* Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas.
Voix du Silence,
La Virgule se Pose
Sur l’Aile du Temps.
*Cette semaine, j’ai invité mon amie Candide qui écrit des choses très sensibles et profondes sur le monde qui nous entoure. Elle aime la nature et s’y ressource comme dans L’Oeil Ouvert, depuis octobre dernier. Merci beaucoup Candide pour ces échanges poétiques et ces partages d’émotions.
Voici ce qu’elle m’a fait parvenir:
Arrivée par hasard,
Restée longtemps,
Revenue par plaisir…
Et j’attends les suivantes….
Contente de l’ouverture que je rencontre au fil des commentaires, au fil des poèmes, au fil des sauts de puce de blog en blog. J’aime la liberté des échanges entre tous. Certains m’interrogent, certains me surprennent. Merci à Ossiane, Merci à chacun d’entre vous !
Envol
Légère, elle s’élève,
Légère, elle s’envole.
Mille coeurs la reçoivent,
Mille coeurs la colorent.
Et dans le ciel du blog,
L’oiseau ouvre ses ailes.
Candide
That poem, by Candide, it’s perfect for a drawing I just completed. But nothing like your feathers… which are beautiful flowing landscapes of sensuality.
(I don’t speak or read French at all; I used a simple NET translation service. Sorry!)
http://img203.imageshack.us/img203/3663/brendaclewspulsingheartblog8pm.jpg
légendes…
portées par le vent,
murmures d’un songe,
la plume se pose,
le temps d’un voyage,
puis repart.
rencontre…
for Brenda Clews:
here is a translation of candide’s poem as it might give you another feeling of the words than Web translation:
Airborn
light, she goes
So light, she flees
thousands of hearts greet her
thousands of hearts giving her colours
thus in the sky of Blogs
the bird opens its wings
(Candide, please pardon me my choise of trying a translation that might be wrong to you). Pardonne moi Candide si cette traduction s’avère incorrecte pour toi.
(j’le ferais plus c promis!)
Et bravo à notre fée Ossiane pour cette transition du coquillage à la plume…. quelques centaines de millions d’années dans l’évolution de la vie si mes souvenirs sont exacts (en quelques « clics » magnifiques) et tout ça pour une petite « pause »…
L’oiseau oasis
—————–
Epi rebelle
Petite flèche
Frémissante
Laisse
Le vent du nord
Souffle glacé
De la mort barbare
Cherche
Le vent du désert
Qui se perd
Dans les roses de pierre
Et le chant des dunes
Suit
L’oiseau bleu des oasis
Qui fait son nid
Dans des poèmes de roseaux
Contemple
La beauté nue
des mers de sable
Combats
Les caravanes infidèles
Des marchands de rêves
Délivre toi
De la soif des désirs avides
De la fascination
Des féeriques mirages
Ouvre toi
A la flûte des nuits
Aux notes étoilées
Rends grâce
A la vie
Qui va l’amble
Avec l’amour
Sois fidèle
A l’oriflamme conquérant
De ton cœur
A l’allégeance au petit Prince
……..Et……
Un doigt sur la bouche du temps
Ecoute le silence
Qui dessine l’espace
Avec un doux bruit d’aile
Mais si je ne suis pas premier, je suis au moins le premier commentaire en français (tu es une star internationnale).
Revenons à cette immage et à ce bout de plume rebelle qui ose se démarquer. L’espace d’un instant, je me suis vu en elle, et j’ai souri…
J’ai parlé trop vite, car je ne suis pas le premier commentaire francophone quoi que , en y réfléchissant, il n’y a pas de commentaires avant le mien mais des poêmes, je me sens tout petit.
non non, on est tous tout petits
et la prose est une poesie sans fin….
Thank you! Even more beautiful…
un poil hirsute ?
un poisson pilote ?
fanon alors !?
Ô belle baleine boréale :o)
Ah, chère Candide,
très heureux qu’Ossiane t’ouvre sa porte !! merci !!!
Candide à la plume légère,
Ses mots touchent l’âme,
Un petit hommage,
A tous soyeux vers,
Ton coeur est grand,
Le mien t’offre des fleurs,
Continue à nous enchanter,
J’écris « merci » avecc mes baisers.
Merci à vous deux,
Bellee journée,
OLIVIER
Beaucoup de commentaires peétiques : je ne sais pas faire, je me contente de regarder, de me remplir les yeux. C’est peut -être aussi ça la poésie, savoir regarder.
Je pense que les stylistes de mode devraient utiliser ce joli tissu qui ferait merveille car il est très sensuel … et il épouserait les formes … Hum hum …
Communion
******************************
Pour échapper au déferlement
Du tsunami de cendre
Tu tends vers les cieux
Ton bras fragile
Et tout au bout de ton poignet
Ta main offre au firmament
La lecture secrète
De la ligne de ton destin
Bonjour,
De temps en temps je viens chercher la douceur des mots dans les images et dans tes insterprétations.
T’avouerais-je que tu es mon coup d’coeur ? Trop tard, c’est fait.
Merci pour cette fraîcheur !
La plume est celle du migrateur, posé sur la dune de silence. Perdue mais vivante, elle flotte sur les vagues de sable du rêve infini.Une conclusion en compagnie de Théodore Monod qui rapportait ce proverbe touareg dans ‘le chercheur d’absolu’: « Mieux vaut voir de ses propres yeux qu’être informé par autrui »
Quant à moi
*********************************
Avant le rouleau compresseur
De la raison
J’envoie mes sens sur la dune
En explorateurs
Ensuite seulement
J’enclenche le lobe gauche du cerveau
J’appelle cela
S’ouvrir les veines de la poésie
J’ai cru une couple de secondes que tu partais en vacances de blog… Pour aller surfer sur ces champs de neige qui ressemblent si fort à cette toile. Et bien non. Salut à toi, poète.
Ouah, j’ai vu un virus H5N1 sur la plume et il m’a tiré la langue !
Vanille
***********************************
Sur mon oreiller de Chantilly
Je ne laisse pas de trace écrite
Ma langue recroquevillée
A l’intérieur de mon crâne
Fait pourtant des siennes
Imprimant à mon rêve
Les douces stries
D’une meringue à la vanille
Il semble y avoir eu quelques embouteillages cette nuit ;-))
>Brenda:
Welcome Brenda, nice to meet you ! I’ve seen on your blog that you write poetry as well and that you are a painter from Canada.
Candide will be very pleased with your comment about her poem. She is very talented.
If these feathers enlighten your imagination, come back whenever you like even if you don’t speak french.. We can understand you. Sincerely yours.
>Hi David !
Merci beaucoup d’avoir reçu Brenda aussi gentiment en pleine nuit. Traduction y comprise ;-)) Ne t’inquiète pas. Tu as bien fait de prendre cette initiativecar nos amis canadiens surfent à l’heure où on dort.
Cette pause te fait sortir de ta réserve 😉 C’est sympa d’avoir remarqué la douceur de la transition entre le coquillage et la plume. Merci beaucoup pour ton souffle de poésie qui dépose ces murmures, se repose pour mieux repartir vers d’autres horizons. Bonne fin de journée. Je t’embrasse.
>amichel :
J’aime beaucoup ce que tu as fait autour ce petit épi rebelle qui devient sous ta plume un oiseau bleu des oasis. Ces teintes bistrées et ces lignes courbes régulières t’on fait songer au désert, aux dunes et aux caravanes qui l’arpentent. Tout au long de ce voyage poétique, revient régulièrement un verbe qui rythme le poème et ouvre vers des voies nouvelles. Très belle fin également avec ce silence qui dessine l’espace. Bravo à toi, roi du désert. Je t’embrasse dans le chant des dunes.
Note de vocabulaire :
Amble : Allure d’un quadrupède qui se déplace en levant en même temps les deux jambes du même côté.
>Fred de Mai :
Pas de chance ce soir, il y avait des bouchons 😉 Internationale ? Tu vas vite en besogne 😉 J’ai très peu d’anglophones qui osent s’exprimer.
Pas de complexe, Fred. Je suis d’accord avec David, la prose bien écrite peut être tout autant poétique. Continue d’oser. Ca ne m’étonne pas que tu te sois reconnu dans cette plume. Merci pour ta visite.
>Fred de Toulouse :
Tu fais dans le rebelle aussi 😉
Vous voyez beaucoup de choses autour de cette plume. Après les dunes du désert, les profondeurs aquatiques. Les fanons de baleine ou les rayures du poisson pilote. Voici un lien photographique à propos de ce poisson
http://www.fredshark.net/Dangers/chasses.htm
Merci beaucoup pour cette imagination matinale à l’heure de ton petit déjeuner 😉
Je t’embrasse.
>Olivier :
Décidément, tu connais tout lemonde 😉 Candide sera touchée par ton poème.
Mille merci. Bonne journée.
>Véronique :
Pas de problème si tu ne te vois pas écrire de la poésie. Tu apprécies peut-être la simple lecture de tous ces poèmes et la contemplation des photos. Tu es une contemplative ou une contemplante comme dirait Bén. C’est important de prendre le temps et de savoir regarder autour de soi. Merci d’être passée. Je t’embrasse.
>Michel (2):
Hum hum … Les commentaires sont très variés aujourd’hui 😉 Tu ne fais pas dans le rebelle mais dans le sensuel 😉 La texture satinée et la rondeur de la plume y sont sans doute pour quelque chose. Merci Michel pour cette vision sensorielle. Je t’embrasse.
>Drphland :
Bonjour, je te souhaite la bienvenue. J’ai vu sur ton blog que tu étais un grand amateur de nature. Merci beaucoup pour ce coup de cœur. Ca me touche. N’hésite pas à revenir et déposer tes commentaires. Au plaisir de te lire à nouveau. Bien amicalement.
>JPB :
Merci beaucoup pour ce beau commentaire qui un peu comme amichel associe, l’oiseau migrateur au désert. Je ne connaissais pas ce proverbe de Théodore Monod. Rien ne vaut en effet que son propre regard sur le monde car il sera forcément différent de celui d’une autre personne. C’est ce qui forge notre identité. Bien amicalement.
>Patricio :
Communion :
Appel au secours. Poignante communion d’un être désemparé qui implore le ciel devant l’horreur de la réalité qui l’entoure, un cataclysme sans doute.
Quant à moi :
Combattre les idées reçues et l’esprit cartésien pour faire jaillir la folie de la poésie. Ta formule « S’ouvrir les veines de la poésie » est très coupante.
La sagesse des lignes de la plume t’a sans doute conduit à vouloir mettre un peu de désordre dans tout cela 😉 C’est réussi.
Vanille :
Apaisement de la nuit. Douceur sucrée. Rêves gourmands. De douces sensations sans traces écrites et orales. Silence. J’aime bien aussi ce poème plus paisible et rassurant.
Bravo Patricio. Je t’embrasse.
>Argoul :
Salut à toi également. Eh bien non, tu t’es trompé. Je suis trop trouillarde pour dévaler les pentes neigeuses ;-)) Je ne parviens toujours pas à me dégager assez de temps pour visiter tous les autres blogs dont le tien. Mille excuses. Bises.
>HSN1 :
Bonjour et bienvenue sur L’Oeil Ouvert. C’est ce qu’on appelle un commentaire amusant et moqueur. C’est bien trouvé 😉 Je suis sûre que Patricio aimera. Merci pour ta visite et au plaisir de te revoir. Bien amicalement.
Bonsoir Ossiane ,
Je regarde cette plume depuis ce matin et je n’ai pas de mots pour la décrire .Il suffit seulement de la regarder pour y trouver une harmonie que je ne saurais traduire par des phrases.
Bonne soirée
Eric
Très belle note !
Candide tu as fait une poésie à l’évocation très belle et j’aime beaucoup :
« Et dans le ciel du blog
l’oiseau ouvre ses ailes »
Ossiane c’est celui tes haïkus que je préfère. Si tu savais comme il me parle !
————–
Cordes fragiles
Lignes rangées
Structure de l’envol
où s’appuyera le désordre de l’émotion.
Douceur apaisante
Caresse vers la légèreté
Secret de liberté
Où la part rebelle s’échappe.
Rêve envolé
Musique enveloppante
Silence des mots
Où d’autres naîtront.
Pause
Pause nécessaire
Réflexion entre les lignes
Où tout prendra un nouveau sens.
Catherine
Glacier fabuleux
Ski de l’impossible
Vague figée
Rébellion silencieuse.
>Eric:
Tu peux constater que je ne suis toujours pas sortie de mes plumes;-) Ta photo était très belle et je viendrai la commenter. Il arrive de tomber sur une image qui accroche le regard sans savoir trop pourquoi. C’est ressenti à l’intérieur mais en même temps, c’est de l’ordre de l’indicible. Je te rejoins sur le mot « harmonie ». Ca me fait un peu le même effet. Merci pour tes visites amicales. Je t’embrasse.
>Catherine:
Heureuse de te revoir; c’est signe que tu as pu te dégager un peu de temps. J’aime aussi beaucoup cette note dans son ensemble. Il y a une sorte de dépouillement et de pureté qui s’en dégage.
De cet ordre fragile, tu construis un désordre émotionnel et créatif, un peu comme dans un des poèmes de Patricio. Cette sagesse et cette pause sont source de liberté et de légèreté. Bravo Catherine pour cette belle envolée de notes dans la musique des mots. Bonne soirée. Je t’embrasse.
>MTO:
Beaucoup de rebellion aujourd’hui ;-)) Tu es la première à évoquer un glacier. Je n’y avais absolument pas pensé. J’aime beaucoup ton poème. Il est vraiment bien construit et signifie beaucoup de choses avec cette chute rebelle. Tu vois que tu es capable d’écrire des poèmes, non? J’espère que tu vas bien et que tu commences à pouvoir te poser comme cette petite plume. Je t’embrasse.
Je découvre, en rentrant d’une journée de « vacances », ce sujet qui illustre tout à fait la couleur de mon jour de douceur :
oui, une pause… dans le quotidien semblable fibre à fibre
oui, la virgule, légère et indocile
émergeant de l’aile du temps…
sans en rompre le fluide et lent déroulement
Sans voix, je suis. Envol perceptible. Beautés, légères, volubiles. Beautés retrouvées. Beautés renouées. Magnifique. Ossiane.
Nous lisserons le temps
Comme la plume d’un oiseau.
Nous volerons sur la légèreté
De l’inutile raison.
Nous ne dirons que des mots fragiles
Avec la force de la vie.
De notre sourire
S’échappera un duvet de douceur.
Et dans le vent qui nous dansera
Nous n’aurons pas froid.
Catherine
>Bén:
Enfin tu te poses après tous ces voyages. Jour de pause à l’image de cette plume qui s’arrête pour reprendre sa respiration et repartir de plus belle;-) Merci, Bén pour ces mots délicats. Je t’embrasse.
>Sonia:
Contente de te revoir;-) Sans voix tu es mais une envolée de mots s’échappent en légèreté de ta plume. Mille excuses de ne pas passer te voir en ce moment. J’arrive tout juste à gérer mon blog. Je t’embrasse affectueusement.
>Catherine:
Tu l’aimes bien cette note 😉 Une infinie douceur recouvre ces mots. Ce sourire à la vie réchauffera le coeur. Bonne nuit. Repose-toi bien.
Bonjour, Ossiane. Voici mes commentaires à tes commentaires.
« Communion ». Le tsunami de cendre pourrait être celui de notre propre crémation. Il ne s’agit pas d’appel au secours, mais de partager avec l’universel notre secret le plus intime, de laisser pour l’éternité, inscrite dans les cieux, la trace de notre passage.
« Quant à moi ». La poésie pour moi n’est pas synonyme de folie, mais justement de sagesse, pas d’équilibre de surface. Pas plus que percer la coquille des choses pour voir en profondeur n’est pas mettre du désordre ; mais mettre en évidence ce qui se cache sous l’apparence.
« Vanille ». Là, je suis d’accord avec toi. La gourmandise … quel rêve … en plus lorsqu’elle ne fait grossir ni ne produit d’indigestion.
« Erratum ». Tu peux l’enlever. Merci de l’avoir appliqué sur « Vanille ».
Ailes striées de raie
Raie ondulante souple et fascinante
Raie cendrée raie bouclée
Vrille excroissance cornée
Filament entre air et eau
Je rêve de raie
Aux câpres et au beurre blanc
L’eau à la bouche…
je trouve tant de légèreté dans toutes ces lignes,tous ces commenaires. Elle s’accorde avec l’infinie délicatesse de la photo , du haiku;
Virgule, temps suspendu, pause, respiration et à la fois envol, décoller, je me suis laissée aller sur l’aile du vent, du temps, j’ai traversé le désert avec l’oiseau bleu et vu l’oasis, je n’ai pas eu froid dans le vent, et j’ai senti la douceur de l’amitié d’Olivier sur ma joue….
et maintenant je file travailler!!!!
Bonne journée à tous!
je me détache pour admirer mes attaches, je m’envole presque pour que cela me ramène à mes rêves frivoles, je fais semblant de partir pour que l’on me remarque, malicieuse je suis…
Aujourd’hui , je change un peu de registre .
Cette photo …l’ivresse de la glissade , la vague déferlante ….la fascination du saut dans l’inconnu !
Aujourd’hui , l’émotion subjective prend le pas sur l’analyse !
Grosses bises .
>Bonjour Patricio:
Merci pour ce décryptage intéressant. Tu vois que lorsque je vous commente, je prends le risque d’écorcher votre pensée de départ. Sur la première intervention, j’avoue que je n’avais pas pensé à la crémation et que j’étais partie sur une catastrophe naturelle. Ta vision est beaucoup plus profonde. En ce qui concerne « Quant à moi », je n’ai pas utilisé le mot de « folie » à bon escient. Il s’agissait pour moi d’efferscence créatrice. Ouf, on est sur la même longueur d’ondes sur ta troisième intervention;-)) Merci pour ton regard. Je t’embrasse.
>Merbel:
Superbe idée d’avoir imaginé ce poème autour de ce poisson fascinant qu’est la raie autant pour le mouvement ondoyant de ses ailes que pour ses qualités gustatives. En plus, tu es vraiment dans le ton. Merci beaucoup. Continue à t’éclater en poésie. Je t’embrasse au beurre blanc et aux petits oignons.
Un petit lien vers Google Images avec de belles photos de raie manta.
http://images.google.fr/images?q=raie%20manta&hl=fr&lr=&sa=N&tab=wi
>Candide:
Coucou, tu es sortie de ta cachette aujourd’hui toute légère;-)) Joli commentaire dédié à tout le monde. De belles sensations que tu exprimes autour de mots que tu égrènes et qui ont failli pour certains se retrouver en titre de note. Belle journée en légèreté, Candide. Ce fut un plaisir de travailler avec toi. Bises.
>Malisan:
Un beau détachement plein d’espièglerie;-) Envie de sortir du rang pour toucher le regard des autres. C’est une façon originale d’interpréter cette plume rebelle. Merci Malisan pour ton regard plein de malice. Je t’embrasse.
>Jean:
Oui en effet, c’est la photo qui veut ça avec cette plume qui relève la tête et a envie de s’amuser. Tu te laisses aller à tes sensations et tu as bien raison. Tu as sans doute plein de neige chez toi pour parler ainsi. Merci pour ton jeu d’émotions en glissade. Je t’embrasse.
décidémment… j’entends malice dans la bouche de tout le monde en ce moment, ça doit être un peu vrai alors 😉
en même temps je t’avais mise sur le chemin, ce n’est que logique, j’avais déjà oublié, j’aime beaucoup cette série, à bientôt et bravo 🙂
>Malisan:
J’espère que tu n’es pas froissée;-) J’aime beaucoup ce mot. As-tu remarqué que ton nom commence par les mêmes sonorités. Ce n’est peut-être pas un hasard:-) Merci pour ton compliment car j’ai toujours peu de lasser si je reste trop longtemps sur le même thème.
Je vois de l’humour dans cette photo… à la façon d’un enfant facétieux au milieu d’adultes sévéres attendant en file indienne… une barbe de plume qui ne veut pas rentrer dans le rang!
au fond des latrines,
la virgule,
signe le passage de l’incontinent
Moi froissée non 😉 J’en ris plutôt, plusieurs bloggeurs qui m’ont rencontrée ont gardé cet adjectif… mais je suis sûre que mon pseudo les inspire. Une série permet d’explorer plus en pronfondeur, et de rêver… ne te fais pas de souci 😉
>Christine:
C’est amusant comme tout, ce que tu vois;-) De la contestation dans l’air. Entre facétie et sévérité. De la rébellion dans les cours d’école. Brin de Plume fait son malin! Merci Christine pour cet angle de vue original. Bonne nuit.
>Dr Konchuppé:
Bonsoir Docteur, je te souhaite la bienvenue. Là , on change de registre 😉 Mais il y aussi a une volonté d’aller à contre-courant. Et pourquoi pas? Au plaisir de te lire à nouveau. Amitié.
>Malisan:
Ouf :-)) Merci pour ta bonne humeur. Bonne nuit.
Beaucoup de sérénité, que c’est agréable à contempler!
>Guillaume:
Tu as tout à fait raison, c’est comme cela que je le ressens. Je dirais même que ce minimalisme est zen. Merci d’être venu. Je vais dégager du temps pour passer te voir.
Repos.
>Salade:
Bonjour, ça fait longtemps que je ne t’avais pas lu 😉 J’espère que tu vas bien. Ton commentaire résume la photo mais peut-être a-t-il une autre signification? Bien à toi. Je t’embrasse.
a mon avie je pense qu’il n’y a plus de personne comme candide il contunie d’aimer cynigonde meme qu’elle devenue laide de + il est bien change apre tous ses voiyage et ses probleme
http://richardg.blogs.com/photos/uncategorized/2007/11/03/clematite_filtered.jpg
Bises
je fais ma pause.
Luxe.
Je sais, avec qui je suis,..
Luxe,
Une p’tite loute,
Qui comprend,
Qui aime,
à sa façon.
A .
Elle.
Merci.
>Nath:
Jolies plumes! Boenne nuit et merci!