qui attisent
    notre curiosité
    pas de mouflons non plus
    qui sautent la pente escarpée
    une nature intacte, préservée et rebelle
    avec des ocres chatoyants
    et un beau profil au couchant

  58. .
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    Ce petit mot pour vous signaler l’ouverture du blog de Sylvie intitulé “Autour des livres” à l’adresse ci-dessous:
    http://autour.des.livres.over-blog.com/

    Si elle le souhaite, Sylvie peut intervenir ici pour en dire un peu plus.
    Allez lui faire un petit coucou; elle sera ravie et saura bien vous recevoir.

    N’ouvbliez pas non plus de lire le beau poème de Neyde;-)

    Bon dimanche à vous tous!

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    .

  59. >rachel :
    Non, non je ne m’en fais pas maintenant que tout le monde a compris les difficultés à gérer cet espace et ce souci d’équilibre à préserver 😉

    >claudie :
    Toujours aussi joyeuse et embrasée, tu es 😉 Belle journée !

    >Thierry :
    Vertige des mots 😉

    >Perline :
    Merci à toi, je découvre tous ces merveilleux écrits 😉

    >monique :
    Carpe diem 😉 Curieuse coincidence ce spectacles rougeoyant. La virtualité rejoint la réalité parfois 😉

    >lou :
    Bienvenue sur le pont ! Que notre code morse soit avec toi 😉 Merci pour la beauté de ton écriture.

    >fabien :
    Bienvenue fabien, tu es le bienvenu. Merci de ta visite.

    >Christineeeee :
    Désolée, j’arrive trop tard ;-( Toutes mes pensées pour ce concours !

    >salomé :
    Sublime ! Merci beaucoup !

    >véronique :
    C’est superbe aussi, véronique. Que de délicatesse et de subtilité dans tes mots !

    >annick :
    Ca devient très chaud 😉 Merci pour ces instants pleins d’amour.

  60. Au printemps quand le soleil
    sans pudeur en tendre galant
    baise les euphorbes sauvages
    elles rougissent sous le vent
    en fleurs bellles et sages
    le coeur et les sens en éveil

    les granits se couvrent de braises
    qui se reflètent dans la mer
    dont le sang bleu se teinte
    des feux follets dansant dans l’air
    mouvantes et légères étreintes
    rouges baisers sur les falaises

  61. Le souffle du vent
    tendre
    Imperceptiblement
    Embrasse les fleurs en rocs
    Qui de rouge s’illuminent

    Leur ventre de braise
    coquin
    Voluptueusement
    Se donne beauté du temps
    Qui de rubis s’agite

  62. Cendres incandescentes
    On traversé le tant
    Quand il les réanime
    Ce bel temps du présent
    Leur rouge est si fort bel
    Qu’il le défie le tant
    Le tant traverse le temps
    En braises éternelles
    Réanimées de vie

  63. En relisant les mots de chacun je souris sur les mots de Lou « vous êtes si beaux tous »
    Et là je dis bravo ! Elle est très perspicace. Malgré les écrans, malgré la distance elle a perçu que j’étais un véritable petit canon. Eh oui ! je suis dévoilée. J’avais réussi jusqu’ici à garder ce secret mais je peux vous l’avouer : c’est un petit
    « bijou » qui vous écrit.

    Une plastique à faire rêver,
    un super corps de déesse
    Je vois tous vos yeux jalouser
    Ma ravissante paire de fesse

    Je vous le dis oui mes amis
    La nature fut bien délicieuse
    J’ai un sourire qui resplendit
    Et une poitrine bien généreuse

    Mais voyez-vous j’ai su garder
    Une si grande simplicité
    Même si je m’éblouis parfois
    Mon dieu mais quelle belle fille……. Mais oui c’est toi !

    Mais je ne veux pas en rajouter
    Car j’aime la simplicité
    Je ne voudrais pas vous gêner
    Si dame rature vous a raté

    Quant à ma beauté intérieure
    Elle est égale à l »‘extérieure
    Aïe J’ai un rayon qui m’éblouie !
    C’est ma beauté qui resplendit

    Smak Smak je suis merveilleuse !

    Attention si j’en vois un qui rigole
    Non mais des fois !

  64. Bonsoir Rachel
    Je ne comprends pas et je te sens si défiante. Je ne voudrais pas que ca se noue à nouveau. Excuse-moi si j’ai pu te froisser d’une façon ou d’une autre. Ce n’est pas mon intention.

  65. Ah non non Lou c’est du second degré. Tu ne m’as pas du tout froissé. J’ai juste essayé de rebondir sur tes mots pour dire quelques bêtises comme à l’accoutumée.
    Je me moque de moi et c’est tout

  66. Que ce soit du premier ou du second degré, l’essentiel c’est de ne pas y rajouter l »’e zeste de je ne sais quoi qui fait qu’on te sent amère ou sur la défensive.
    S’il y a des problèmes, peut-être vaut-il mieux les résoudre pour ne pas les faire traîner en longueur.
    A+

  67. On’t’ traversé le tant, avec un t, c’est ainsi en français,
    tu me fais sourire rachel, à te lire, c’est bon de ne pas se prendre au sérieux, parfois la vie bien trop sérieuse….

  68. Annick, ne pas se prendre au sérieux t’as raison c’est bien mieux …)
    et ne pas prendre au sérieux les matelots qui nous ressemblent de type Rachel !
    Allez bises à toutes les deux .

  69. >amichel :
    Merci pour ce beau poème rouge baiser tout en sensualité, légèreté et couleurs rayonnantes. Je t’embrasse.

    >annick :
    Tendresse coquine dans tes poèmes de braise 😉 Bonne nuit.

    >Monique :
    Je ne demande qu’à te croire pour Picasso qui a toujours su faire chanter les couleurs et les formes:-) Bises.

    >rachel :
    Tu es certainement la plus belle ;-)) Merci pour ton bel humour joyeux.

    >marc :
    Un beau cocktail parfumé et savoureux à partager entre amis 😉

    >lou :
    Lou, je connais bien mes passagers. Je ne vois aucune malice dans le poème de rachel. Simplement de la joie et de l’humour 😉 Alors chasse ce petit nuage noir. Bises.

  70. On peut se moquer de soi ,ne pas se prendre au sérieux jamais le meilleur moyen pour savoir e que l’ on est .
    C’ est a chaun de savoir de se connaitre
    Comme j’ ai horreur de ne

  71. Bien calme appliquée tout est parti.
    Ce n’ est pas du tout agréable
    Mieux vaut être discrete ou ????
    Dommage pourtant j’ aime bcp ce site

    Bon je parle toute seule Je vais dormir Noisette.

  72. à l’invitation généreuse d’ Ossiane je vais vous parler un peu de mon nouveau blog dont le thème est les livres.

    Comme je suis au chômage et que j’ai du temps à donner j’ai pensé provoquer des manifestations autour des livres dans ma petite ville de Montbéliard.

    Je parle autour de moi à des occasions diverses telles que spectacles, rencontres de mes amis ou connaissances dans la rue, via mes mails aussi … je parle de mon projet de faire passer les livres et la culture à Montbéliard. De rendre accessible à chacun, avec et au delà des habitués des échanges culturels, le goût des mots, entre autre.

    J’ai trouvé un lieu sympathique situé en centre-ville, une petite brasserie où l’on mange bien pour pas cher (LA BRASSERIE DU THEATRE).

    Le principe est simple. Chacun paie son repas et nous discutons, nous bavardons, nous rencontrons d’autres personnes, passionnées ou non des livres et plus largement de la culture .

    J’aimerais, j’ai proposé à mon Maire et au Président de ma Communauté d’agglomération de monter une boutique culturelle de l’aire urbaine Belfort-Montbéliard-Héricourt-Delle qui est l’espace de concertation de toutes ces collectivités autour de grands projets d’Aménagement du Territoire et qui regroupe 400 000 habitants (j’ai travaillé seize ans dans cette structure avec passion).

    Je voudrais que tous ceux qui n’osent pas entrer simplement dans un lieu culturel, osent le faire et soient informés de toutes les nombreuses activités de ma région.

    Pour commencer donc, je mets en place mes déjeuners passe-livres que j’ai intitulés « les déjeuners passe-livres de sylvie ».

    Chaque semaine, autour d’un bon petit repas pas cher, je provoque des échanges, des discutions, des rencontrons , en toute modestie.

    Je vais également, début juillet, animer un atelier d’art-postal.

    Aussi, si vous le souhaitez, vous pouvez dès à présent m’envoyer des courriers décorés à l’adresse suivante :

    sylvie lauzel
    38, rue Cuvier
    25 200 MONTBELIARD

    Je les mettrai sur mon blog en suivant.

    Par la suite je proposerai des petites foires-échanges de livres.

    en attendant de monter mon association.

    Je sais que certains d’entre-vous vont m’écrire car à lire vos réactions généreuses et si belles sur le blog d’Ossiane je sais que vous êtes des personnes créatives et fidèles.

    Merci encore à toi Ossiane qui nous donne tout ce bonheur avec ton blog.

  73. Bonjour sylvie

    bon courage pour tes initiatives, activités et projets
    cette chaîne de solidarité que tu mentionnes ne saurait faire défection
    qu’entends tu par courrier décoré ?

    bien à toi

  74. Sylvie, je transmets ce commentaire à une cousine qui habite près de Montbelliard.
    Je vais réfléchir à un courrier !.
    Bonne journée

  75. Bonjour ,
    J’ai aimé cette promenade, vos images et vos mots…
    La transparence, la fluidité, l’épaisse matiére, la sonorité des couleurs…
    Une sorte d’attention répétitive souligne l’affirmation de votre regard…
    choix des teintes singulier, joyeux, du côté de la nature, légérement nostalgique, sentimental…pleins de belles choses sont données à voir…
    Belle journée…

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