* Lecture du Haïku Calligramme: centre, verticale gauche, verticale droite.
Blanches et Noires
S’écoulent en Rivière
Dans l’Onde des Mots.
* Il y a quelques jours, une belle voix accompagnée de notes cristallines au piano s’est glissée dans ma boîte à messages. Il s’agit de la voix de Pierre-Alain Gogniat qui à la suite un long voyage dans les méandres de L’Oeil Ouvert a eu envie d’écrire, de mettre en musique et d’interpréter une chanson sur le thème de l’eau et de la voix/voie. Elle s’intitule « A la Source ». Je vous invite à l’écouter ci-dessous. Merci Pierre-Alain pour ce cadeau qui m’a beaucoup touchée. D’autres partages de sons, d’images et de mots se profilent à l’horizon.
A la Source
Paroles et musiques : Pierre-Alain Gogniat
L’eau coule de source, ta voix aussi
Limpide et douce, pleine de vie
Sans qu’on m’y pousse, moi je la suis
Elle suit son cours, je cours aussi
Fidèle à son lit, malgré tous ses méandres
Ta belle voix se lit, comme les mots les plus tendres
Et quand elle sourit, je ne peux que m’éprendre
Tant ce qu’elle me dit, c’est ce que j’aime entendre
Comme l’eau qui traverse, et nourrit la campagne
Ta voix me caresse, me ravit et me gagne
Ton onde ma déesse, me fout l’âme en pagaille
Et je cède à l’ivresse, de ton meilleur champagne
Parfaite est ta cambrure , quand sur moi tu te penches
Que ruisselle ta voix pure, en gouttes que je mange
La saveur d’un fruit mûr, au goût subtil, étrange
Ce parfum, je le jure, est bien celui d’un ange
De toutes les parures, la rivière de diamants
Est la seule assez pure, pour toi voix que j’entends
Me dire dans un murmure, quand revient le printemps
Faisons que l’Amour dure, entre nous tout le temps
Oui coule encore, pour que jamais ne passe
Cette envie qu’a mon corps, d’être pris dans ta nasse
Vocales sont les cordes, des filets qui m’enlacent
En notes qui s’accordent, et qui jamais ne me lassent
Cette eau-là quand elle manque, c’est un lac qui se vide
Une telle voix absente, laisse mes terres arides
Comme l’herbe jaunissante, sous la chaleur torride
Je supplie, je demande, qu’il en pleuve au plus vite
Et l’eau tombe du ciel, en quête d’océan
Moi je monte au ciel, à chacun de tes accents
Je savoure ce miel, qui me chauffe en dedans
Tous ces éclats de rire, je les mords à pleine dents
L’eau coule de source, ta voix aussi
Limpide et douce, pleine de vie
Et sans qu’on m’y pousse, moi je la suis
Elle suit son cours… je cours aussi…
Pierre-Alain Gogniat
wouah ! Que d’émotions ici cette nuit ! On dirait l’eau qui coule sur les frissons d’une colonne vertébrale… Au son d’une voix qui chante la vie…
Bravo à vous deux !
Catherine
L’eau coulait et scintillait sur la soif des mots
Ces mots trop pudiques qui se voulaient fluides
Ces mots hésitants qui rêvaient d’être limpides
Ces mots juste fragiles coulant en rameaux.
Et je buvais l’eau à saisir sa transparence
À comprendre le flux de sa force paisible
À deviner ses suggestions de l’invisible
À saisir comment elle chantait le silence.
Et je partais avec elle dans les rivières
Des images vivantes de mes nuits rêveuses
Et je dépliais les mots, l’âme enfin heureuse
De leur donner libre cours dans une eau lumière.
Catherine
On dirait un peu des larmes de chocolat fondues sur du biscuit. Si si, je t’assure ! Et pour moi, c’est tout aussi romantique que de jolies gouttes d’eau qui viennent effleurer une surface végétale. Le chocolat chaud progresse très lentement, venant carresser la surface du biscuit et révéler ses saveurs. Une douce odeur se dégage : l’harmonie des saveurs est toute proche. Mmmmmh. Biz
je suis émue par ces mots et cette voix si présente.
libre voix
géant sous la lumière
il te faut dégrafer
les deux boutons de nacre
qui enserrent tes poignets
tu veux laisser tes mains
battre brusquement des ailes
battre lentement de l’aile
se tendre vers l’univers
se jeter vers la terre
agrandir ton oreille
servir de porte-voix
géant sous la lumière
il me faut dégrafer
les deux boutons de nacre
qui enserrent tes poignets
De magnifiques photos! Bravo!
Bon sang mais c’est bien sûr c’est un fruit de la passion…
coupé en tranche.
miam miam
Là, je suis impressionné !!!
Très belle chanson !! Bravo cher Pierre-Alain !! votre voix, ce piano… Bluffant !!
Chère Ossiane,
quel beau cadeau tu as eu et merci de nous le faire partager !!!
Bizarrement ta photo me donne plutôt à penser à une tarte aux fruits…
Parlons de l’eau, plutôt chantons l’eau !! comme Véronique Sanson !!
« RIEN QUE DE L’EAU »
»
Elle, rappelle-toi comme elle est belle
Et touche-la : elle sent le sel.
C’est un don miraculeux.
Elle, c’est la naissance de la gabelle,
C’est l’oubliée des infidèles
A la terre des futurs vieux.
Rien que de l’eau, de l’eau de pluie,
De l’eau de là-haut
Et le soleil blanc sur ta peau
Et la musique tombée du ciel
Sur les toits rouillés de Rio.
Toi, tu te caches dans les ruelles
Et comme un païen qui appelle
Les Dieux pour qu’elle t’inonde.
Elle, oh tu sais elle a le temps :
Elle est là depuis mille ans,
Elle te suit comme une ombre.
Rien que de l’eau, de l’eau de pluie,
De l’eau de là-haut
Et le soleil blanc sur ta peau
Et la musique tombée du ciel
Sur les toits rouillés de Rio.
Elle, en attendant l’orage,
Elle te pardonnera ton âge
Et l’argent de tes cheveux.
Elle, tu ne peux pas te passer d’elle,
Tu ne vivras jamais sans elle.
Tu n’auras que de l’eau de tes yeux.
Rien que de l’eau, de l’eau de pluie,
De l’eau de là-haut
Et le soleil blanc sur ta peau
Et la musique tombée du ciel
Sur les toits rouillés de Rio. »
Bises et merci à vous deux,
OLIVIER
C’est si beau que je reste sans voix
Que j’en oublie ton image et ton poème
Pourtant le jaune est là
D’eau fraîche nimbée
Comme un fruit que l’on va porter à la bouche
Dans toute sa maturité
Un nectar s’en écoule et nous emplit de joie!
Nid d’abeilles
***************************************
Il y a de la douceur
Mais aussi quelque tension
Il y a du miel
Et parfois du fiel
Je les aime surtout tièdes
Elastiques
Mes cordes vocales
Pour te faire du bien
gélatine ..
sous le charme..
du piano..
des violons..
d’une voix..
d’un filet au doux pêché de vie..
Il reste plus que le jaune d’oeuf avec deux pauvres petites cerises !
Et qui a piqué toutes les autres ?
Tout un univers organique étonnant de cellules d’or !
Superbe photo, poème et musique. Bravo à tous les deux.
Je vois une poire à gauche et deux abricots au milieu …miam miam !
Bises fruités
Judith
Je vois que je ne suis pas la seule gourmande !!!
Belle chanson , belle voix, et un fruit gorgé de vie!
bon début de semaine, merci à vous deux.
Encore une superbe photo que voilà ! Je pars dans quatre jours en Bretagne et là-bas je n’aurai pas beaucoup internet mais j’essayerai de venir visiter ton blog de temps en temps. Bisous et bonne journée.
>Catherine :
Je me doutais que ce thème te plairait 😉 Tu déroules limpidement ces mots encore un peu flous pour saisir leur sens, t’emparer de leur force et transparence et te laisser emporter au fil de l’eau . J’aime bien l’expression « déplier les mots ». Merci beaucoup Catherine pour cette belle évocation. Bises fluides.
>Zebu32 :
Quelle gourmande ! Tes mots dégagent de la sensualité. Tu as tout à fait le droit d’y voir cela 😉 Bises d’après-midi.
>Bouldegom :
Je suis contente que cette chanson te touche. On le perçoit au travers de ton poème dans lequel tu invites à faire émerger une voix librement. Pierre-Alain a mis beaucoup de sensibilité dans la voix, les paroles et la musique. C’est un beau moment d’émotion. Merci à toi. Je t’embrasse.
>Cendrine :
Bonjour. Merci pour votre gentil commentaire. Vous êtes la bienvenue quand vous voudrez. Amitié vers les USA.
>François :
Désolée, ce n’est pas cela 😉 Ne pas parler trop vite… Bonne après-midi.
>Olivier :
Pierre-Alain t’a subjugué ;-)) Une très jolie surprise en effet.
Désolée, ce n’est pas une tarte aux fruits 😉
Je vois que tu connais tes classiques 😉 Merci pour ces paroles rafraîchissantes.
Bises affectueuses.
>Pierre (2) :
Ravie que tu sois touché par cette chanson également. Cette note est un tout qui mêle plusieurs domaines artistiques et sensiblités. Ca me plait.
Tu brûles… Bises amarillo.
>Patricio :
Un joli morceau de poésie autour de la voix dans lequel tu parviens à mêler les oppositions entre douceur et brutalité mais qui révèle une attirance pour les modulations chaleureuses. Dommage qu’on ne puisse entendre ta voix. Merci à toi, bises phoniques.
>Véronique :
Sans doute 🙂
>Annick :
Contente de te revoir. La voix de Pierre-Alain te fait sortir de ta cachette 😉 Merci pour lui.
>Le Musicien :
Encore un gourmand de tarte aux cerises, Monsieur le Musicien ;-). Que faites-vous de ces notes ? Merci pour ta visite.
>Lyriann :
Je crois comprendre que tu as une prédilection pour cette couleur 🙂 On est en effet plongé dans l’infiniment petit, source d’émerveillement. Merci d’être venu. Je t’embrasse.
>Judith :
Thanks a lot, my dear. Et toujours cette gourmandise qui rejaillit 😉 C’est l’appel des beaux jours sans doute 😉 Bonne journée. Bises salées 😉
>Candide :
Tu as tout compris, Candide ! Merci, je t’embrasse.
>Joanna :
Merci pour ton petit détour sympathique. Tu as bien de la chance d’aller là-bas. Profite bien. Bises marines.
Quelle splendeur !
On aimerait avoir à goûter toujours d’aussi belles osmoses
coucou Ossiane,
« le doux pêché », aussi cette tarte abricot..merci à vous deux!
et je ne me cache pas, je savoure en silence.. difficile de parler la bouche pleine quand je respire la tarte aux abricots, quand je mange la fleur, quand je danse un clavier de piano, quand j’ écoute le « gloups » de l oeuf gélatine..
vos photos ravissent mon oeil en bouche,
et j aime voir vos photos étirer leurs éclats dans le max d’espace pour trouver 02..
incroyable comme une photo vit sur écran, c’est près de l oeil, c’est un tête à tête tellement fort, c’est un click et un tchock de surprise!
à genoux, devant la tite fleur offerte..c’est beau, comme de vrais genoux sur le gazon!
berceuse
« laisser passer les petits st jean
qui s’en vont voir leur maman au champ »
les grands enfants qui jouent
à qui sera le plus grand
cherchent leur maman
dans les mots et les chants
« duerme duerme negrito
que tu mama està en el campo »
………………………..
les petits st jean: jeu dansé avec deux lignes d’enfants qui se font face constituant un chemin où deux st jean peuvent promener
« duerme, duerme… »: chanson de Athualpa Yupanqui
c ‘est bête,je sais,mais la couleur jaune ne m ‘inspire vraiment pas.Mais comme » c ‘est pas parce qu’on a rien à dire qu’il faut se taire » je laisse donc ici une trace de mon passage bref,certe,mais passage tout de même…
Merci à Ossiane et Pierre-alain (à la voix de velours)pour le beau cadeau qu’ils nous font
Avec cette chanson douce et légère comme le chant d’une rivière
———————————
Dans mon corps coule une rivière
D’eau claire
Où je me désaltère
Eau qui m’enivre me brûle
M’inonde
Eau de vie
Eau de feu
Eau qui court dans mes veines
Et irrigue mon cœur
Rivière de la poésie
Où roulent les cailloux des mots
Qui écriront le poème
De la source secrète
Et le dit des ruisseaux
Rivière de la musique
Où les notes blanches et noires
Chantent dans le courant de l’eau
L’amour caché dans l’ombre
Où fleurit le narcisse
Rivière des amants
Dont les corps s’enlacent
Et se mêlent
Pour se jeter à corps perdu
Dans la vaste mer
Des amours
La houle des caresses
>L’oeil vagabond:
Merci Chris pour ces encouragements à continuer. Bises de soirée.
>Annick:
J’aime beaucoup la façon savoureuse dont tu décris ton petit péché de silence. Fais nous en profiter plus souvent. Tu as beaucoup d’humour. Ces agapes sont finalement assez variées. Je ne pensais pas qu’on pouvait avoir une relation aussi fusionnelle avec son écran;-)) Tu n’es pas à genoux devant quand même 😉 Merci beaucoup Annick pour cette réaction et ton attachement à mon blog. Je te taquine. Bonne soirée.
>Bouldegom:
Vision aérienne dans une cour de récré. Je ne connaissais pas ce jeu. Pourquoi pas! Jolies berceuses. Tu nous gâtes. Bises du soir.
>Francis:
Tiens bonjour 😉 Mais que t’arrive-t-il, Francis, c’est le printemps. Le jaune triomphe partout pourtant. Et la chanson de Pierre-Alain, toi qui aimes la musique. Je te taquine… fais comme tu le sens. C’est gentil d’être passé. Je t’embrasse.
>amichel:
Encore un fan 😉 Il va être super content Pierre-Alain! Merci à toi.
Tu continues limpidement sur cette lancée, suite au haïku et je t’en suis reconnaissante. Une frémissante rivière poétique pleine d’ivresse dans laquelle la musique des mots et des notes se rencontrent et se mêlent. Tu as toujours beaucoup de talent pour écrire ces poèmes d’amour. Merci beaucoup Michel pour cette plume pleine de fougue qui enchante nos lectures. Je ne peux plus t’appeler « Poète de la nuit » maintenant 😉 Bises aquatiques.
On te fait de jolis cadeaux …
Je me glisse sur la pointe des pieds parmi vos échanges, commentaires et poèmes pour vous dire merci, je suis très touché. J’ai découvert le blog d’Ossiane et j’ai trouvé son travail admirable. J’ai appris à connaître un peu mieux Ossiane à travers cette expérience et n’en suis que plus admiratif.
L’énergie et la spontanéité des échanges qui s’écoulent sur ce blog me fait penser à une belle rivière dans laquelle on aime se baigner les jours d’été. Merci à toutes et à tous.
Pierre-Alain
J’allais en oublier l’essentiel…tous les échos de vos poèmes, de vos émotions, ces phrases et mots magnifiques ont mis plein de soleil dans ma journée… et jusqu’à tard ce soir.
Pierre-Alain
>Guess Who:
Tout à fait. C’était complètement inattendu. Je suis contente que tu aies apprécié.
>Pierre-Alain:
Je suis ravie de t’accueillir parmi nous. Tu fais partie de la tribu maintenant. Ta belle chanson a illuminé notre jounée également. Profite bien de ces instants de bonheur. A bientôt pour de nouvelles aventures. Reçois toute mon amitié.
ruban de velours
…………….
langue de velours
voix de velours
mains de velours
yeux de velours?
Même après avoir percé le mystère, le charme n’en est pas rompu pour autant.
Merci à toi (et à Pierre-Alain) de ces moments d’émerveillement…
Tourne tourne
*********************************************
Charme rompu … ?
Mystère épanoui …!
La figue en s’ouvrant
De sa chair nous énivre
Plaisir et raison
Intelligence et jouissance
Ne s’opposent point à l’inverse
Elles se conjuguent juxtaposent
Et ensemble impriment son élan
A la toupie de la vie
Quel délice des yeux et peut-t-etre du palais.
L’ensemble est super.
C’est mon 2ème passage ici et je ne me lasse pas des mélanges photos / Haiku.
>Bouldegom:
Quelle patte de velours 🙂 Bises soyeuses.
>Michel (3):
Bonjour Michel, le mystère n’est pas encore percé 😉
Merci beaucoup pour enthousiasme. Belle après-midi.
>Patricio:
Comme tu ames bien le faire, tu joues avec les contraires qui s’attirent et ne se quittent plus. Quelle audace de partir d’une figue épanouie pour en tirer des leçons sur la vie qui tourne comme une toupie. C’est très bien fait. Merci Patricio pour ton approche. Je t’embrasse.
>Gérard:
Du palais aussi, je confirme;-) Heureuse que cette photo ait enchanté vos sens. Merci.
>Roger:
Je vous suis reconnaissante d’être revenu. Votre appréciaition me fait plaisir. Photos et haïkus sont désormais intimement liés. Bonne journée. Bien amicalement.
Très bel hommage de Pierre-Alain avec cette chanson douce qui coule tranquillement comme l’eau et qui vient toucher ma corde sensible avec sa voix spéciale, grave et pénétrante. Instant rare.
Pour ta très belle photo :je vois une rivière de lumière, source de vie pour des cellules-gouttes assoiffées qui viennent s’y abreuver avec avidité. Inutile de les déranger !
Une histoire d’O, Oh, fallait Oser au mOment où l’OppOrtunisme pOliticien s’Organise.
superbe blog!
les photos sont magnifiques!!
bravo
Alors, je me permettrai de revenir.
**** B’soir ossiane
Tu es toujours plus brillante.
Tu n’as donc pas la moindre idée des pouvoirs dont je jouie aujourd’hui !et comment le feras-tu ? Mes pouvoirs sont plus forts que les tiennes.
si tu as soif de renouveler la source originelle, tu peux boire sang du dragon mais avec modération
En tant que DM j’hérite des arabes et! du chiffre zéro.
Tient en parlant DM 4,ça veut dire quoi!la source du plan d’eau ,Ce n’était pas du chinois mais un nouveau-né
dm
>Michel (2):
C’est bien Michel, tu as remarqué ces petits torrents qui descendent vers ce grand flot de lumière. Il me fallait une photo qui évoque l’eau pour introduire la chanson de Pierre-Alain. Merci pour ton regard. Je t’embrasse.
>Argoul:
Oh oh oh!! Que d’O!! Tu vas de surprise en suprise, n’est-ce pas ;-)) Contente de te revoir sur mes terres. Bises du soir.
>cocole:
Bienvenue à vous. Je vous remercie du compliment. Au plaisir de vous lire à nouveau.
>Roger:
Ok pas de problème.
>Miroir du mystère:
Je crois me souvenir que tu es déjà venu parcourir ce blog dans des temps plus anciens. Je ne prétends pas avoir des pouvoirs, tu sais. Je préfèrerais un bon verre de vin à ton sang de dragon;-) Je crois comprendre que tu es afficionado des jeux de rôles. Merci d’être passé. Amicalement.
Je viens d’écouter la chanson de Pierre-Alain Gogniat…super, merci Ossiane de nous l’avoir fait découvrir
>André-claude:
Hello amigo, je te connais bien et ça ne m’étonne pas que tu aimes cette chanson au piano. C’est très mélodique. C’est une première belle surprise. Il y en aura d’autres;-) Bises de l’ouest.
magnifique duo de poésie et d’amour…
Marie de Mazan
http://baladeenpaysbriard.over-blog.com/
je viens de découvrir ton blog, quelle merveille, j’ai écouté la chanson-poème de Pierre-Alain Gogniat, je ne sais pas dire mon plaisir mais il est très doux.
>Marie de Mazan :
Bonjour et bienvenue sur mon blog. Ce fut une très belle note faite de partage de sons et de mots. Pierre-Alain participera à d’autres notes un peu plus tard. Merci pour votre visite. Au plaisir de vous lire à nouveau.
>Lisette :
Bienvenue également et merci pour tes compliments;-) Pierre-Alain sera content de te lire car je pense que c’est ce qu’il a voulu faire passer au travers de sa belle voix et sa douce mélodie. Reviens nous voir quand tu veux. Bien amicalement.
Les photos sont exceptionnelles… et les mots aussi… J’ai mis un lien dans le forum Ô de Mots d’art & Scénarios. J’aimerais me servir d’autres photos si vous en avez pour décorer des poèmes… sur mon forum ou dans ma chronique
Bonjour,
Merci pour ces très belles pages. C’est frais, sincère. Sérénité, Profondeur sans apesanteur; reposant. Bref, ça change et ça fait du bien….
J’accroche bien aussi avec la chanson de Pierre Alain Gogniat; le monsieur en aurait il fait d’autres?!
>Adeline:
Bonsoir, bienvenue à bord;-) Tous ces qualificatifs me touchent beaucoup car c’est ce que je souhaitais faire passer. C’est la première chanson que Pierre-Alain a écrit pour L’Oeil Ouvert. On envisage de collaborer par la suite. Il a écrit d’autres chansons mais je ne connais pas encore. Au plaisir de vous revoir. Mon amitié.
Que cette rivière est belle qui m’invite à la suivre. De sa source jaillissant aux jardins d’Ossiane elle s’en va par vallons et plaines, s’attarde en quelques lacs mystérieux avant de poursuivre son voyage vers le vaste océan, s’enrichissant, ici d’un ruisseau, là d’un torrent, en bref, de tous ses affluents. Parmi ces derniers, Marie, Roger, lisette, Adeline…et en amont bien d’autres encore !
Que cette rivière est belle qui nous invite à la suivre !
Merci Ossiane, merci à tous ses affluents pour ce beau voyage!
Merci Pierre-Alain pour ce beau commentaire. J’aime cette idée de jardins, de source, de lacs et d’affluents pour définir L’Oeil Ouvert. C’est nettement plus poétique que le mot de « blog » 😉 Continue à nous faire rêver avec ta belle voix. Je t’embrasse fort.
Je ne m’arrête plus.Je lis et relis ton poème » A la source ». Je dois dire que j’adore le lien que vous faîtes de ce personnage et de tout ce qu’il représente pour vous.Brava Mr Alain…
Dès le jour, j’ai recçu mon » Hyppique ma curiosité ‘ je lis toujours votre poëme…
Eau vivante, eau pensante
prima materia
douce onde musicale
parfois s’étale
ou se resserre
pour mieux sculpter à son gré
les douces vallées
toujours adorée
depuis trop longtemps volée
égoistes envies
en font une arme
contre ceux qui la laisse
à ces forces et faiblesses
>Fred:
Eau précieuse et jalousée. Merci pour ce beau poème plein de vérité. Tu as beaucoup de choses à faire passer. Bonne soirée.