95 réflexions sur « Signes »

  1. Permettez chère Ossiane que je livre ici un poème que j’ai écrit il y a plus d’un an de cela et que cette photo me fait souvenir. Ce poème s’intitule « Les Jumeaux du bout du Monde » (fussent-ils ici des triplés! ;-))

    Les Jumeaux du bout du Monde (21/02/2005)

    « La marelle du Temps a effacé les larmes
    Roulant comme de francs cailloux
    De leurs yeux d’où jadis s’éveillaient tous les charmes.
    L’oubli en a fait deux bijoux.

    Chacun l’ombre de l’autre à l’aplomb de l’œil sombre,
    Le silence orchestrait leurs pas.
    Dépouillés de mesure, ils figuraient sans nombre
    Au chaos de cendreux débats.

    Le sable dépensait des trésors de violence
    Sur l’héritage d’un adieu,
    L’empreinte d’un Demain que le Passé fiance,
    Où l’autre est l’unique sauf lieu.

    Pétrifiés en plein vol en témoins de la Haine
    L’Amour devient une œuvre d’art :
    Un miroir éternel de deux enfants pour cène
    Perdus dans la guerre sans fard. »

  2. c’est magnifique Le larmes du Phoenix, je suis chavirée par de tels mots… merci à vous..
    ta photo posée est fort délicate, Ossiane, et ton haiku tellement raffiné. Merci à toi.
    Peut être le lundi posera mes petits galets tous doux dans ton filet à ressentis que ton album pêche et offre au grand jour… ton travail qui permet de recueillir des senteurs rares d’écrits si beaux chez tant, j’aime fort! Merci encore à toi!

  3. Des cailloux pas comme les autres..

    Ils sont là entraînés par le courant
    ces petits cailloux polis et blancs
    comme s’ils avaient quitté leur chemin…
    comme s’ils avaient été déposés par une main…

    en les regardant on ressent de la tendresse un peu amère
    comme s’il y avait de l’émotion dans leur coeur de pierre
    ils nous rappellent sans doute que la vie est dure comme eux
    et soudain on a plein de cailloux de pluie au fond des yeux…

    Posés çà et là en équilibre sur les bancs de sable au fond
    sous nos paupières closes bien enfouis toujours rouleront
    ces petits galets polis et ronds comme des perles de l’océan
    pour nous rappeler que la vie efface les aspérités avec le temps…

    ces petits cailloux ont quelque chose de précieux pour nous
    pour ceux qui ont posé leur regard dessus, ce ne sont plus,
    des cailloux comme les autres mais des cailloux qui parlent
    de toutes ces choses enfouies en nous comme dans un trou
    avec un caillou dessus…

  4. La journée commence fort, très fort, avec ces contributions riches d’émotions. Où nous conduirons ces trois galets cheminat sur le rivage, à la queue-leu-leu?

    Petits cailloux ponctuation
    Où portez-vous nos pas?
    A saute-mouton
    En bordure de l’envie
    Je rêve de prendre mon essor.
    Mais la mer est bien vaste
    Le port jonché d’épaves.
    Ne veux-tu pas plutôt te perdre
    En ces reflets
    Portés par la vague?

  5. dis moi

    et si les mots ne suffisent pas
    je trouverai d’autres signes
    pour les points cardinaux
    la croisée de nos chemins
    l’équilibre fragile sur terre
    les balises comme des cailloux
    pour protéger du naufrage
    et si les mots ne suffisent pas
    dis moi ce que je veux entendre

  6. Bonjour Ossiane,

    Soyeuses photos,
    dIvins mots,
    anGéliques poètes,
    DonNant des vers de fêtes,
    richEs de connaissances,
    merciS de vos magnifiques correspondances.

    BONNES FETES A TOUTES ET A TOUS !
    Ainsi que pour notre hôte Ossiane,
    Que j’embrasse,
    OLIVIER

  7. Bonjour,
    encore un joli traitement
    sur cette photo… Il n’y a qu’un seul secret que
    je t’envie : c’est ta facon de poser
    tes ecrits sur des courbes… C’est plus impressionnant
    sur le billet précédent. Je ne sais pas quel logiciel du
    utilises, moi je n’arrive pas à le faire avec le mien…

    Bonne journée
    Amicalement

  8. Salut. Merçi encore pour tes beaux poèmes, je t’avais conseillé de faire des économies de beaux mots mais tu es trop généreux, ta bonté te perdra mais je serai là pour te diriger mon coeur. Maintenant que je suis là tu peux dormir tranquil et je vais te materner et te chérir comme tu le mérites. j’ai dit materner mais je peux faire mieux je serai aussi ta maîtresse. J’ai dit maîtresse d’école bien sûr ayons les idées clairs mon cher Watsson!!!. Première leçon je suis d’abord une maîtresse très spéciale j’autorise tous les débordements oui je suis pour l’évasion dans ma classe il est permis de rêver et de délirer comme bon vous semble. Vous pouvez bavarder et vous éclater et vous pouvez tricher. Vous avez le droit surtout de réfléchir intelligement quand même tout en rigolant on peut le faire cela développe l’inspiration. On respecte quand même sa maîtresse, on l’écoute et dans vos têtes je ne sais pas ce qui s’y passent mais il faut resté correcte même en pensée. Avec mes élèves j’aborde tous les sujets intérressants et je trouve que mes élèves sont toujours attirés par l’éduication sexuelle c’est leur matière favorite. Je me demande pourquoi ce sujet en particulier? Ce sont des élèves un peu trop chaud pour la saison, deuxième leçon la prochaine fois si je ne suis pas refoulé par le rectorat de l’académie. J’embrasse mes élèves et en particulier mon chouchou de ma classe.

  9. Quelle belles série de photos !
    Je les adore !
    îles du 13 décembre , en particulier , est remarquable !
    C’est avec un grand plaisir , qu’après une longue interruption , je retrouve votre blog !!!

  10. Vos mots,doux poêtes,tels les signes d’un dieu
    résonent aux faîtes,m’enchaînent vers les cieux

    que jamais ne tarissent,flot de vos émois,
    l’or de vos abysses,vos cîmes,vos abois

    l’artiste,sa candeur,dans son intime cri
    est source de bonheurs,qu’il louange,qu’il prie

  11. sa main a déposé
    deux brindilles
    elle les ramasse
    et les embrasse
    sa main a posé des galets
    qui scintillent
    elle les orteille de saveurs
    elle serre son bonheur

  12. Te souviens-tu de ce clair soir
    près du pavillon sur l’eau
    où l’on faisait halte ?
    Après le vin, on ne savait plus le chemin du retour.
    Le plaisir épuisé
    rentrant en barque
    on s’égara au milieu des lotus
    « Rame ! Mais rame encore ! »
    Surpris piaffant
    de toute la rive
    une bande de hérons s’envola !

  13. Qu’est ce que c’est beau, Miomodus, j’adoooooooore!
    thanks encore, Ossiane, d’offrir la grâce du doux ventre de tes belles pages pour ses plumes si belles…me voilà encore toute étourdie en ailes, je te souhaite un bel jour!

  14. la brindille d’argent raffinée
    s’avance doucement,
    elle voit à l’horizon
    la petite bouteille si délicate
    qui lentement s’ annonce
    dans le vert de l’étang…
    les petits galets préparent
    un petit ponton charmant,
    les oiseaux répètent un chant unique,
    les roseaux accordent leurs souffles…
    la Paix qui rêgne sur l’étang
    annonce Noël si beau!

  15. Sur le petit ponton charmant
    Que Annick vient de poser
    Moi, je viens me promener
    En entendant ce merveilleux
    Chant des oiseaux à «voix unique»,
    Et de gallet en gallet
    De brindille en brindille
    Cette journée de lundi
    A été des plus douces…
    Noël ne sera sans doute blanc,
    Dans les pays à «saisons inversées»
    C’est un peu difficile,
    Mais une paix merveilleuse
    S’ emparera de nous,
    Grâce au chemin tracé par Ossiane!

  16. Le bonheur c’est le chagrin qui se repose… et peut-être que sans ce chagrin qui se repose au fond de nous il n’y aurait pas de bonheur…

  17. Merci pour cette magnifique série de photos qui s’harmonise si bien avec cette période d’hiver et de fête, le trouble léger des sensations intérieures qu’elles provoquent en nous.

  18. sven, j’apprécie beaucoup tes mots, et ils me vont droit au coeur ,
    et je pense aussi à l’ histoire vécue avec mon fils qui me permet
    d’aller plus haut encore plus haut et de jouir de la moindre petite chose!

    tes mots sont fort précieux, sven, mais pourquoi faut il le chagrin
    pour que le regard se bouge et voit plus et plus encore??

    juste car l Homme est fort petit et il lui faudrait des vies et des vies remplies de toutes les vies pour penser voir un peu plus, et sans doûte se réjouir en chaque instant de sa vie le bien si précieux qui est entre ses petites mains! pour qu’il tende sa vie aux autres, se l’offre aussi à lui chaque jour plus encorps!

    la vie est ainsi faite!

  19. Annnick

    « Accepter ne se peut
    comprendre ne se peut
    on ne peut pas vouloir accepter ni comprendre
    on avance peu à peu
    comme un colporteur
    d’une aube à l’autre… »

    Philippe Jaccottet
    A la lumière d’hiver

  20. Sans fard (le 22/02/2005)

    N’y suis je pas ?
    Ne l’entends tu pas ?
    …L’or de nos abysses, nos cimes, nos abois…
    …candeur… ?
    …surpris d’en rire…deux ailes pour venir jusqu’ici…
    …A…débouche la bouteille et lis nous à haute voix….
    …C…la lettre M tant espérée…

    b 😉

  21. Zodiaque

    Tu es l’eau
    Qui calme.
    Je suis le feu
    Qui brûle.

    Tu es la pluie,
    Douce, tranquille.
    Caressant
    Ma peau.
    Arrosant
    Mon âme.
    Fermer les yeux
    Y rêver.
    Je suis la flame …

    Tu es la mer,
    Vagues placides,
    Ronronant
    À la plage,
    M’emportant
    En voyage.
    Fermer les yeux
    Y rester.
    Je suis l’orage …

    Tu es le lac,
    Vert, diaphane,
    Magique miroir,
    Surface opaline,
    Promesse d’espoir
    Qui fascine.
    Fermer les yeux
    Y flotter.
    Je suis la foudre …

    Tu es Poissons,
    Je suis Lion.
    Tu es l’Amour,
    Je suis Passion.

  22. >Candide :
    Bien vu; un peu plus gros que les cailloux du poucet mais ça marche quand même;-) Merci.

    >Les larmes du phoenix :
    Les gouttes, les pointillés, les larmes et l’imaginaire est en éveil. Ne manquent plus que les points de suspension 😉 Merci pour tous ces beaux poèmes. Bonne après-midi.

    >Sven :
    Je retrouve dans ton poème pleins de mots que j’ai failli prendre 😉 Ces petits cailloux solitaires sont bien attendrissants. Ils évoquent à la fois la tendresse et la rudesse. J’aime bien tes parallèles avec le cœur de pierre d’abord puis les yeux et enfin ce qu’il y a de plus intime au fond de nous. Tu as raison, ces cailloux nous parlent. Un grand merci pour les émotions que tu sais faire passer. Je t’embrasse.

    >Pierre (2) :
    Oui tu as raison. A ma grande surprise, ces trois galets frappent les imaginations 😉 Tu te débrouilles pas mal non plus avec ce poème joueur et épris d’évasion 😉 Tout le monde va te suivre. Merci beaucoup. Je t’embrasse.

    >bouldegom :
    Belle idée de mettre en parallèle l’importance du langage et le besoin indispensable de signes dans l’espace pour se rassurer, se répérer et donner un sens à sa vie. J’aime beaucoup. Merci.

    >Daniel :
    De l’humour fort bienvenu dans ton joli haïku 😉 C’est comme cela que je le vois. Merci à toi.

    >Olivier :
    Que de mots généreux pour tout le monde pour cette fin d’année. Je ne vais pas tarder à ressortir et je passerai chez toi. Un grand merci à toi, je t’embrasse.

    >ღ♥ღ♥ ßяÜй♂ ღ♥ღ :
    Merci pour le compliment. Pas vraiment de secret, j’utilise un logiciel du commerce 😉 Bonne journée.

    >sam etegal :
    Bonjour et bienvenue sur le blog. Un petit haïku bien trouvé. Suivre la flèche 😉 A bientôt et merci.

    >Jean :
    Merci pour cet enthousiasme débordant qui me touche 😉 Des petites choses toutes simples de Camargue photographiées à mes pieds. Je vais essayer de retrouver le chemin de ton blog de temps en temps. Bises.

    >feu roméo :
    Superbe poème en hommage aux mots, aux signes, aux poètes de ce blog, roméo. Ils seront sans doute touchés. Bises.

    >bouldegom :
    Lecture dans tous les sens aussi avec ces signes posés.
    Ton deuxième haïku rejoint l’idée de ce que j’essayais de faire passer dans mon haïku. Ce besoin de l’homme de laisser son empreinte dans sa vie éphémère. Merci pour ces deux beaux haïkus.

    >Annick :
    Toujours fidèle et émue, Annick 😉
    Jolis poèmes plein d’amour autour des brindilles, des galets et de la bouteille qui refait sa réapparition 😉 J’aime bien ton « orteille de saveurs » 😉 Il n’y a que toi pour trouver des expressions pareilles 😉 Bises et merci beaucoup.

    >MioModus :
    Une jolie évocation nocturme à l’atmosphère asiatique ! Presque une scène de film. Tu sais nous faire voyager MioModus 😉 Merci pour tes poésies pleines d’originalité.

    >Cristina M :
    Je te trouve d’humeur très sautillante pour cette fin d’année 😉 Ce n’est pas sûr que Noël soit blanc en France, Cristina. J’ai toujours des roses qui fleurissent abondamment et il ne gèle pas. Dans ton petit coin d’Australie, tu dois sans doute profiter des belles soirées d’été. Merci pour ton amitié chaleureuse. Je t’embrasse.

    >Sven :
    Tu parles bien de l’humain. Voilà une belle définition du bonheur. L’être humain est habité de sentiments très divers qui parviennent à coexister tant bien que mal. C’est ce qui fait sa complexité et sa richesse. Un ciel perpétuellement bleu deviendrait vite monotone, non ?
    J’ai hésité à mettre et à poursuivre cette série si longuement. La crainte de lasser et de répéter. Je constate avec plaisir que ce n’est pas le cas et que vous arrivez tous à vous renouveler en beauté. Il faut dire aussi que j’ai affaire à un parterre de poètes hors pair 😉

    >… :
    Tu vas sans doute penser que je ne fais pas d’efforts et que je suis lente à comprendre. N’utilises-tu pas un langage codé ? HELP, please !! Tout ceci est à prendre avec le sourire, trois petits points 😉

    >fran6 :
    Oui francis, qui sait où il te mènera ? Amitiés de l’ouest.

    >Neyde :
    Un merveilleux poème plein de magie et de passion, Neyde ! Que de choses cette photo évoque en toi ! La mer, le lac, l’eau de la pluie qui calme l’âme, la flamme qui réchauffe, l’orage, la foudre, la rencontre magnétique de deux signes du zodiaque, toute la palette des sentiments qui agitent les humains. Un grand merci pour la beauté de ton écriture.

    Deux petites fautes de rien du tout 😉 100% adjugé !
    – Je suis la flam(m)e
    – Ronron(n)ant

  23. Galets
    ________

    Un enfant chantonne sur la rive
    « Greli grelo
    (D’une voix vive)
    Combien j’ai de cailloux dans mon sabot »
    Dans la conque que font ses mains
    On entend tinter les pierres aux sons cristallins.
    …..
    L’eau coule et le temps passe
    Prenant bons et mauvais jours dans sa nasse
    Effaçant la traces de nos pas
    Et signes de passages
    Les paroles sont sans usage
    Et la mémoire sans compas
    L’eau coule et le temps passe
    Le cœur d’aimer jamais se lasse
    Présent passé et avenir
    Pleurer rire souffrir
    Sont des galets que la mer roule
    Eternellement dans sa houle
    Et qui balisent le rivage
    Où la vie renaît sous d’autres visages
    Laissant ses larmes et ses veuvages
    L’eau coule et le temps passe
    Le chemin chante à marée basse
    ……….

    Un enfant chantonne sur la rive
    « Greli grelo
    (D’une voix vive )
    Combien j’ai de cailloux dans mon sabot »
    Dans la conque que font ses mains
    On entend tinter les pierres aux sons cristallins.
    —————-

  24. (sur la note précédente)

    Anne-Marie

    Enfin
    Tu as rencontré
    Arlequin!
    Sa pirouette magique,
    Pyrotechnique,
    A emerveillé Colombine,
    Qui bien fine
    Ouvre les yeux
    Mais,
    Entre les deux
    Son coeur balance.
    Et en pas de danse
    Prend la main
    À chacun.
    Les trois
    S’envolent
    Chez les Rois
    De la Comédie.
    Essayant d’autres rôles,
    Suivant d’autres lignes,
    Se déguisent
    En jeu de galets
    Au Lac des Signes.

  25. Linceul vert

    Le poisson rien ne l’arête
    et s’il font vase grise
    un deux trois galets
    c’est un signe:
    le pêcheur est mort
    depuis longtemps
    sa canne aussi
    blanche noyée

    L’oeil est fermé

  26. bon , ce n’est pas du touyt que je n’ai, pas le moral ,mais je ne sens pas du tout je vais travailler cela au niveau « fvreudien  » le sens caché apparaitra bises Alain. bravo à tous les poètes qui t ‘escortent !…belle cavalière poétesse

  27. trois galets
    beaux posés
    *passé
    *présent
    *avenir
    l’eau circule libre
    le présent
    il capte
    se laisse admirer
    serre serre si fort
    le présent se met
    à voler!
    et les deux autres galets émus
    n’ont plus qu’à s’incliner!
    alors le galet si présent
    offre son coeur vivant
    tel un écrin précieux
    l’ouvrir prit tout un temps
    et puis voilà qu’il s’ouvre,
    il ouvre son âme
    au temps présent si beau!
    et les galets cantiquent
    un psaume
    le psaume
    du merveilleux temps présent!

  28. Pierre, feuille, ciseau !

    Un, deux, trois…
    Galets !
    Une, deux…
    Brindilles !
    Et un seul…
    Rameau !
    Le jeu ici n’est pas
    A qui gagne sur quoi,
    Car les brindilles
    S’accordent aux galets,
    Le rameau
    Aux brindilles,
    Et les galets
    Au rameau…
    Le jeu est
    De deviner
    Ce que les galets
    Au nombre de trois,
    Les brindilles
    Au nombre de deux
    Et le rameau
    Seul, ce qui fait un,
    Avec Ossiane cela fait six,
    En chinois, japonais,
    Arabe ou hiéroglyphe,
    Tentent de nous signifier…

  29. Neyde,
    J’ai toujours eu un peu peur que Colombine n’aie à choisir entre Pierrot et Arlequin!
    Pierrot est fin, poète, romantique à souhait, mais peut-être à la longue un peu ennuyeux…
    Arlequin est gai, sociable, amusant et charmant, mais peut-être à la longue un peu fatiguant!
    Ta Colombine n’a pas choisi, elle a pris le meilleur des deux.
    Et c’est elle maintenant qui mène la danse, et les libère, et se libère, De ces rôles prédestinés.
    Elle a sans doute écrit dans le sable ces signes caballistiques…
    Pour les emmener tous deux dans ce pays
    Où l’Un est l’Autre, où Elle est Lui,
    Où nous sommes Tous un Chacun..
    Il lui aura sufi de trois galets,
    De deux brindilles,
    Et d’un rameau…
    Elle est fortiche, notre Colombine!

  30. Oui j’aime beaucoup les Hommes, je trouve comme St Ex. qu’il y a plus à admirer chez eux qu’à détester…

  31. Bonsoir Ossiane,

    Excellent, tout çà! bon j’ai pas encore l’oeil aussi ouver que toi, mais çà m’empêche pas de faire un peu de photo avec mon nouveau numérique, un Alpha100 (sony). Et toi, tu utilises quoi comme matériel pour tes oeuvres?

    sinon, ma galerie est ici:
    http://photos.bretagne-balades.org
    Si tu pouvais m’aider à faire connaître mes débuts dans le monde de la photo, j’en serais trés ravi.

    Cdlt,

  32. >amichel :
    Très heureuse de ton retour parmi nous 😉 Tu sembles en grande forme poétique avec ce poème en forme de chanson. Le temps passe avec malheurs et joies sans que l’amour ne s’estompe. Une belle idée de comparer les périodes de la vie et les sentiments aux trois galets qui roulent sous l’action des vagues. Il s’agit de la vie avec tous ses aléas. Pendant ce temps, cet enfant chante insouciant sa joie de vivre. Merci beaucoup pour ce beau poème plein de profondeur. Je t’embrasse.

    >bernard :
    Cette eau verte te rend bien triste cette fois 😉 Je suppose que tu as pensé au pêcheur à cause de cette branche tendue vers l’eau. Ca dépend de quel œil tu parles. Le mien est toujours ouvert à cette heure-ci 😉 Merci beaucoup pour ton beau poème. Bonne soirée.

    >Alain de la communauté/rabelais :
    Tu arrives une fois de plus au mauvais moment. Je suis toujours sur cette série qui te met le moral encore plus par terre ;-( Courage à toi ! Je t’embrasse.

    >Annick :
    Un petit ricochet bienvenu à partir du poème de amichel autour des trois galets du temps 😉 Tu as choisi le présent qui ouvre son âme vers ciel. Nous voilà avec le chant des galets 😉 Merci pour tes mots.

    >brigetoun :
    Brigitte, tu m’as l’air bien dépitée 😉 Il n’est pas si mauvais que ça ton haïku 😉 Etrange ton eau morte… Bises.

    >Anne-Marie :
    Tu as vraiment une forme d’enfer le soir ;-)) Ton poème me fait beaucoup rire ;-)) Qu’est-ce que c’est que cette histoire de brindille, de rameau et de galets ;-)) Où vas-tu chercher tout ça comme dirait Annick ;-)) Je ne suis pas douée en maths, tu sais 😉 Je recompte; ça fait 7 si je suis dedans et pas six ! Explique 😉

    >bouldegom :
    C’est peut-être toi le génie des eaux 😉 Merci d’être là.

    >Marie-José :
    T u t’inquiètes pour moi avec cette âme à la dérive 😉 Dans mon esprit, ce n’est pas forcément négatif. J’imagine cela comme un envol et pas une noyade si j’ai bien compris ton propos. Merci de ta visite.

    >Shyboy :
    Bonsoir 😉 Te revoilà avec un beau joujou 😉 Il n’est pas mal du tout ce Sony. Je l’ai déjà eu en main. Pour ma part, je n’ai pas encore de réflex un peu par flemme d’avoir à transporter beaucoup de matériel. J’aime bien me sentir libre quand je pars faire de la photo mais un jour viendra où je changerai d’avis. Pour l’instant, j’ai un Nikon 8800 dont je suis très contente. Je te souhaite de vivre de belles aventures avec ton appareil. Bonne fin de soirée.

    >Yves :
    Je crois comprendre que tu perçois un visage de femme sur la photo. Tes haïkus ouvrent souvent plusieurs pistes de compréhension. Merci beaucoup. Bien à toi.

  33. Chère Annemarie, j’apprécie tout particulièrement l’envolée de votre phrasé. A vous lire, on se sent plus léger, un sourire courant gaiement sur nos lèvres rosies par votre fraicheur. Vous êtes comme ces nuages qui viennent avec douceur apaiser le bleu de nos âmes parfois trop exposé au Soleil. Votre touche fait mouche… vous seriez Farfadet de la Plume que je n’en serais point étonné. Merci à vous ainsi qu’à Neyde pour avoir ranimé ces beaux personnages. Nous sommes au Théâtre, merci Ossiane d’en être la mécène. Continuez svp, on se régale ! 😉

  34. j ‘aime beaucoup le calligramme..

    sur un vert tendre
    des traces tendres
    trois coraux tendres
    un passage tendre
    au loin l’île tendre

    tous ces petits tracés posés légers avec la pointe d’un cheveu pour signer sa belle présence……

  35. Pas de sens unique..pas de sens interdit…non…juste un signe..douceur..vol en suspension..tendresse…Une invitation à la dérive…
    Une brindille et trois galets…Signe cabalistique…effet du hasard ..ou l’entrée dans nos rêves…On saisit la pierre….elle repose dans la paume de notre main..respire…On suit les courbes…Elle vous rassure…elle vous apaise…elle vous parle…Doucement vous la reposez…
    Quelle direction…quel point du globe…Pour quelle invitation…quel voyage…Votre regard suit la direction que vous indique ..la branche..légère et fragile..
    C’est alors que vous dévalez les mers et les océans…plongez dans les regards et les mots dormants…effleurez l’horizon ..les toits ..et les émotions d’antan..Vous fermez résolument les yeux..de peur que l’image..les sensations ..vous échappent…
    Et vous vous réveillez…le poing hermétiquement fermé…vous l’ouvrez…Dans le creux de votre paume..l’empreinte du galet… les « traces d’un passage »…

  36. Clins d’oeil malicieux
    Sur la rive posée
    Invite sourire

    Les couleurs, le mouvement de l’eau sont si doux
    Comme une caresse.
    « Te souviens-tu de ce clair soir » de Miomodus?
    Des brindilles argentées d’Annick
    Du chant des oiseaux de Christina
    Du repos en bonheur de Sven
    De la pluie douce et tranquille de Neyde
    Et du  » chemin (qui) chante à marée basse » de AMichel?
    Dis, Ossiane, t’en souviens-tu?
    Pourquoi alors cette âme en dérive au creux de ton haïku?

  37. parce que ton âme dérive vers moi
    et je l’attends et je la prends
    bien belle douce Ossiane
    sèche tes perles, vois ce tout blanc
    viens, approche, donne moi une main
    ton album si fait de mains vivantes

    bises, Ossiane, et beau matin je pars marcher en campagne, vivre le ciel, brasser les nuages, retrouver mon étoile…

  38. Noël arrive…
    Toutes ces beaux textes
    Sont comme des étoiles
    Des lumiéres qui brillent
    Sur le sapin d’ Ossiane!

  39. Obsession…

    Trois petits frères,
    Baladins de la Terre.

    Trois inséparables,
    Voyageurs du sable.

    Et cette brindille côtière
    En obstacle éphémère.

    Crainte de séparation,
    Comme une obsession…

  40. >pierre b :
    Magnifique texte qui a germé dans tes pensées au cœur des embouteillages 😉 Les panneaux de métal ont été vite remplacés par ces signes végétaux et minéraux 😉 Une très belle idée de garder un galet dans sa main pour cette invitation au voyage. Suivre la flèche de bois et se laisser glisser dans l’univers aquatique. J’aime beaucoup le ryhtme que tu utilises pour faire avancer tes idées. Comme une respiration par petites touches. Tes déambulations poétiques sont toujours très ouvertes vers les autres. Beaucoup de précision et de délicatesse dans tes mots. Bravo aussi pour l’empreinte du galet qui reste dans la main. Un grand merci pour ce beau partage de sensations. Je t’embrasse.

    >Bernard :
    Judicieuses remarques concernant le nom de Pierre b. Je n’y avais pas pensé 🙂

    >Vi :
    Bonjour Vi 😉 Cette déclaration si joliment calligraphiée sur le givre me touche 😉 Mes meilleures pensées dessinées sur la buée de la vitre. Je t’embrasse chaleureusement.

    >Pierre (2) :
    Quel beau commentaire, Pierre avec ce haïku malicieux et ce texte qui pointe vers cette âme en dérive 😉 Je me souviens bien sûr de ces moments pleins de grâce avec nos compagnons de poésie;-) Pas de mélancolie dans cette âme. Quand j’ai écrit le haïku, j’ai simplement pensé aux premières sépultures préhistorisques et à ce désir de laisser son empreinte dans le monde des vivants. C’était très serein, je t’assure 😉 Je t’embrasse et te remercie.

    >Annick :
    Bien sûr que mon âme dérive vers toi puisque je lis avec attention ce que tu écris 😉 Rassure-toi, je vais bien, les perles sont bien sèches 😉 Je me sens au contraire très bien dans le genre de photo que je vous ai proposé. J’aime la nature qui m’offre ces signes posés au hasard sur le sol alors qu’on penserait que l’homme est passé par là pour les agencer. Je trouve cela très apaisant. Merci beaucoup pour la chaleur de ton poème et belle balade dans la campagne.
    .
    .
    >>> La suite des commentaires après le déjeuner … Bon appétit à vous.

    .

    .

  41. un…… deux……. trois
    petits mouchoirs blancs
    laissés tombés vaporisés
    une belle bise équilibriste
    qui file sur la tendre brindille
    tout droit cap direct vers
    son Il…de ilE.. en Il…….

  42. >Cristina M:
    Oui Cristina, pas de vrai sapin mais tous vos mots accochés les uns aux autres respendissent autant que les guirlandes sur ce blog. Bien à toi.

    >Fugitive :
    Tu as sans doute raison à propos de ce mystère insoluble mais il est bon comme tu le fais dans ton haïku au secret impénétrable de laisser vagabonder ses pensées pour tenter d’y trouver une réponse qui nous satisfasse. Peu importe qu’elle soit crédible ou pas. Merci Fugitive pour ces impressions toujours bien senties. Belle journée.

    >bouldegom :
    Pauvre sapin ! Mais il n’est pas tout seul, d’autres voix l’accompagnent. Merci à toi.

    >Daniel :
    Superbe, comme souvent 😉 J’aime cette idée de fratrie inséparable qui risque d’être brisée à cause la brindille. C’est bien trouvé. Merci et belle journée.

    >Emma :
    Comme tu résumes bien l’esprit de ces photos. J’aime bien ce vide car il donne la liberté de trouver de multiples lectures. J’ai lu sur ton blog que tu parles souvent du vide et du plein. Visisblement, ces deux notions guident souvent ton approche artistique. Il va falloir que je me procure le livre de François Cheng que tu as mentionné. Ce sujet m’intéresse. Merci d’être passée.

    >Annick :
    Ile quand tu nous tiens 😉 Belle image ces mouchoirs blancs vaporisés. Il ne reste plus qu’à atteindre le point d’arrivée. Bises.

  43. Les osselets s’échouent sur un banc,
    C’est l’étape des valeureux ; un arrêt au sable,
    Comme une respiration dans leur danse du vent
    Raconte des rêves et des fables.
    Les baguettes magiques font des radeaux,
    Des trésors à fleur d’eau,
    Qui ballottent et dodelinent leurs mines
    Brunies puis dans un dernier souffle,
    Meurent et coulent dans l’abîme.

  44. Follow those stepping stones
    Where do they lead ?
    Oh joy ! oh bliss ! oh mighty glee
    They lead us to our holiday !!!!

    Not long now.
    Have fun and joy over Christmas, Ossiane.

    Bises festives
    Judith

  45. Univers marin
    Les marées de vive-eau
    La pleine lune

    C’est avec un peu de retard que je t’envoie ce soir
    cet haïku. Les mystéres de l’informatique sont
    parfois étranges. Plus de connexion et nous sommes
    désemparés. A demain. Bisous belges.

  46. >Guillaume:
    Bonsoir Guillaume. Un beau poème ! Tu innoves avec les osselets qui s’échouent sur le sable pour reprendre leur souffle. Une pause salutaire pleine de magie et de poésie avant d’aller se perdre dans l’abîme. La fin est terrible. J’aime beaucoup cette danse du vent. Bien à toi, je t’embrasse.

    >Judith:
    Hello Judith! Merci beaucoup pour ce petit poème plein d’entrain. Plus que Noël, j’ai l »impression que les vacances sont attendues avec beaucoup d’impatience;-) C’est une période que je n’aime pas particulièrement et qui ne me rend pas très festive, tu sais, mais je prends tes bises quand même;-) Bien à toi. Je t’embrasse fort.

    >Françoise:
    Bonsoir et bienvenue sur le blog. Merci pour tes impressions. A bientôt.

    >Maurice:
    Pas de souci pour le retard;-) Ce genre de problème est récurrent mais il finit toujours par y avoir une solution après bien du tracas. Si tu n’as plus de connexion, appelle la hot line de ton hébergeur. Tu as peut-être un problème avec ton modem ou ta …. Box ….

    La marée noire informatique ne semble pas altérer ta capacité à imaginer;-) C’est amusant que tu aies pensé à la pleine lune et aux marées. la couleur peut-être … En tout cas un grand merci pour ta ténacité. Bises de France.

  47. bonsoir ossiane,

    un petit signe !
    juste pour te dire coucou
    après la photo  » solo  » si envoutante
    je n’ai pas retrouvé le  » A  » d’un autre alphabeth!
    mais je viens de temps en temps voir tes nouvelles photos
    bises
    jane

  48. >jane:
    Coucou jane, c’est déjà pas mal que tu viennes voir de temps en temps ce qui se passe;-) Besoin d’une petite pause, de s’aérer, d’aller voir ailleus, quoi de plus normal. Va et viens comme bon te semble. Tu sera toujours la bienvenue. Je te réserve la petite case A près du radiateur si tu veux;-) J’espère que tout va bien du côté de ton travail et que tu n’es pas trop épuisée. Si je ne te revois pas passer, je te souhaite de très bonnes fêtes de Noël auprès des tiens. Je t’embrasse bien fort.

  49. Bonsoir Ossiane,
    Grâce à toi je me suis penchée de plus près sur les Haïkus… de la France au Brésil… Du Japon, j’aime les massages Shiatu… c’est une véritable philosophie…
    J’avais reçu en cadeau, un livre d’une famille de japonais qui s’installait à Barcelone, et il racontait sa vie… et ses changements culturels. Le Japon… à découvrir toujours un peu plus.
    Merci.
    Bonnes fêtes.

  50. >Marie-José:
    Bonsoir Marie-José;-) Je suppose que tu es allée sur le site que j’ai en lien « Anthologie du haïku ». C’est effectivement tout un univers que je commence à découvrir sur le plan littéraire et artistique. En revanche, je ne connais pas les massages Shiatu; en quoi ça consiste? J’imagine que ce ne doit pas être désagréable;-) Bonnes fêtes à toi également.

  51. Du sable entre les mains, tu as refermé les doigts…

    Quand on tient nos visages au fond de nos mains
    on entend profondément les pas du temps… en vain,
    tu disais : j’irai vers d’autres terres, vers d’autres mers
    et ton regard solitaire parcourt les gens et les pierres…

    nombreux sont les matins et presque ta vie toute entière
    où tu voyageas de fleuves en rivages toujours imaginaires
    les lointaines contrées, les ports inconnus, nacre des eaux
    algues et coquillages, ambre, ébène et branches des coraux

    t’inspirent des poèmes, des rêves de liberté et au soir de ta vie
    éclairent tous ces moments passés dans le silence et l’ennui
    les nuages sont passéset avec les désirs aussi, mais tous ces rêves
    éclairent les confins de l’univers pour ouvrir un chemin à ton âme…

    du sable entre les mains, tu as refermé les doigts…

  52. Déni d’espoir (24/09/2003)

    « Passager clandestin,
    De tous ses doux poèmes,
    Qui cherchaient un Destin,
    Au coeur de la Bohème,

    J’ai jeté un caillou,
    Un aveu, une errance,
    Y voyant tel un fou,
    Ricochet d’espérances.

    Les décibels ont fui,
    L’abri, la sourde oreille,
    La promesse des nuits
    D’où plus rien ne s’éveille.

    Sans papier pour braver
    Le silence à tes lèvres,
    Tel courrier entravé,
    Mon coeur saigne de fièvre.

    Je t’ai écrit des mots
    A l’Aube renaissante,
    Bourgeons de blancs rameaux,
    Dans l’ombre des passantes.

    Leur pas s’est fait l’écho
    De la plume achevée
    Sur ton nom. Ex aequo :
    Ma vie n’est que rêvée. »

  53. désolée, Ossiane, mais le coeur bat si fort, que les doigts le palpitent pour pas qu’il s’évanouisse…au ryhtme des mots lus, devant les mots posés…ton album un recueil de poésie de vie si profonde ……

  54. >Sven:
    Tandis que Pierre b tient un galet dans sa main, tu fais filer le sable entre les doigts comme pour un sablier. Encore une belle évocation de la vie, du temps qui passe, de la solitude, des désirs enfouis, des rêves passés. Un voyage imaginaire essentiel pour ouvrir la voie à l’âme. Merci encore une fois pour la profondeur de tes poèmes. Je t’embrasse.

    >Annick:
    Gentille pensée poéique pour jane et son petit a;-) J’espère qu’elle t’entendra. Bises du soir.

    >Catherine:
    Un départ qui doit laisser des traces. Un joli petit poème avec ces signes de sourire ramenés par les flots. Cette approche n’a pas été évoquée si j’ai bon souvenir.

    >Les larmes du phoenix:
    Merci de nous faire partager un de tes poèmes antérieurs. Poème d’amour passionné mais empreint de tristesse. Le lancer d’un caillou, espoir de ricochets et pas de réponse. Là aussi, tu évoque une vie rêvée. Bien à toi.

    >Annick:
    Pas de problème. Je te laisse te débrouiller et écrire ce qu’il te plait;-)

  55. Vite
    Vite cours plus vite
    Ossiane petite curieuse
    Souhaite savoir qui tu es
    …IL…
    Speed
    Speed encore plus vite
    Annick petite secrète
    Soulagée de voir amarrer
    IL en ILE

    dans un lagon tout bleu, protégé par les vents, un lagon si vivant de beautés inédites, où IL sur cette ILE, ce parchemin vivant niché dan sla bouteille, se fait sécher bien fort, sa traversée fut tellement speed!

  56. >Annick:
    Non Annick, je ne suis pas si curieuse. Je te laisse tes secrets et me contentrai de ILE, de IL, de la bouteille, du parchemin sans savoir comment recoller les morceaux. A moi d’imaginer; c’est la règle du jeu/je sur ce blog, non? Mais je crois que j’ai une toute petite idée que je garde pour moi naturellement;-)

  57. mais je dis tout cela pour rire, Ossiane, je suis gaie et profonde max ce soir, je passe de hat en bas, sur le tobogna de la vie…
    j’admire TANT ta délicatesse, tu n’es pas du tout curieuse…

    heinhein..
    car tu vois, IL c’est…

    heinhein…
    c’est un secret de moi..

    heinhein…et ELLE
    c’est une secrète de moi..

    bises de nuit, et imagine surtout TON IL, le tien, le précieux le doux IL à toi,
    et si il te reste quelque temps, imagine mon il, mon humble il si précieux, une ile aux reflets d’or!

  58. je viens de temps en temps regarder tes photos
    faut bien que je me décide à laisser ma petite trace
    au milieu de touts ces beaux commentaires!!!
    j’aime beaucoup tes photos et le travail que tu fais dessus,les textes…
    ton blog est reposant..
    bon âpres midi

  59. Ossiane ,
    Je viens te souhaiter par ces quelques mots , une agréable fin 2006 en espérant que 2007 soit une année pour toi et tes proches de joies et de bonheurs.Gardes cet Oeil Ouvert pour nous faire partager tes visions poétiques des choses ,des paysages qui nous entourent.
    Bien amicalement
    Eric

  60. >Eric:
    Ta petite visite me fait bien plaisir;-) Je viens seulement de rentrer de quelques jours de pause. Je te souhaite également les meilleures choses pour l’année future ainsi que de bons moments de convivialité en cette fin d’année. Enfin, bon vent à ton blog et à tes projets.

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